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Après la démolition du premier théâtre, s’ouvre un grand chantier destiné à offrir un édifice de spectacle plus grand et mieux conçu que le précédent. De plan outrepassé, le nouveau théâtre présente une vaste orchestra avec une estrade scénique appuyée au mur périmétral rectiligne et un postscaenium adossé à l’arrière. Une entrée s’ouvre dans ce même mur rectiligne, de chaque côté de la scène : elle donne accès à un gradin d’honneur installé en bordure de l’orchestra. Celle-ci était recouvert...

Bien qu’E. Frezouls ait souligné lui‑même les limites de la terminologie sommaire qu’il a proposée lors de la publication du théâtre de Philippopolis, je renvoie volontiers en ce qui concerne les éléments des théâtres classiques à ses choix et à ses définitions, qui me paraissent dans l’ensemble fort heureux (Coupel, Frézouls 1956 : 129‑131). Cependant, face à un théâtre de type gallo‑romain, nous nous trouvons souvent démunis pour nommer les variantes qui affectent des dispositifs désignés d...

Le théâtre est installé à l’extérieur de la ville, à 400 m du centre monumental. Adossé au coteau de la Creuse, il est dominé par un sanctuaire avec fana, révélé par la prospection aérienne. Si les observations architecturales et stratigraphiques ont permis de mettre en place la chronologie relative, il est difficile d’avancer des dates précises pour chacune des étapes, car le mobilier, peu abondant, est essentiellement résiduel. Le premier théâtre (état 1A) est construit au milieu du ier s. ap. J.‑C. Agrandi dans les années 70 (état 1B), il connaît, à la fin du ier s., des embellissements importants (état 2). Régulièrement entretenu pendant la première moitié du iie s., le théâtre est démoli vers 180 ap. J.‑C. et immédiatement remplacé par un nouvel édifice. Celui‑ci ferme définitivement ses portes dans la. première moitié du ives. Après une période d’abandon, il est systématiquement démonté et ses blocs débités vers la fin du ive s., comme le suggèrent les monnaies. En ruine, il fait l’objet de récupérations à l’époque médiévale, avant d’être planté en vigne vers le xvie s. The theatre was erected outside of the city, 400 m from the central monuments area. A sanctuary with fana, revealed by an aerial survey, overlooked the theatre, which backed up against a low ridge of the Creuse river valley. A relative chronology has been established on the basis of architectural and stratigraphic observations, but it is difficult to make precise datings for each of the phases involved, because the artefacts found were few in number and essentially residual in nature. The first theatre (phase 1A) was built in the middle of the 1st c. AD. Enlarged in the 70s (phase 1B), it was considerably embellished at the end of the 1st c. (phase 2). The theatre was regularly maintained during the first half of the 2nd c., then demolished around 180 AD and immediately replaced by a new edifice. The latter closed its doors for the last time in the first half of the 4th c. After a period of abandonment, the theatre was systematically dismantled and its stone blocks cut up towards the end of the 4th c., as is suggested by the coins found. It remained in ruins, and was picked over in the medieval period, before a vineyard was planted around the 16th c. Das Theater liegt außerhalb der Stadt, 400 m vom monumentalen Zentrum entfernt. Es liegt an den Hängen der Creuse und wird von einem Heiligtum mit Fana überragt, das durch Luftaufnahmen nachgewiesen wurde. Obwohl die architektonischen und stratigraphischen Beobachtungen es ermöglicht haben, eine relative Chronologie zu erstellen, so ist es doch schwierig, genaue Daten für jede einzelne Phase vorzuschlagen, da das spärliche Material vor allem residualer Natur ist. Das erste Theater (Phase 1A) wird in der Mitte des 1. Jh. n. Chr. erbaut. In den 70‑iger Jahren wird es vergrößert und gegen Ende des Jahrhunderts wesentlich verschönert (Phase 2). In der ersten Hälfte des 2. Jh. n. Chr. wird es regelmäßig unterhalten, um gegen 180 n. Chr. abgebrochen und sofort wieder durch einen Neubau ersetzt zu werden. Dieser wiederum schließt seine Tore endgültig in der ersten Hälfte des 4. Jh. Nach einer Zerfallphase. Gegen Ende des 4. Jh. wird er systematisch abgebaut und die Steinblöcke zersägt, wovon Münzen zeugen. Als Ruine wird das Theater im Mittelalter als Materialquelle genutzt, bevor es im 16. Jh. mit Wein bepflanzt wird.

