30 results on '"L. Bolko"'
Search Results
2. Les mesures de santé perçues par les patients sont différentes en fonction du rhumatisme inflammatoire
- Author
-
L. Bolko, A. Hittinger, V. Defente, M. Geoffroy, I. Charlot, C. Chopin, C. Dorilleau, and J.H. Salmon
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2022
3. Plasmocytome solitaire osseux : caractéristiques et facteurs associés au risque d’évolution vers le myélome multiple, sur une cohorte de 31 patients suivis au CHU de Reims entre janvier 2000 et juin 2022
- Author
-
L. Vellutini, I. Charlot, M. Geoffroy, C. Chopin, C. Dorilleau, L. Bolko, A. Hittinger, J. Fabre, D. Papathanassiou, A. Quinquenel, L. Kanagaratnam, and J.H. Salmon
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2022
4. Évaluation de la sarcopénie comme facteur pronostique de survie chez les patients atteints de myélome multiple
- Author
-
L. Zahouily, L. Bolko, I. Charlot, M. Geoffroy, A. Hittinger, C. Chopin, C. Dorilleau, and J.H. Salmon
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2022
5. Dosage urinaire du méthotrexate dans l’évaluation de l’observance chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde
- Author
-
N. Theate, M. Geoffroy, L. Kanagaratnam, C. Gozalo, L. Bolko, I. Charlot, A. Hittinger, Z. Djerada, and J.H. Salmon
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2022
6. Évaluation de la prévalence de la sarcopénie dans les arthrites juvéniles idiopathiques de l’adulte
- Author
-
I. Slitine, A. Hittinger, I. Charlot, L. Bolko, M. Geoffroy, and J.H. Salmon
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2022
7. Précision diagnostique de l’électromyogramme dans les myosites
- Author
-
Olivier Benveniste, C. Pineau, Thierry Maisonobe, S. Leonard Louis, Y. Allenbach, L. Kanagaratnam, Céline Anquetil, J.H. Salmon, and L. Bolko
- Subjects
Rheumatology - Published
- 2021
8. Évaluation de l’impact de la sédentarité imposée par le confinement sur les répartitions des compartiments corporels : étude CONFINED-19
- Author
-
M. Geoffroy, A. Hittinger, I. Lambrecht, L. Kanagaratnam, J.H. Salmon, L. Pauvele, and L. Bolko
- Subjects
2019-20 coronavirus outbreak ,Coronavirus disease 2019 (COVID-19) ,Rheumatology ,Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) ,Philosophy ,Humanities - Abstract
Introduction La sedentarite est responsable de nombreuse comorbidite dans les pathologies rhumatismale ou non avec une augmentation du risque comorbidite cardiovasculaire. Neanmoins, nous ne connaissons pas precisement a l’heure actuel l’impact de cette sedentarite sur les repartitions des compartiments corporels (masse grasse, masse maigre). Dans le contexte exceptionnel de cette annee et l’epidemie de COVID-19, le gouvernement a pris une mesure exceptionnelle de confinement de la population afin de limiter la propagation du virus entrainant une augmentation de la sedentarite. L’objectif de cette etude etait donc d’evaluer l’impact de la sedentarite imposee sur les repartitions des compartiments corporels. Patients et methodes Nous avons inclus tous les patients suivis en hopital de jour pluridisciplinaire apres information et recuperation d’un consentement signe, a l’exclusion des femmes enceintes. La sedentarite etait evaluee par l’autoquestionnaire de Ricci et Gagnon (RG gold standard dans cette indication. Les mesures etaient realisees avant ou pendant les 15 premiers jours de confinement pour la premiere mesure et a M2 ± 15 jours pour la mesure post-confinement. Resultats Soixante-deux patients ont ete inclus dans cette etude. Quarante-cinq patients ont effectivement beneficies des mesures repetees des compartiments corporels dans le delai du confinement. L’âge moyen etait de 39,98 ± 16,31 ans, avec une legere majorite d’homme (53,33 %). L’IMC moyen etait de 24,86 ± 3,97, les patients etaient en moyenne actif (RG un score > 18 definissant les patients actifs. Pendant le confinement, les patients diminuaient leurs activites physiques de maniere statistiquement significative (RG p = 0,2721). Dans le groupe sedentaire, la prise de MG expliquait les variations de masse totale (MG avant = 23,88 ± 5,634 vs MG post = 25,52 ± 6,070 p = 0,0001) alors qu’il n’y avait pas de difference sur la masse maigre (MM pre = 49,06 ± 10,54 vs MMpost = 48,07 ± 10,38 p = 0,0686). Conclusion La sedentarite entraine une prise de masse grasse sans perte de masse maigre a court terme. Le questionnaire de Ricci et Gagnon pourrait etre utilise en depistage de cette sedentarite dans les rhumatismes inflammatoire afin de pouvoir conseiller la pratique d’une activite physique adapte a la pathologie.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
9. Diagnostic potential of sarcoplasmic myxovirus resistance protein A expression in subsets of dermatomyositis
- Author
-
Sarah Leonard-Louis, Olivier Boyer, K. Mariampillai, Thierry Maisonobe, C. Rasmussen, L. Bolko, Shigeaki Suzuki, O. Landon-Cardinal, L. Musset, Akinori Uruha, Yves Allenbach, Werner Stenzel, J.L. Charuel, Ichizo Nishino, A. Aussy, and Olivier Benveniste
- Subjects
Adult ,Male ,Myxovirus Resistance Proteins ,0301 basic medicine ,medicine.medical_specialty ,Histology ,Adolescent ,Antisynthetase syndrome ,Sensitivity and Specificity ,Dermatomyositis ,Pathology and Forensic Medicine ,Young Adult ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Atrophy ,Physiology (medical) ,Internal medicine ,medicine ,Humans ,Receptors, Immunologic ,Child ,Myositis ,Aged ,Aged, 80 and over ,business.industry ,Autoantibody ,Skeletal muscle ,Middle Aged ,medicine.disease ,030104 developmental biology ,Endocrinology ,medicine.anatomical_structure ,Neurology ,DEAD Box Protein 58 ,Immunohistochemistry ,Female ,Neurology (clinical) ,Inclusion body myositis ,business ,Biomarkers ,030217 neurology & neurosurgery - Abstract
Aims To elucidate the diagnostic value of sarcoplasmic expression of myxovirus resistance protein A (MxA) for dermatomyositis (DM) specifically analysing different DM subforms, and to test the superiority of MxA to other markers. Methods Immunohistochemistry for MxA and retinoic acid-inducible gene I (RIG-I) was performed on skeletal muscle samples and compared with the item presence of perifascicular atrophy (PFA) in 57 DM patients with anti-Mi-2 (n = 6), -transcription intermediary factor 1 gamma (n = 10), -nuclear matrix protein 2 (n = 13), -melanoma differentiation-associated gene 5 (MDA5) (n = 10) or -small ubiquitin-like modifier activating enzyme (n = 1) autoantibodies and with no detectable autoantibody (n = 17). Among the patients, nine suffered from cancer and 22 were juvenile-onset type. Disease controls included antisynthetase syndrome (ASS)-associated myositis (n = 30), immune-mediated necrotizing myopathy (n = 9) and inclusion body myositis (n = 5). Results Sarcoplasmic MxA expression featured 77% sensitivity and 100% specificity for overall DM patients, while RIG-I staining and PFA reached respectively 14% and 59% sensitivity and 100% and 86% specificity. In any subset of DM, sarcoplasmic MxA expression showed higher sensitivity than RIG-I and PFA. Some anti-MDA5 antibody-positive DM samples distinctively showed a scattered staining pattern of MxA. No ASS samples had sarcoplasmic MxA expression even though six patients had DM skin rash. Conclusions Sarcoplasmic MxA expression is more sensitive than PFA and RIG-I expression for a pathological diagnosis of DM, regardless of the autoantibody-related subgroup. In light of its high sensitivity and specificity, it may be considered a pathological hallmark of DM per se. Also, lack of MxA expression in ASS supports the idea that ASS is a distinct entity from DM.
