26 results on '"Abouelfath A"'
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2. An Easy to Use Method to Approximate Poisson Confidence Limits
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Bégaud, Bernard, Martin, Karin, Abouelfath, Abdelilah, Tubert-Bitter, Pascale, Moore, Nicholas, and Moride, Yola
- Published
- 2005
3. Intra-database validation of case-identifying algorithms using reconstituted electronic health records from healthcare claims data
- Author
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Marine Gross-Goupil, Abdelilah Abouelfath, Elisabeth Maillart, Mathieu Roumiguié, N. Thurin, Emmanuelle Bignon, Céline Louapre, Pauline Diez, Francis Guillemin, Patrick Blin, Pauline Bosco-Lévy, Stéphanie Lamarque, Magali Rouyer, Cécile Droz-Perroteau, Olivier Heinzlef, Sylvestre Le Moulec, Jérémy Jové, Régis Lassalle, Michel Soulié, Nicholas Moore, Bruno Brochet, Séverine Lignot, Marc Debouverie, Université de Bordeaux (UB), Bordeaux population health (BPH), Université de Bordeaux (UB)-Institut de Santé Publique, d'Épidémiologie et de Développement (ISPED)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Hôpital Saint-André, Hôpital de Rangueil, CHU Toulouse [Toulouse], Clinique Marzet [Pau], Adaptation, mesure et évaluation en santé. Approches interdisciplinaires (APEMAC), Université de Lorraine (UL), Service de neurologie [CHRU Nancy], Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy (CHRU Nancy), INSERM, Neurocentre Magendie, U1215, Physiopathologie de la Plasticité Neuronale, F-33000 Bordeaux, France, CHU Bordeaux [Bordeaux], Centre d'investigation clinique [Nancy] (CIC), Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy (CHRU Nancy)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université de Lorraine (UL), Institut du Cerveau et de la Moëlle Epinière = Brain and Spine Institute (ICM), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Service de Neurologie [CHU Pitié-Salpêtrière], IFR70-CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP), centre hospitalier intercommunal de Poissy/Saint-Germain-en-Laye - CHIPS [Poissy], Gestionnaire, Hal Sorbonne Université, Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse), Neurocentre Magendie : Physiopathologie de la Plasticité Neuronale (U1215 Inserm - UB), Université de Bordeaux (UB)-Institut François Magendie-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Institut du Cerveau = Paris Brain Institute (ICM), Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Sorbonne Université (SU)-Sorbonne Université (SU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Centre hospitalier intercommunal de Poissy/Saint-Germain-en-Laye - CHIPS [Poissy], Université de Lorraine (UL)-Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy (CHRU Nancy)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), and Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Sorbonne Université (SU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
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Male ,Positive predictive value ,Medicine (General) ,Validation study ,Databases, Factual ,genetic structures ,Epidemiology ,Computer science ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,Reconstituted electronic health record ,Health Informatics ,030204 cardiovascular system & hematology ,Health records ,Negative predictive value ,Multiple sclerosis ,03 medical and health sciences ,External data ,R5-920 ,0302 clinical medicine ,Drug dispensing ,Claims data ,Health care ,Electronic Health Records ,Humans ,030212 general & internal medicine ,business.industry ,Prostate Cancer ,Case-identifying algorithm ,Predictive value ,3. Good health ,[SDV] Life Sciences [q-bio] ,Identification (information) ,Neoplasm Recurrence, Local ,business ,Delivery of Health Care ,Algorithm ,Algorithms ,Claims database ,Research Article - Abstract
Background Diagnosis performances of case-identifying algorithms developed in healthcare database are usually assessed by comparing identified cases with an external data source. When this is not feasible, intra-database validation can present an appropriate alternative. Objectives To illustrate through two practical examples how to perform intra-database validations of case-identifying algorithms using reconstituted Electronic Health Records (rEHRs). Methods Patients with 1) multiple sclerosis (MS) relapses and 2) metastatic castration-resistant prostate cancer (mCRPC) were identified in the French nationwide healthcare database (SNDS) using two case-identifying algorithms. A validation study was then conducted to estimate diagnostic performances of these algorithms through the calculation of their positive predictive value (PPV) and negative predictive value (NPV). To that end, anonymized rEHRs were generated based on the overall information captured in the SNDS over time (e.g. procedure, hospital stays, drug dispensing, medical visits) for a random selection of patients identified as cases or non-cases according to the predefined algorithms. For each disease, an independent validation committee reviewed the rEHRs of 100 cases and 100 non-cases in order to adjudicate on the status of the selected patients (true case/ true non-case), blinded with respect to the result of the corresponding algorithm. Results Algorithm for relapses identification in MS showed a 95% PPV and 100% NPV. Algorithm for mCRPC identification showed a 97% PPV and 99% NPV. Conclusion The use of rEHRs to conduct an intra-database validation appears to be a valuable tool to estimate the performances of a case-identifying algorithm and assess its validity, in the absence of alternative.
- Published
- 2021
4. Efficacité en vie réelle de diméthylfumarate dans la sclérose en plaques : cohorte à partir des données du Système national des données de santé
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Cécile Droz-Perroteau, Francis Guillemin, P. Diez-Andreu, Régis Lassalle, S. Lignot-Maleyran, Nicholas Moore, Pauline Bosco-Lévy, Marc Debouverie, Patrick Blin, Abdelilah Abouelfath, and Bruno Brochet
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Introduction Dans le cadre de la reinscription a cinq ans du dimethylfumarate (Tecfidera®) par la Haute Autorite de sante en 2020, une etude de cohorte a ete menee dans le Systeme national des donnees de sante (SNDS). Objectifs Evaluer l’efficacite en vie reelle de dimethylfumarate dans la sclerose en plaques (SEP) comparativement aux autres traitements oraux (teriflunomide, fingolimod), et aux traitements immunomodulateurs injectables (IID). Methode Cohorte de patients identifies dans le SNDS avec un premier traitement de SEP (patients naifs) entre le 01/07/15 et le 31/12/16, un historique de 4,5 annees, et suivis jusqu’au 31/12/17. Le nombre annuel de poussees a ete compare entre deux traitements durant la periode d’exposition pour des patients apparies 1 :1 sur un score de propension a haute dimension, avec un modele de regression binomiale negative et un resultat exprime en risque relatif (RR [IC95 %]). Resultats Sur 1,5 ans, 5812 patients naifs ont ete identifies en France, 1930 initiant le teriflunomide (33,2 %), 1800 un IID (31,0 %), 1775 le dimethylfumarate (30,6 %) et 307 le fingolimod (5,3 %). Pour les 940 patients dimethylfumarate apparies a 940 patients teriflunomide, le nombre moyen annuel de poussees etait de 0,14 versus 0,17 (RR = 0,79 [0,63–1,00], p = 0,0457), et pour les 1019 patients dimethylfumarate apparies a 1019 patients IID, de 0,14 versus 0,18 (RR = 0,71 [0,56–0,90], p = 0,0051). Discussion Les poussees ont ete identifiees avec un algorithme complexe base sur des episodes de soins (hospitalisation et forte dose de corticotherapie) qui a fait l’objet d’une validation par des cliniciens en aveugle de l’algorithme, avec une valeur predictive negative de 100 % et positive de 95,2 %. Le faible nombre de patients fingolimod et leurs caracteristiques n’ont pas permis d’effectuer de comparaison. Conclusion Cette etude en pratique courante a montre un risque de poussees significativement plus faible avec le dimethylfumarate que le teriflunomide et les IID pour des patients partageant les memes caracteristiques.
