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The influence of different food sources on cercarial production in Lymnaea truncatula experimentally infected with Digenea

Authors :
Daniel Rondelaud
Mouna Abrous
Gilles Dreyfuss
Source :
Veterinary Research, Veterinary Research, BioMed Central, 2002, 33 (1), pp.95-100. ⟨10.1051/vetres:2001009⟩
Publication Year :
2002
Publisher :
EDP Sciences, 2002.

Abstract

International audience; Experimental infections of Lymnaea truncatula with a digenean species (Fasciola gigantica, F. hepatica, or Paramphistomum daubneyi) were performed under laboratory conditions to study the effect of four sources of food (microalgae, romaine lettuce, wheat germs, or modified Boray diet) on cercarial production. The mean number of F. hepatica, F. gigantica, or P. daubneyi cercariae was significantly greater when snail food was microalgae or Boray diet. The lowest cost prices for 100 metacercariae of F. hepatica (9.7-10.1 euros) were noted when algae of Boray diet were used as food for snails. In contrast, the highest prices (18.0-18.5 euros) were found in lettuce-reared snails. The choice of a source of food for breeding the intermediate hosts of F. hepatica and collecting metacercariae must take into account the importance of the commercial demand for metacercariae and will depend on the strategy the producer wishes to develop.; Influence de différentes sources de nourriture sur la production cercarienne chez des Lymnaea truncatula infestées expérimentalement par des Digènes. Des infestations expérimentales de Lymnaea truncatula avec un Digène (Fasciola gigantica, F. hepatica, or Paramphistomum daubneyi) ont été réalisées dans les conditions du laboratoire afin d'étudier l'impact de quatre types de nourriture (algues, laitue romaine, germes de blé, aliment modifié de Boray) sur la croissance des mollusques et la production cercarienne. La production cercarienne de F. hepatica, de F. gigantica ou de P. daubneyi était significativement plus élevée lorsque le mollusque était nourri avec des algues ou avec l'aliment modifié de Boray. Les prix de revient les plus faibles pour 100 métacercaires de F. hepatica (9,7-10,1 euros) ont été obtenus avec l'emploi d'algues ou de l'aliment modifié de Boray. Les prix les plus élevés (18,0-18,5 euros) ont été notés avec l'emploi de la laitue. Le choix de l'alimentation pour élever les hôtes intermédiaires de F. hepatica et recueillir les métacercaires doit tenir compte de l'importance de la demande commerciale pour ces larves et dépendra de la stratégie que le producteur souhaite développer.

Details

ISSN :
12979716 and 09284249
Volume :
33
Database :
OpenAIRE
Journal :
Veterinary Research
Accession number :
edsair.doi.dedup.....d00070b176dd43b8b2afda583829c84d