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The rhabdomyosarcomas are rare tumors of mesenchymal tIssue. Whose most frequent localisations are génito-urinary, and occur in the child and young adult. It's an intrascrotal tumour, localised in the tunica vaginalis, epididymis or spermatic cord. The Authors report a case of paratesticular rhabdomyosarcoma in a 15 Year old child, who presented a right painless scrotal mass since two Months. The research of the tumoral markers is negative. Scrotal ultrasound shows a tissular mass in spermatic cord. Abdominal ultrasound and CT show retroperitoneal lymph node mass. Chest X-ray is normal. The intervention consists of a right castration. The histological examination of the spiceman confirms the diagnosis of the paratesticular rhabdomyosarcoma of the spermatic cord. The patient is treated by chemotherapy without improvement. Through this observation, the Authors underline the interest of the imagery and the aspects of the paratesticular tumours in ultrasound and CT.

We report one case of intrascrotal inflammatory tumour in a 12 year-old boy. The clinical symptomatology was a tumoral rise in the right scrotal volume. The rate of biological markers was normal. A testicular neoplasm was highly suspected in scrotal ultrasound and CT scan. A radical orchidectomy was accomplished and histological examination revealed a peritesticular inflammatory tumor without neoplasm. The clinical and imaging findings of the tumor are discussed.

The authors report a case of abdominal pregnancy that reached term. This type of pregnancy is now rare except in developing countries due to lack of early diagnosis. Ultrasonography is useful to confirm a clinically suspected diagnosis. MRI is helpful to further characterize the relation between placental tissue and intra-abdominal organs. Prognosis for the fetus is usually poor, and risks to the mother are non-negligible. Management is typically surgical and placental resection is the main concern. In this case, surgical delivery of an otherwise normal appearing infant was performed.

Isolated tuberculosis of the spleen is rare and difficult to diagnose. The features and management of this disease are discussed based on one case. A 52-year-old woman, presented with fever of unknown origin and splenomegaly. Ultrasonography and computed tomography demonstrated heterogeneous areas within the spleen. The diagnosis was made by a pathologic study of a splenic fragment obtained during laparotomy. When the spleen is the only organ involved by tuberculosis, the diagnosis is usually made by a pathologic study of splenic tissue obtained during laparotomy or percutaneous needle biopsy.

One case of inflammatory pseudo-tumor revealed by mictional disorders is reported. Ultrasonography and computed tomography visualised a non specific formation of bladder dome witch extend to the Retzius space and umbilicus. The diagnosis of urachal tumor had been suspected. Anatomopathologic analysis of the operative piece disclose a diagnosis of the urachal remnants with foreign body type of inflammation. Since malignant transformation of urachal remnants is possible, surgical resection is advised.

Rhino-orbito-cerebral mucormycosis is a rare fungal infection, invading rapidly the nasal cavity, paranasal sinuses, orbits and intracranial structures. It most often occurs in predisposing conditions (diabetics, immunosuppressed patients). The authors report the case of a diabetic patient who presented with extensive necrotic lesions of the face in spite of appropriate antistaphylococcic therapy. Diagnosis was confirmed by histologic and mycologic tests. The outcome was favorable after Amphotericin B therapy, daily debridement, and optimal control of the diabetes.

Radiological, computed tomography and magnetic resonance imaging findings in a case of spinal hydatidosis are reported.

Renal sinus hematoma is a rare complication of anticoagulant therapy. Prognosis is usually excellent with spontaneous regression. The authors report a case of spontaneous bilateral renal sinus hematoma in a 59-year-old woman, treated by anticoagulants for a cardiac disease. Diagnosis and follow-up are made using computed tomography.

Objectifs pedagogiques Connaitre l’embryogenese des feuillets peritoneaux. Connaitre la radioanatomie de la cavite peritoneale sur l’imagerie en coupe, principalement en TDM. Connaitre les implications de l’embryogenese et de la radioanatomie dans la localisation et la diffusion des processus pathologiques intra-abdominaux. Messages a retenir La connaissance de l’embryogenese est une condition pour comprendre la radioanatomie et la pathologie du peritoine. Quelles que soient les methodes d’imagerie, on oppose deux etages sus et sous-mesocoliques a partir du cloisonnement de la cavite peritoneale par le long mesocolon transverse. Au sein de la cavite peritoneale, la diffusion d’un epanchement gazeux ou liquidien se fait par contiguite puis selon l’anatomie des reflexions peritoneales. L’imagerie en coupes incluant l’echographie, la resonance magnetique nucleaire, mais surtout la tomodensitometrie (TDM), est tres performante pour l’exploration de la cavite peritoneale.

