22 results on '"Sumodhee S"'
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2. Fractionated Stereotactic Radiation Therapy for Pituitary Adenomas: An alternative escalating protocol of hypofractionated stereotactic radiotherapy delivering 35 Gy in 5 fractions
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Sumodhee, S., Atallah, V., Kinj, R., Doyen, J., L’Homel, B., Gillon, P., Paquis, P., Almairac, F., Hieronimus, S., Schiappa, R., Sadoul, J.-L., Sumodhee, D., Pontikos, N., Richier, Q., Hannoun-Levi, J.-M., Scouarnec, C., Chevalier, N., and Bondiau, P.-Y.
- Published
- 2022
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3. Multicatheter interstitial brachytherapy for breast cancer
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Sumodhee, S., Strnad, V., and Hannoun-Lévi, J.-M.
- Published
- 2018
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4. Efficacité et toxicité de la radiothérapie de contact par photons de 50 kV pour les carcinomes palpébraux.
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Baron, D., Sumodhee, S., Natale, R., Falk, A., Doyen, J., Claren, A., Lagier, J., Flores, D., Dejean, C., Feuillade, J., Gautier, M., Gérard, J.-P., and Bénézéry, K.
- Abstract
Les carcinomes palpébraux peuvent être traités par chirurgie ou irradiation. Cette étude avait pour but d'analyser le contrôle local, la toxicité, les résultats fonctionnels et cosmétiques de la radiothérapie de contact par photons de 50 kV. Il s'agissait de 69 patients atteints de 72 carcinomes palpébraux traités de mai 2009 à décembre 2018 par deux appareils (RT50 Philips/Papillon50™). L'âge moyen des patients était de 79 ans (extrêmes : 35 à 97 ans), les localisations la paupière supérieure (12,5 %), le canthus externe (8,33 %), la paupière inférieure (33,3 %), le canthus interne (45,83 %). Il s'agissait d'un carcinome basocellulaire (75 %), d'un carcinome épidermoïde (13,89 %), d'un mélanome (2,78 %) ou d'un autre type (8,33 %). La radiothérapie de contact était exclusive dans 18,06 % des cas ou adjuvante pour 81,94 % (résections R0 : 37,29 %, R1 : 44,07 %, R2 : 16,95 %), dans 37,5 % des cas pour des lésions en rechute après les traitements antérieurs. Elle a délivré 42 Gy en six fractions de 7 Gy (27,78 %) ou 35 Gy en cinq fractions de 7 Gy (61,11 %). L'étalement moyen était de 18,18 jours. Le suivi médian était de 35 mois, le taux de contrôle local de 97,1 %, avec deux rechutes locales (2,9 %) à 14 et 15 mois (chirurgie antérieure avec un délai entre la chirurgie et la radiothérapie de 45 jours pour un patient). La toxicité aiguë concernait 84 % des patients traités : érythème de grade 1 (60,66 %), de grade 2 (9,51 %), conjonctivites de grade 1 (24,59 %), de grade 2 (3,28 %), larmoiement de grade 1 (22,95 %), xérose cutanée et/ou ophtalmologique de grade 1 (4,92 %), trouble de la vision de grade 1 (3,28 %), ou autre de grade 1 (6,56 %). La toxicité tardive concernait 55 % des patients traités : érythème de grade 1 (5,13 %), télangiectasies de grade 1 (5,13 %), troubles de la pigmentation cutanée de grade 1 (56,41 %), larmoiements de grade 1 (46,15 %) ; de grade 2 (7,69 %), xérose oculaire de grade 1 (38,46 %), dépilations ciliaires persistantes (20,51 %) ou baisse d'acuité visuelle (7,69 %). La radiothérapie de contact par photons de 50 kV des carcinomes palpébraux est simple, très efficace et bien supportée dans cette population sélectionnée. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2019
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5. Stereotactic Radiation Therapy for Pituitary Adenomas: Retrospective Analysis of an Alternative Multi-Fractionated Protocol with Robotic Radiosurgery Including 35 Gy in 5 Fractions.
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Atallah, V., Sumodhee, S., Claren, A., Natale, R., Schiappa, R., Gillon, P., Doyen, J., Paquis, P., Almairac, F., Sadoul, J.L., Sicurani, J., Chevalier, N., Hannoun-Levi, J.M., and Bondiau, P.Y.
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RADIOTHERAPY , *RADIOSURGERY , *RETROSPECTIVE studies , *STEREOTACTIC radiosurgery , *STEREOTAXIC techniques , *ROBOTICS , *FRACTIONS - Published
- 2019
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6. PP-0165 Contact X-Ray Brachytherapy for eyelid carcinoma: Efficacy and toxicity in 69 patients.
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Sumodhee, S., Benezery, K., Baron, D., Natale, R., Gautier, M., Dejean, C., and Gérard, J.
- Subjects
- *
RADIOISOTOPE brachytherapy , *EYELIDS , *X-rays , *CARCINOMA , *PATIENTS - Published
- 2021
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7. Radiothérapie en conditions stéréotaxiques pulmonaire : études de facteurs prédictifs de dégradation de dose et optimisation dosimétrique par arcthérapie dynamique.
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Sumodhee, S., Adgie, S., Fougerouse, P.-A., Antoine, M., Faure, J., Proust, F., Lagarde, P., and Trouette, R.
