7 results on '"Technical transfers"'
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2. Le transfert technique et ses avatars : le cas de la Russie
- Author
-
Irina Gouzévitch
- Subjects
17th century ,Russie ,18th century ,Ivan III ,transfert technique ,technical transfers ,Muscovy ,Russia ,sociability networks ,culture impériale ,XVIIe siècle ,XVIIIe siècle ,réseaux de sociablilité ,imperial culture ,Pierre Ier ,Peter I ,Moscovie - Abstract
Ce texte n’est pas un article à proprement parler même s’il en recèle les traits. Il s’agit plutôt d’un survol qui tente de présenter, dans ses plus grandes lignes, une thèse consacrée à la problématique très prenante de la circulation du savoir technique. Les divers aspects de cette problématique font aujourd’hui l’objet d’examens attentifs de la part des historiens de plusieurs disciplines. Ils concernent aussi bien des échanges entre les pays que la mise sur pied des réseaux de circulation embrassant des aires culturelles et géographiques multiples, voire des continents tout entiers. Dans le cas que j’étudie, un exemple concret a été retenu, celui de la Russie moscovite et impériale, et de ses relations techniques complexes avec l’Europe, ceci sur une période longue de trois siècles. Ce regard permet de voir le processus en évolution, des débuts encore timides à une véritable percée cognitive, mais aussi d’en suivre les diverses filières, de la circulation des hommes et des objets techniques à celle, parfois plus sinueuse, des idées et des textes et d’en évaluer l’impact. This text, despite its appearance, is not so much an article as an overview offering a presenta-tion of the broad outlines of a thesis devoted to the question of the circulation of technical knowledge. Different aspects of this question are being addressed today by historians from various disciplines. Their studies are concerned not only with exchanges between nation states but also with the establishment of networks encompassing specific cultural areas and various geographical entities, or even whole continents. In the case studied in my dissertation, I deal with the concrete example of Muscovite and Imperial Russia and its complex technical relations with the rest of Europe over a period of three centuries. This approach allows for an understanding of a process in evolution, from its small beginnings to a real cognitive breakthrough. It also allows for a study of the various means by which technical knowledge circulated: the circulation of men and of technical objects, or, sometimes more sinuous routes such as ideas and texts. The impact of these means of circulation can be evaluated. The author also analyses the difficulties besetting this field of research, and sug-gests some avenues for future research.
- Published
- 2007
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3. Buenos Aires (1880-1960). Transferts techniques et culturels
- Author
-
Thibault Bechini
- Subjects
Kulturtransfer ,transferencia técnica ,Techniktransfer ,cultural transfer ,Traditionelle Regionalarchitektur ,Compromise ,media_common.quotation_subject ,architecture vernaculaire ,transfert inverse ,transferencia inversa ,transfert technique ,transferencia cultural ,technical transfers ,transfert culturel ,trasferimento tecnico ,NA1-9428 ,Appropriation ,gegenläufige Transfer ,haussmannisation ,Excellence ,haussmannization ,haussmanización ,haussmannizzazione ,arquitectura vernacular ,Architecture ,arquitectura vernácula ,Sociology ,media_common ,lcsh:NA1-9428 ,Improvisation ,trasferimento culturale ,Modernity ,Interpretation (philosophy) ,Vernacular ,General Medicine ,trasferimenti inverso ,vernacular architecture ,Haussmannisierung ,inverse transfer ,Economy ,architettura vernacolare ,Law ,inverse transfers ,cultural transfers ,lcsh:Architecture ,technical transfer ,Element (criminal law) - Abstract