- Published
- 2020
5. Comparaison du bénéfice-risque à trois ans du dabigatran versus rivaroxaban, en fonction de la dose standard ou réduite, dans la fibrillation auriculaire non-valvulaire, cohorte ENGEL 2 à partir des données du Système national des données de santé avec appariement sur un score de propension haute dimension
- Author
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Nicholas Moore, Cécile Droz-Perroteau, Patrick Blin, Yves Cottin, Régis Lassalle, Jacques Benichou, Caroline Dureau-Pournin, Abdelilah Abouelfath, A. Balestra, E. Guiard, G. de Pouvourville, and Patrick Mismetti
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Introduction Le dabigatran et le rivaroxaban ont montre un meilleur rapport benefice-risque compare aux antivitamines K pour la prevention des accidents vasculaires cerebraux (AVC) dans la fibrillation auriculaire non-valvulaire (FANV), mais aucun essai clinique randomise n’a compare le dabigatran au rivaroxaban. Nos precedentes analyses et d’autres etudes en vie reelle ont montre des resultats similaires ou meilleurs avec le dabigatran quelle que soit la dose a un ou deux ans de suivi. Objectif Comparer le risque en vie reelle a trois ans des evenements hemorragiques, AVC et embolies systemiques (AVC-ES), syndromes coronariens aigus (SCA) et deces chez les patients initiant un traitement par dabigatran ou rivaroxaban a dose standard ou reduite pour une FANV : dabigatran 150 mg versus rivaroxaban 20 mg, et dabigatran 110 mg versus rivaroxaban 15 mg. Methode Cohorte de patients initiant un traitement par dabigatran ou rivaroxaban en 2013 pour une FANV, sans antecedent de traitement anticoagulant dans les trois ans, identifies et suivis pendant trois ans dans le SNDS. La FANV etait definie par un diagnostic de FA sans antecedent de pathologie valvulaire (ALD, hospitalisation ou procedure). Pour chaque comparaison, les patients ont ete apparies 1 :1 sur sexe, âge, date de premiere delivrance d’anticoagulant et score de propension haute dimension (hdPS) incluant les facteurs de risque arteriel thrombotique et hemorragique. Les hazard ratios (HR [IC95 %]) ont ete estimes pendant l’exposition au traitement par un modele de Cox pour le deces et le critere composite des quatre evenements, ou de Fine and Gray pour les autres evenements cliniques etudies, definis par un diagnostic principal d’hospitalisation. Resultats En 2013, 56 403 patients initiant un traitement par dabigatran ou rivaroxaban pour FANV ont ete identifies : 10 847 traites par dabigatran 150 mg, 15 532 par dabigatran 110 mg, 18 829 par rivaroxaban 20 mg et 11 195 par rivaroxaban 15 mg. Parmi eux, 8195 patients par groupe ont ete apparies pour la dose standard (76 % des patients dabigatran 150 mg) et 7651 pour la dose reduite (68 % des patients rivaroxaban 15 mg), avec une tres bonne comparabilite (differences standardisees Conclusion Cette etude de cohorte nationale en vie reelle de patients initiant un traitement par dabigatran ou rivaroxaban pour une FANV et suivis trois ans confirme les resultats a deux ans et ceux d’autres etudes observationnelles, avec une efficacite similaire ou meilleure du dabigatran a dose standard ou reduite compare au rivaroxaban et un risque d’hemorragie plus faible.
- Published
- 2020
6. Validation d’un algorithme complexe d’identification de poussées dans la sclérose en plaque à partir du Système national des données de santé
- Author
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Cécile Droz-Perroteau, Abdelilah Abouelfath, E. Maillart, P. Diez-Andreu, Olivier Heinzlef, Régis Lassalle, S. Lignot-Maleyran, Céline Louapre, Patrick Blin, Nicholas Moore, Bruno Brochet, Marc Debouverie, and Pauline Bosco-Lévy
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Introduction L’absence de marqueur direct de poussees de Sclerose en plaques (SEP) dans le Systeme national des donnees de sante (SNDS) necessite le developpement d’algorithme complexe base essentiellement sur les hospitalisations et les episodes therapeutiques de forte dose de corticotherapie. Objectifs Evaluer la valeur predictive positive et negative (VPP et VPN) d’un algorithme complexe developpe pour identifier les poussees de SEP dans le SNDS comparativement au jugement de quatre experts neurologues. Methode Un tirage au sort a ete realise parmi les patients traites pour une SEP pour en selectionner 100 avec au moins une poussee d’apres l’algorithme et 100 patients sans poussee durant un suivi de 1 a 1,5 ans. L’ensemble des donnees de consommations de soins et d’hospitalisation de chaque patient a ete revu independamment par deux neurologues en aveugle de l’algorithme. Les cas discordants entre deux neurologues etaient revus collegialement afin d’obtenir un consensus. Resultats Parmi les 37 986 patients traites pour SEP identifies dans le SNDS entre juillet 2015 et decembre 2016, 9,6 % ont presente au moins une poussee d’apres l’algorithme. Parmi les patients selectionnes, les neurologues en ont confirme 95 avec poussee(s) et 96 sans poussee, soit une VPP de 95 % et une VPN de 96 %. Apres ajustement de l’algorithme en fonction des conclusions des neurologues, la VPP et la VPN etaient respectivement de 95,2 % et 100 %. Discussion La richesse des donnees du SNDS permet une vue holistique du patient dans l’ensemble du systeme de prise en charge, et rend possible la definition d’algorithmes de detection d’evenements complexes comme les poussees de SEP, mais aussi d’etudes de validation de ces algorithmes via la reconstitution de quasi-dossiers medicaux 100 % anonymises, permettant ensuite d’ajuster ces algorithmes afin d’ameliorer leur performance. Conclusion Les resultats montrent que l’algorithme presente permet une tres bonne identification des poussees de SEP dans le SNDS et pourra etre utilise pour de futures etudes observationnelles sur la SEP.
- Published
- 2020
7. Bénéfice-risque des doses standard et réduite du dabigatran versus rivaroxaban dans la fibrillation auriculaire non valvulaire : cohorte de plus de 55 000 patients issus du Système national des données de santé
- Author
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Caroline Dureau-Pournin, Yves Cottin, Régis Lassalle, Abdelilah Abouelfath, Patrick Mismetti, Patrick Blin, Jacques Benichou, Cécile Droz-Perroteau, and G. de Pouvourville
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Introduction Comparer les risques a deux ans des hemorragies, accidents vasculaires cerebraux et embolies systemiques (AVC-ES), syndromes coronaires aigus (SCA) et deces chez les patients initiant un traitement par dabigatran (D) ou rivaroxaban (R) a dose standard ou reduite pour fibrillation auriculaire non valvulaire (FANV) : D150 mg versus R20 mg, et D110 mg versus R15 mg. Methodes Cohorte de patients initiant un traitement par D ou R en 2013 pour FANV, sans antecedent de traitement anticoagulant dans les trois ans, identifies et suivis pendant deux ans dans le Systeme national des donnees de sante (SNDS). La FANV etait definie par un diagnostic de FA sans antecedent de pathologie valvulaire (ALD, hospitalisation ou procedure). Pour chaque comparaison, les patients etaient apparies 1 :1 sur sexe, âge, date de premiere delivrance d’anticoagulant et score de propension haute dimension. Les hazard ratios (HR [IC95 %]) ont ete estimes pendant l’exposition au traitement par un modele de Cox ou de Fine and Gray. Resultats Parmi les 56 403 patients identifies, 8290 par groupe ont ete apparies pour la dose standard et 7639 pour la dose reduite, avec une tres bonne comparabilite (differences standardisees faibles voire nulles). L’âge moyen des patients etaient de 66,9 ans pour la dose standard, avec un CHA2DS2-VASc > 2 pour 58,9 % et un HAS-BLED ≥ 3 pour 15,6 % contre respectivement 80,4 ans, 94,0 % et 34,0 % pour la dose reduite. Les HR D versus R pour la dose standard et la dose reduite etaient respectivement de 0,55 [0,43–0,70] et 0,77 [0,64–0,92] pour les hemorragies hospitalisees, 0,92 [0,67–1,26] et 0,73 [0,56–0,94] pour les AVC-ES, 0,93 [0,66–1,29] et 0,95 [0,71–1,26] pour les SCA, 0,84 [0,65–1,11] et 0,95 [0,83–1,09] pour les deces, et 0,74 [0,64–0,86] et 0,88 [0,79–0,97] pour le critere composite des quatre evenements. Discussion/Conclusion Cette etude montre une utilisation majoritaire des doses reduites chez les patients les plus âges avec beaucoup de facteurs de risque et un meilleur benefice-risque des deux doses de dabigatran comparativement au rivaroxaban dans la FANV.