Ce chapitre explore les comparaisons entre les deux édifices, afin de réfléchir sur les comportements de la communauté qui les a élevés à un siècle d’intervalle. Si l’on suit bien l’amélioration de la circulation à l’intérieur de l’édifice ou les progrès réalisés dans l’installation des spectateurs, ce qui apparaît primordial, c’est la mise en place de circuits hiérarchisés et la construction d’un gradin d’honneur pour accueillir les notables. Il faut d’ailleurs s’interroger sur la nature de ce groupe qui ne correspond à aucun corps officiel, à moins qu’il ne s’agisse des décurions du chef-lieu désireux d’assister à des ludi scaenici. Il se propose également d’esquisser, à travers un théâtre qui surgit dès le milieu du ier s. et qui connaît de nombreuses transformations, une histoire du théâtre gallo-romain. Les principaux point abordés ici concernent le tracé outrepassé et ses évolutions ; la construction de la cavea sur remblai ; des modalités originales dans la mise en place de gradins, moins élevés que ne le recommande Vitruve mais adaptés à une pente faible ; et enfin l’invention de la scène gallo-romaine avec son plateau réduit, dressé dans l’orchestra, ses deux portes ouvertes dans le mur de fond décoré comme une frons scaenae et son indispensable arrière-scène. This chapter explores the comparisons between the two buildings, seeking to understand the behavior of the community that built them, a hundred years apart in time. While the improved pathways for circulation inside the edifice and the progress made in the seating for spectators are clearly discernible, it is the creation of hierarchical passages and the construction of a grandstand for prominent citizens that emerge as the crucial developments. And questions subsist as to the nature of this group, which does not correspond to any officially constituted rank or status, unless it be the decurions who wanted to watch the ludi scaenici. This chapter also outlines a history of Gallo-Roman theatre architecture, through the evolution of a theatre which sprang up in the middle of the 1st c. and was frequently transformed. The main points discussed here are the horseshoe arc and its modification; the cavea built on rubble; the original way in which the tiers were placed, lower than what was recommended by Vitruvius, but adapted to the gentle slope; and lastly the invention of the Gallo-Roman stage, with its small platform raised in the orchestra pit, its two doors opened in the rear wall decorated to resemble a frons scaenae, and the indispensable backstage area. In diesem Kapitel werden die Vergleiche zwischen den beiden Gebäuden ausgearbeitet, um die Verhaltensweisen der Gemeinschaft zu erforschen, die die beiden Theater in einem Intervall von einem Jahrhundert erbaut hat. Bei der Beobachtung der Verbesserung der Zirkulation im Inneren des Gebäudes oder der Fortschritte, die bezüglich der Unterbringung der Zuschauer realisiert worden waren, scheint die Hierarchisierung der Zugänge und der Bau einer Ehrentribüne für den Empfang der Persönlichkeiten der Stadt wesentlich gewesen zu sein. Man muß sich übrigens fragen, wer diese Notabeln waren, da sie keinem offiziellen Korpus entsprechen, es sei denn, es handelt sich um die Dekurionen des Hauptortes, die den Ludi scaenici beizuwohnen wünschten. Es bietet sich auch an, anhand dieses Theaters, das Mitte des 1. Jh. erbaut wird und vielen Veränderungen unterliegt, einen Abriß der Geschichte des gallo-römischen Theaters vorzuschlagen. Die Hauptthemen, denen diese Studie gewidmet ist, sind die Mauer in Hufeisenbogenform und ihre Weiterentwicklungen, der Bau der Cavea auf Schuttauffüllungen, originelle Ausführungen in der Anordnung der Sitzreihen, die weniger hoch sind als es Vitruv empfiehlt, jedoch einer schwachen Hangneigung angepaßt sind und schließlich die Erfindung der gallo-römischen Bühne mit ihrer verkleinerten Spielfläche, die in der Orchestra errichtet ist, ihren beiden Türen in der, wie eine Frons scaenae dekorierten Hintermauer und ihrer unerläßlichen Hinterbühne.