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Objectif de l’étude Étudier les facteurs prédictifs de dégradation de dose pour les tumeurs bronchopulmonaires périphériques traitées par irradiation stéréotaxique ablative pulmonaire en technique tridimensionnelle et comparaison à l’arcthérapie volumétrique modulée (VMAT). Matériel et méthode Nous avons inclus les patients atteints d’une localisation tumorale pulmonaire périphérique traités par irradiation stéréotaxique tridimensionnelle dans le service de radiothérapie du centre hospitalier universitaire de Bordeaux de mai 2012 à mai 2016. Les plans de traitement ont été considérés comme dégradés si la biological effective dose (BED) d’au moins 95 Gy n’a pas été atteinte. Les facteurs prédictifs de dégradation de dose étudiés étaient la localisation anatomique, l’antécédent de chirurgie ou d’irradiation et le volume cible prévisionnel. Une replanification en arcthérapie volumétrique modulée de ces cas dégradés a été réalisée. Résultats Sur les 251 patients pris en charge, 42 plans de traitement ont été dégradés (17 %). La localisation anatomique a été retrouvée comme étant un facteur prédictif de dégradation de dose en radiothérapie stéréotaxique tridimensionnelle (p < 0,0001) : pour les tumeurs médianes (odds ratio [OR] = 11,19 ; intervalle de confiance à 95 % [IC95 %] = 4,2–27,08), apicales (OR = 5,89 ; IC95 % = 1,88–18,85) et médianes et apicales (OR = 70,67 ; IC95 % = 13,06–342,89). Le second facteur prédictif était l’antécédent de radiothérapie (p = 0,0185) quand il y avait une recoupe avec un des anciens faisceaux passant par le volume cible prévisionnel actuel (OR = 10,19 ; IC95 % = 1,55–67,18). L’objectif d’amélioration du plan en arcthérapie volumétrique modulée a été atteint dans 20 cas sur 42 patients (47 %). La localisation anatomique a té retrouvée comme étant un facteur prédictif d’amélioration en technique d’arcthérapie volumétrique modulée (p = 0,0226). Le second facteur significatif était la valeur de la BED initiale en radiothérapie stéréotaxique tridimensionnelle (p = 0,0227). Conclusion La radiothérapie stéréotaxique tridimensionnelle reste une technique très adaptée au traitement des tumeurs bronchopulmonaires. La localisation anatomique est retrouvée comme un facteur prédictif de dégradation de dose en radiothérapie stéréotaxique tridimensionnelle et d’amélioration en arcthérapie volumétrique modulée. L’arcthérapie volumétrique modulée vient renforcer notre offre en termes de possibilités thérapeutiques. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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8. Irradiation partielle et accélérée du sein chez les patientes âgées : un bon compromis entre l’irradiation totale du sein et l’absence d’irradiation ?
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Sumodhee, S., Lam Cham Kee, D., Chand, M.-È., Kogay, M., Gautier, M., Hannoun-Lévi, J.-M., Lévy, J., Chamorey, E., Peyrottes, I., and Barranger, E.
- Abstract
Objectif de l’étude L’objectif de l’étude était, comparer la probabilité de survie sans mastectomie à 10 ans observée après irradiation partielle et accélérée à celles estimées avec et sans irradiation totale du sein, chez les patientes âgées atteintes d’un cancer du sein localisé. Matériel et méthode Les patientes incluses avaient plus de 66 ans, étaient atteintes d’un cancer du sein infiltrant, des stade pT1 ou pT2 N0 M0, traitées par chirurgie conservatrice avec marges saines. L’irradiation partielle accélérée du sein a été réalisée par curiethérapie interstitielle de haut débit de dose de 32 à 34 Gy en huit à dix fractions. Albert et al. ont établi un nomogramme afin de prédire la probabilité de survie sans mastectomie à 10 ans avec et sans irradiation totale du sein chez les patientes âgées de 66 à 79 ans. Pour chaque patiente traitée, la probabilité de survie sans mastectomie à 10 ans avec et sans irradiation totale du sein a été calculée avec le nomogramme d’Albert et comparée à celle observée après irradiation partielle accélérée du sein. La toxicité a également été relevée. Résultats Nous avons inclus 79 patientes prises en charge par irradiation partielle accélérée du sein entre 2005 et 2016 dans le centre Antoine-Lacassagne. L’âge médian était de 77 ans (extrêmes : 66–89 ans). Il s’agissait essentiellement de tumeurs de stade pT1 (91,1 %) et d’histologie canalaire infiltrante (93,7 %). Une hormonothérapie adjuvante a été mise en place pour 72 patientes (91,1 %). Avec un suivi médian de 96,8 mois, une seule mastectomie a été réalisée chez une patiente de 85 ans, 88 mois après la curiethérapie. La probabilité de survie sans mastectomie à 10 ans observée pour la population traitée était de 97,4 %. Les probabilités de survie sans mastectomie à 10 ans estimées avec le nomogramme d’Albert sans radiothérapie et avec irradiation totale du sein étaient respectivement de 92,7 % et 96,3 %. Aucune toxicité de grade 3 ou plus n’a été observée. Conclusion La probabilité de survie sans mastectomie à 10 ans observée après irradiation partielle accélérée du sein est supérieure à celle estimée avec le nomogramme d’Albert sans radiothérapie et au moins non inférieure à celle estimée avec irradiation totale du sein. Chez les patientes âgées, l’irradiation partielle accélérée du sein semble être une bonne alternative entre l’irradiation totale du sein et l’absence d’irradiation. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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9. Évaluation d’une technique mono-isocentrique avec complément champ dans le champ concomitant pour le traitement conservateur des cancers du sein.
- Author
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Sumodhee, S., Magnin, V., Badat, Y., Feham, N., Zinutti, M., Caty, C., Corbice, C., and Marchal, C.