- Published
- 2018
10. Ce que nous apprennent nos HDJ sur la réponse vaccinale anti-SARS-CoV-2 différente sous traitements ciblant les lymphocytes B et T par rapport aux traitements anti-cytokiniques
- Author
-
Renaud Felten, Martin Soubrier, A. Fan, M. Geoffroy, M. Desmurs, J.-E. Gottenberg, Marion Couderc, M. Ardizzone, L. Messer, L. Minniti, Pierre-Marie Duret, Laurent Arnaud, Rose-Marie Javier, S. Ahmed Yahia, Emmanuel Chatelus, Luc Pijnenburg, Alain Meyer, J.H. Salmon, and L. Bolko
- Subjects
Rheumatology ,Pc.18 - Abstract
Introduction Les études vaccinales de grande ampleur et les registres apportent des résultats précieux mais souvent de manière retardée par rapport à l’urgence pandémique. Les perfusions de biologiques intraveineux en hôpital de jour (HDJ) permettent de garantir un recueil de données fiables en temps réel. C’est ainsi que nous avions mis en évidence le surrisque d’une forme grave de COVID-19 sous rituximab. Nous avons souhaité étudier l’impact des bDMARDs sur la réponse vaccinale humorale des patients suivis en HDJ. Patients et méthodes Nous avons étudié la réponse vaccinale après un schéma vaccinale complet, 2 ou 3 doses de vaccin, suivis en hôpital de jour dans 5 centres hospitaliers français et traités par un biomédicament intraveineux entre septembre 2019 et août 2021. Après information et consentement des patients, nous avons inclus ceux disposant ou acceptant de réaliser une sérologie anti-SARS-CoV-2. Les patients étaient considérés comme non-répondeurs si le taux d’anticorps détecté était inférieur au seuil de positivé du kit utilisé. Résultats Sur les 925 patients suivis en HDJ dans les 5 centres, les données préliminaires de 205 patients sont disponibles (148 F/57 H). L’âge médian était de 64 ans (Interquartile Range [IQR] 56–71). 25 étaient traités par tocilizumab (TCZ), 36 par abatacept (ABA), 53 par infliximab (IFX) et 91 par rituximab (RTX). 156 étaient traités pour une PR, 33 pour une spondyloarthrite et 16 pour une autre pathologie (connectivite n = 5, myosite n = 3, vascularite n = 2, arthrite juvénile idiopathique n = 2, autres n = 4). 25 patients étaient co-traités par corticoïdes, 126 par csDMARDs et 2 par d’autres immunossuppresseurs (aziathioprine). Trois quarts des patients traités par RTX ont débuté leur schéma vaccinal plus de 4 mois après leur dernier cycle de traitement. Un total de 23 patients avaient un antécédent de COVID-19 confirmé (par PCR ou sérologie). Un total de 169 patients ont été vaccinés par Pfizer, 16 par Astra-Zeneca, 14 par Moderna, 5 par Janssen et un par Astra-Zeneca puis Pfizer. Un total de 167 patients ont bénéficié d’une sérologie après 2 doses de vaccin (ou un schéma vaccinal complet en cas de COVID-19 préalable). Parmi eux, 28 (16,8 %) étaient non-répondeurs. Il n’y avait pas de différence en fonction de l’âge (p = 0,24) ou du sexe des patients (p = 0,51), du type de pathologie ou du co-traitement par corticoïdes ou csDMARD. La réponse vaccinale était différente en fonction du bDMARD utilisé (p = 0,0003) : aucun patient traité par IFX (0/42) n’était non-répondeur, un seul sous TCZ (1/25, 4 %) contre 25 % sous ABA (8/32) et 27,9 % sous RTX (19/68). Un total de 94 % des non répondeurs après 2 ou 3 doses de vaccin avaient été traités par RTX ou ABA. Chez les patients traités par rituximab, le délai entre la dernière perfusion et la première dose de vaccin était significativement plus courte chez les non-répondeurs (médiane 4,3 IQR [2,9–6,1] mois chez les non-répondeurs versus 8,4 IQR [5,7–14,5] chez les répondeurs, p = 0,0007). La diminution de réponse vaccinale post-ABA ou RTX étaient similaires après 3 doses de vaccin (56 patients), 25 % de non répondeurs sous ABA (1/4), 25 % sous RTX (10/40) contre 19 % sous IFX (9/11) et aucun sous TCZ (0/1). 18 des 56 patients ont bénéficié d’une sérologie après 2 doses et également après 3 doses de vaccin. 7 étaient non-répondeurs après 2 doses (6 RTX et 1 TCZ). Parmi eux, 5 sont restés non-répondeurs après leur 3e dose, tous traités par RTX. Conclusion L’ABA et le RTX altèrent la réponse vaccinale anti-SARS-CoV-2 : associés à 94 % des non-réponses vaccinales. La réponse vaccinale est altérée si un délai suffisant n’est pas respecté entre la perfusion de RTX, permettant une repopulation lymphocytaire B, et la vaccination.
- Published
- 2021
11. La sarcopénie en fonction des manifestations extra-articulaires des spondyloarthrites : attention au rhumatisme psoriasique
- Author
-
M. Geoffroy, J.H. Salmon, L. Pauvele, L. Bolko, L. Kanagaratnam, A. Hittinger, A. Roser, and I. Lambrecht
- Subjects
Rheumatology - Abstract
Introduction La sarcopenie est une pathologie plurifactorielle definie par une diminution de la qualite et quantite musculaire. Initialement decrite dans une population âgee de plus de 65 ans, elle peut etre primaire ou secondaire notamment aux maladies chroniques comme les rhumatismes inflammatoires. Alors que plusieurs etudes ont montre une augmentation de prevalence de la sarcopenie dans la polyarthrite rhumatoide et la spondylarthrite ankylosante (SpA), il n’existe que peu de donnee dans le rhumatisme psoriasique (RP) et les spondyloarthrites associees aux maladies inflammatoires chroniques intestinales (SpA-MICI). L’objectif de cette etude etait donc d’evaluer la prevalence et les facteurs associes a la survenue de sarcopenie dans les differents sous-groupes de spondyloarthrite. Patients et methodes Nous avons inclus des patients suivis en hopital de jour de rhumatologie pour une spondyloarthrite axiale et/ou peripherique associee ou non a la presence de manifestations extra-articulaire. Les femmes enceintes etaient exclues de l’analyse. De plus, nous avons inclus des patients temoins et des patients avec MICI. Ils beneficiaient d’une evaluation des repartitions des compartiments corporels par absorptiometrie biphotonique par rayons X corps entier (DEXA CE), d’une evaluation de la force de prehension manuelle plus ou moins d’une evaluation de la vitesse de marche en cas de sarcopenie. La sarcopenie etait definie par une diminution de l’index de masse musculaire appendiculaire (IMMA) 28 % chez l’homme et 40 % chez la femme associee a la sarcopenie, on parle d’obesite sarcopenique. Resultats Deux cent sept patients inclus ont ete repartis-en 5 groupes : temoins (n = 31), SpA (n = 61), RP (n = 44), SpA-MICI (n = 19) et MICI (n = 52). Les donnees demographiques etaient similaires hormis un âge plus eleve dans le groupe RP par rapport au groupe temoins et MICI ; un IMC plus eleve groupe RP versus temoins. La prevalence de la sarcopenie etait plus importante dans le groupe RP (13,64 %) par rapport aux SpA 3,3 %, aux MICI (0 %) et aux temoins (0 %) (p Conclusion Il existait une augmentation de prevalence de la sarcopenie dans les groupes avec rhumatismes inflammatoire par rapport aux groupes controle et MICI. Les facteurs explicatifs etaient le poids et l’IMC bas. Neanmoins, les patients avec un rhumatisme psoriasique semblent etre plus a risque que les autres groupes malgre l’augmentation du syndrome metabolique et rentrant volontiers dans la definition de l’obesite sarcopenique avec un IMC faussement normal.