Objectifs Connaitre les aspects TDM et IRM des tuberculomes et des abces tuberculeux. Savoir reconnaitre les signes evocateurs de tuberculose du SNC. Connaitre les differents aspects en IRM des nodules sarcoidosiques. Savoir reconnaitre les signes evocateurs de la neurosarcoidose. Discuter la place de la ponction stereotaxique dans le diagnostic des abces tuberculeux. Messages a retenir Le tuberculome peut sieger dans n’importe quelle partie du nevraxe. Contrairement aux abces a pyogene, l’abces tuberculeux est hypo-intense sur les sequences de diffusion. Les granulomes sarcoidosiques ne comportent pas de necrose centrale, contrairement aux nodules tuberculeux et metastatiques. La localisation a la tige pituitaire ou a l’hypothalamus suggere un granulome sarcoidosique. Resume La tuberculose du SNC est la plus frequente des granulomatoses. Le tuberculome est souvent solitaire, hypo-intense Tl et de signal variable en T2 avec un rehaussement apres injection de gadolinium. L’abces tuberculeux est tres rare, hypo-intense en Tl et en diffusion et hyperintenses en T2 avec prise de contraste peripherique apres injection de gadolinium. La biopsie stereotaxique est d’un grand apport dans les formes solitaires. La neurosarcoidose est rare (5% des sujets atteints de sarcoidose), mais reste la deuxieme cause d’atteinte granulomateuse du SNC apres la tuberculose. Les granulomes cerebraux sarcoidosiques sont iso-intenses T1 et hyperintenses T2, rehausses apres injection de gadolinium mais sans necrose centrale. Ils peuvent etre de siege intraventiculaire, intramedullaire ou epidural. Quand l’IRM montre un elargissement de la tige pituitaire, une perte de l’hypersignal Tl du posthypophyse ou des lesions granulomateuses isolees de l’hypothalamus, le diagnostic de neurosarcoidose devrait etre suggere.

Objectifs Rapporter notre experience dans l’exploration de la luxation anterieure de l’epaule, en s’aidant des differentes methodes d’imagerie selon l’indication. Materiels et methodes Nous avons explore 32 patients presentant une luxation anterieure de l’epaule avec instabilite. Tous nos patients etaient de sexe masculin et l’âge moyen au moment de l’episode initiaI est de 28,84 ans (intervalle de 13 a 54 ans). Differents moyens d’exploration ont ete realises selon les cas : la radiographie standard de l’epaule en rotation interne, rotation externe et rotation neutre avec un profile glenoidien ou de lamy, chez n =32, l’arthroscanner a ete realise chez n = 2, une IRM de l’epaule chez 1 patient. L’etude radiologique comporte une analyse de l’interligne articulaire gleno-humeral ; l’etude des differentes structures osseuses et enfin l’evaluation de l’espace sous-acromial. Resultats Parmi les 32 instabilites gleno-humerales antero-inferieures, 21 (31 %) etaient a droite et l0 (65 %) a gauche et un seul malade a eu une luxation bilaterale. Le nombre d’episodes de luxation allait de 1 a plus de 10,29 cas (90 %). Le mecanisme implique dans l’episode initial de luxation etait un traumatisme sportif dans 17 cas (45,8 %), une simple chute (6 cas), un accident de la voie publique (3 cas) et un faux mouvement dans 2 cas. L’analyse radiologique mettait en evidence la luxation antero-interne sous-coracoidienne dans 31 cas (96,8 %) et intra-coracoidienne dans un cas (3,12 %). L’encoche de Malgaine est retrouvee dans 15 cas (46,8 %). L’abrasion du rebord glenoidien antero-inferieur a ete mise en evidence dans 8 cas (25 %). Dans 4 cas on a trouve aussi des fractures associees : fractures du massif trochiterien et eclatement de la tete humerale. L’arthro-scanner a permis de mettre en evidence chez les deux patients une desinsertion du bourrelet glenoidien antero-inferieur sans lesion osseuse et une poche de Broca. La seule IRM qui a ete realisee dans notre serie a retrouve une avulsion du complexe labro-ligamentaire inferieure associee a une fracture du rebord osseux glenoidien inferieur (fracture de BANCART). Vingt trois (72 %) patients ont ete operes et les 9 (28 %) restants ont eu un traitement orthopedique. Conclusion Le diagnostic de la luxation anterieure est cliniquement evident, le cliche de face de l’epaule est suffisant. Le bilan radiologique de l’instabilite anterieure est bien codifie et repose sur des cliches de face et des profils glenoidiens. L’arthroscanner ou l’arthroIRM sont les techniques les plus performantes pour etudier le bourrelet et le plan capsulo-ligamentaire.