- Published
- 2019
8. Use of health insurance claim patterns to identify patients using nonsteroidal anti-inflammatory drugs for rheumatoid arthritis
- Author
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Nicholas Moore, Bernard Bégaud, Patrick Blin, Annie Fourrier-Réglat, Alain Weill, M.-A. Bernard, Jacques Benichou, and Abdelilah Abouelfath
- Subjects
medicine.medical_specialty ,Nonsteroidal ,Receiver operating characteristic ,Epidemiology ,business.industry ,Pharmacology ,Pharmacoepidemiology ,Logistic regression ,medicine.disease ,chemistry.chemical_compound ,chemistry ,Internal medicine ,Rheumatoid arthritis ,Cohort ,Health care ,medicine ,Health insurance ,Pharmacology (medical) ,business - Abstract
Purpose To determine healthcare claim patterns associated using nonsteroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) for rheumatoid arthritis (RA). Methods The CADEUS study randomly identified NSAID users within the French health insurance database. One-year claims data were extracted, and NSAID indication was obtained from prescribers. Logistic regression was used in a development sample to identify claim patterns predictive of RA and models applied to a validation sample. Analyses were stratified on the dispensation of immunosuppressive agents or specific antirheumatism treatment, and the area under the receiver operating characteristic curve was used to estimate discriminant power. Results NSAID indication was provided for 26 259 of the 45 217 patients included in the CADEUS cohort; it was RA for 956 patients. Two models were constructed using the development sample (n = 13 143), stratifying on the dispensation of an immunosuppressive agent or specific antirheumatism treatment. Discriminant power was high for both models (AUC > 0.80) and was not statistically different from that found when applied to the validation sample (n = 13 116). Conclusions The models derived from this study may help to identify patients prescribed NSAIDs who are likely to have RA in claims databases without medical data such as treatment indication. Copyright © 2012 John Wiley & Sons, Ltd.
- Published
- 2012
9. Sources of Information on Lymphoma Associated with Anti-Tumour Necrosis Factor Agents
- Author
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Ghada Miremont-Salamé, Thierry Schaeverbeke, Valentine Kahn, Françoise Haramburu, Bernard Bégaud, Héle`ne Théophile, and Abdelilah Abouelfath
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Time Factors ,Adolescent ,Lymphoma ,Population ,Postmarketing surveillance ,Antibodies, Monoclonal, Humanized ,Toxicology ,Receptors, Tumor Necrosis Factor ,Etanercept ,Young Adult ,Risk Factors ,Internal medicine ,Epidemiology ,Pharmacovigilance ,Adalimumab ,Adverse Drug Reaction Reporting Systems ,Humans ,Medicine ,Pharmacology (medical) ,Child ,education ,Aged ,Aged, 80 and over ,Pharmacology ,education.field_of_study ,Tumor Necrosis Factor-alpha ,business.industry ,Age Factors ,Antibodies, Monoclonal ,Middle Aged ,medicine.disease ,Infliximab ,Antirheumatic Agents ,Immunoglobulin G ,Immunology ,Female ,France ,Epidemiologic Methods ,business ,Cohort study ,medicine.drug - Abstract
Background: Anti-tumour necrosis factor (TNF) agents, through their intense immunoregulatory effect, have been suspected to increase the risk of malignant lymphoma. However, the classical epidemiological approaches conducted over about the last 10 years have not totally succeeded in addressing the question of a causal or artifactual association. Therefore, the analysis of a substantial set of case reports, although usually considered as poorly generalizable to the general population, could be particularly informative. Two main sources of case reports in postmarketing settings are available; publications in medical journals and reports to pharmacovigilance systems. Objective: The aim of the study was to compare the characteristics of case reports from both these sources in order to understand whether they provided the same information for the investigation of the causal link between lymphoma and anti-TNF agents. Methods: All case reports of malignant lymphoma in patients treated with an anti-TNF agent published in MEDLINE and all reports to the French pharmacovigilance system up to 1 February 2010 were identified. Cases of malignant lymphoma identified in postmarketing surveillance from both sources were compared regarding the following variables: age, sex, anti-TNF agent involved, indication for use, type of lymphoma, prior or concomitant immunosuppressive drugs and time to onset of lymphoma. Results: A total of 81 published case reports and 61 cases reported to the French pharmacovigilance system were compared. In published reports, patients were younger (p = 0.03) and more frequently receiving a first anti-TNF treatment (p = 0.03), particularly infliximab (p = 0.03). Conversely, in the pharmacovigilance system reports, a succession of different anti-TNFs (p = 0.03) and adalimumab (p< 0.0001) were more frequently reported. Lymphomas in patients treated with anti-TNF agents for Crohn’s disease were more prevalent in published cases than in pharmacovigilance reports (p< 0.0001), and in particular involved hepatosplenic T-cell lymphoma. Conversely, rheumatoid arthritis was the main indication for anti-TNF agents in pharmacovigilance reports (p = 0.01). Time to onset was markedly shorter in published cases (median 12 months) than in pharmacovigilance reports (median 30 months; p = 0.0001). Conclusions: Characteristics of published cases and those reported to the French pharmacovigilance system differed markedly for all characteristics tested, except sex and the use of prior or concomitant immunosuppressive drugs. Published case reports favoured convincing arguments for drug causation whereas cases reported to the pharmacovigilance system were more disparate but could describe more accurately the reality of lymphoma occurrence in this particular population. These results argue for the use of the pharmacovigilance reports when case reports are used to investigate the causal link between lymphoma and anti-TNF agents at the population level. Data from cases notified to the French pharmacovigilance system did not indicate an increased risk of lymphoma during the early phase of anti-TNF treatment. To confirm this hypothesis, a study combining pharmacovigilance reports from several countries, or, if feasible, a cohort study both with a large sample size and a long duration of follow-up would be required.