- Published
- 2020
12. Dosage de l’interféron par technologie SIMOA au cours des myopathies inflammatoires idiopathiques : un biomarqueur diagnostique et d’activité
- Author
-
L. Bolko, P. Guillaume-Jugnot, D. Amelin, Mathieu Vautier, G. Dzangué-Tchoupou, Céline Anquetil, Olivier Benveniste, Aude Rigolet, N. Wesner, Y. Allenbach, N. Champtiaux, Baptiste Hervier, Centre de recherche en Myologie – U974 SU-INSERM, Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Sorbonne Université (SU), CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Institut de Myologie, and Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Association française contre les myopathies (AFM-Téléthon)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Sorbonne Université (SU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Subjects
[SDV]Life Sciences [q-bio] ,Gastroenterology ,Internal Medicine - Abstract
Introduction Les myopathies inflammatoires idiopathiques (MII) sont des maladies auto-immunes rares ayant en commun un tropisme musculaire. Ce groupe comprend notamment les dermatomyosites (DM), le syndrome des anti-synthetases (SAS), les myopathies necrosantes auto-immunes (MNAI) et les myosites a inclusion (MI). L’interferon de type I semble jouer un role important dans la physiopathologie des MII, notamment dans le sous-groupe des DM, avec la presence d’une signature IFN dans l’analyse du transcriptome musculaire et sanguin. Cette signature, correspondant a une augmentation d’expression des genes sous la dependance des IFN (IFN stimulated genes (ISG)), est jusqu’a present la technique de reference d’evaluation de cette voie de signalisation. Le developpement d’une nouvelle technique de dosage cytokinique, la technique de single molecule array (SIMOA) permet d’envisager une demarche plus directe de mise en lumiere de cette voie de signalisation et des sous types d’IFN responsables de cette signature. L’objectif de cette etude etait d’evaluer le dosage direct d’IFN (type I et type II) dans les MII afin de mieux comprendre les mecanismes physiopathologique responsable de cette signature et evaluer leur utilite pour le suivi. Patients et methodes Les patients inclus dans cette etude etaient suivis au centre de reference des myopathies inflammatoires. Pour chacun, nous disposions de prelevements sanguins comprenant serum et culot sec en parallele des donnees cliniques, histologique et morphologique permettant le classement des patients dans les sous-groupes mais aussi l’evaluation de l’activite au moment de l’evaluation. L’evaluation de l’activite clinique etait realisee grâce aux outils recommandes par l’ACR/EULAR et reporte sur une echelle visuelle analogique (Physician Global Assessment, PGA). Les dosages en SIMOA etaient realises sur un appareil Analyzer HD1, les calculs de score IFN ont ete realises par RT-PCR a partir de 5 ISG admis dans la litterature. Resultats Cent soixante-quatre patients suivis pour une MII (57 DM, 48 SAS, 35 MNAI et 24 MI) ainsi que 35 controles ont ete inclus. Le taux d’IFN-α etait plus eleve dans les groupes DM (50 fg/ml [2–19]) et SAS (60 fg/ml [3–16]) par rapport au groupe controle (22 fg/ml [13–46], p = 0,0049 et p = 0,0037). Pour ces deux groupes, devant une correlation importante entre le taux d’IFN et l’activite globale de la maladie (r = 0,72, IC95(0,55-0,83), p 5) avaient un taux median d’IFN superieur (282,7 fg/ml [107–540]) compare aux patients non actifs (25,8 fg/ml [14–63] p Conclusion L’IFNα peut etre utilise comme biomarqueur d’activite dans les sous-groupes des DM et des SAS. Les therapies ciblees de cette voie doivent etre evaluee dans ces deux groupes de MII.
- Published
- 2018
13. Intérêt de l’échographie cardiaque dans les infections ostéo articulaires
- Author
-
J.M. Galempoix, M. Lagoutte, Jean-Hugues Salmon, L. Pauvele, N. Salam, and L. Bolko
- Subjects
030203 arthritis & rheumatology ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Rheumatology ,030212 general & internal medicine - Abstract
Introduction Les infections osteo articulaires (IOA) sont des infections de plus en plus frequentes avec un pronostic fonctionnel et vital. Elles peuvent s’associer a une bacteriemie et a une endocardite infectieuse (EI). L’echographie cardiaque est souvent demandee dans les IOA, pourtant il n’existe pas de recommandations sur sa realisation de maniere systematique. Les delais d’obtention de l’echographie cardiaque peuvent modifier la prise en charge de l’IOA (duree d’antibiotherapie, relais PO). L’objectif de l’etude est de definir une population a risque d’endocardite parmi toutes les IOA qui necessiterait une echographie cardiaque pour une prise en charge appropriee (antibiotherapie, chirurgie, surveillance). Patients et methodes Une etude observationnelle retrospective a ete realise a partir des donnees de trois centres hospitaliers. Nous avons inclus tous les patients ayant presentes une IOA (peripherique et axiale) de 2008 a 2018 via les departements d’informations medicales. Nous avons exclu les patients qui presentaient une IOA sur materiel et qui n’avait pas beneficie d’imagerie cardiaque. Nous avons recueilli les caracteristiques clinico biologique des patients, celles de l’IOA et de l’EI. Resultats Nous avons inclus 325 IOA avec 64 EI mise en evidence (19,7 % des cas). L’âge moyen etait de 66,1 ans. La population etait composee de 68,9 % d’hommes, 32 % d’immunodeprimes et 20 % de diabetiques. La prise de corticoides ou d’AINS etait retrouvee respectivement dans 20 et 30 % des cas. Les germes en cause etaient en majorite des staphylocoques aureus methycilline sensible (SAMS) ou apparentes (39 %) et des streptococcus spp (26 %). La localisation predominante etait vertebrale dans 59 %. Les hemocultures etaient positives dans 70 % des cas. On retrouvait 12,4 % d’echographie transthoracique pathologique (38/306) et 40 % d’echographie trans œsophagienne (58/144). Les patients presentant une EI avaient plus souvent une valvulopathie prealable (p = 0,0017), un souffle de novo (p Discussion Un patient sur cinq dans notre cohorte presentait une EI. Le type de germes, le terrain cardiaque et la presentation articulaire multiple sont des determinants du risque d’EI. Des etudes prealables [1] , [2] , ont suggere une association entre une EI a streptococcus spp ou enterococcus spp et l’apparition de complication osteo-articulaire. Conclusion Nos resultats suggerent que la prise en charge optimale des IOA necessite la prescription d’une echographie cardiaque systematique en presence des facteurs que nous avons identifies : infection a streptococcus spp ou enterococcus spp, une atteinte multifocale, un souffle de novo, une valvulopathie ou la prise de corticoides prealable. Une etude a plus large cohorte pourrait augmenter la valeur de ses resultats.
