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Resume Introduction Dans une precedente etude, nous avions montre que dans l’arthroplastie totale de genou, la voie d’abord laterale avec osteotomie de la tuberosite tibiale anterieure permettait, sans modification de la position de celle-ci, de corriger une bascule laterale patellaire preoperatoire et d’ameliorer le positionnement postoperatoire de la patella. Nous formulions l’hypothese que cette amelioration du centrage patellaire etait, au moins en partie, le fait d’une rotation externe plus importante de la piece tibiale. Une etude scannographique postoperatoire a donc ete menee pour mesurer la rotation postoperatoire de l’embase tibiale en comparant voie mediale et voie laterale. Hypothese Le positionnement en rotation de la piece tibiale est influence par la voie d’abord laterale ou mediale. Materiel et methode Quarante-cinq scanners realises selon le protocole de la Societe francaise de la hanche et du genou ont ete etudies a trois mois postoperatoires : 15 genoux operes par voie laterale et 30 genoux operes par voie mediale. Ont ete mesures, d’une part, l’angle entre l’axe de la piece tibiale et l’axe rejoignant la TTA et le centre de la quille, d’autre part, la distance entre le centre de l’embase et la TTA. Resultats Pour le groupe medial, la lateroposition de la TTA etait de 7 ± 3 mm avec un angle de rotation de 18° ; pour le groupe lateral, ces mesures etaient respectivement : +1 ± 4 mm et 2° (p Discussion La rotation externe de la piece tibiale est plus importante sur une voie laterale que sur une voie mediale. L’exposition meilleure du plateau tibial lateral en est probablement la cause. Cette rotation externe favorise le bon positionnement de la patella. Type d’etude Prospective comparative non randomisee. Niveau 3.

Resume Introduction L’instabilite femoropatellaire est une complication frequente des protheses totales du genou. Elle peut decouler d’un positionnement incorrect en rotation du composant femoral, mais les reperes en rotation et l’orientation ideale ne sont pas univoques. De plus, l’influence de troubles de torsion femorale preexistant a la survenue d’une instabilite femoropatellaire n’est pas identifiee. Hypothese Un trouble de torsion du femur distal preexistant est associe a une anomalie de position femoropatellaire sur des genoux arthrosiques avant arthroplastie. Une etude diagnostique prospective a teste cette hypothese sur des donnees morphometriques. Materiel et methodes Cent dix-huit patients etaient inclus prospectivement. La lateralisation patellaire etait mesuree sur defile femoropatellaire a 30° de flexion. Trois positions etaient definies (inferieure a 3 mm, comprise entre 3 et 5 mm, superieure a 5 mm). Une tomodensitometrie preoperatoire permettait la mesure de trois angles : (1) l’angle de torsion epiphysaire distale du femur ou angle condylien posterieur, (2) l’angle trochleen anterieur entre l’axe biepicondylien et le plan d’ouverture de la trochlee, (3) la somme des angles trochleen anterieur et condylien posterieur constituait l’angle global d’ouverture trochleen. Resultats On comptait 86 patellas centrees et 32 patellas lateralisees (25 fois moins de 5 mm et sept fois plus de 5 mm). Quelle que soit la lateralisation patellaire, l’angle global d’ouverture trochleen etait constant ( p = 0,41). La valeur de l’angle condylien posterieur etait statistiquement inferieure lorsque la patella etait centree ( p = 0,01 ; r = 0,44). La valeur de l’angle trochleen anterieur variait en sens inverse de l’angle condylien posterieur. L’anteversion femorale, la position de la tuberosite tibiale anterieure et l’index tibiofemoral n’etaient pas correles avec la position de la patella. Il n’y avait pas de correlation entre lateralisation patellaire et les anomalies torsionnelles globales du membre inferieur. Conclusion Le centrage patellaire d’un genou arthrosique dependait des facteurs osseux femoraux distaux determinant l’angle condylien posterieur et l’angle trochleen anterieur de part et d’autre de l’axe biepicondylien. Comme l’angle global d’ouverture de la trochlee est constant, l’obliquite de l’axe biepicondylien est determinante dans la lateralisation patellaire. La comprehension de l’incidence de la morphologie du femur distal sur la position patellaire permet d’ameliorer le positionnement des implants femoraux dans les arthroplasties totales de genou ou remplacements femoropatellaires isoles. Type d’etude : etude diagnostique prospective. Niveau III.