- Published
- 2011
10. Ressources consommées et coûts associés des patients traités par anticoagulant oral direct ou antivitamine K dans la fibrillation auriculaire non valvulaire
- Author
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Abdelilah Abouelfath, Régis Lassalle, Caroline Dureau-Pournin, G. de Pouvourville, Cécile Droz-Perroteau, K. Le Lay, Nicholas Moore, and Patrick Blin
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Objectif Evaluer les ressources de sante consommees et leurs couts associes chez les patients debutant un traitement par anticoagulant oral direct (AOD) ou antivitamine K (AVK) dans la fibrillation auriculaire non valvulaire (FANV). Methode Etude de cohorte de patients debutant un traitement par AOD (Pradaxa® ou Xarelto®) ou AVK dans la FANV au cours du premier semestre 2013, identifies et suivis dans l’EGB, echantillon aleatoire permanent de la base nationale du Sniiram et du PMSI. Les patients etaient suivis six mois apres la date index ; la date index etant definie comme la date de premiere delivrance du traitement d’interet avec trois ans d’historique dans la base de donnees. Deux populations FANV ont ete definies : (i) une population specifique incluant les patients avec une information diagnostique de FANV dans l’EGB (ALD ou hospitalisation pour fibrillation auriculaire sans antecedent de pathologie valvulaire), et sans autre indication probable ; (ii) une population sensible composee de la population precedente avec en plus, les patients ayant une information probabilistique de FANV, et sans autre indication probable. Les ressources consommees et leurs couts associes, couts totaux et specifiques de la maladie, ont ete estimes selon la perspective de l’assurance maladie. Resultats Parmi les 1 750 patients debutant un traitement par AOD (Pradaxa® ou Xarelto®) ou AVK durant la periode d’etude, 282 correspondaient a la definition de la population FANV specifique (AOD : 152 patients, AVK : 130 patients). Le sex-ratio etait proche de 1, l’âge moyen a la date index etait de 77 ans (AOD : 75 ans, AVK : 78 ans), avec un score CHA2DS2-VASc ≥ 2 pour 89 % des patients (AOD : 86 %, AVK : 93 %), et un score HAS-BLED ≥ 3 pour 47 % (AOD : 38 %, AVK : 58 %). Au cours des six mois de suivi, le nombre median de delivrances du traitement d’interet par patient etait de 6 (AOD : 7, AVK : 5), et 47 % ont ete hospitalises au moins une fois (AOD : 38 %, AVK : 58 %). Le cout total moyen par patient sur les six mois de suivi etait de 6 289 € (AOD : 4 232 €, AVK : 8 693 €), dont 28 % pour les hospitalisations non cardiovasculaires, 13 % pour les hospitalisations cardiovasculaires, 5 % pour les medicaments cardiovasculaires et antidiabetiques. Le cout medical total moyen specifique de la FANV par patient etait de 875 € (AOD : 824 €, AVK : 933 €), dont 45 % pour les hospitalisations, et 28 % pour les medicaments. Les resultats dans la population FANV sensible (n = 505, 285 AOD, 220 VKA) etaient similaires. Conclusion Cette etude montre que les couts specifiques de la maladie representent moins de 15 % des couts totaux et suggere des couts totaux et specifiques differents entre les AOD et les AVK dans la FANV. Toutefois, en l’absence d’ajustement du fait d’un nombre trop faible de sujets, ceci pourrait correspondre a des differences de caracteristiques entre les deux groupes et sera evalue de facon adequate sur l’ensemble du Sniiram avec des analyses appariees et ajustees.
- Published
- 2016
11. Bénéfice-risque des AVK dans la fibrillation auriculaire avant l’arrivée des anticoagulants oraux directs : résultats d’une étude de cohorte à partir de l’EGB
- Author
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Régis Lassalle, Nicholas Moore, Caroline Dureau-Pournin, Abdelilah Abouelfath, Patrick Blin, and Cécile Droz-Perroteau
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Objectif Estimer l’incidence en vie reelle des evenements hemorragiques, evenements arteriels thrombotiques (EAT), syndromes coronaires aigus (SCA), et deces chez les patients debutant un traitement par anti-vitamines K (AVK) dans la fibrillation auriculaire (FA), avant l’arrivee des anticoagulants oraux directs (AOD). Methode Etude de cohorte de patients debutant un traitement par AVK entre le 01/01/2007 et le 31/12/2011, identifies et suivis dans une base de donnees de remboursement de soins et d’hospitalisation, l’EGB, echantillon aleatoire permanent de la base nationale du SNIIRAM et du PMSI. Les patients etaient suivis trois ans maximums apres la date index, avec une censure au 31/12/2012 ; la date index etant definie comme la date de premiere delivrance d’AVK, avec deux ans d’historique dans la base de donnees. Les patients FA etaient ceux presentant soit une information diagnostique (ALD ou hospitalisation), soit une information probabilistique d’apres les donnees de l’EGB, et sans autre indication probable des AVK. La population FANV etait definie par les patients de la population FA sans antecedent de pathologie valvulaire. Le taux d’incidence etait estime durant l’exposition aux AVK pour les evenements hospitalises : hemorragie, EAT, SCA, ainsi que pour le deces. Resultats Parmi les 8894 patients debutant un traitement par AVK durant la periode d’etude, 3345 correspondaient a la definition de la population FA avec 3977 personnes-annee (PA) suivies. La moitie des patients etaient des hommes (52 %), l’âge moyen etait de 75 ans, 87 % presentaient un score CHA2DS2-VASc ≥2, et 12 % un score HAS-BLED > 3. Le taux d’incidence des hemorragies pour 1000 PA exposees aux AVK etait de 28 patients (IC 95 % [23–34]), incluant 6 [3–8] hemorragies cerebrales, 10 [7–13] digestives, et 14 [10–17] autres hemorragies. Le taux d’incidence des autres evenements pour 1000 PA exposees aux AVK etaient de 16 [12–20] pour les SCA, 15 [11–18] pour les EAT, et 38 [32–44] pour les deces. Les resultats etaient identiques lorsque seuls les patients avec une information diagnostique (ALD ou hospitalisation) etaient pris en compte. Les caracteristiques des patients et les taux d’incidence estimes dans la population FANV ( n = 2818) etaient egalement tres similaires : 28 [22–34] pour les hemorragies, 16 [12–20] pour les SCA, 15 [11–19] pour les EAT, et 35 [29–41] pour les deces pour 1000 PA exposees aux AVK. L’incidence annuelle en France a ete estimee entre 12 200–19 200 cas d’hospitalisation pour hemorragie (IC 95 %), 6300–11 400 cas de SCA hospitalises, 5900–10 800 cas d’EAT hospitalises, et 15 700–23 700 deces durant une exposition aux AVK pour une FANV. Conclusion Cette etude apporte des valeurs de reference en termes de risques hemorragiques, de risques thrombotiques arteriels et de deces, avant l’arrivee des AOD dans la FANV, avec des taux d’incidence de meme ordre avec ou sans antecedent de pathologie valvulaire.