- Published
- 2020
14. Évaluation de facteurs liés ou non à la polyarthrite rhumatoïde influençant la valeur de tests fonctionnels objectifs des membres supérieurs
- Author
-
L. Zahouily, M. Geoffroy, J. Fort, L. Vellutini, I. Slitine, J.H. Salmon, L. Bolko, Isabelle Charlot-Lambrecht, and A. Hittinger
- Subjects
Rheumatology - Abstract
Introduction La polyarthrite rhumatoide est une maladie systemique auto-immune, caracterisee par une inflammation chronique articulaire, plus particulierement des mains. Beaucoup d’attention est portee sur l’activite de la maladie ou l’atteinte structurale, mais peu sur le handicap des patients. Des questionnaires subjectifs ont ete developpes comme le Health Assessment Questionnaire (HAQ), mais peu d’outils avec des mesures objectives sont developpes. En neurologie des tests sont disponible permettant d’obtenir des valeurs objectives dans les domaines de fonctions, que ce soit la prehension (Grip test et Pinch test) ou la dexterite (Nine hole Peg Test [NHPT] et Box and Block test [BBT]). L’objectif principal etait d’identifier les facteurs lies ou non a la polyarthrite rhumatoide pouvant influencer la valeur des tests de fonction. L’objectif secondaire etait d’evaluer la difference de valeur de chaque test entre un groupe sain et pathologique. Patients et methodes Une etude observationnelle monocentrique a ete realisee, un total de 55 patients a ete inclus et l’ensemble des quatre tests ont ete realises pour la main dominante seule. Deux groupes ont ete formes (sain/pathologique) en fonction des resultats des tests. La valeur de −1DS avait ete prise en compte pour la formation des groupes correspondant a la valeur limite pour un test pathologique selon la pratique courante en reeducation. Les deux groupes ont ete compares selon plusieurs variables pouvant influencer les tests de fonction. Resultats Pour le Grip test, il existait une difference significative du groupe pathologique versus sain pour la variable deformation (67,27 % vs 3,64 %, p = 0,017) et le nombre de ligne de bDMARDS (3 vs 2, p = 0,026). Pour le Pinch Test, nous retrouvions d’une difference significative en fonction de la ligne de bDMARS (3 vs 2, p = 0,005), profession physique (9,09 % vs 20 %, p Nous retrouvions une difference significative entre les deux groupes de la moyenne du Grip Test (34 kg vs 11,8 kg, p Discussion Plusieurs facteurs semble entrainer une variation des tests de fonction comme l’activite de la maladie, les deformations, la duree d’evolution de la maladie ou la ligne de traitement de fond biologique. Ces resultats sont coherents avec les donnees de la litterature. Le Grip test semble etre le test le moins soumis a des variations par des facteurs lies ou non a la polyarthrite rhumatoide. Selon les donnees de la litterature, il a ete montre une bonne correlation entre un questionnaire fonctionnel le Quick-DASH et le Grip test. Conclusion Parmi les tests de fonctions du membre superieur, le Grip test semble etre un bon reflet de l’evaluation fonctionnelle du patient atteint d’une polyarthrite rhumatoide permettant d’avoir une evaluation objective de la fonction a l’inverse des questionnaires fonctionnels que nous utilisons en pratique courante.
- Published
- 2020
15. Météo et rhumatismes inflammatoires chroniques : que ressentent nos patients ?
- Author
-
L. Bolko, Jean-Hugues Salmon, L. Charlot, L. Pauvele, M. Geoffroy, N. Theate, and A. Hittinger
- Subjects
Rheumatology - Abstract
Introduction La proportion de patients rapportant une influence de la meteorologie sur leur rhumatisme varie selon les etudes de 20 a 60 %. En effet, les differentes etudes cliniques sur le sujet objectivent des resultats discordants. Une des raisons est l’heterogeneite methodologique de ces etudes par faible effectif et melange des pathologies. L’objectif de ce travail etait d’etudier, sur un plus large effectif de patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique (RIC), les croyances de l’impact de la meteorologie sur leur maladie. Patients et methodes Il s’agit d’une etude monocentrique observationnelle transversale, incluant des patients suivis pour un rhumatisme inflammatoire chronique. Les donnees ont ete recueillies en consultation ou hopital de jour par un auto-questionnaire comportant des questions fermees sur le declenchement et les poussees de leur RIC. Les variables qualitatives ont ete analysees par un test du χ2 ou le test exact de Fisher en fonction des conditions de validite des tests. Resultats Parmi les 258 patients inclus, 156 etaient des hommes ; l’âge moyen etait de 53 ± 15 ans. Les RIC etaient une polyarthrite rhumatoide (n = 136 ; 53 %), une spondylarthrite ankylosante (n = 78 ; 30 %), un rhumatisme psoriasique (n = 31 ; 12 %) ou une arthrite juvenile idiopathique (n = 13 ; 5 %). Le declenchement du RIC etait en lien avec la meteorologie pour 31 % des patients (n = 80). Il s’agissait de la pluie (n = 67 ; 26 %), du froid (n = 39 ; 15 %) et de la chaleur (n = 16 ; 6 %). Le declenchement des poussees de RIC etait en lien avec la meteorologie pour 62 % des patients (n = 161) : il s’agissait de la pluie (n = 127 ; 49 %), du froid (n = 80 ; 31 %) et de la chaleur (n = 43 ; 17 %). Pour 39 % des patients (n = 100), les saisons influencaient les poussees de leur rhumatisme inflammatoire chronique : l’hiver et l’automne etaient cites respectivement dans 27 % et 22 % des cas. Aucune difference statistique n’a ete mise en evidence, entre les PR et les SpA, concernant le nombre de patients meteo-sensibles (declenchement de la maladie [p = 0,82] ou des poussees [p = 0,61]). Conclusion Dans notre cohorte, la moitie des patients atteints de RIC semblait meteo-sensible et rapportait un impact de la meteorologie sur leur douleur et le declenchement de leur RIC. Les principales variables climatiques responsables etaient l’humidite et le froid. Detecter ces patients pourrait permettre de proposer une prise en charge optimale avec notamment des conseils concernant leur mode de vie.