À la fin du XIXe siècle, Buenos Aires draine d’importants flux migratoires venus d’Europe. À cette époque, la ville apparaît comme un chantier perpétuel, qui réunit de nombreux architectes, ingénieurs et entrepreneurs nés outre Atlantique. Si Buenos Aires est souvent présentée comme un « Paris austral », du fait de l’haussmannisation de son centre-ville voulue par l’Intendant Torcuato de Alvear dans les années 1880, les formes architecturales de la ville attestent de manière plus large du rôle joué par les transferts techniques et culturels dans la production du bâti. S’intéresser au secteur de la construction porteña permet de saisir à quel point la réception locale des canons européens est sujette à réappropriation ; une tension constante s’établit entre les « modèles » supposés d’urbanisation et leur interprétation argentine. Porter attention à l’évolution des maisons de Buenos Aires, depuis la réinvention du plan de la « maison coloniale » jusqu’à la construction de maisons modernes en banlieue, comme celles dessinées par Walter Gropius, Auguste Perret ou Le Corbusier, rappelle que l’introduction du moindre élément stylistique ou technique est un compromis entre la « modernité européenne » et l’art de construire vernaculaire, même lorsque les professionnels impliqués dans le secteur de la construction sont nés en Europe. Il est ainsi nécessaire de mettre en avant les relations que les architectes et ingénieurs européens entretiennent avec le marché argentin de la construction. Les liens tissés entre la France et l’Argentine dans ce domaine révèlent une multitude de points de contact entre les cercles diplomatiques, financiers et architecturaux. Si le marché argentin de la construction peut apparaître comme une opportunité commerciale pour les entrepreneurs français, les « transferts inverses » qui permettent aux ingénieurs et architectes étrangers de tirer profit de leur expérience argentine dans leurs réalisations postérieures sont à mentionner. Leur voyage sud-américain semble souvent une excellente manière d’améliorer leur condition professionnelle. Il suffit de s’intéresser aux trajectoires suivies par différents architectes et ingénieurs pour s’en convaincre. Le secteur de la construction porteña n’est pas seulement un champ d’application fécond pour les théories architecturales européennes, mais aussi un cas d’école qui enrichit les débats et les échanges entre les professionnels français et argentins. At the end of the ninetenth century, Buenos Aires was an attractive pole for European migrants. In those years, the city appears as a perpetual worksite which gathered many architects, engineers and builders born on the other side of the Atlantic. If Buenos Aires is often called “Southern Paris”—because of the haussmannization process engaged by the mayor Torcuato de Alvear in the 1880s—the architectural forms of the city highlight the role of cultural and technical transfers in the buildings’ design. A close attention to the building process helps us understand how much the local reception of European canons gave way to improvisation and appropriation, underlining the constant tension between a supposed “model” of urbanization and his Argentine interpretation. Paying attention to the evolution of Buenos Aires houses, it can be shown that the introduction of every new stylistic or technical element is a compromise between the “European modernity” and the vernacular building art. Moreover, understanding the connection between the Argentine building market and the European professionals, such as the architects and engineers, seems decisive. Paying particular attention to Franco-Argentine relations in this sector leads one to realize the importance of the networks between diplomatic, financial and architectural circles. If the Argentine building market can appear as a commercial opportunity for French contractors, we have to mention the “inverse transfers” which allow foreign engineers and architects to benefit of their Argentine experience in their posterior projects and realisations. Thus, the building sector of Buenos Aires not only was a fruitful testing ground for European architectural theories, but also is a case par excellence to enrich our understanding of the debates and interchanges of French and Argentine professionals. Buenos Aires zog im ausgehenden 19. Jahrhundert große Migrantenströme aus Europa an. Die Stadt wirkte damals wie eine Dauerbaustelle, auf der sich die Wege zahlreicher Architekten, Ingenieure und Bauunternehmer kreuzten, die jenseits des Atlantiks geboren worden waren. Bueno Aires wird ‒ aufgrund der durch den