- Abstract
Objectif Présentation des résultats cliniques et dosimétriques d’une technique mono-isocentrique modifiée avec complément d’irradiation champ dans le champ concomitant pour les traitements conservateurs des cancers du sein. Patientes et méthodes Entre octobre 2013 et mai 2014, 30 patientes ont eu un traitement radiochirurgical conservateur de 50 Gy en 25 séances dans le volume mammaire et les aires ganglionnaires sus- et sous-claviculaires en cas d’envahissement et 60 Gy en 25 séances de 2,4 Gy (66 Gy équivalents) dans le lit opératoire. Les segments variaient de 1 à 6 avec les photons de 6 MV et/ou ceux de 23 MV. Le volume mammaire a été calculé par le logiciel Éclipse3D (Varian ® ), la toxicité cutanée recueillie lors des consultations hebdomadaires selon la classification CTCAE V4 (Common Terminology Criteria for Adverse Events Version 4). Résultats L’âge médian était de 54 ans (26–70), 33 % des patientes ont reçu une irradiation ganglionnaire. Le volume mammaire médian était de 559 mL (121–1428). Le volume cible mammaire recevant 107 % de la dose prescrite (V107 %) était de 46,4 % ± 13,1, celui recevant 95 % (V95 %) de 98,4 % ± 1,8. Pour le lit opératoire, le V107 % était de 0,02 % ± 0,09 et le V95 % de 99,4 % ± 1,7. Pour les ganglions sus-claviculaires et sous-claviculaires, le V107 % moyen était respectivement de 0,04 % ± 0,07 et 0 % et le V95 % moyen de 86,3 % ± 21,2 et 65,1 % ± 32,5. Pour les lésions gauches, le volume recevant 30 Gy (V30 Gy) moyen du cœur était de 3,5 % ± 3,9. Le volume recevant 20 Gy (V20 Gy) moyen du poumon homolatéral était de 12,5 % ± 8,3. La toxicité cutanée maximale (de grade 3) a concerné sept patientes (avec une seule interruption), au niveau du sillon sous-mammaire et hors projection du lit opératoire, avec un volume mammaire médian de 931 mL (495–1428). Conclusion L’irradiation mono-isocentrique avec segmentation et complément concomitant permet une couverture adéquate dosimétrique des volumes à l’exception des ganglions sous-claviculaires avec un respect des contraintes de dose aux organes à risque. Cependant, il faut rester vigilant sur la survenue d’une toxicité cutanée de grade 3 pour les seins volumineux. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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10. Évolution des techniques d’irradiation des adénomes hypophysaires et impact sur la dose aux hippocampes.
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Sumodhee, S., Huchet, A., Coulibaly, S., Dupin, C., Adgie, S., Tatje, J., Trouette, R., and Vendrely, V.
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Objectif de l’étude Évaluer l’évolution de la dose délivrée aux hippocampes dans les irradiations d’adénome hypophysaire selon la technique utilisée : conformationnelle tridimensionnelle avec faisceaux non coplanaires, RCMI par faisceaux fixes coplanaires (RCMI), arcthérapie volumétrique modulée (VMAT). Patients et méthode Les irradiations de 22 adénomes hypophysaires consécutifs entre janvier 2014 et février 2016 ont permis d’évaluer la dose reçue par les hippocampes délinéés selon les recommandations du Radiation Therapy Oncology Group (RTOG). Tous les patients ont reçu 48,6 Gy en 27 fractions de 1,8 Gy. La dose a été optimisée sur les hippocampes pour toutes les VMAT (7/7), pour deux RCMI (2/8), et jamais pour les radiothérapies conformationnelles tridimensionnelles (0/7). Le volume cible prévisionnel (PTV) était défini d’après le volume tumoral macroscopique (GTV) avec une marge de 5 mm pour la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle et de 3 mm pour les autres techniques. Résultats Les doses moyennes (Dmoy) délivrées aux hippocampes étaient significativement plus basses avec la VMAT qu’avec la RCMI ( p < 0,001) et la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle ( p < 0,0001) avec respectivement 7,9[5,1-10,7] Gy, 24,6[17,9–31,3] Gy et 24,4[20,4–28,3] Gy. La Dmoy restait significativement différente ( p < 0,0005) entre les techniques modulées optimisées (VMAT et RCMI) et non optimisées (RCMI) : 9,7 Gy contre 27,5 Gy. Les doses maximales (Dmax) étaient toutes significativement différentes pour la VMAT (28,4 Gy), la RCMI (45 Gy) et la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (49,2 Gy). La régression linéaire des courbes entre le PTV et la Dmoy montrait une croissance de la Dmoy de 0,89 Gy/cm 3 de PTV supplémentaire pour la RCMI contre 0,23 Gy/cm 3 pour le VMAT et 0,22 Gy/cm 3 pour la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. Ce dernier point souligne l’intérêt des techniques non coplanaires (radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle et VMAT) pour les tumeurs volumineuses. Conclusion L’évolution des techniques avec une optimisation sur les hippocampes permet de diminuer de 16 Gy la dose moyenne délivrée aux hippocampes. L’utilisation de faisceaux non coplanaires présente un intérêt pour les tumeurs volumineuses. La VMAT apparaît comme une technique idéale pour le traitement des adénomes hypophysaires. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
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11. Radiothérapie en conditions stéréotaxiques des récidives controlatérales de cancer bronchopulmonaire chez les patients pneumonectomisés: à propos de quatre cas.
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Sumodhee, S., Proust, F., Boutolleau, J., Benech, J., and Trouette, R.