Le théâtre d’Argentomagus, agglomération secondaire de la cité des Bituriges Cubes, appartient à la série des édifices qu’A. Grenier désignait sous le nom de théâtres‑amphithéâtres et que l’on appelle désormais théâtres de type gallo‑romain. Depuis la parution, en 1958, du tome du Manuel d’archéologie gallo‑romaine consacré aux édifices de spectacle, la problématique s’est considérablement renouvelée et il est apparu que seule la fouille stratigraphique pouvait répondre aux nombreux problèmes en suspens. Aussi la proposition de reprendre, en 1981, la fouille du théâtre dans la double perspective d’une publication scientifique et d’une mise en valeur de l’édifice a‑t‑elle rencontré un avis très favorable. C’est avec l’idée de retracer les divers moments de l’histoire du monument, mais aussi de saisir certains aspects de la romanisation dans une petite ville du Centre de la Gaule, que le programme de fouilles a été mené. The theatre at Argentomagus, a small locality within the city of Bituriges Cubi, belongs to the series of edifices that A. Grenier called amphitheatre‑theatres, and which are now known as Gallo‑Roman theatres. The issues broached in the study of theatre buildings have changed considerably since the publication in 1958 of the volume of the Manuel d’Archeologie gallo‑romaine devoted to these edifices, and clearly only a stratigraphic excavation could address the many questions that remained unanswered. The proposal formulated in 1981, suggesting excavation of the theatre with the double purpose of publishing a scientific report and renovating the building, was therefore very well received. The excavation program was conducted with the idea of retracing various moments in the history of the monument, and in an attempt to grasp certain aspects of the romanisation of a small town in central Gaul. Das Theater von Argentomagus, einer zweitrangigen Siedlung der Civitas der Bituriges Cubi gehört zu den Gebäuden, die A. Grenier als Theater‑Amphitheater bezeichnete, und die von nun an Theater des gallo‑römischen Typus genannt werden. Seit dem Erscheinen des Handbuches der gallo‑römischen Archäologie Manuel d’archeologie gallo‑romaine 1958, das den Zirkus‑ und Theaterbauten gewidmet war, hat sich die Problematik beträchtlich weiterentwickelt, und es ist klar geworden, daß die neu aufgeworfenen Fragen allein anhand stratigraphischer Grabungen beantwortet werden könnten. So hat der Vorschlag im Jahre 1981, die Ausgrabungen des Theaters mit der doppelten Perspektive einer wissenschaftlichen Veröffentlichung und einer Instandsetzung wiederaufzunehmen, großen Anklang gefunden. Die Grabungen sind mit der Absicht durchgeführt worden, die unterschiedlichen Phasen der Geschichte des Gebäudes nachzuvollziehen, aber auch einige Aspekte der Romanisierung in einer kleinen Stadt Zentralgalliens zu erfassen.