Resume La rotation de la piece femorale au cours d’une arthroplastie totale de genou, dans une strategie a coupe independante, cherche a « corriger » la torsion epiphysaire distale femorale, angle entre l’axe bicondylien posterieur et l’axe transepicondylien, pour que l’axe bicondylien posterieur de la prothese soit parallele a l’axe transepicondylien. Or la torsion femorale distale presente d’importantes variations individuelles qui interdisent l’utilisation d’un ancillaire a rotation standardisee. Le reperage peroperatoire de la ligne transepicondylienne permettrait d’adapter la rotation, a condition que cette ligne soit reperee de facon fiable. Le but de notre etude a ete de determiner la fiabilite du reperage de l’axe transepicondylien grâce a la navigation peroperatoire et de le comparer au scanner preoperatoire. L’etude prospective a porte sur 70 genoux arthrosiques ayant subi une arthroplastie totale de genou. L’angle de torsion mesure au scanner preoperatoire a ete compare a l’angle mesure en navigation apres reperage peroperatoire de l’axe transepicondylien et de l’axe bicondylien posterieur. L’analyse statistique a utilise des courbes de regression. La torsion epiphysaire mesuree au scanner etait de 6,9° ± 2,9° et la torsion epiphysaire naviguee etait de 3° ± 4,3°. Il n’existait pas de correlation statistique entre la torsion epiphysaire mesuree au scanner et par navigation en peroperatoire (p = 0,011). Le reperage peroperatoire de l’axe transepicondylien n’est pas fiable. La navigation ne permet pas de determiner la torsion epiphysaire distale du femur et ne permet donc pas de determiner en peroperatoire la rotation a donner a la piece femorale. Le seul moyen fiable de mesurer la torsion epiphysaire distale du femur demeure le scanner preoperatoire.

Resume La rotation de la piece femorale, dans une strategie a coupe independante, cherche a « corriger » la torsion epiphysaire distale femorale pour que l’implant soit parallele a l’axe trans-epicondylien. Notre etude a pour objectif d’apprecier la precision de la rotation de l’implant femoral en utilisant la navigation dans les arthroplasties totales de genou et en fondant l’importance de la rotation sur les donnees d’un scanner preoperatoire. L’etude prospective consecutive a porte sur 70 genoux arthrosiques subissant une arthroplastie totale de genou. L’angle anatomique de torsion distale femorale etait mesure sur un scanner pre- et postoperatoire a trois mois. La rotation donnee au guide de coupe femorale sous navigation (systeme Navitrack-Orthosoft) etait fondee sur les donnees du scanner preoperatoire. L’objectif etait d’obtenir un axe bicondylien posterieur de la prothese parallele a l’axe transepicondylien chirurgical de Berger considere comme axe de reference. La torsion distale femorale moyenne mesuree sur le scanner preoperatoire etait de 6,9 ± 2,9° avec des extremes allant de 1,5 a 15°. La rotation moyenne donnee au guide de coupe femorale etait de 4,8 ± 2°. La mesure postoperatoire etait de 1,6 ± 2,7° pour une correction reelle de 5,3°. Parmi les patients, 77% se situaient dans une fourchette ± 2° par rapport a nos objectifs. Ces resultats ont ete compares a une serie historique de 34 cas avec rotation femorale standardisee automatique de 3° etudiee selon le meme protocole radiologique : 44 % des genoux etaient dans la fourchette ± 2° La precision de la navigation dans le plan transversal est satisfaisante a condition que l’importance de la rotation a donner au guide de coupe soit fondee sur un scanner preoperatoire et reponde ainsi aux grandes variations individuelles de la torsion distale femorale. La rotation adaptee sous navigation sur la base d’un scanner preoperatoire constitue une avancee par rapport a la rotation ancillaire standardisee.