- Abstract
Objectifs Après une pneumonectomie pour un cancer bronchopulmonaire, les patients sont généralement inopérables en cas de récidive controlatérale. L’objectif était d’analyser la tolérance aiguë et le contrôle local après l’irradiation en conditions stéréotaxiques des récidives controlatérales de cancers bronchopulmonaires chez les patients opérés, pris en charge dans le centre hospitalier universitaire de Bordeaux. Patients et méthodes Nous avons étudié rétrospectivement les dossiers de quatre patients ayant eu une pneumectomie, traités entre mai 2010 et janvier 2014, par irradiation en conditions stéréotaxiques pour une récidive d’un cancer bronchopulmonaire non à petites cellules. Avant le traitement, une tomographie par émission de positons a été réalisée e t a permis de confirmer le caractère localisé de la récidive suspectée sur l’aggravation progressive de l’image thoracique. L’irradiation s’est faite à une dose de 60 Gy en quatre fractions de 15 Gy à raison de deux séances par semaine, sauf pour une patiente, qui a reçu une dose réduite à 32,5 Gy en quatre fractions de 8,8 Gy du fait d’un antécédent d’irradiation dans le poumon controlatéral. Résultats Il s’agit de trois hommes et une femme âgés de 60 à 77 ans au moment de l’irradiation. Après un suivi en médiane de 18 mois (16–60), tous les patients étaient en vie. La tolérance du traitement a été très bonne, aucun patient n’ayant souffert d’une toxicité aiguë de grade supérieur à un. De plus, il n’y a eu de progression de la récidive traitée chez aucun des patients. Une deuxième récidive à distance de la première, trois ans après le premier traitement, a été traitée chez un patient à nouveau par une irradiation en conditions stéréotaxiques. Conclusion Après une pneumonectomie pour un cancer bronchopulmonaire, les patients sont généralement inopérables en cas de récidive controlatérale. La radiothérapie en conditions stéréotaxiques apparaît être une bonne alternative en assurant un taux de contrôle local important avec un risque de complications minime. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2015
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12. Proposition d’un protocole de contrôle de reproductibilité de la distension rectale et vésicale dans les irradiations prostatiques avec la tomographie conique.
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Sumodhee, S., Gence, M., Ribourel, G., Lumineau, E., Marchal, C., and Magnin, V.
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La tomographie conique soulève la problématique de la variation de la distension rectale et vésicale entraînant une variabilité de la dose délivrée dans la prostate et les vésicules séminales et un risque de toxicité majorée. Nous proposons un protocole d’éducation du patient. Lors de la consultation d’annonce médicale, une fiche de recommandations pour la scanographie de centrage et les séances d’irradiations est remise au patient, de même qu’une fiche diététique de confort intestinal. Lors de la consultation paramédicale d’annonce différée, une demi-heure environ avant la scanographie, le patient vide sa vessie et si possible son rectum (sans lavement) et boit deux verres d’eau (350 mL) dont l’heure de la prise est notée. Puis, une scanographie « low dose » centrée sur la prostate (40 coupes) est réalisée afin de vérifier le rectum et la vessie selon des critères prédéfinis (diamètre rectal antéropostérieur inférieur à 4 cm à la symphyse pubienne, vessie ne devant pas dépasser si possible le segment passant par le bord supérieur de la prostate et s’étendant de 4 cm vers la tête). L’acquisition après injection peut être lancée et l’heure notée déterminant l’intervalle entre l’horaire de vidange vésicale et la séance. Au poste de traitement, le manipulateur interroge le patient chaque jour sur le respect des consignes rectales et vésicales ; l’acquisition de la tomographie conique à j1, j2, j3 permet le recalage osseux, la vérification vésicale et rectale puis le recalage des tissus mous par le médecin. Des manœuvres correctives sont faites en cas de mauvais remplissage vésical et vidange rectale. Si la différence de recalage est de plus de 5 mm, une tomographie conique quotidienne est réalisée, sinon le rythme devient hebdomadaire. Ce protocole de remplissage vésical et vidange rectale semble applicable au prix d’un investissement important des manipulateurs. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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13. Optimisation du retrait de matériel vecteur de curiethérapie pour le cancer du sein : évaluation d'un modèle de collaboration entre le médecin et le manipulateur en électroradiologie.
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Pignier, M., Kerboul, M., Sumodhee, S., Chand, M.-È., Cippolini, S., Lam Cham Kee, D., and Hannoun-Lévi, J.-M.
- Abstract
L'optimisation du temps de travail entre les différents acteurs en radiothérapie est basée sur une répartition cohérente des tâches. Dans ce cadre et pour la curiethérapie du cancer sein, nous envisageons la réalisation du retrait du matériel vecteur par un manipulateur en électroradiologie sous la responsabilité du curiethérapeute. Dans un premier temps, nous avons analysé la toxicité observée après ablation des vecteurs faite par le curiethérapeute. Il a été procédé à l'évaluation rétrospective du nombre et de la gravité des complications apparues (selon les Common Toxicity Criteria For Adverse Events [CTCAE] v4.0) lors du retrait du matériel vecteur de curiethérapie par le radiothérapeute. De 2008 à 2018, 289 patientes ont bénéficié d'une curiethérapie pour un cancer du sein : 85 patientes pour une irradiation partielle accélérée du sein (soit 30 %), 151 pour un second traitement conservateur (soit 52 %), 53 dans le protocole Single-Fraction Elderly Breast Irradiation (soit 18 %). L'âge moyen des patientes était de 73 ans [28–92 ans], le nombre moyen de cathéters implantés était de 11 [4–24]. Sept patientes ont souffert des complications au retrait des vecteurs réalisé par le curiethérapeute (soit 2,4 %) : saignements (trois cas de grade 1, un de grade 2), infection (un de grade 2), douleur (un de grade 1) et accident ischémique transitoire (un de grade 3). Les résultats de cette étude rétrospective confirment le taux faible de complications lors du retrait du matériel vecteur. Nous envisageons à présent dans le cadre d'une étude prospective et dans le respect du décret no 2016–1672 du 05/12/16, que les manipulateurs en électroradiologie, après une formation, puissent effectuer le retrait de ce matériel. L'évaluation de cette nouvelle étape sera basée sur une analyse clinique du taux de complications et sur des données de « patient-reported outcome ». Cette évolution professionnelle permettra d'enrichir les connaissances et les compétences des manipulateurs en électroradiologie et de favoriser le travail en équipe de l'ensemble des intervenants. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2019
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14. Devenir après irradiation en conditions stéréotaxiques d’adénomes hypophysaires sécrétants et non sécrétants.