Intendanten Torcuato de Alvear in den 1880er Jahren forcierten Haussmannisierung des Stadtzentrums ‒ oft als „Paris des Südens“ bezeichnet. Darüber hinaus belegen die Architekturformen der Stadt allgemeiner die Bedeutung technischer und kultureller Transfers für das Bauen. Aus der näheren Beschäftigung mit dem porteña-Bausektor geht hervor, wie stark die Rezeption des europäischen Kanons vor Ort abermals einem Aneignungsprozess unterworfen war und dass zwischen den vermuteten „Vorbildern“ für die Urbanisierung und ihrer argentinischen Auslegung eine permanente Spannung herrschte. Selbst wenn es sich bei den im Bausektor beschäftigten Fachleuten um gebürtige Europäer handelte, zeugt die Entwicklung des Hausbaus in Buenos Aires ‒ von der Neuerfindung des „Kolonialhaus“-Grundrisses bis hin zum Bau moderner Vorstadthäuser, wie sie Walter Gropius, Auguste Perret oder Le Corbusier entwarfen ‒ davon, dass die Einführung noch des geringsten stilistischen oder technischen Elements einen Kompromiss zwischen europäischer Moderne und regionaltypischer Baukunst darstellte.In diesem Zusammenhang kommt den Beziehungen von europäischen Architekten und Ingenieuren zum argentinischen Bausektor notwendigerweise ein besonderes Augenmerk zu. Die Verbindungen, die auf diesem Gebiet zwischen Frankreich und Argentinien entstanden, weisen eine Vielzahl von Kontaktstellen zwischen Diplomatenkreisen, der Finanzwelt und Architekten auf. Über die Feststellung hinaus, dass der argentinische Bausektor französischen Unternehmern neue wirtschaftliche Perspektiven eröffnete, wollen auch die „gegenläufigen Transfers“ erwähnt sein, bei denen ausländische Ingenieure und Architekten ihre Erfahrung aus Argentinien in späteren Projekten gewinnbringend verwerten konnten. Ein Aufenthalt in Südamerika stellte sich für sie oft als eine ausgezeichnete Möglichkeit dar, um ihre berufliche Situation zu verbessern. Ein Blick auf die Werdegänge verschiedener Architekten und Ingenieure bestätigt dies. Der porteña-Bausektor war nicht nur ein fruchtbares Anwendungsgebiet für europäische Architekturtheorien, sondern auch ein Musterfall, der die Auseinandersetzungen und den Austausch zwischen französischen und argentinischen Fachleuten bereicherte. A finales del siglo xix, Buenos Aires absorbe flujos migratorios llegados de Europa. En esa época, la ciudad es un hervidero urbanístico que aglutina a numerosos arquitectos, ingenieros y emprendedores nacidos allende el mar. Si Buenos Aires es presentada a menudo como un « París austral » – debido a la haussmanización del centro de la ciudad promovida por el intendente Torcuato de Alvear en los años 1880 –, sus formas arquitectónicas expresan mejor el papel que juegan las transferencias técnicas y culturales en la producción de edificios. Centrar la atención en la construcción porteña permite aprehender hasta qué punto la asunción local de los cánones europeos implica una reapropiación: se establece una tensión constante entre los supuestos « modelos » de urbanización y su interpretación argentina. La evolución de las casas de Buenos Aires – desde la reinvención del plano de la « casa colonial » hasta la construcción de casas modernas en los extrarradios, como las que conciben Walter Gropius, Auguste Perret o Le Corbusier – muestra que la introducción del menor elemento estilístico o técnico es un compromiso entre la « modernidad europea » y el arte vernáculo, incluso cuando los profesionales implicados en el sector de la construcción son oriundos de Europa. Es necesario resaltar las relaciones que arquitectos e ingenieros europeos mantienen con el mercado argentino de la construcción. Las relaciones entre Francia y Argentina en este ámbito desvelan numerosos puntos de contacto entre círculos de diplomáticos, financieros y arquitectos. Y si el mercado argentino de la construcción puede parecer una oportunidad comercial a los ojos de los emprendedores franceses, tampoco dejaremos de mencionar las « transferencias inversas » que permiten a los ingenieros y arquitectos extranjeros sacar partido de su experiencia argentina para sus obras posteriores. A menudo su viaje sudamericano parece una excelente manera de mejorar su condición profesional. Basta con fijarse en la carrera profesional