- Published
- 2016
12. Intérêt d’un score de propension haute dimension pour comparer deux traitements dans le Système national des données de santé (SNDS) ; exemple avec le dabigatran et les AVK dans la fibrillation auriculaire non valvulaire
- Author
-
Caroline Dureau-Pournin, Nicholas Moore, Patrick Blin, Régis Lassalle, Cécile Droz-Perroteau, and Abdelilah Abouelfath
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Objectif Les scores de propension ont ete developpes pour resumer des variables qui predisent le fait de recevoir une intervention A ou B dans une etude non randomisee et ainsi reduire le risque de confusion dans la comparaison de l’impact de ces deux interventions sur un outcome. Les scores de propension haute dimension (hdPS) permettent de prendre en compte un tres grand nombre de variables, qui de plus peuvent collectivement etre des proxy de facteurs de confusion non disponibles dans les donnees. L’objectif de cette analyse etait d’estimer l’impact d’un hdPS avec les donnees du SNDS, sur les differences initiales entre les patients initiant un traitement par dabigatran (150 mg ou 110 mg) et les AVK pour une fibrillation auriculaire non valvulaire (FANV) ; le dabigatran 150 mg etant le dosage standard et le 110 mg recommande chez le sujet âge et/ou a risque hemorragique eleve, ou en cas d’insuffisance renale moderee. Methode Cohorte de tous les patients initiant un traitement par dabigatran ou un AVK en 2013 pour une FANV dans le SNDS. Pour chaque comparaison (150 mg versus AVK, 110 mg versus AVK), un hdPS a ete defini avec un modele de regression logistique prenant en compte le sexe, l’âge, les facteurs de risque thromboembolique et hemorragique, ainsi que 500 indicatrices selectionnees automatiquement pour maximiser le biais entre exposition et outcome etudie (algorithme de Bross), parmi plus de 2000 variables de soins reparties en quatre dimensions : ALD, diagnostics CIM10 d’hospitalisation (trois ans d’historique), medicaments (ATC niveau 7), actes medicaux avec la specialite, actes paramedicaux et examens biologiques (un an d’historique). L’impact du hdPS a ete evalue avec les courbes de distribution du hdPS brute et apres appariement, ainsi que les differences standardisees brutes, ajustees sur le hdPS et pour les patients apparies 1 :1 sur le hdPS (methode Greedy avec caliper 0,05). Resultats En 2013, 103 101 patients FANV initiant un traitement anticoagulant ont ete identifies : 10 847 traites par dabigatran 150 mg, 15 532 par le 110 mg et 44 653 par AVK avec des distributions de hdPS et des caracteristiques nettement differentes. Parmi eux, 77 % des patients dabigatran 150 mg (n = 8389) et 93 % des patients dabigatran 110 mg (n = 14 442) ont ete apparies a un patient AVK avec des distributions de hdPS tout a fait superposables, un âge moyen de 67,3 ans, 67 % d’hommes et 65 % de CHA2DS2-VASc ≥ 2 pour les patients dabigatran 150 mg et VKA apparies, 78,6 ans, 49 % d’hommes et 91 % de CHA2DS2-VASc ≥ 2 pour les patients dabigatran 110 mg et AVK apparies, et des differences standardisees ≤ 5 % pour 500 variables descriptives etudiees, voire ≤ 2 % pour la plupart, et par ailleurs non necessairement selectionnees parmi les indicatrices du hdPS. Conclusion Cette etude montre des differences importantes entre les patients FANV traites par dabigatran 150 mg ou 110 mg et les AVK en pratique courante, avec une utilisation preferentielle du 110 mg chez les patients les plus âges. La methode du hdPS a permis de construire une variable d’appariement performante pour constituer des groupes tres comparables pour la comparaison de deux traitements dans le SNDS.
- Published
- 2018
13. The CADEUS study: burden of nonsteroidal anti-inflammatory drug (NSAID) utilization for musculoskeletal disorders in blue collar workers
- Author
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F. Depont, Bernard Bégaud, Régis Lassalle, Yvon Merlière, Yola Moride, Annie Fourrier-Réglat, Patrick Blin, Abdelilah Abouelfath, Cécile Droz, Nicholas Moore, and Michel Rossignol
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Population ,Context (language use) ,Young Adult ,Drug Utilization Review ,Internal medicine ,Epidemiology ,Humans ,Medicine ,Pharmacology (medical) ,Medical history ,Musculoskeletal Diseases ,Occupations ,Sex Distribution ,education ,Aged ,Pharmacology ,education.field_of_study ,Past medical history ,business.industry ,Pharmacoepidemiology ,Anti-Inflammatory Agents, Non-Steroidal ,Age Factors ,Odds ratio ,Middle Aged ,Surgery ,Occupational Diseases ,Prescriptions ,Female ,France ,Epidemiologic Methods ,business ,Cohort study - Abstract
WHAT IS ALREADY KNOWN ABOUT THIS SUBJECT • To our knowledge, no study has ever described the intensity of nonsteroidal anti-inflammatory drug (NSAID) utilization in an employed population by occupation. • As the use of NSAIDs carries a well-known risk of adverse effects, this risk adds to the burden of musculoskeletal disorders in employed populations. • Information on utilization of NSAIDs in this context will help to better characterize and prevent this risk. WHAT THIS STUDY ADDS • In spite of a previous history of dyspepsia, blue collar workers had the highest rate of chronic and continuous utilization of nonselective NSAIDs. • No clustering of cyclooxygenase-2 selective NSAID utilization according to a previous history of dyspepsia was observed among blue collar workers. • The association between chronicity of NSAID utilization and occupation was independent of medical indication for the prescription and other lifestyle factors. AIM The aim of this study was to compare patterns of utilization of NSAIDs for musculoskeletal disorders (MSD) by occupation in a general employed population. METHODS This was a secondary analysis of the CADEUS cohort study on 5651 actively employed patients, who submitted at least one claim for the reimbursement of a NSAID dispensation for a MSD between August 2003 and July 2004, in the French National Healthcare Insurance database. Questionnaires were sent to prescribing physicians to obtain diagnoses and the medical history, and to patients for their occupation, height and weight and smoking status. Multivariate logistic regression was used to study the determinants of a heavy use of NSAIDs defined as ‘over four dispensations in one year with less than two months between any two’. RESULTS Factors associated with heavy use of NSAIDs were age (Odds ratio (OR): 1.8 (ten years), 95% confidence interval (CI): 1.6–1.9), osteoarthritis (versus back pain) (OR: 1.8, 95% CI: 1.5–2.1), body mass index (superior to 30) (OR: 1.8, 95% CI: 1.5–2.2), and occupation (blue collar versus white collar workers) (OR: 1.4, 95% CI: 1.2–1.6). Blue collar workers also had a 20% higher prevalence of 5-year history of dyspepsia. No difference was observed between sexes or in the use of COX-2 selective inhibitors between occupations. CONCLUSION Factors associated with occupational constraints that contribute to the severity of MSDs, may explain the heavier use of NSAIDs among blue collar workers in spite of a concurrent and past medical history of adverse reactions to this type of medication.
- Published
- 2009
14. Drug–drug interactions with systemic antifungals in clinical practice
- Author
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Nicholas Moore, Emmanuelle Giauque, Jean-Marie Ragnaud, Tatiana Galpérine, Michel Dupon, Abdelilah Abouelfath, Hervé Dutronc, F. Depont, Frédéric Vargas, Ruddy Valentino, and Guillaume Hébert
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Antifungal Agents ,Hydrocortisone ,Epidemiology ,Itraconazole ,HIV Infections ,Hypokalemia ,Flucytosine ,law.invention ,Hospitals, University ,Furosemide ,law ,Amphotericin B ,Neoplasms ,Internal medicine ,Intensive care ,medicine ,Humans ,Drug Interactions ,Pharmacology (medical) ,Intensive care medicine ,Fluconazole ,Aged ,Retrospective Studies ,Leukemia ,business.industry ,Retrospective cohort study ,Middle Aged ,Intensive care unit ,Intensive Care Units ,Creatinine ,Concomitant ,Cyclosporine ,Female ,Kidney Diseases ,France ,business ,medicine.drug - Abstract
Purpose We describe drug–drug interactions (DDIs) encountered with antifungals in clinical practice. Methods Retrospective observational study of hospitalized adults receiving systemic antifungal treatment in the intensive care unit (ICU) and in the infectious diseases unit (IDU) of the University Hospital of Bordeaux, France between 1996 and 2001. All treatment episodes with antifungal agent were examined and all prescribed concomitant medication identified for potential drug–drug interactions (PDDI)-serious events occurring during treatment were adjudicated for clinical DDI. Results There were 150 treatment episodes with antifungal agent in 105 patients. Fluconazole was used in 48% of the treatment episodes, amphotericin B in 46%, itraconazole in 4.7% and flucytosine in 1.3%. One hundred and sixteen PDDIs were identified related to the use of amphotericin B (81.0%), fluconazole (17.2%) or itraconazole (1.7%). Of these, 22 were associated with a clinical evidence of adverse interaction (hypokalemia, increased creatininemia or nephrotoxicity). All these clinical drug–drug interactions (CDDIs) were with amphotericin B. They were due to furosemide (36.4%), cyclosporine (31.8%) and hydrocortisone (18.2%). PDDIs were mostly associated with leukaemia (40.4%), HIV infection (24.6%) and cancer (10.5%). Conclusions In ICU and IDU, systemic antifungal treatments lead to many PDDIs, mainly related to the type of antifungal used and to the pathology treated. Clinical DDI seem more common with amphotericin. Copyright © 2007 John Wiley & Sons, Ltd.