On comprend mieux que quelques décennies plus tard et contrairement à la pratique habituelle, on ait préféré démolir le théâtre et en rebâtir un autre, plus grand (83,20 m de diamètre), mieux conçu (il a quatre couloirs rayonnants voûtés) et desservi par plusieurs circuits internes. Cependant cette décision onéreuse s’accompagne de consignes d’économie, puisque les blocs de gradins du premier édifice sont réutilisés dans une cavea qui apparaît fort « bricolée ». Sans doute y a‑t‑il des compensations : une tribune pour le prêtre présidant la représentation ; un gradin d’honneur pour les notables ; un plancher dans l’orchestra pour cacher les aspérités du rocher sous‑jacent ; une scène enfin, qui va rapidement être agrandie, revêtue de placages et décorée d’une frons scaenae avec pilastres stuqués couronnés d’une corniche à feuillages. Ce nouveau théâtre est en service tout au long du iiies., voire jusqu’au début du ives., au moment où l’on installe la fabrica armorum omnium. Commence ensuite pour lui une mort lente où alternent phases d’abandon et phases de récupération jusqu’à son enfouissement définitif. It is thus not too hard to understand why a few decades later, contrary to common practice, the theatre was demolished and a second one built, larger (83.20 m in diameter) and better designed, with four vaulted radiating corridors and a system of several interior passageways. This costly decision, however, was coupled with instructions for economy, because the tier blocks from the first building were reused in a cavea that has a decidedly "cobbled together" appearance. There were certainly compensating features: a dais for the priest who presided over performances; a grandstand for prominent citizens; flooring in the orchestra pit to hide the roughness of the underlying rock; and lastly a stage, rapidly enlarged, with facings and a decorative frons scaenae of stucco pilasters crowned by a cornice of sculpted foliage. This new theatre was used throughout the 3rd c. and probably up to the early 4th c., at which time the fabrica armorum omnium was installed. Then commenced a slow death, in which moments of abandonment alternated with pillaging, until the theatre was definitively buried. Es ist verständlich, daß man es einige Jahrzehnte später vorgezogen hat das Theater entgegen der Gewohnheit abzubrechen, um es durch ein neues zu ersetzen, das größer (83,20 m Durchmesser) und besser durchdacht war (es war mit vier strahlenförmigen überwölbten Gängen ausgestattet) und dessen Zirkulation durch mehrere innere Gangsysteme organisiert war. Diese teure Entscheidung wird jedoch von Sparmaßnahmen begleitet, da die Blöcke der Sitzreihen des ersten Gebäudes in einer Cavea wiederverwandt werden, die sehr "zusammengebastelt" aussieht. Dieser Nachteil wird zweifellos durch eine Anzahl von Vorteilen aufgewogen: eine Tribüne für den, der Vorstellung vorsitzenden Priester, eine Ehrentribüne für die örtlichen Persönlichkeiten, ein Boden in der Orchestra, der die Unregelmäßigkeiten des Gesteins darunter verbarg und schließlich eine Bühne, die bald vergrößert und mit einer Frons scaenae mit stuckierten, von einem Blättergesims gekrönten Pilastern verkleidet wurde. Dieses neue Theater ist das ganze 3. Jh. über und vielleicht bis Anfang des 4. Jh. in Gebrauch gewesen; bis man die Fabrica armorum omnium installiert hat. Damit beginnt für das Theater ein schleichender Tod. Es wechseln Phasen ab, in denen es bald verlassen da lag, bald als Steinbruch genutzt wurde bis es endgültig in Vergessenheit geriet und überdeckt wurde.

Le premier théâtre d’Argentomagus présente trois périodes, et il aurait peut-être été préférable de les désigner ainsi. Cependant, comme la deuxième période n’a été identifiée que très récemment et que les diverses publications (Dumasy 1985b : 114 ; 1987b : 579 ; 1989a et b ; 1992 : 21-22) ne font allusion qu’à deux états –un premier état correspondant aux deux premières périodes et un second état–, j’ai estimé préférable de garder ce découpage. Les deux premières périodes ont donc été regrou...

État 2 Les transformations touchent cette fois-ci la cavea, qui est équipée de gradins en pierre dont le tracé et la construction s’inspirent de leurs prédécesseurs en bois. C’est dans ce sens que nous employons le terme de pétrification qui fait allusion à la traduction dans la pierre d’éléments initialement en bois. Ces travaux sont réalisés avec un mortier de teinte orangée qui tient à l’utilisation d’un sable rouge d’origine locale. La construction des gradins s’accompagne de l’ouverture ...