Osteochondral transplantation requires a careful assessment of the location of donor plugs. A mismatch of cartilage thickness between the donor and recipient site may lead to abnormal stresses and poor function. The objective of this study was to characterize the recommanded donor and recipient sites with respect to cartilage thickness in younger individuals. Nineteen arthro CT (13 men, 6 women), which had been carried out in a population of less than 50 years old were studied. Recommanded donor sites have included the posterior femoral condyles, the medial and lateral aspect of the trochlea and central, medial and lateral sides of the intercondylar notch. Recipient sites were studied at four regions of interest on the medial femoral condyle usually involved in osteochondritis dissecans. Average cartilage thickness was calculated on the digital version of the reference cuts for each site and compared. The sensitivity of the precision of the measurements to observer variability was evaluated using intra- and inter-observer correlation coefficient tests. The femoral cartilage in the knee was thickest in the recipient sites (2.49 mm, SD 0.64) than in donor sites (1.79 mm, SD 0.43) (P < 0.0001). There was no differences between the different donor sites, unless for the antero lateral intercondylar notch which was significantly thinner (1.3 mm, SD 0.29) than the other sites (P < 0.05). The cartilage of the donor site was consistently thinner than the cartilage of the recipient sites. Between the different donor sites, the lateral side of the intercondylar notch was significantly thinner than the other donor sites and should not be harvested in priority.

Resume Le but de cette etude prospective a ete de mettre au point et d’evaluer une methode de mesure de la hauteur de l’interligne femoro-tibial et d’apprecier l’influence immediate d’une meniscectomie sur la hauteur de cet interligne. Cette etude a concerne une serie continue de 36 meniscectomies arthroscopiques realisees a l’occasion de lesions meniscales mediales sur genou stable. La hauteur de l’interligne articulaire a ete mesuree apres numerisation des radiographies realisees le matin de l’intervention puis quinze jours apres sur des cliches en extension complete et en schuss des genoux. Quels que soient l’observateur et le genou etudie, il n’y avait pas de difference statistiquement significative entre les hauteurs de l’interligne femoro-tibial medial pre et post-meniscectomie. Les valeurs mesurees par les deux observateurs etaient toutes correlees. Cette etude a permis de valider une methode de mesure de la hauteur de l’interligne femoro-tibial medial reproductible. Elle n’a pas mis en evidence de difference statistiquement significative de la hauteur de cet interligne entre les mesures realisees avant et peu apres une meniscectomie mediale.