- Published
- 2020
16. Signification pronostique du titre d’anticorps anti-Jo1 au cours du syndrome des anti-synthétases
- Author
-
K. Didier, Y. Allenbach, Olivier Benveniste, S. Toquet, Makoto Miyara, L. Bolko, J.H. Salmon, Baptiste Hervier, N. Champtiaux, and Amélie Servettaz
- Subjects
Gastroenterology ,Internal Medicine - Abstract
Introduction Le syndrome des anti-synthetases (SAS) est une myopathie inflammatoire associee aux anticorps anti-synthetases, dont les complications systemiques graves sont difficilement previsibles. Le developpement de facteurs pronostiques est essentiel. L’objectif de cette etude etait d’evaluer le titre de l’anticorps anti-Jo1, chef de file des anticorps anti-synthetases, comme facteur pronostique. Patients et methodes Les patients suivis pour un SAS Jo-1 positif depuis 2010 aux CHU Reims et Pitie-Salpetriere etaient inclus dans cette etude retrospective. La quantification de l’anticorps etait realisee par intensite de fluorescence par technique LUMINEX. Tous les patients ayant au moins une quantification de l’anticorps et un suivi superieur a un an etaient inclus. Une atteinte grave etait definie par la survenue d’une hypoxemie avec PaO2 10 % en valeur absolue pour la CVF et/ou > 15 % pour la DLCO ; sur le plan musculaire par une augmentation des CPK > 3 N ou l’aggravation du testing moteur. Les rechutes articulaires etaient definies par une reapparition de douleurs articulaires inflammatoires et/ou de synovites clinique ou echographique. Resultats Soixante-douze patients etaient inclus, dont 69 % de femmes. L’âge moyen au diagnostic etait de 49 ans [35–62], la duree mediane de suivi etait de 6,5 annees. Parmi les 72 patients, 26 developpaient une atteinte grave au diagnostic et 8 autres dans le suivi. Le titre de l’anticorps anti-Jo1 etait plus important dans le groupe avec atteinte grave au diagnostic (209 [176,8–257,3]) compare a celui du groupe sans atteinte grave (128 [89,5–169] p ou 186 UI vs 21 % dans le groupe 50 %) des evenements graves survenant dans les 60 premiers jours du suivi. Conclusion Le titre d’anticorps anti-Jo1 quantifie par intensite de fluorescence, est associe a l’activite du SAS et est un facteur pronostique de survenue d’evenements graves dans le suivi precoce des patients.
- Published
- 2019
17. P.08Interferon level assessed by ultrasensitive detection technology in myositis patients: a promising biomarker of disease activity in dermatomyositis and anti-synthetase syndrome
- Author
-
Ségolène Toquet, Mathieu Vautier, A. Llibre-Seradel, K. Dorgham, N. Wesner, Baptiste Hervier, Céline Anquetil, P. Guillaume-Jugnot, G. Dzangué-Tchoupou, D. Amelin, S. Maillard, O. Landon-Cardinal, Aude Rigolet, L. Bolko, G. Gorochov, Darragh Duffy, Nicolas Champtiaux, Y. Allenbach, and Olivier Benveniste
- Subjects
Oncology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Dermatomyositis ,medicine.disease ,Disease activity ,Neurology ,Internal medicine ,Pediatrics, Perinatology and Child Health ,medicine ,Biomarker (medicine) ,Neurology (clinical) ,business ,Genetics (clinical) ,Myositis - Published
- 2019
18. Urate lowering therapy in patients starting hemodialysis limit gout flares occurrence: ten years retrospective study.
- Author
-
Steelandt A, Hittinger A, Kanagaratnam L, Kazes I, Clavel P, Bolko L, Rieu P, and Salmon JH
- Subjects
- Humans, Male, Retrospective Studies, Female, Aged, Middle Aged, Febuxostat therapeutic use, Allopurinol therapeutic use, Cohort Studies, Gout drug therapy, Gout blood, Renal Dialysis, Gout Suppressants therapeutic use, Symptom Flare Up, Uric Acid blood
- Abstract
Background: Uncontrolled gout can cause articular impairment but is also associated with a global and cardiovascular excess mortality, especially in dialysis population. Data documented within existing research is not conclusive regarding gout flares evolution during hemodialysis and their control by urate lowering therapy (ULT). Without clear guidelines concerning hemodialysis patients management with chronic gout, this study proposes to investigate whether gout flare incidence reduction could be observed on this population treated by urate lowering therapy versus patients without treatment., Methods: We performed a retrospective cohort study in two hemodialysis centers in France. Were selected patients over 18 years old with a gout history who started hemodialysis between January 2005 and September 2015. Demographics and clinicals data were recorded at hemodialysis start and throughout 5 years of follow up. Gout flare was defined as presence of uric acid crystal in joint punction or clinically diagnosed as such with a colchicine prescription. All statistical analysis were performed in SAS® version 9.4 (SAS Institute Inc., Cary, NC)., Results: One hundred eighty-one patients have been included, mean age at dialysis initiation was 68.6 years (± 12.4) with 72% of men, 54% were treated by ULT: 89.7% by allopurinol and 9.3% by febuxostat. One patient received both treatments successively. After hemodialysis initiation, 35.36% patients had experienced at least one gout flare. The appearance of at least one gout flare concerned 50% of patients in no ULT group and 22.68% patients in ULT group (p = 0.0002). Dialysis efficiency was measured at regular interval during follow-up and was similar in both groups. To study the association strength between clinical factors and gout flares occurrences, a Cox model was performed; ULT is a protector factor of gout flare (HR:0,42, CI 95: 0,25-0,71). The proportion of serum urate values within the target (median 53% vs 29.3%, p < 0.0001) was significantly higher in ULT group versus no ULT group (median 53% vs 29.3%, p < 0.0001)., Conclusion: Urate lowering therapy limit new gout flares occurrence in hemodialysis patients with gout historyCollaboration between rheumatologists and nephrologists may help to update guidelines for urate-lowering therapies in patients on dialysis., (© 2024. The Author(s).)
- Published
- 2024
- Full Text
- View/download PDF
19. [Eosinophilic fasciitis: From pathophysiology to therapeutics].
- Author
-
Knapp S, Bolko L, Servettaz A, and Didier K
- Subjects
- Humans, Immunosuppressive Agents therapeutic use, Fasciitis diagnosis, Fasciitis therapy, Fasciitis physiopathology, Eosinophilia diagnosis, Eosinophilia therapy, Eosinophilia physiopathology, Eosinophilia etiology
- Abstract
Eosinophilic fasciitis (EF) is a rare connective tissue disorder characterized by painful edema and induration of the limbs and trunk, likely associated with hypereosinophilia and hypergammaglobulinemia. EF causes arthralgia and range of motion limitation, leading to significant functional impairment and poor quality of life. Since its description by Shulman in 1974, over 300 cases have been reported. We present here a review of the latest diagnostic, pathophysiological and therapeutic developments in this disease. Magnetic resonance imaging appears useful to guide diagnosis and biopsy. Diagnosis is based on a deep skin biopsy involving the fascia, which will reveal edema, sclerofibrosis of the muscular fascia and subcutaneous tissue, and an inflammatory infiltrate sometimes composed of eosinophilic polynuclear cells. EF may occur in patients treated with immune checkpoint inhibitors and the diagnosis should be raised in case of cutaneous sclerosis in these patients. The pathophysiology of the disease remains poorly understood, and its management lacks randomized, controlled, blinded trials. First-line treatment consists in oral corticosteroid therapy, sometimes combined with an immunosuppressant, mainly methotrexate. A better understanding of the pathophysiology has opened new therapeutic perspectives and clarified the role of targeted therapies in the management of EF, such as interleukin-6 inhibitors, whose efficacy has been reported in several cases., (Copyright © 2024 Société Nationale Française de Médecine Interne (SNFMI). Published by Elsevier Masson SAS. All rights reserved.)
- Published
- 2024
- Full Text
- View/download PDF
20. Urinary methotrexate dosage in rheumatoid arthritis, in patients treated for at least 6 months: a potential marker of adherence.