Le théâtre d’Argentomagus ne figure ni parmi les plus grands édifices de la série gallo-romaine –son diamètre passe de 56,50 m à 64 m, puis à 83,20 m–, ni parmi les plus monumentaux –ses gradins restent moins larges et moins hauts que les autres–, ni parmi les plus richement décorés –sa frons scaenae n’offre qu’un décor plaqué. C’est probablement à cause de la modestie de ses dimensions comme de sa réalisation, mais aussi à cause de sa longue histoire et de ses fréquentes transformations, qu’il apparaît, à l’heure actuelle, comme l’un des meilleurs représentants de l’architecture théâtrale gallo-romaine. Typique de ces dizaines d’édifices construits dans les petites villes de Gaule, du milieu du ier s. jusqu’à la fin du iies., il témoigne de l’inventivité des architectes, des efforts des notables pour romaniser leur cadre de vie et du goût du public pour les jeux de la scène. The theatre at Argentomagus is not among the largest of the Gallo-Roman edifices –it measured 56.50 m, then 64 m, and finally 83.20 m– it is not one of the most monumental –its tiers are narrower and lower than in other theatres– nor among the most richly decorated –its frons scaenae is only a surface decor. It is probably because of its modest dimensions and unpretentious execution, as well as its long history and frequent transformations, that today this theatre emerges as one of the best specimens of Gallo-Roman theatre architecture. It is typical of the dozens of edifices built in small cities throughout Gaul from the middle of the 1st c. to the end of the 2nd c. and it is a testimonial to the inventiveness of the architects, the efforts of prominent citizens to romanise their lifestyle, and the public’s taste for games and performances. Das Theater von Argentomagus gehört weder zu den größten der gallo-römischen Bauten dieser Art –sein Durchmesser vergrößert sich von 56,50 m auf 64 m und schließlich 83,20 m–, noch zu den monumentalsten –seine Sitzreihen bleiben schmaler und niedriger als die der anderen Theater–, weder zu denen mit dem reichsten Dekor –seine Frons scaenae besteht nur aus einer aufgetragenen Dekoration. Wahrscheinlich erscheint es heute eben wegen der Bescheidenheit seiner Ausmaße und Ausstattung, aber auch wegen seiner langen Geschichte und seiner häufigen Umbauten als einer der besten Repräsentanten der gallo-römischen Theaterarchitektur. Als typischer Vertreter dieser Gebäude, die in den kleinen Städten Galliens von der Mitte des 1. Jh. bis Ende des 2. Jh. gebaut worden waren, zeugt es von dem Erfindungsreichtum der Architekten, den Anstrengungen der Elite, ihren Lebensraum zu romanisieren und dem Gefallen des Publikums an Theatervorstellungen.

V Sloveniji je konjeništvo priljubljena športna in rekreativna panoga. Kljub temu v državi ni urejenega in ustrezno opremljenega galopskega dirkališča. Obstoječe začasne steze ne ustrezajo pravilniku Slovenskega Galopskega Društva. Za varnost in udobje gledalcev ter konj je tako lahko le minimalno poskrbljeno. Celostno oblikovano območje galopskih dirk in drugega konjeniškega športa pripomore h kakovostnemu šolanju konj ter jahačev, vrhunski organizaciji dogodkov in nepozabnemu doživetju obiskovalcev. Naloga rešuje lociranje in oblikovanje osrednje lokacije konjeniških dirk v Sloveniji. To pomeni izpopolnitev slovenske mreže konjeniških dejavnosti, vzpostavitev stalne galopske steze in dvig ravni teh prireditev ob bok mednarodnim. Na lokalni ravni kompleks uredi degradirano območje, obogati raznovrstnost športnih dejavnosti in prireditvenih površin.

With the recommencement of exploration in 2017 by Bellevue Gold Limited at the historical Bellevue Gold Mine in the Agnew-Wiluna greenstone belt, a review of the historical geophysical datasets was undertaken. This included remodelling of downhole EM and the delineation of two priority target conductors. New petrophysical testing of historical core samples confirmed that gold mineralisation, spatially associated with semi-massive to massive pyrrhotite and lesser chalcopyrite, was strongly conductive and chargeable. Bellevue Gold Limited began drill testing in mid-2017 based on a new geological model and has made multiple discoveries since, including Tribune, Viago, and the Deacon DHEM discovery. Modern high-powered DHEM has become a routine exploration tool for cost-effectively targeting high-grade gold mineralisation., Open-Access Online Publication: March 03, 2023

