Dans l’article, sont présentés les principes idéologiques de base et ceux d’organisation de deux mouvements de l'extrême-droite à la RFA, à savoir „La Nouvelle Droite” et le néo[1]nazisme. La période du développement le plus grand du prémier mouvement tombe sur les années 70 et 80 du XXme siècle. Le second juit toujours d’une popularité, en particulier dans les parties orientales de l’Allemagne unifié. A la RFA, aux groupements les plus importants de la néo-droite appartenait l’Aktion Neue Rechte, qui vient de finir son activité. Parmi nombréuses organisations néo-nazies il n’y en avait pas pourtant aucune qui a réussi remporter une position politique du rang premier, bien qu’on faisait des essais, par Michaèl Kuehnen parmi d’autres, en vue de faire consolider ce milieu dispersé. La rélation entre la Novelle Droite et le néo-nazisme se forme dans la manière ressemblante aux rapports entre les conservateurs revolutionnaires et les nazistes au temps de la République de Weimar. Pas toujours spécialement, ceux premiers fournissait aux séconds, les arguments téoriques pour le nationalisme et l’autoritarisme et contre le liberalisme et la démocratie parlementaire. Après la seconde guèrre pareillement, la néo-droite essaya de jouer le rôle d’un guide spirituel parmi tous les courants de l’extrême-droite. De son oeuvre doctrinal, crée par Alain de Benoist, Klaus-Gerard Kaltenbrunner, Armin Mohler, Gerd Waldmann et par les autres nombreux idéologues, les extremistes de droite tiraient les conceptions d’une forme nouvelle du rasisme, de la xénophobie, ou de l’élitarisme c’est-à-dire de l’etnopluralisme, de l’etologie, de la zoo-psychologie et de la „méritocration”. A la RFA et dans d’autres pays d’Europe, surtout en France, la doctrine de l’extrême-droite se caractérise par sa réserve l’égard de l’idée de l’intégration du notre continent, c’est qui a sa source dans son anti[1]americanisme d’aujourd’hui et dans son anti-sovietisme d’hier. A la RFA, dans toutes les conceptions, Dans l’article, sont présentés les principes idéologiques de base et ceux d’organisation de deux mouvements de l'extrême-droite à la RFA, à savoir „La Nouvelle Droite” et le néo[1]nazisme. La période du développement le plus grand du prémier mouvement tombe sur les années 70 et 80 du XXme siècle. Le second juit toujours d’une popularité, en particulier dans les parties orientales de l’Allemagne unifié. A la RFA, aux groupements les plus importants de la néo-droite appartenait l’Aktion Neue Rechte, qui vient de finir son activité. Parmi nombréuses organisations néo-nazies il n’y en avait pas pourtant aucune qui a réussi remporter une position politique du rang premier, bien qu’on faisait des essais, par Michaèl Kuehnen parmi d’autres, en vue de faire consolider ce milieu dispersé. La rélation entre la Novelle Droite et le néo-nazisme se forme dans la manière ressemblante aux rapports entre les conservateurs revolutionnaires et les nazistes au temps de la République de Weimar. Pas toujours spécialement, ceux premiers fournissait aux séconds, les arguments téoriques pour le nationalisme et l’autoritarisme et contre le liberalisme et la démocratie parlementaire. Après la seconde guèrre pareillement, la néo-droite essaya de jouer le rôle d’un guide spirituel parmi tous les courants de l’extrême-droite. De son oeuvre doctrinal, crée par Alain de Benoist, Klaus-Gerard Kaltenbrunner, Armin Mohler, Gerd Waldmann et par les autres nombreux idéologues, les extremistes de droite tiraient les conceptions d’une forme nouvelle du rasisme, de la xénophobie, ou de l’élitarisme c’est-à-dire de l’etnopluralisme, de l’etologie, de la zoo-psychologie et de la „méritocration”. A la RFA et dans d’autres pays d’Europe, surtout en France, la doctrine de l’extrême-droite se caractérise par sa réserve l’égard de l’idée de l’intégration du notre continent, c’est qui a sa source dans son anti[1]americanisme d’aujourd’hui et dans son anti-sovietisme d’hier. A la RFA, dans toutes les conceptions