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Kinj, R., Doyen, J., Sumodhee, S., Bondiau, P.-Y., and Mondot, L.
- Abstract
Objectif de l’étude Nous présentons les résultats de patients atteints d’un adénome hypophysaire traités par irradiation en conditions stéréotaxiques en situation de récidive après chirurgie ou de première intention. Matériel et méthode Nous avons analysé rétrospectivement les résultats obtenus chez des patients traités en conditions stéréotaxiques par CyberKnife ® entre 2007 et 2014 pour des adénomes hypophysaires, sécrétants ou non. Résultats Nous avons identifié 26 patients. L’âge médian au moment de l’irradiation en conditions stéréotaxiques était de 65,3 ans (extrêmes : 19–87 ans), 57,7 % des patients étaient des femmes. Toutes les lésions hypophysaires sauf une étaient des macroadénomes hypophysaires (de taille supérieure ou égale à 10 mm). Seize lésions étaient sécrétantes (sept sécrétions somatotropes, quatre corticotropes, trois prolactinotropes et deux gonadotropes). Vingt-deux patients avaient préalablement été opérés de leur adénome hypophysaire, avec un temps écoulé médian jusqu’à l’irradiation de 67,7 mois (extrêmes : 5,7–156,0 mois). Quatre patients ont reçu un traitement stéréotaxique en première intention. La dose physique médiane de prescription était de 35 Gy (extrêmes : 18–35 Gy) en cinq fractions (extrêmes : 3–5) sur l’isodose 80 % (extrêmes : 70–80 %). Un nombre moyen de 117 faisceaux de traitements a été délivré lors de l’irradiation. L’étalement médian du traitement était de 7 jours (extrêmes : 5–9 j). À 6 mois après la radiothérapie, 92,3 % des patients étaient en situation de stabilité lésionnelle ( n = 24) et 7,6 % de réponse partielle ( n = 2). Le suivi médian après irradiation était de 26,0 mois (extrêmes : 2–87 mois). Aux dernières nouvelles, 80,8 % des lésions étaient stables ( n = 21) et 19,2 % avaient régressé en taille ( n = 5), aucune lésion n’avait progressé à l’imagerie. Six des sept patients atteints d’adénome somatotropes ont retrouvé des dosages d’ insulin-like growth factor 1 (IGF1) dans les normes avec un délai moyen de 23,21 mois. Conclusion Dans notre série, un traitement par irradiation en conditions stéréotaxiques des adénomes hypophysaires permet un excellent contrôle radiologique des lésions. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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15. Utilisation des médecines alternatives et complémentaires en radiothérapie : étude prospective.
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-
Arsène-Henry, A., Dousset, L., Sumodhee, S., Haaser, T., Renaud, T., Vendrely, V., and Dupin, C.
- Abstract
Objectif de l’étude Les médecines alternatives et complémentaires sont définies comme toute substance ou technique de médecine non allopathique utilisée pour améliorer la santé et la qualité de vie. L’objectif de cette étude observationnelle prospective était d’évaluer l’utilisation des médecines alternatives et complémentaires en cours de radiothérapie. Matériel et méthode Un questionnaire était remis la dernière semaine de traitement à tous les patients traités pour un cancer du sein, de la prostate ou de la sphère ORL dans notre centre en 2016. Les 16 questions évaluaient le patient, son utilisation des médecines alternatives et complémentaires, ce qu’il en attendait et le besoin d’information sur ces médecines alternatives et complémentaires. Résultats De février à avril 2016, 43 patients ont été inclus. Vingt-deux patients (51 %) ont utilisé une médecine alternative et complémentaire en cours de radiothérapie, davantage des femmes (81 %) que des hommes (33 %) ( p = 0,002). L’utilisation des médecines alternatives et complémentaires variait selon les localisations traitées : 12/23 cancers ORL, 7/9 cancers du sein et 3/8 cancers de la prostate. Cependant, ce n’était pas globalement différent statistiquement ( p = 0,07). Les recours à des coupeurs de feu (55 %), à l’homéopathie (36 %) et aux magnétiseurs (23 %) étaient les plus utilisés. La diminution des effets indésirables des traitements anticancéreux (68 % des patients) notamment cutanés et muqueux et le bien-être (36 %) étaient les objectifs principaux de ces médecines alternatives et complémentaires. Les patients attribuaient une note de satisfaction moyenne de 7,95 sur 10 aux médecines alternatives et complémentaires. Lors du traitement, 10 % ont dépensé plus de 100 euros pour les médecines alternatives et complémentaires. Soixante-dix neuf pour cent des patients conseilleraient à leur proche d’avoir recours à une médecine alternative et complémentaire et 92 % souhaiteraient avoir une information à propos de ces médecines alternatives et complémentaires à l’hôpital. Conclusion Dans notre étude, la moitié des patients ont eu recours à une médecine alternative et complémentaire, davantage les femmes que les hommes. Plus de 90 % des patients souhaiteraient être informés sur les médecines alternatives et complémentaires à l’hôpital. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
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16. Traitement des adénomes hypophysaires par radiothérapie stéréotaxique : un protocole alternatif de traitement d'irradiation par CyberKnife® de 35 Gy en cinq fractions.