- Published
- 2007
15. Underdiagnosis of Nocturnal Symptoms in Asthma in General Practice
- Author
-
Mathieu Molimard, A. Taytard, Abdel Abouelfath, Vincent Le Gros, and Chantal Raherison
- Subjects
Male ,Pulmonary and Respiratory Medicine ,Pediatrics ,medicine.medical_specialty ,Cross-sectional study ,Nocturnal ,Severity of Illness Index ,Pregnancy ,Surveys and Questionnaires ,Epidemiology ,Severity of illness ,Humans ,Immunology and Allergy ,Medicine ,Pulmonologists ,Asthma ,business.industry ,Middle Aged ,medicine.disease ,Drug Utilization ,Bronchodilator Agents ,Circadian Rhythm ,Respiratory Function Tests ,Pregnancy Complications ,Cross-Sectional Studies ,Pediatrics, Perinatology and Child Health ,Female ,Allergists ,Family Practice ,business - Abstract
To evaluate the prevalence of nocturnal symptoms in a large sample of asthmatic patients, and to assess the agreement between patients' complaints and general practitioners' (GPs') reports in primary care.Cross-sectional survey involved 3,526 GPs and 751 specialists (pulmonologists and allergists) and included 13,493 patients with persistent asthma. Symptoms, treatment, and social and medical data were collected in real time by the patients and their GPs.France.Prevalence of nocturnal symptoms was 60%. A total of 7,989 patients with nocturnal symptoms had complete data for both patients and GPs; 3,849 (48.1%) had perfect agreement between GP and their complaints for nocturnal symptoms (agreement group; [kappa = 1]); 3,376(42.2%) declared having no symptoms during the night, but these were detected by the GP during the visit (underestimated by patients and detected by GPs); 773(9.6%) declared having nocturnal symptoms, but these were not detected by GPs. Patients with a good agreement with their GP's opinion were significantly more frequently followed-up by a specialist than other patients (p = 0.002).Nocturnal symptoms appear to be underdeclared by patients. GPs should therefore systematically ask their patients about nocturnal symptoms to increase control of asthma and to adequately manage its treatment.
- Published
- 2006
16. Bénéfice–risque des anticoagulants oraux directs comparés aux antivitamines K dans la fibrillation auriculaire non valvulaire : cohorte ENGEL de plus de 100 000 patients issus du Sniiram
- Author
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Patrick Mismetti, Yves Cottin, Caroline Dureau-Pournin, Régis Lassalle, Abdelilah Abouelfath, Patrick Blin, Jacques Benichou, Cécile Droz-Perroteau, and Nicholas Moore
- Subjects
03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health ,030226 pharmacology & pharmacy - Abstract
Objectif Comparer les risques d’hemorragies, d’evenements arteriels thrombotiques, de syndromes coronaires aigus et de deces a un an chez les patients initiant un traitement anticoagulant pour une fibrillation auriculaire non valvulaire (FANV) : dabigatran (D) versus antivitamine K (AVK) et rivaroxaban (R) versus AVK. Methode Cohorte de patients avec une FANV debutant un premier traitement par D, R ou AVK en 2013 en France, identifies et suivis pendant un an dans le Sniiram. Deux populations FANV ont ete definies : – specifique : –patients avec un diagnostic de FA sans antecedent de pathologie valvulaire (ALD/hospitalisation) ; – sensible : –patients de la population specifique plus ceux avec une FANV probable basee sur un score de pathologie. Pour chaque comparaison, les patients etaient apparies 1:1 sur le sexe, l’âge, la date de premiere delivrance d’anticoagulant et un score de propension haute dimension incluant les facteurs de risque arteriel thrombotique et hemorragique. L’incidence cumulee a un an du premier evenement pendant l’exposition au traitement a ete estimee par la methode de Kaplan-Meier et les risques compares avec un modele de Cox pour le deces et de Fine et Gray pour les evenements cliniques, definis par un diagnostic principal d’hospitalisation. Resultats En 2013, 103 101 patients (27 060 D, 31 388 R, 44 653 AVK) ont ete identifies dans le Sniiram pour la population specifique et 144 220 (37 222 D, 46 882 R, 60 116 AVK) pour la population sensible. Pour la population specifique, les patients etaient âges en moyenne de 75 (± 12) ans avec 54 % d’hommes, un score CHA 2 DS 2 -VASc ≥ 2 pour 83 %, un score HAS-BLED > 3 pour 10 %, avec des differences standardisees importantes pour chacune des comparaisons et des differences standardisees normalisees ou nulles apres appariement. Le nombre de patients apparies de la population specifique pour chaque comparaison et leurs resultats sont presentes dans le Tableau S1 . La population sensible presentait des caracteristiques similaires et des resultats superposables. Conclusion Cette etude de plus de 100 000 patients montre un meilleur benefice–risque des anticoagulants oraux directs comparativement aux AVK dans la FANV, incluant moins de deces et d’hemorragies intracrâniennes, sans augmentation des hemorragies gastro-intestinales.
- Published
- 2017
17. Conditions d’utilisation en vie réelle du Pylera ® en France à partir des données de l’assurance maladie
- Author
-
Magali Rouyer, Cécile Droz-Perroteau, Francis Mégraud, Bertrand Diquet, Régis Lassalle, Nicholas Moore, Patrick Blin, F. Zerbib, Abdelilah Abouelfath, François Tison, and E. Guiard
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Objectif principal Evaluer le mesusage du Pylera® en France. Objectifs secondaires Decrire les caracteristiques des patients consommant du Pylera® ; decrire les nouvelles prescriptions d’un traitement specifique pour eradiquer Helicobacter pylori (H. pylori) (indicateur ou proxy pour evaluer l’echec au traitement). Methodes Etude de cohorte de patients avec une 1re delivrance de Pylera® (date index) entre le 1er avril 2013 et le 30 avril 2014 dans l’EGB (echantillon generaliste des beneficiaires), un echantillon permanent representatif au 1/97e de la base nationale de l’assurance maladie et du programme de medicalisation des systemes d’information (PMSI), avec un historique et un suivi de 12 mois a partir de la date index. Le critere de mesusage etait defini par la delivrance de plus d’une boite de Pylera® a la date index ou d’une delivrance de Pylera® sans test diagnostique specifique dans l’annee precedant la date index. Resultats Un total de 540 patients a eu au moins une delivrance de Pylera® dont les caracteristiques generales etaient : âge moyen de 53 ans (15 % de plus de 70 ans, 1 % d’adolescents entre 12 et 18 ans), 44 % d’hommes, 30 % avec au moins une affection longue-duree (ALD) et 18 % deja traites dans les 12 mois precedents pour une eradication de H. pylori. Les principaux prescripteurs de Pylera® etaient les gastro-enterologues ou medecins hospitaliers (61 %), suivis par les medecins generalistes (30 %). Un inhibiteur de la pompe a protons etait codelivre dans 93 % des cas, principalement l’omeprazole (65 %), suivi de l’esomeprazole (17 %). Neuf patients (2 %) avaient une insuffisance hepatique ou renale et une patiente etait enceinte. Cinquante-neuf patients (11 %) avaient au moins un critere de mesusage : 10 patients (2 %) avec une delivrance le meme jour de plus d’une boite de Pylera® (7 patients avec 2 boites, 2 avec 3 boites, et 1 avec 4 boites) et 49 patients (9 %) sans test a l’uree ou une endoscopie dans l’annee precedente. En tenant compte de la serologie comme test diagnostique, le nombre de patients avec un critere de mesusage diminue de 59 patients (11 %) a 51 patients (9 %). Pendant les 12 mois de suivi, 45 patients (8 %) ont eu une nouvelle delivrance de traitements pour eradiquer H. pylori, dont 17 patients dans les 3 mois suivant la date index. Conclusion Cette etude basee sur les donnees de remboursement de soins en France, montre un mesusage du Pylera® pour un peu plus de 10 % des patients, essentiellement une absence de test de diagnostic avant l’initiation du traitement, et la delivrance de plusieurs boites de Pylera® pour 2 % des patients. A cela s’ajoute quelques patients avec des contre-indications mentionnees dans le resume des caracteristiques du produit, insuffisance renale, insuffisance hepatique et grossesse. Les 8 % de patients qui ont eu une nouvelle delivrance dans l’annee d’un traitement pour eradiquer H. pylori sont dans la borne basse des 10 % et 30 % de taux d’echec d’eradication de l’infection a H. pylori decrit dans la litterature en France.