- Author
-
Théate N, Geoffroy M, Kanagaratnam L, Gozalo C, Charlot I, Bolko L, Hittinger-Roux A, Djerada Z, and Salmon JH
- Subjects
- Humans, Female, Male, Cross-Sectional Studies, Middle Aged, Aged, Surveys and Questionnaires, Adult, Biomarkers urine, Arthritis, Rheumatoid drug therapy, Arthritis, Rheumatoid urine, Methotrexate administration & dosage, Methotrexate therapeutic use, Methotrexate adverse effects, Medication Adherence, Antirheumatic Agents therapeutic use, Antirheumatic Agents administration & dosage
- Abstract
Objectives: Non-adherence to rheumatoid arthritis (RA) treatments must be identified. A methotrexate (MTX) urinary dosage (METU) was recently developed. The aim of our study was to assess adherence to MTX in RA using METU in real-life conditions and to compare it with indirect adherence measurement technics., Methods: We performed a cross-sectional study at Reims University Hospital. We included over 18-year-old patients with RA treated by MTX for more than 6 months. Patients were invited to complete demographic, clinical and psychological questionnaires and adherence measurement technics (Compliance Questionnaire of Rheumatology (CQR) and Medication Possession Ratio (MPR)). A urinary sample was collected to measure MTX and information about tolerance was evaluated through Methotrexate Intolerance Severity Score., Results: 84 patients were included, 26 using oral MTX, 58 subcutaneous (SC) MTX. Among them, 73% were female, mean age was 61.5 years, MTX mean dose was 15 mg/week and 61.9% were treated by biological DMARDs (Disease Modifying Antirheumatic Drugs). 77 patients (91.7%) were adherent to treatment according to METU, whereas MPR and CQR reported less adherence (69.5% and 61.9%, respectively). MPR and METU were not significantly different in SC MTX users (p=0.059). Non-adherent patients had a higher number of tender joints and C reactive protein value (p<0.05)., Conclusion: This is the first largest study evaluating MTX adherence in patients with RA using a urinary dosage. We identified that indirect adherence measurements did not reflect real-life adherence. It would be appreciable to realise METU, in a new study, in patients with RA with unexplained response to treatment, to consider it before escalating therapeutic strategy., Competing Interests: Competing interests: None declared., (© Author(s) (or their employer(s)) 2024. Re-use permitted under CC BY-NC. No commercial re-use. See rights and permissions. Published by BMJ.)
- Published
- 2024
- Full Text
- View/download PDF
21. Myostatin in idiopathic inflammatory myopathies: Serum assessment and disease activity.
- Author
-
Mahoudeau A, Anquetil C, Tawara N, Khademian H, Amelin D, Bolko L, Silvestro M, Cin JD, Tendrel B, Tardif V, Mariampillai K, Butler-Browne G, Benveniste O, and Allenbach Y
- Subjects
- Humans, Myostatin, Prospective Studies, Dermatomyositis pathology, Myositis pathology, Myositis, Inclusion Body pathology
- Abstract
Aims: In idiopathic inflammatory myopathies (IIM), disease activity is difficult to assess, and IIM may induce severe muscle damage, especially in immune-mediated necrotising myopathies (IMNM) and inclusion body myositis (IBM). We hypothesise that myostatin, a negative regulator of muscle mass, could be a new biomarker of disease activity and/or muscle damage., Methods: Prospective assessment of myostatin protein level in 447 IIM serum samples (dermatomyositis [DM], n = 157; IBM, n = 72; IMNM, n = 125; and antisynthetase syndrome [ASyS], n = 93) and 59 healthy donors (HD) was performed by ELISA. A gene transcript analysis was also carried out on 18 IIM muscle biopsies and six controls to analyse myostatin and myostatin pathway-related gene expression., Results: IIM patients had lower myostatin circulating protein levels and gene expression compared to HD (2379 [1490; 3678] pg/ml vs 4281 [3169; 5787] pg/ml; p < 0.0001 and log2FC = -1.83; p = 0.0005, respectively). Myostatin-related gene expression varied accordingly. Based on the Physician Global Assessment, inactive IIM patients showed higher myostatin levels than active ones. This was the case for all IIM subgroups, except IMNM where low myostatin levels were maintained (2186 [1235; 3815] vs 2349 [1518; 3922] pg/ml; p = 0.4)., Conclusions: Myostatin protein and RNA levels are decreased in all IIM patients, and protein levels correlate with disease activity. Inactive ASyS and DM patients have higher myostatin levels than active patients. Myostatin could be a marker of disease activity in these subgroups. However, IMNM patients do not have significant increase in myostatin levels after disease remission. This may highlight a new pathological disease mechanism in IMNM patients., (© 2022 The Authors. Neuropathology and Applied Neurobiology published by John Wiley & Sons Ltd on behalf of British Neuropathological Society.)
- Published
- 2023
- Full Text
- View/download PDF
22. Different anti-SARS-CoV-2 vaccine response under B- and T-cell targeted therapies versus anti-cytokine therapies in patients with inflammatory arthritides.
- Author
-
Felten R, Geoffroy M, Bolko L, Duret PM, Desmurs M, Fan A, Couderc M, Laurent M, Ardizzone M, Ahmed-Yahia S, Javier RM, Meyer A, Chatelus E, Sordet C, Pijnenburg L, Sibilia J, Soubrier M, Gottenberg JE, and Salmon JH
- Subjects
- Antibodies, Viral, COVID-19 Vaccines therapeutic use, Humans, T-Lymphocytes, Vaccination, Arthritis, COVID-19 prevention & control
- Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
23. Cluster analysis unveils a severe persistent respiratory impairment phenotype 3-months after severe COVID-19.
- Author
-
Perotin JM, Gierski F, Bolko L, Dury S, Barrière S, Launois C, Dewolf M, Chouabe S, Bongrain E, Picard D, Tran E, N'Guyen Y, Mourvillier B, Servettaz A, Rapin A, Marcus C, Lebargy F, Kaladjian A, Salmon JH, and Deslee G
- Subjects
- Cluster Analysis, Humans, Phenotype, Prospective Studies, Quality of Life, SARS-CoV-2, COVID-19 complications, Respiratory Insufficiency, Sarcopenia
- Abstract
Background: The mid-term respiratory sequelae in survivors of severe COVID-19 appear highly heterogeneous. In addition, factors associated with respiratory sequelae are not known. In this monocentric prospective study, we performed a multidisciplinary assessment for respiratory and muscular impairment and psychological distress 3 months after severe COVID-19. We analysed factors associated with severe persistent respiratory impairment, amongst demographic, COVID-19 severity, and 3-month assessment., Methods: Patients with severe SARS-CoV-2 pneumonia requiring ≥ 4L/min were included for a systematic 3-month visit, including respiratory assessment (symptoms, lung function, CT scan), muscular evaluation (body composition, physical function and activity, disability), psychopathological evaluation (anxiety, depression, post-traumatic stress disorder-PTSD) and quality of life. A cluster analysis was performed to identify subgroups of patients based on objective functional measurements: D
LCO , total lung capacity and 6-min walking distance (6MWD)., Results: Sixty-two patients were analysed, 39% had dyspnea on exercise (mMRC ≥ 2), 72% had DLCO < 80%, 90% had CT-scan abnormalities; 40% had sarcopenia/pre-sarcopenia and 31% had symptoms of PTSD. Cluster analysis identified a group of patients (n = 18, 30.5%) with a severe persistent (SP) respiratory impairment (DLCO 48 ± 12%, 6MWD 299 ± 141 m). This SP cluster was characterized by older age, severe respiratory symptoms, but also sarcopenia/pre-sarcopenia, symptoms of PTSD and markedly impaired quality of life. It was not associated with initial COVID-19 severity or management., Conclusions and Clinical Implication: We identified a phenotype of patients with severe persistent respiratory and muscular impairment and psychological distress 3 months after severe COVID-19. Our results highlight the need for multidisciplinary assessment and management after severe SARS-CoV-2 pneumonia. Trial registration The study was registered on ClinicalTrials.gov (May 6, 2020): NCT04376840., (© 2022. The Author(s).)- Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
24. Association between obesity-related dyspnea in daily living, lung function and body composition analyzed by DXA: a prospective study of 130 patients.