- Author
-
Atallah, V., Kinj, R., Claren, A., Sumodhee, S., Anaïs, G., Gillon, P., Schiappa, R., Sicurani, J., Romain, N., Doyen, J., Hannoun-Lévi, J.-M., and Bondiau, P.-Y.
- Abstract
Le traitement optimal par irradiation des adénomes hypophysaires reste controversé en dépit de la place de plus en plus importante prise par les techniques de radiothérapie stéréotaxique. L'objectif de l'étude était d'évaluer l'efficacité et la tolérance d'un protocole alternatif d'irradiation par CyberKnife® de 35 Gy en cinq fractions. De juin 2007 à mars 2017, 29 patients ont été pris en charge pour un adénome hypophysaire avec ce protocole. La dose prescrite était de 35 en cinq fractions et l'isodose variait de 78 % à 82 %. Une surveillance clinique, radiologique et biologique annuelle a été réalisée après l'irradiation. L'âge moyen des patients était de 54 ans (extrêmes : 23–86 ans). Vingt-quatre patients (soit 82 %) ont été traités après une chirurgie initiale (12 irradiations adjuvantes, 12 pour récidive). Dix-sept patients (soit 59 %) étaient atteints d'un adénome hypophysaire sécrétant. Le volume tumoral moyen était de 4,24 cm3 (extrêmes : 0,5–64,83 cm3). La période médiane de suivi était de 43 mois (extrêmes : 12–121 mois). Une seule récidive a été observée chez un patient 73 mois après le traitement. Quatorze patients (soit 48 %) étaient en situation de réponse objective et 14 (48 %) de stabilisation radiologique. Une normalisation hormonale a été observée dans 7 cas sur 17 (soit 41 %) chez les patients atteints d'un adénome hypophysaire sécrétant. Un hypopituitarisme lié à la radiothérapie a été observé chez cinq patients. La dose maximale moyenne dans le chiasma était de 20,805 Gy (extrêmes : 9,640–32,640 Gy). Une toxicité visuelle de grade 4 (cécité unilatérale) a été observée. Pour ce patient, la dose maximale dans le chiasma était de 32,640 Gy et le volume de chiasma recevant plus de 24 Gy était de 0,094 cm3. Aucun autre trouble visuel n'a été observé chez les autres patients. L'irradiation stéréotaxique par CyberKnife® dose de 35 Gy en cinq fractions permet un excellent taux de contrôle local et un taux de normalisation hormonal prometteur. Néanmoins, la dose dans les voies optiques doit être contrôlée rigoureusement afin de réduire les risques visuels. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2019
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17. Uni or bilateral Irradiation in Cervical Lymph Node Metastases of Unknown Primary?
- Author
-
Thariat, J.O., Troussier, I., Sun, X.S., Salleron, J., Petit, C., Pflumio, C., Arnaud, B., Stephanie, S.V., Castelli, J., Miroir, J., Krengli, M., Giraud, P., Khalifa, J., Dore, M., Blanchard, N., Coutte, A., Sumodhee, S., Calugaru, V., TAO, Y., and Dupin, C.
- Published
- 2018
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18. Irradiation uni- ou bilatérale des métastases ganglionnaires cervicales de cancer primitif inconnu ?
- Author
-
Troussier, I., Pflumio, C., Sun, X.S., Salleron, J., Petit, C., Caubet, M., Beddock, A., Calugaru, V., Servagi Vernat, S., Castelli, J., Miroir, J., Giraud, P., Khalifa, J., Doré, M., Blanchard, N., Coutte, A., Dupin, C., Sumodhee, S., Rehailia-Blanchard, A., and Catteau, L.
- Abstract
Objectif de l’étude Les adénopathies cervicales du carcinome primaire inconnu divisent la communauté médicale entre ceux qui favorisent l’irradiation élective unilatérale et ceux qui préconisent l’irradiation bilatérale du cou. Nous voulions évaluer les contrôles locaux et régionaux et la toxicité après irradiation cervicale bilatérale ou unilatérale. Matériel et méthode Il s’agit d’une étude de cohorte multicentrique rétrospective. Les patients atteints de carcinome primaire inconnu sans métastases distantes traités par une irradiation externe entre 2000 et 2015 ont été inclus. Les patients ont fait l’objet d’un suivi régulier. Résultats Sur les 350 patients de 20 centres sélectionnés, 39 (11,5 %) étaient atteints d’un cancer de stade N1, 70 (20,7 %) N2a, 117 (34,5 %) N2b, 24 (7,1 %) N2c et 89 (26,3 %) N3, 222 (70,9 %) d’un ou de plusieurs ganglion(s) en rupture capsulaire, 259 (74,4 %) patients ont eu un curage cervical, 350 (100 %) une irradiation cervicale, dont 61 (17,4 %) unilatérale et 304 (87,6 %) une irradiation des muqueuses. Trente-quatre (9,8 %) et 217 (62,2 %) patients ont été pris en charge par chimiothérapie respectivement néoadjuvante et concomitante. Le suivi médian était de 37 mois (Écart interquartile : 24 ; 63). Sur 3 ans, les taux de rechute locale, régionale et locorégionale étaient respectivement de 5,6 % [3,0–8,1], 11,7 % [8,1–15,2] et 15,0 % [10,9–18,8]. Les probabilités de survie globale sur trois ans et de survie spécifique étaient respectivement de 80,6 % [75,5–84,8] et 84,7 % [80,6–89,1]. Dans l’analyse multifactorielle, 1) l’irradiation des muqueuses était le seul facteur pronostique associé à un meilleur taux de contrôle local ; 2) la dissection du cou, le stade ≥ N2b et l’interruption de la radiothérapie de ≥ 4 jours étaient associés à un moins bon taux de contrôle régional ; et 3), la TEP-scanographie, le plus grand diamètre N, le stade ≥ N2b, l’interruption de la radiothérapie et la chimiothérapie néoadjuvante ont été associés à une survie spécifique plus courte. Conclusion L’irradiation bilatérale semble être plus efficace sur le contrôle des tumeurs mais notre étude manque de puissance. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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19. Radiothérapie en conditions stéréotaxiques des cancers bronchopulmonaires - Détermination de facteurs prédictifs d’amélioration de plans d’arcthérapie volumétrique modulée (VMAT).