- Published
- 2017
18. Définition d’un score de propension haute dimension pour comparer des patients initiant un anticoagulant oral direct ou un anti-vitamine K pour une fibrillation auriculaire non-valvulaire d’après les données du Sniiram
- Author
-
Caroline Dureau-Pournin, Nicholas Moore, Patrick Blin, R. Lasalle, Cécile Droz-Perroteau, and Abdelilah Abouelfath
- Subjects
03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health ,030212 general & internal medicine ,030226 pharmacology & pharmacy - Abstract
Introduction Les scores de propension haute dimension (hdPS) ont ete developpes pour estimer l’effet d’une intervention en tenant compte d’un tres grand nombre de variables pour predire le fait de recevoir l’une ou l’autre des interventions, et egalement etre collectivement un proxy de facteurs de confusion non disponibles dans les donnees. L’objectif de cette analyse etait d’estimer l’impact d’un hdPS sur les differences initiales entre les patients initiant un traitement par anticoagulant oral direct (AOD) ou anti-vitamine K (AVK) pour une fibrillation auriculaire non-valvulaire (FANV) d’apres les donnees du Sniiram. Methodes Identification de tous les sujets initiant un AOD (dabigatran n = 27 060) ou un AVK ( n = 44 653) pour une FANV en 2013 dans le Sniiram. Definition d’un hdPS AOD versus AVK avec un modele de regression logistique prenant en compte des variables forcees (caracteristiques socio-demographiques, facteurs de risque thromboembolique et hemorragique) et 500 variables sur trois ans d’historique de soins reparties en quatre dimensions (ALD, diagnostics d’hospitalisation, medicaments, consultations medicales/paramedicales/biologie), selectionnees pour minimiser le biais entre exposition et evenement etudie (algorithme de Bross). L’impact du hdPS a ete evalue avec les differences standardisees (DS) entre AOD et AVK : brutes, ajustees sur le hdPS et apres appariement 1 : 1 sur le hdPS, ainsi que sur la courbe de distribution du hdPS brute et apres appariement. Resultats Les deux groupes presentaient des distributions de hdPS brutes nettement differentes, decalees a droite pour AOD et a gauche pour AVK (mediane hdPS 0,5 et 0,3 respectivement) avec une zone de recouvrement importante, et tout a fait superposables apres appariement, tout en conservant 76 % des patients du groupe le plus faible ( n = 20 489 par groupe). Une DS brute >10 % concernait 34 % des variables et aucune DS > 10 % apres ajustement ou appariement. Discussion/Conclusion Le hdPS permet de construire une variable d’ajustement ou d’appariement performante pour comparer l’effet et/ou le risque d’un traitement entre deux groupes dans le Sniiram.
- Published
- 2017
19. Risques cardiovasculaires et digestifs associés à la prise de paracétamol : une étude de cohorte autocontrolée dans l’échantillon généraliste des bénéficiaires (EGB)
- Author
-
Nicholas Moore, Cécile Droz, Régis Lassalle, Abdelilah Abouelfath, M. Duong, and Patrick Blin
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Abstract
Introduction Le paracetamol est le produit le plus prescrit en France mais presque rien n’est connu de son risque cardiovasculaire ou digestif eventuel en vie reelle. Nous avons donc mis en place une etude visant a mesurer le risque de survenue d’infarctus du myocarde, de syndrome coronaire aigu, d’accident vasculaire cerebral ou d’hemorragie digestive haute apres dispensation de paracetamol en France. Methode Il s’agit d’une etude de cohorte autocontrolee dans l’EGB, l’echantillon 1/97 permanent representatif du Sniiram, base couvrant plus de 98 % de la population francaise. Toutes les dispensations de paracetamol entre 2009 et 2012 ont ete identifiees dans l’EGB. Seuls ont ete conserves les episodes d’utilisation exclusive du paracetamol (sans AINS), chez les sujets âges de plus de 15 ans. Chaque episode comportant une periode a risque, de trois mois apres la dispensation, et une periode controle, symetrique avant la dispensation. Les evenements d’interet etaient les hospitalisations identifiees dans le PMSI, en rapport avec un infarctus du myocarde (I21, IdM), un angor instable (I20,0), les deux etant regroupes sous le terme de syndrome coronaire aigu (SCA) ; d’accident vasculaire cerebral (AVC, I63) ; d’hemorragie digestive haute (UGIB, K250, K254, K260, K270, K290, K920, K921 ou K922). Les analyses ont ete faites sur la population totale des episodes inclus, puis en stratifiant sur la presence d’aspirine a faible dose (AFD), selon l’âge, la quantite dispensee de paracetamol, le niveau de risque cardiovasculaire. Resultats Il y avait 1 025 877 episodes d’exposition au paracetamol chez 342 494 patients (âge moyen 47,2 ans ; 55,8 % feminins). Les risques relatifs globaux ajustes de survenue d’IDM, SCA, AVC et UGIB [IC 95 %] etaient de 1,01 [0,85–1,21], 0,91 [0,82–1,01], 0,85 [0,73–0,98] et 1,34 [1,08–1,66]. Chez les utilisateurs d’AFD (5 % des episodes), le risque d’IdM, de SCA ou d’AVC etaient reduits (0,29 [0,20–0,42], 0,39 [0,32–0,47], 0,35 [0,26–0,48]. Chez les non-utilisateurs d’AFD ayant plus de 60 ans, les risques etaient notablement eleves (IdM 1,91 [1,43–2,54], SCA 1,38 [1,19–161] ; AVC 1,13 [093–1,37], UGIB 1,45 [1,08–1,95]). Conclusions La prescription de paracetamol s’accompagne d’un risque diminue d’evenement cardiovasculaire chez les patients co-utilisateurs d’aspirine a faible dose. En revanche, chez les non-utilisateurs d’aspirine, l’accroissement notable des risques cardiovasculaires et digestifs devrait faire rediscuter de l’utilite reelle d’encourager l’utilisation de paracetamol, en particulier chez le sujet âge de plus de 60 ans.