- Author
-
Hagenburg J, Bertin E, Salmon JH, Thierry A, Perotin JM, Dormoy V, Dury S, Gaubil I, Bolko L, Lebargy F, Deslee G, and Launois C
- Subjects
- Body Composition, Cross-Sectional Studies, Female, Humans, Lung, Male, Obesity complications, Prospective Studies, Dyspnea etiology, Hand Strength
- Abstract
Background: Obesity is a risk factor for dyspnea. However, investigations of daily living obesity-related dyspnea are limited and its mechanisms remain unclear. We conducted a cross-sectional study to analyze the relationships between dyspnea in daily living, lung function, and body composition in patients with obesity., Methods: One-hundred and thirty patients (103 women/27 men), candidate for bariatric surgery, with a mean ± SD Body Mass Index (BMI) of 44.8 ± 6.8 kg/m
2 were included. Dyspnea was assessed by the modified Medical Research Council (mMRC) scale. Comorbidities, laboratory parameters, pulmonary function tests, arterial blood gases, six-minute walk test (6MWT), handgrip strength, and DXA body composition were analyzed., Results: Thirty-one percent of patients exhibited disabling dyspnea in daily living (mMRC ≥ 2). Compared with patients without disabling dyspnea (mMRC < 2), significant dyspnea (mMRC ≥ 2) was associated with a lower 6MWT distance (395 ± 103 m vs 457 ± 73 m, p < 0.001), lower lung volumes including Expiratory Reserve Volume (42 ± 28% vs 54 ± 27%, p = 0.024), Vital Capacity (95 ± 14 vs 106 ± 15%, p < 0.001) and Forced expiratory volume in one second (95 ± 13 vs 105 ± 15%, p = 0.002), a higher BMI (48.2 ± 7.7 vs 43.2 ± 5.7 kg/m2 , p = 0.001) and a higher percentage of fat mass in the trunk (46 ± 5 vs 44 ± 5 p = 0.012) and android region (52 ± 4 vs 51 ± 4%, p = 0.024). There was no difference regarding comorbidities (except hypertension), laboratory parameters, and sarcopenia markers between patients with (mMRC ≥ 2) and without (mMRC < 2) disabling dyspnea., Conclusion: Dyspnea in patients with obesity is associated with a reduction in lung volumes and a higher percentage of fat mass in central body regions. How dyspnea and body composition may change with interventions like physical activity or bariatric surgery remains to be investigated., (© 2022. The Author(s).)- Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
25. The role of interferons type I, II and III in myositis: A review.
- Author
-
Bolko L, Jiang W, Tawara N, Landon-Cardinal O, Anquetil C, Benveniste O, and Allenbach Y
- Subjects
- Gene Expression physiology, Gene Expression Profiling methods, Humans, Myositis metabolism, Interferon Type I metabolism, Muscle, Skeletal pathology, Myositis pathology
- Abstract
The classification of idiopathic inflammatory myopathies (IIM) is based on clinical, serological and histological criteria. The identification of myositis-specific antibodies has helped to define more homogeneous groups of myositis into four dominant subsets: dermatomyositis (DM), antisynthetase syndrome (ASyS), sporadic inclusion body myositis (sIBM) and immune-mediated necrotising myopathy (IMNM). sIBM and IMNM patients present predominantly with muscle involvement, whereas DM and ASyS patients present additionally with other extramuscular features, such as skin, lung and joints manifestations. Moreover, the pathophysiological mechanisms are distinct between each myositis subsets. Recently, interferon (IFN) pathways have been identified as key players implicated in the pathophysiology of myositis. In DM, the key role of IFN, especially type I IFN, has been supported by the identification of an IFN signature in muscle, blood and skin of DM patients. In addition, DM-specific antibodies are targeting antigens involved in the IFN signalling pathways. The pathogenicity of type I IFN has been demonstrated by the identification of mutations in the IFN pathways leading to genetic diseases, the monogenic interferonopathies. This constitutive activation of IFN signalling pathways induces systemic manifestations such as interstitial lung disease, myositis and skin rashes. Since DM patients share similar features in the context of an acquired activation of the IFN signalling pathways, we may extend underlying concepts of monogenic diseases to acquired interferonopathy such as DM. Conversely, in ASyS, available data suggest a role of type II IFN in blood, muscle and lung. Indeed, transcriptomic analyses highlighted a type II IFN gene expression in ASyS muscle tissue. In sIBM, type II IFN appears to be an important cytokine involved in muscle inflammation mechanisms and potentially linked to myodegenerative features. For IMNM, currently published data are scarce, suggesting a minor implication of type II IFN. This review highlights the involvement of different IFN subtypes and their specific molecular mechanisms in each myositis subset., (© 2021 The Authors. Brain Pathology published by John Wiley & Sons Ltd on behalf of International Society of Neuropathology.)
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
26. [Dermatomyositis: new antibody, new classification].
- Author
-
Bolko L, Gitiaux C, and Allenbach Y
- Subjects
- Adenosine Triphosphatases immunology, Adult, Age of Onset, Child, DNA-Binding Proteins immunology, Dermatomyositis blood, Dermatomyositis epidemiology, Humans, Interferon-Induced Helicase, IFIH1 immunology, Lung Diseases, Interstitial blood, Lung Diseases, Interstitial diagnosis, Lung Diseases, Interstitial etiology, Mi-2 Nucleosome Remodeling and Deacetylase Complex immunology, Transcription Factors immunology, Ubiquitin-Activating Enzymes immunology, Autoantibodies blood, Autoantibodies isolation & purification, Dermatomyositis classification, Dermatomyositis diagnosis, Terminology as Topic
- Abstract
Dermatomyositis are rare chronic auto-immune diseases characterized by cutaneous involvement. Diagnosis could be made in childhood or in aldult. There are some different clinical and histological presentation associated with different myositis specific antibody. There are five dermatomyositis specific autoantibodies, anti-Mi2, anti-Tif1-γ, anti-NXP2, anti-MDA5, and anti-SAE. Anti-Mi2 are associated with "classical form" of DM with cutaneous and muscular involvement. Anti-Tif1γ and anti-NXP2 are found in juvenile and adult dermatomyositis, and are associated with recurrent diseases with cutaneous involvement at the forefront. In adults, they are associated with cancer. Anti-MDA5 antibodies are associated with a systemic involvement and an interstitial lung disease. Finally, anti-SAE have been found only in adults, with a classic form., (© 2019 médecine/sciences – Inserm.)