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Adgie, S., Benech, J., Bailly, L., Proust, F., Coulibaly, S., Sarrade, C., Vendrely, V., Trouette, R., Sumodhee, S., and Fougerouse, P.-A.
- Abstract
Objectif de l’étude Au CHU de Bordeaux, les cancers bronchopulmonaires peu évolués sont pris en charge par radiothérapie en conditions stéréotaxiques conformationelle tridimensionnelle. Cette technique ne permet pas toujours de délivrer une biological effective dose (BED) supérieure à 100 Gy. L’objectif de cette étude était de déterminer, pour les patients dont la couverture du volume cible a été « dégradée » en radiothérapie en conditions stéréotaxiques conformationelle tridimensionnelle (BED < 100 Gy), s’il aurait été possible de délivrer une BED supérieure à 100 Gy en arcthérapie dynamique avec modulation d’intensité (VMAT). L’objectif secondaire était de rechercher des facteurs prédictifs d’amélioration du plan avec la VMAT. Matériel et méthode Pour chacun des dossiers de patients atteints de tumeur bronchopulmonaire non centrale pris en charge par radiothérapie en conditions stéréotaxiques, conformationelle, tridimensionnelle au CHU de Bordeaux entre avril 2012 et juin 2016, la BED a été calculée. Une nouvelle planification en VMAT a été réalisée pour les traitements dont la couverture était « dégradée ». Un plan de traitement a été considéré comme « amélioré » avec la VMAT si la couverture était respectée (BED > 100 Gy) et les contraintes aux organes à risque satisfaites. Pour répondre à l’objectif secondaire, plusieurs caractéristiques ont été étudiées chez les patients pour lesquels la VMAT permettait une amélioration du plan de traitement : la BED de la radiothérapie en conditions stéréotaxiques conformationelle tridimensionnelle initiale, le lobe pulmonaire et la topographie de la tumeur, un antécédent de radiothérapie et la valeur du volume cible prévisionnel. Résultats Sur 251 traitements de tumeurs non centrales réalisés au CHU de Bordeaux entre avril 2012 et juin 2016, 42 patients ont reçu une dose dégradée et les traitements ont donc été replanifiés en VMAT. Vingt dossiers ont pu être améliorés. La localisation apicale du volume cible et une BED du plan de radiothérapie en conditions stéréotaxiques conformationelle tridimensionnelle initiale supérieure à 75 Gy semblaient être des facteurs prédictifs significatifs d’amélioration du plan de traitement avec la VMAT. Conclusion En routine clinique, ces résultats peuvent s’avérer être des outils d’aide à la décision face à un traitement sous optimal en radiothérapie en conditions stéréotaxiques conformationelle tridimensionnelle afin d’améliorer la prise en charge des patients. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2017
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20. Enquête sur l'acceptation d'une consultation avec un manipulateur en électroradiologie en remplacement d'une consultation avec médecin en cours et en fin de radiothérapie.
- Author
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Carenco, J., Sparfel, B., Cippolini, S., Lam Cham Kee, D., Sumodhee, S., Doyen, J., Chand, M.-È., and Hannoun-Lévi, J.-M.
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Les consultations de surveillance en cours de radiothérapie prennent souvent du temps mais restent un outil indispensable à la qualité et à la sûreté des soins. Nous avons évalué l'adhésion des patients à la proposition de consultations menées par un manipulateur en électroradiologie en cours et fin de radiothérapie. Un questionnaire (huit questions) a été remis à des patientes en cours d'irradiation pour un cancer du sein sans chimiothérapie. Le questionnaire a évalué l'acceptabiltié des patientes à cette consultation avec un manipulateur en électroradiologie en cours et à la fin de la radiothérapie. Une partie des patientes incluses avaient déjà pu bénéficier d'une consultation d'annonce par un manipulateur en électroradiologie, avant la mise en route de l'irradiation. De février à avril 2019 les résultats de 40 questionnaires ont été recueillis. Quatre-vingt-cinq pour cent des patientes interrogées étaient favorables à rencontrer un manipulateur en électroradiologie formé aux consultations de surveillance médicotechnique. Quatre-vingt-treize pour cent acceptaient de voir un manipulateur en électroradiologie pour la consultation de fin de radiothérapie. Les réponses à ces questions étaient similaires que les patientes aient reçu une consultation d'annonce par un manipulateur en électroradiologie avant toute irradiation, ou pas. Les résultats de cette étude montrent que les patients atteintes d'un cancer du sein acceptent le principe d'une consultation de suivi avec un manipulateur en électroradiologie, en cours et à la fin de la radiothérapie. La mise en application de ce projet permettrait de diminuer le temps d'attente des patients en consultation, et de réduire le nombre de consultations médicales. Cette évolution professionnelle permettra d'enrichir les connaissances et les compétences des manipulateurs en électroradiologie et de favoriser le travail en équipe de l'ensemble des intervenants. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2019
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21. Impact du schéma d'irradiation sur la survie des patients atteints de carcinomes bronchiques non à petites cellules et de mélanomes évolués traités par l'association d'irradiation et d'inhibiteurs de checkpoint de l'immunité
- Author
-
Guo, L., Montaudié, H., Bouhlel, L., Picard, A., Otto, J., Falk, A., Poudenx, M., Bondiau, P.-Y., Gal, J., Lacour, J.-P., Passeron, T., Sumodhee, S., and Doyen, J.