Introduction L’etiopathogenie des tendinopathies non rompues, non calcifiante reste discutee. La forme de l’acromion a ete etudiee dans le conflit sous acromial mais aucune etude ne s’est interessee a l’epaisseur du ligament acromio-coracoidien (LAC). L’objectif principal de l’etude est de proposer une methode de mesure IRM fiable et reproductible de l’epaisseur du LAC. L’objectif secondaire est de montrer que le LAC est epaissi dans les TNR a acromion plat ou courbe. Materiel et methode Trente patients ont ete inclus de facon prospective entre decembre 2015 et avril 2016 repartis en 3 groupes : groupe 1 patients souffrant d’une tendinopathie non rompu explores par IRM, groupe 2 patients explores par burso-IRM et groupe temoin explore par IRM. Deux evaluateurs independants ont effectue les mesures du LAC sur IRM et burso-IRM. Une distance en mm de l’epaisseur du LAC (face superficielle-face profonde) et un rapport de mesure indirecte du LAC (AH/LH rapport de distance corticale inferieure de l’acromion-corticale superieure de la tete humerale sur face inferieure du LAC-corticale superieure de la tete humerale) etait effectue sur une meme coupe coronale definie. Des comparaisons intra- et inter-observateurs ont ete realisees. Resultats Il n’existe pas de difference significative des mesures inter-observateur IRM et burso-IRM (p = 0,204), ni de l’epaisseur du LAC (p = 0,46), ni du rapport (p = 0,422). Il existe une concordance des mesures de l’epaisseur du LAC inter-observateur (coefficient de correlation r de Pearson = 0,84) et intra-observateur pour l’evaluateur 1 (r = 0,96) et pour l’evaluateur 2 (r = 1). Les mesures du rapport AH/LH sont reproductibles inter-observateur (r = 0,64), et intra-observateur (respectivement r = 0,80 et r = 0,86). Les mesures de l’epaisseur du LAC et du rapport sont significativement plus elevees dans les groupes pathologiques en comparaison au groupe temoin (p = 0,028). Les mesures de l’epaisseur du LAC en burso-IRM dans le groupe pathologique sont significativement plus elevees (p = 0,001) que le temoin. Discussion Les mesures de l’epaisseur du LAC directe et indirecte sont reproductibles sur burso-IRM et IRM. Le LAC est epaissi dans les tendinopathies non rompues, non calcifiante a acromion plat ou courbe. Pour la burso-IRM, il existe un interet indicatif sur la morphologie du LAC et un interet therapeutique.

Summary Background Patellofemoral instability following total knee arthroplasty is a very common complication which may result from a defective rotational positioning of the femoral component. However, rotational landmarks for optimal orientation are not unequivocal. Moreover, no proven correlation has yet been established between preexisting rotational malposition and patellofemoral instability occurrence. Hypothesis Any preexisting distal femoral rotational misalignment is associated with a preop patellofemoral instability in arthritic knees prior to undergoing arthroplasty. A prospective diagnostic study was conducted to test this hypothesis on the basis of morphometric data. Material and methods One hundred and eighteen patients were prospectively enrolled in this study. Patellar lateralization was measured on 30 flexion patellofemoral views. Three positionings were arbitrarily defined (less than 3 mm of lateralization, between 3 and 5 mm, over 5 mm). Three angles were preoperatively measured using CT scans: (1) the posterior condylar angle between posterior bicondylar axis and transepiphyseal axis, (2) the anterior trochlear angle between transepicondylar axis and trochlear opening plane, (3) the sum of anterior trochlear and posterior condylar angles finally formed the global trochlear opening angle. Results The patella was centered in 86 cases and lateralized in 32 cases (less than 5 mm in 25 cases and over 5 mm in seven cases). Independently from the degree of patellar lateralization, the global trochlear opening angle was constant (p = 0,41). The value of the posterior condylar angle was statistically inferior when patella was centered (p = 0,01; r = 0,44). The value of the anterior trochlear angle varied opposite to the posterior condylar angle. Femoral anteversion, position of the anterior tibial tuberosity and tibiofemoral index could not be correlated with patellar positioning. No relationship could be established between patellar lateralization and overall torsional deformities of the lower extremity. Conclusion The centering of the patella in arthritic knees depends on distal femoral osseous factors which determines the posterior condylar angle and anterior trochlear angle on either side of the transepicondylar axis. Since the trochlear opening angle is constant, the obliquity of the transepicondylar axis appears crucial in patellar lateralization. A better understanding of the influence of distal femoral morphology on patellar positioning will ensure improved positioning of femoral components in total knee arthroplasties or in isolated femoropatellar joint replacements. Level of Evidence III: Prospective diagnostic study.