Στο παρόν άρθρο δημοσιεύεται για πρώτη φορά συστηματικά μια αφιερωτική επιγραφή του 5ου ή του 6ου αιώνα, που σώζεται επαναχρησιμοποιημένη στον ναό του Αγίου Θαλλελαίου στη Χώρα της Πάτμου. Σε αυτήν μαρτυρείται η επίστρωση μιας βασιλικής με δαπάνη του διασωθέντος από ναυάγιο τριβούνου Παύλου, επί επισκόπου Μελιτίου. Η επιγραφή είναι πιθανό να σχετίζεται με την παλαιοχριστιανική βασιλική του Αγίου Ιωάννη του Θεολόγου, τα απομεινάρια της οποίας περιγράφονται στο πρακτικό της παράδοσης του νησιού στον όσιο Χριστόδουλο. Από το ίδιο μνημείο προέρχονται ακόμα επιγραφή εγκαινίων με μνεία του επισκόπου Επιθυμητού και ενεπίγραφος όρος., This article aims to present systematically for the first time a reused votive inscription of the 5th or the 6th century, preserved now in the church of Saint Thallelaios at Chora, Patmos. It commemorates the paving of a basilica at the expense of the tribune Paul after he was rescued from a shipwreck, during Melitios’ episcopate. The inscription is probably connected with the Early Christian basilica of Saint John the Theologian, the remains of which are recorded in the inventory of the island before it was handed over to Hosios Christodoulos. A foundation inscription mentioning bishop Epithymetos and a boundary mark also originate from the same monument.

International audience

International audience

International audience; « La Chambre a, comme le théâtre, ses premiers sujets, ses doublures, ses utilités et ses comparses ». La formule concise que Pierre Bernard cisèle dans sa Physiologie du député (1841) rappelle combien la comparaison entre l’orateur parlementaire et le comédien tend à devenir un véritable topos au cours du XIXe siècle. Des sources aussi nombreuses que variées en attestent : les écrits du for privé, la presse, la littérature ou encore l’iconographie – en particulier les caricatures de Daumier et Cham publiées dans Le Charivari – peuvent ainsi être confrontés aux comptes-rendus in extenso des débats parlementaires. Dans le cadre de ce bref article (illustré par des caricatures) visant à interroger ce qui peut relever du cabotin dans l’orateur parlementaire, on rappellera d’abord les éléments constitutifs du parallèle entre la salle des séances et la salle de théâtre avant d’analyser les traits saillants du cabotinage à la tribune. L'épilogue élargit la réflexion sur la notion de collaboration littéraire entre le cabotin parlementaire et le sténographe.

International audience

Der Beitrag beschreibt Typologien von Emporen, Treppen und Tribünen in sächsischen Sakral- und Profanbauten der Spätgotik. Welche Aufgaben und Funktionen hatten sie in der weltlichen und geistlichen Machtpolitik? Welche Herrschaftsinszenierungen und Visualisierungsstrategien ließen sich mit ihrer Hilfe umsetzen? Emporen und Treppen im Innen- und Außenraum werden analysiert.

Artículo de la sección Tribuna: investigación y profesión. La prensa escrita sin distinción geográfica, de difusión o de volumen de negocio está experimentando en la última década los efectos de una crisis doble, superpuesta e interactiva. Sin minimizar la revolución digital y sin obviar la crisis económica, amén de otros tantos aspectos específicos, estructurales y coyunturales propios del negocio de los medios impresos, el futuro de la prensa escrita pasa sin ningún tipo de dudas por una profunda transformación que no solo asegure su pervivencia sino que consiga convertir lo que ahora son sus debilidades en los pilares de su desarrollo. La convergencia digital y la adaptación a los nuevos parámetros sociales y económicos derivados de la crisis económica y de valores deben ser las soluciones de su futuro. Tribune Article section: Research and profession. The written no geographical distinction, broadcast or press turnover being experienced in the last decade the effects of a double, overlapping and interactive crisis. Without minimizing the digital revolution and without forgetting the economic crisis, in addition to many other specific, structural and cyclical own business aspects of print media, the future of the print media passes without any doubt a profound transformation that not only ensures its survival but get turn what are his weaknesses on the pillars of development. Digital convergence and adaptation to new social and economic parameters derived from the economic crisis and stock solutions should be their future.