de varios arquitectos e ingenieros para convencerse de ello. El sector de la construcción porteña no es sólo un ámbito de aplicación fecundo para las teorías arquitectónicas europeas sino también un caso de escuela enriquecedor de los intercambios entre profesionales franceses y argentinos. Alla fine del xix secolo, Buenos Aires è il punto di passaggio di importanti flussi migratori provenienti dall’Europa. In questo periodo la città ha l’aspetto di un eterno cantiere che ospita numerosi architetti, ingegneri e imprenditori nati oltreatlantico. Buenos Aires è spesso presentata come una «Parigi australe» – a causa dell’haussmannizzazione del centro città voluta dall’Intendente Torcuato de Alvear intorno al 1880 – e le forme architettoniche della città sono la testimonianza del ruolo svolto dai transfert tecnici e culturali nella produzione edilizia. Interessarsi al settore della costruzione porteña permette di capire come la percezione locale dei canoni europei sia in realtà una vera riappropriazione: un filo conduttore costante si crea tra i presunti «modelli» di urbanizzazione e la loro interpretazione argentina. Osservando l’evoluzione delle abitazioni di Buenos Aires – dalla reinvenzione del progetto della « casa coloniale » fino alla costruzione di case moderne di periferia, come quelle disegnate da Walter Gropius, Auguste Perret o Le Corbusier – si può notare come l’introduzione del pur minimo elemento stilistico o tecnico sia un compromesso tra la « modernità europea » e l’arte edilizia vernacolare, anche quando i professionisti del settore della costruzione coinvolti hanno origini europee. È necessario prendere in considerazione le relazioni che gli architetti e gli ingegneri europei mantengono con il mercato argentino della costruzione. I legami creati tra Francia e Argentina in quest’ambito mostrano una moltitudine di punti di contatto tra gli ambienti diplomatici, finanziari ed architettonici. Il mercato argentino della costruzione è un’opportunità commerciale per gli imprenditori francesi, ma non si devono dimenticare i « transfert inversi » che consentono agli ingegneri stranieri di trarre profitto dalla propria esperienza argentina al momento delle loro realizzazioni successive. Il loro viaggio sudamericano si rivela spesso un ottimo modo di migliorare la propria situazione professionale. Basta soffermarsi sui percorsi professionali di diversi architetti e ingegneri per convincersene. Il settore della costruzione porteña non è solo un campo d’applicazione fecondo per le teorie architettoniche europee, ma è anche un esempio tipico, fonte di dibattiti e scambi tra professionisti francesi e argentini.
- Published
- 2015
4. Étrangers et transferts techniques au Maroc à l’époque moderne
- Author
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Leila Maziane
- Subjects
Maghreb ,migrations ,ports ,General Medicine ,privateering ,technical transfers ,European ,migration ,Européens ,Maroc ,Levantine people ,Morocco ,guerre de course ,transferts techniques ,Levantins - Abstract
Cette étude examine comment les xvie et xviie siècles furent une des périodes majeures en matière de transferts culturels et techniques de l’Europe et de l’Empire ottoman vers le Maghreb et vers le Maroc en particulier. Les auteurs de ces transferts, dont certains hautement qualifiés, s’y déplacent pour combler un manque, un besoin introduisant ainsi savoir-faire et nouvelles techniques liées à la construction navale et à la navigation. Leur apport est également important dans le domaine militaire. Cette mobilité, dictée par les opportunités offertes sur place, s’est accompagnée chez certains par le changement de leur identité religieuse. This papers shows how the sixteenth and seventeenth centuries were major times on cultural and technological transfers from Europe and the Ottoman Empire, to Maghreb and then to Morocco in particular. The authors of this transfer, including some highly skilled ones, moved there to fill a gap and introduced there their know-how and new techniques related to shipbuilding and navigation. Their input was important in the military as well. This mobility, guided by the opportunities, was accompanied in a few instances by a change of their religious identity.