Introduction La technique de mosaicplastie necessite une selection rigoureuse des sites donneurs. Une importante difference d’epaisseur cartilagineuse entre sites donneurs et receveurs peut conduire a une incongruence ou une usure precoce. Le but de cette etude etait de determiner l’epaisseur cartilagineuse au niveau des principaux sites donneurs et receveurs de mosaicplastie dans une population jeune. Methodes Dix-neuf arthroscanners realises chez des patients de moins de 50 ans (moyenne d’âge 29 ans) et sans pathologie cartilagineuse ont ete analyses. Les sites donneurs etudies etaient : la partie mediale et laterale de la trochlee femorale, la partie centrale, mediale et laterale de l’echancrure intercondylienne et les condyles posterieurs. Le site receveur etudie etait la partie laterale du condyle medial habituellement concerne par les osteochondrites dissequantes. L’epaisseur cartilagineuse etait mesuree sur la version numerique de chaque coupe de reference prealablement definie. La methode etait validee par un test de correlation inter et intra observateur. Resultats Le cartilage articulaire est plus epais au niveau des sites receveurs (epaisseur moyenne : 2,5 mm) qu’au niveau des sites donneurs (epaisseur moyenne : 1,8 mm) (p Discussion Le cartilage des sites donneurs de mosaicplastie est constamment moins epais que celui des sites receveurs. Parmi les differents sites donneurs, la partie laterale de l’echancrure est la zone ou le cartilage est le moins epais. Ce site ne devrait pas etre preleve en priorite.

Introduction La rotation de l’implant femoral d’une prothese totale de genou reflete la torsion de l’extremite distale du femur. Objectif Nous avons mene une etude morphometrique pour evaluer l’existence d’une correlation entre torsion femorale distale et position patellaire. Materiel et Methodes 118 genoux arthrosiques symptomatiques (30 hommes, 88 femmes) etaient inclus prospectivement de novembre 2004 a juin 2006. Le bilan radiologique comprenait : cliches de genou face et profil en charge, et defile patello-femoral a 30 de flexion. Trois angles etaient mesures par scanner. L’angle d’ouverture trochleen (AOT) etait l’angle entre ligne bicondylienne posterieure (tangente a la partie la plus posterieure des condyles) et la ligne trochleenne anterieure (tangente a la partie la plus anterieure des berges trochleennes mediale et laterale). Il correspondait a la somme de l’angle condylien posterieur (ACP) et de l’angle trochleen anterieur. L’angle condylien posterieur (ACP), positif par convention, etait defini par l’angle forme entre la ligne bicondylienne posterieure et ligne bi-epicondylienne et refletait la torsion epiphysaire distale femorale. La ligne bi epicondyilienne unissait le sulcus de l’epicondyle medial et le point le plus proeminent de l’epicondyle lateral. L’angle trochleen anterieur (ATA) etait l’angle entre ligne bi-epicondylienne et la ligne trochleenne anterieure. La repartition de la position patellaire pre operatoire etait la suivante : 88 rotules etaient centrees, 32 etaient lateralisees (25 entre 3 et 5 millimetres et 7 plus de 5 mm). Resultats Quelle que soit la position de la patella, l’angle AOT etait constant (2, 2°+ 0,5) (p = 0,35). Dans les cas de rotule centree, les angles ACP et ATA avait une valeur basse, 6,5° + 0,2 et -7,7° + 0,2 respectivement. Dans les cas de rotule lateralisee, l’angle de torsion ACP etait eleve (8° + 0,3), compense par un angle anterieur ATA egalement eleve mais en sens inverse (- 0,3° + 0,3). Cette difference etait significative (p Discussion Ces correlations demontrent que la position patellaire est liee aux angles condylien posterieur et trochleen anterieur. A notre connaissance, cette etude est la premiere etablissant un lien entre l’angle condylien posterieur et la position patellaire. Une meilleure comprehension de l’incidence de la morphologie distale du femur sur la position patellaire permettra assurement d’ameliorer le positionnement de l’implant femoral dans les protheses femoro-patellaires et les protheses totales de genou, en augmentant la rotation femorale de l’implant dans ces cas.