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Des données cliniques et précliniques suggèrent un bénéfice de l'association d'irradiation et d'inhibiteurs de checkpoint de l'immunité (de PD1 ou CTLA4). Le meilleur schéma d'irradiation reste à déterminer. Le but de cette étude était d'analyser l'impact de l'irradiation sur la survie des patients pris en charge pour un carcinome bronchique non à petites cellules ou un mélanome évolué. Cinquante-huit patients ont été inclus. Ils étaient traités par inhibiteurs de checkpoint de l'immunité, avec une irradiation au cours du traitement ou à la progression prendant le traitement (à visée abscopale). Outre les facteurs classiques, une analyse de corrélation avec la survie sans progression ou de survie globale a aussi été faite avec les paramètres de radiotérapie suivants : nombre de cibles traitées, nombre d'organes, volume total irradié, dose par séance, dose totale, séquence du traitement par inhibiteurs de checkpoint de l'immunité/radiothérapie, type de cible irradiée, radiothérapie de toutes les cibles ou pas. Trente-sept patients étaient atteints de mélanome, 21 d'un cancer bronchique non à petites cellules ; en tout 119 cibles ont été irradiées, 26 patients ont reçu une radiothérapie concomitante à l' inhibiteurs de checkpoint de l'immunité, 32 à visée abscopale, après progression sous inhibiteurs de checkpoint de l'immunité. Il n'y avait pas de différence de survie sans progression ni de survie globale entre les patients irradiés en même temps ou à visée abscopale. En analyse multifactorielle, les facteurs de meilleure probabilité de survie sans progression étaient : la radiothérapie pulmonaire, l'histologie de mélanome, le statut oligométastatique, le nombre de polynucléaires neutrophiles inférieur à 7000/mm3 et la concentration normale de lactate deshydrogénase (LDH). En analyse multifactorielle, les facteurs indépendants de survie globale étaient l'histologie de mélanome et la concentration normale de LDH. Parmi les patients irradiés au moment de la progression tumorale sous inhibiteurs de checkpoint de l'immunité, le maintien de l'inhibiteur a été possible chez 19 des 32 patients (59,4 %), et ce pendant une moyenne de 70 jours (extrêmes : 0-874 jours). Deux effets abscopaux ont été observés parmi les 21 patients traités "à visée" abscopale (et évaluables dans cette situation). La radiothérapie d'une cible pulmonaire sous inhibiteur de checkpoint de l'immunité pourrait allonger la survie sans progression des patients atteints de cancer bronchique non à petites celllules ou de mélanome. La neutrophilie est confirmée comme facteur défavorable dans cette association. Une irradiation à "visée abscopale" a permis de prolonger la durée de l'inhibiteur de checkpoint de l'immunité chez la plupart des patients. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2019
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22. Intérêt de la définition d’un volume prévisionnel à risque prenant en compte les mouvements respiratoires et le repositionnement du patient dans le traitement des tumeurs pulmonaires en conditions stéréotaxiques.
- Author
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Karahissarlian, V., Trouette, R., Bailly, L., Proust, F., Sumodhee, S., Huchet, A., Kintzinger, C., and Vendrely, V.
- Abstract
Objectif de l’étude Impact dosimétrique de la prise en compte des mouvements des organes à risques liés au repositionnement et à la respiration dans l’irradiation stéréotaxique des tumeurs pulmonaires. Matériel et méthodes Cette analyse rétrospective a inclus sept patients traités par irradiation stéréotaxique pour des tumeurs pulmonaires. Le plan de traitement initial a été réalisé avec délinéation des organes à risque sur la scanographie de référence, sytématiquement avec une marge pour définir un volume cible pévisionnel des organes à risque (PRV) (œsophage : 5 mm ; moelle : 7 mm ; autres organes à risque : 0). Une nouvelle délinéation des organes à risque (moelle, œsophage, cœur et vaisseaux, trachée et bronches souches, plexus brachial) et la définition d’un PRV a été réalisée à partir de la scanographie quadridimensionnelle (phase Maximal Intensity Projection [MIP]), et des scanographies de référence et de repositionnement. Après application du plan de traitement initial sur ces nouveaux contours, les doses maximales (Dmax) par organes à risque ont été calculées et comparées aux Dmax de la dosimétrie initiale et aux contraintes de doses. Résultats Les moyennes de Dmax délivrées à l’œsophage et à la moelle étaient respectivement de 27 Gy et 15 Gy (écart-type : 14,3 et 8,3) sur les contours de référence avec le PRV systématique et de 22 Gy et 9,45 Gy (écart-type : 12 et 6) sur les nouveaux contours (moins 18 % pour l’œsophage et moins 36 % pour la moelle). Les moyennes de Dmax délivrées aux organes à risque avec les nouveaux contours étaient supérieures aux Dmax calculées avec les contours de référence pour l’ensemble des autres organes. La Dmax dépassait les seuils de tolérance respectés dans le plan de traitement initial pour quatre patients, était sous ces seuils pour deux patients. Conclusion La définition d’un PRV pour les organes à risque prenant en compte la respiration et le repositionnement a un impact dosimétrique pouvant modifier le plan de traitement. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2016
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