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
27. Diagnostic potential of sarcoplasmic myxovirus resistance protein A expression in subsets of dermatomyositis.
- Author
-
Uruha A, Allenbach Y, Charuel JL, Musset L, Aussy A, Boyer O, Mariampillai K, Landon-Cardinal O, Rasmussen C, Bolko L, Maisonobe T, Leonard-Louis S, Suzuki S, Nishino I, Stenzel W, and Benveniste O
- Subjects
- Adolescent, Adult, Aged, Aged, 80 and over, Child, DEAD Box Protein 58 analysis, DEAD Box Protein 58 metabolism, Dermatomyositis pathology, Female, Humans, Male, Middle Aged, Myxovirus Resistance Proteins analysis, Receptors, Immunologic, Sensitivity and Specificity, Young Adult, Biomarkers analysis, Dermatomyositis diagnosis, Myxovirus Resistance Proteins metabolism
- Abstract
Aims: To elucidate the diagnostic value of sarcoplasmic expression of myxovirus resistance protein A (MxA) for dermatomyositis (DM) specifically analysing different DM subforms, and to test the superiority of MxA to other markers., Methods: Immunohistochemistry for MxA and retinoic acid-inducible gene I (RIG-I) was performed on skeletal muscle samples and compared with the item presence of perifascicular atrophy (PFA) in 57 DM patients with anti-Mi-2 (n = 6), -transcription intermediary factor 1 gamma (n = 10), -nuclear matrix protein 2 (n = 13), -melanoma differentiation-associated gene 5 (MDA5) (n = 10) or -small ubiquitin-like modifier activating enzyme (n = 1) autoantibodies and with no detectable autoantibody (n = 17). Among the patients, nine suffered from cancer and 22 were juvenile-onset type. Disease controls included antisynthetase syndrome (ASS)-associated myositis (n = 30), immune-mediated necrotizing myopathy (n = 9) and inclusion body myositis (n = 5)., Results: Sarcoplasmic MxA expression featured 77% sensitivity and 100% specificity for overall DM patients, while RIG-I staining and PFA reached respectively 14% and 59% sensitivity and 100% and 86% specificity. In any subset of DM, sarcoplasmic MxA expression showed higher sensitivity than RIG-I and PFA. Some anti-MDA5 antibody-positive DM samples distinctively showed a scattered staining pattern of MxA. No ASS samples had sarcoplasmic MxA expression even though six patients had DM skin rash., Conclusions: Sarcoplasmic MxA expression is more sensitive than PFA and RIG-I expression for a pathological diagnosis of DM, regardless of the autoantibody-related subgroup. In light of its high sensitivity and specificity, it may be considered a pathological hallmark of DM per se. Also, lack of MxA expression in ASS supports the idea that ASS is a distinct entity from DM., (© 2018 British Neuropathological Society.)
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
28. CD8+ T-bet+ cells as a predominant biomarker for inclusion body myositis.
- Author
-
Dzangué-Tchoupou G, Mariampillai K, Bolko L, Amelin D, Mauhin W, Corneau A, Blanc C, Allenbach Y, and Benveniste O
- Subjects
- Aged, Aged, 80 and over, CD28 Antigens metabolism, CD8-Positive T-Lymphocytes immunology, Humans, Middle Aged, Myositis, Inclusion Body immunology, T-Box Domain Proteins metabolism, Biomarkers, CD8-Positive T-Lymphocytes physiology, Myositis, Inclusion Body diagnosis
- Abstract
Background: Myositis is a heterogeneous group of muscular auto-immune diseases with clinical and pathological criteria that allow the classification of patients into different sub-groups. Inclusion body myositis is the most frequent myositis above fifty years of age. Diagnosing inclusion body myositis requires expertise and is challenging. Little is known concerning the pathogenic mechanisms of this disease in which conventional suppressive-immune therapies are inefficacious., Objectives: Our aim was to deepen our understanding of the immune mechanisms involved in inclusion body myositis and identify specific biomarkers., Methods: Using a panel of thirty-six markers and mass cytometry, we performed deep immune profiling of peripheral blood cells from inclusion body myositis patients and healthy donors, divided into two cohorts: test and validation cohorts. Potential biomarkers were compared to myositis controls (anti-Jo1-, anti-3-hydroxyl-3-methylglutaryl CoA reductase-, and anti-signal recognition particle-positive patients)., Results: Unsupervised analyses revealed substantial changes only within CD8+ cells. We observed an increase in the frequency of CD8+ cells that expressed high levels of T-bet, and containing mainly both effector and terminally differentiated memory cells. The senescent marker CD57 was overexpressed in CD8+
T-bet+ cells of inclusion body myositis patients. As expected, senescent CD8+T-bet+ CD57+ cells of both patients and healthy donors were CD28null CD27null CD127null . Surprisingly, non-senescent CD8+T-bet+ CD57- cells in inclusion body myositis patients expressed lower levels of CD28, CD27, and CD127, and expressed higher levels of CD38 and HLA-DR compared to healthy donors. Using classification and regression trees alongside receiver operating characteristics curves, we identified and validated a frequency of CD8+T-bet+ cells >51.5% as a diagnostic biomarker specific to inclusion body myositis, compared to myositis control patients, with a sensitivity of 94.4%, a specificity of 88.5%, and an area under the curve of 0.97., Conclusion: Using a panel of thirty-six markers by mass cytometry, we identify an activated cell population (CD8+T-bet+ CD57- CD28low CD27low CD127low CD38+ HLA-DR+) which could play a role in the physiopathology of inclusion body myositis, and identify CD8+T-bet+ cells as a predominant biomarker of this disease., (Copyright © 2019 Elsevier B.V. All rights reserved.)- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
29. Reply: Janus kinase 1/2 inhibition with baricitinib in the treatment of juvenile dermatomyositis.
- Author
-
Allenbach Y, Bolko L, Toquet S, Landon-Cardinal O, and Benveniste O
- Subjects
- Azetidines, Humans, Janus Kinase 1, Purines, Pyrazoles, Sulfonamides, Dermatomyositis, Interferon Type I, Janus Kinase Inhibitors
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
30. Autoantibodies Associated With Connective Tissue Diseases: What Meaning for Clinicians?
- Author
-
Didier K, Bolko L, Giusti D, Toquet S, Robbins A, Antonicelli F, and Servettaz A
- Subjects
- Humans, Myositis immunology, Autoantibodies immunology, Connective Tissue Diseases immunology
- Abstract
Connective tissue diseases (CTDs) such as systemic lupus erythematosus, systemic sclerosis, myositis, Sjögren's syndrome, and rheumatoid arthritis are systemic diseases which are often associated with a challenge in diagnosis. Autoantibodies (AAbs) can be detected in these diseases and help clinicians in their diagnosis. Actually, pathophysiology of these diseases is associated with the presence of antinuclear antibodies. In the last decades, many new antibodies were discovered, but their implication in pathogenesis of CTDs remains unclear. Furthermore, the classification of these AAbs is nowadays misused, as their targets can be localized outside of the nuclear compartment. Interestingly, in most cases, each antibody is associated with a specific phenotype in CTDs and therefore help in better defining either the disease subtypes or diseases activity and outcome. Because of recent progresses in their detection and in the comprehension of their pathogenesis implication in CTD-associated antibodies, clinicians should pay attention to the presence of these different AAbs to improve patient's management. In this review, we propose to focus on the different phenotypes and features associated with each autoantibody used in clinical practice in those CTDs.
- Published
- 2018
- Full Text
- View/download PDF
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.