- Published
- 2016
20. An easy to use method to approximate Poisson confidence limits
- Author
-
Nicholas Moore, Yola Moride, Pascale Tubert-Bitter, Abdelilah Abouelfath, Karin Martin, and Bernard Bégaud
- Subjects
Canada ,Biometry ,Binomial (polynomial) ,Epidemiology ,business.industry ,Computation ,Continuity correction ,Poisson distribution ,Confidence interval ,symbols.namesake ,symbols ,Confidence Intervals ,Medicine ,Applied mathematics ,Poisson regression ,Poisson Distribution ,business ,Variance-stabilizing transformation ,Variable (mathematics) - Abstract
Despite the ever larger choice of softwares and statistical packages allowing fast and accurate computation of binomial and Poisson confidence limits, there is always a need for a simple and reliable formula allowing non-computerized computations. The method proposed in this paper is derived from the Freeman and Tukey’s variance stabilizing transformation for a random Poisson variable and adjusted for giving the best fit with the exact Poisson values. Despite its simplicity, allowing its use in any circumstances, this method provides very satisfactory results and a much better fit than classical formula based on the normal approximation, even if a continuity correction is used. It allows computation of Poisson confidence limits both for count or rates and proportions.
- Published
- 2005
21. Patterns and correlates of benzodiazepine use in the French general population
- Author
-
Annie Fourrier, Nicholas Moore, F. Depont, Hélène Verdoux, Rajaa Lagnaoui, Bernard Bégaud, and Abdelillah Abouelfath
- Subjects
Adult ,Male ,medicine.medical_specialty ,Cross-sectional study ,Population ,Benzodiazepines ,Age Distribution ,Epidemiology ,medicine ,Prevalence ,Humans ,Pharmacology (medical) ,Sex Distribution ,education ,Psychiatry ,Aged ,Pharmacology ,Aged, 80 and over ,education.field_of_study ,business.industry ,Pharmacoepidemiology ,General Medicine ,Odds ratio ,Middle Aged ,medicine.disease ,Anxiety Disorders ,Confidence interval ,Mood ,Cross-Sectional Studies ,Anti-Anxiety Agents ,Population Surveillance ,Anxiety ,Female ,France ,medicine.symptom ,business ,Anxiety disorder - Abstract
To investigate the prevalence of current use of benzodiazepines (BZDs) and related drugs in the French general population and factors associated with this use. National cross-sectional telephone survey conducted between 25 April 2001 and 8 May 2001 in a representative sample of non-institutionalized adults of BZD use and duration, prescriber specialty, socio-demographic data and mood and anxiety disorders, using a structured diagnostic interview. The prevalence of current use of BZD was 7.5%. It was higher among women (9.7%) than men (5.2%). It increased with age and was higher in the jobless (10.9). Duration of BZD use was more than 6 months in 75.9% of users and increased with age. Of the 711 (17.7%) subjects with at least one mood or anxiety disorder, 122 (17%) used BZD compared with180 (5.5%) of the 3296 subjects without mood or anxiety disorders. In multivariate analysis, factors associated with BZD use were age [odds ratio (OR): 3.6; 95% confidence interval (CI) 2.0–5.6], 6.5 (4.1–10.3) and 10.9 (6.9–17.1), respectively, for ages 35–44 years, 45–59 years and over 60 years compared with below 34 years, female gender (OR: 1.7; 95% CI 1.3–2.1), anxiety only (OR: 2.2; 95% CI 1.5–3.2), mood disorder only (OR: 4.4; 95% CI 2.7–7.1) or both mood and anxiety disorders (OR: 8.8; 95% CI 5.9–12.6). Despite precautions, warnings and attempts to limit use, there remains a high proportion of long-term BZD users in the general French population, especially in the elderly. Our findings add to the weight of opinion that messages concerning proper use of BZDs certainly need to be clarified and amplified.
- Published
- 2004
22. Résultats de Prisme ; une étude pilote sur l’effet à un an d’une prise en charge multidisciplinaire du syndrome métabolique
- Author
-
A Grolleau, M Guérard, J.-L. Demeaux, C Toussaint, H. Gin, A Abouelfath, M R Boisseau, Nicholas Moore, Régis Lassalle, P Robinson, Prisme, Cécile Droz-Perroteau, and A. Grelaud
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Published
- 2011
23. Utilisation des données de l’Échantillon généraliste de bénéficiaires de l’Assurance maladie appliquée aux études de pharmaco-épidémiologie : considérations techniques, intérêts et limites
- Author
-
Annie Fourrier-Réglat, Nicholas Moore, Patrick Blin, Cécile Droz-Perroteau, M.-A. Bernard, Jérémy Jové, Abdelilah Abouelfath, and Régis Lassalle
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Published
- 2014
24. Données médicales et modalités de consommation des AINS: concordance entre le déclaratif patient, le déclaratif médecin et la base de données de la CNAMTS dans l'étude CADEUS
- Author
-
Régis Lassalle, F. Depont, Cécile Droz-Perroteau, Annie Fourrier-Réglat, Nicholas Moore, C. Huynh Minh, Patrick Blin, and Abdelilah Abouelfath
- Subjects
Epidemiology ,Public Health, Environmental and Occupational Health - Published
- 2007
25. Underdiagnosis of Nocturnal Symptoms in Asthma in General Practice.
- Author
-
Raherison, Chantal, Abouelfath, Abdel, Gros, Vincent Le, Taytard, André, and Molimard, Mathieu
- Subjects
- *
ASTHMA diagnosis , *GENERAL practitioners , *ASTHMATICS , *PRIMARY care - Abstract
Objective . To evaluate the prevalence of nocturnal symptoms in a large sample of asthmatic patients, and to assess the agreement between patients' complaints and general practitioners' (GPs') reports in primary care. Design . Cross-sectional survey involved 3,526 GPs and 751 specialists (pulmonologists and allergists) and included 13,493 patients with persistent asthma. Symptoms, treatment, and social and medical data were collected in real time by the patients and their GPs. Setting . France. Results . Prevalence of nocturnal symptoms was 60%. A total of 7,989 patients with nocturnal symptoms had complete data for both patients and GPs; 3,849 (48.1%) had perfect agreement between GP and their complaints for nocturnal symptoms (agreement group; [kappa = 1]); 3,376(42.2%) declared having no symptoms during the night, but these were detected by the GP during the visit (underestimated by patients and detected by GPs); 773(9.6%) declared having nocturnal symptoms, but these were not detected by GPs. Patients with a good agreement with their GP's opinion were significantly more frequently followed-up by a specialist than other patients ( p = 0.002). Conclusions . Nocturnal symptoms appear to be underdeclared by patients. GPs should therefore systematically ask their patients about nocturnal symptoms to increase control of asthma and to adequately manage its treatment. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2006
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26. Psychiatric disorders and their comorbidity in subjects with parasuicide by intentional drug overdose: Prevalence and gender differences
- Author
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Tournier, Marie, Molimard, Mathieu, Cougnard, Audrey, Abouelfath, Abdelilah, Fourrier, Annie, and Verdoux, Helene
- Subjects
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COMORBIDITY , *EPIDEMIOLOGY , *DRUG overdose , *PSYCHIATRY - Abstract
Abstract: The aims of the present study were to assess the prevalence and comorbidity of psychiatric disorders in subjects with intentional drug overdose and to explore whether there were gender differences in prevalence and comorbidity. A standardized psychiatric evaluation was performed in 100 randomly selected subjects, 18 years old and older, with intentional drug overdose referred to an emergency department. The prevalences of psychiatric morbidity and comorbidity were very high in both genders: 88% presented with at least one psychiatric diagnosis, and three-quarters presented with comorbid psychiatric disorders. Affective and anxiety disorders were the most prevalent diagnoses. One patient out of three presented with alcohol or substance misuse. Compared to females, males suffered five times more often from substance misuse and three times more often from psychotic syndrome and were three times less likely to present with anxiety disorder. When subjects are referred to hospital for intentional drug overdose, medical management should systematically involve a psychiatric assessment in order to identify not only affective and anxiety disorders, but also alcohol and substance misuse, due to the high prevalence of these disorders, especially in male subjects. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2005
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