- Published
- 2013
5. Des migrants d’origine méditerranéenne dans le Bassin parisien au Néolithique ancien : technologie et morphologie de l’industrie osseuse
- Author
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Sidéra, Isabelle, Jabbour-Savalle, Delphine, Barthelemy de Saizieu, Blanche, and Sidéra, Isabelle
- Subjects
[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,Villeneuve-Saint-Germain Culture ,Cardial ,Prehistory ,Technical transfers ,Neolithic ,Bone industry ,Linear Pottery Culture ,NeolithicTechnology - Abstract
This article follows two publications highlighting the role of the bone industry in the relations between the Danube cultures in the Paris Basin—the Linear Pottery Culture (LBK) and the Villeneuve-Saint-Germain (end of VIth/beginning of Vth mill. BC)—and the Mediterranean cultures—Cardial/Epicardial (VIth mill. upto the beginning of the Vth mill. BC). The novelties detected within this industry in upper Alsace and the Paris Basin as compared with the familiar LBK industry in the region between Bad-Wurtemberg and the Paris Basin had then been interpreted as resulting from a cultural syncretism with the Cardial tradition (Cardial or Epicardial) originating in the Mediterranean (Sidéra 2008, 2010).
- Published
- 2010
6. En traversant la mer Egée au Néolithique.: Traditions et innovations techniques au travers des assemblages osseux (Interactions)
- Author
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Sidéra, Isabelle, Archéologies et Sciences de l'Antiquité (ArScAn), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris Nanterre (UPN)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis (UP8)-Université Paris Nanterre (UPN)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Subjects
Bone tools and jewelry ,Europe ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,outils et parure en matière osseuse ,Near-East ,Neolithic ,technical transfers ,Neolithique ,Proche-orient ,transferts techniques - Abstract
http://www.mae.u-paris10.fr/arscan/Cahiers/FMPro?-db=cahiers.fp5&-format=detailfasc.htm&-lay=cahiers&Theme=Th%e8me%203*&-recid=32949&-find=; Dans le cadre de la diffusion du Néolithique depuis la sphère proche-orientale vers l'Europe, quelques éléments de réflexion sur les innovations des outillages osseux seront proposés ici. Les industries osseuses bulgares se prêtent bien à cet exercice car l'une d'elles au moins, celle de Kovacevo, qui comprend pour l'instant un ensemble de 883 pièces étudiées (Sidéra 1994, 1998 & 1999), se situe au tout début du processus de néolithisation européenne (Demoule & Lichardus-Itten 1994). A l'autre bout, les assemblages osseux des dernières étapes de la néolithisation, soit des dernières étapes de la Céramique Linéaire (Rubané) et du Cardial (Sidéra 2000, Sénépart 1992), pourront être mises en regard. Cette confrontation permettra de prendre la mesure de la distance opérée entre l'industrie du début et de la fin du processus de néolithisation, de mesurer une nouvelle fois la part des traditions de celle des innovations à partir d'un nouveau point de départ.
- Published
- 2001
7. Immigrants of Mediterranean origin in the Paris Basin in the Early Neolithic: technology and morphology of bone industries.
- Author
-
SidÉra, Isabelle, Jabbour-Savalle, Delphine, and de Saizieu, Blanche Barthélemy
- Subjects
- *
BANDKERAMIK culture , *NEOLITHIC Period , *ANTIQUITIES - Abstract
This article follows two publications highlighting the role of the bone industry in the relations between the Danube cultures in the Paris Basin - the Linear Pottery Culture (LBK) and the Villeneuve-Saint-Germain (end of VIth/beginning of Vth mill. BC) - and the Mediterranean cultures - Cardial/Epicardial (VIth mill. upto the beginning of the Vth mill. BC). The novelties detected within this industry in upper Alsace and the Paris Basin as compared with the familiar LBK industry in the region between Bad-Wurtemberg and the Paris Basin had then been interpreted as resulting from a cultural syncretism with the Cardial tradition (Cardial or Epicardial) originating in the Mediterranean (Sidéra 2008, 2010). [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2010
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