Objectifs Faire une etude iconographique des tumeurs des parties molles des doigts : tumeurs benignes, tumeurs malignes et pseudotumeurs. Materiels et methodes Trente cas de tumeurs des parties molles des doigts recenses au service de radiologie, les malades ont beneficie d’une radiographie standard, une echographie, une TDM et une IRM avant et apres injection de produit de contraste. Resultats La radiologie (radiographie standard et TDM) met en evidence une masse des tissus mous, des calcifications intratumorales et une eventuelle extension osseuse. L’echographie a un role limite en termes de diagnostic, les images qu’elle montre sont aspecifiques, cependant elle joue un role important dans la surveillance post-therapeutique et la recherche de recidive. L’IRM quant a elle apporte beaucoup de renseignements par rapport au scanner, elle permet une meilleure caracterisation de la tumeur (benignite ou malignite) et donne des renseignements sur la vascularisation tumorale. Conclusion Cette etude iconographique montre les differents aspects des tumeurs des parties molles des doigts et l’importance de l’imagerie dans leur diagnostic et leur suivi.

Objectifs Presenter un cas rare de faux anevrisme de l’artere cystique compliquant une cholecystite aigue. Materiels et methodes Il s’agit d’un patient âge de 70 ans qui consulte pour douleurs de l’hypocondre droit avec fievre, sans ictere. Le patient a beneficie d’une echographie abdominale, echo-Doppler et d’une TDM abdominale. Resultats L’echographie montre une vesicule biliaire lithiasique a contenu epais avec epaississement de sa paroi et la presence d’une formation paravesiculaire, echogene, de contours mal limites. L’echo-Doppler montre un flux arteriel au sein de cette formation. La TDM abdominale sans injection montre un contenu hyperdense au sein de la vesicule biliaire (hemobilie) et un faux anevrisme au contact de celle-ci. Le patient est opere. L’intervention confirme le diagnostic d’hemobilie et de faux anevrisme de l’artere cystique, secondaires a une cholecystite. Conclusion Le faux anevrisme de l’artere cystique est une complication rare et grave de la cholecystite aigue, pouvant mettre en jeu le pronostic vital. L’imagerie, basee sur les donnees de l’echo-Doppler et de la TDM abdominale, joue un role tres important dans son diagnostic, permettant une prise en charge adequate.

Feuillets de Radiologie - In Press.Proof corrected by the author Available online since samedi 20 juillet 2013

Qu’avez-vous retenu de cet article ? Testez si vous avez assimile les points importants de cet article en repondant a ce questionnaire sous forme de QCM.

Resume La tumeur a cellule geante (TCG) osseuse est une lesion assez rare survenant dans 4 a 9,5 % de toutes les tumeurs osseuses. Son aspect en imagerie est assez typique et evocateur. En radiographie standard, il s’agit d’une lacune metaphyso-epiphysaire avec une extension vers l’os sous-chondral. La tomodensitometrie et l’imagerie par resonance magnetique permettent, d’une part, de classer la lesion et, d’autre part, de determiner son extension vers les parties molles avoisinantes. Elle s’associe a un kyste anevrismal dans environ 14 % des cas. Pour cela, la biopsie doit s’effectuer dans la partie charnue de la tumeur pour ne pas meconnaitre la tumeur. La forme multiple peut se voir dans de rare cas. Enfin, les TCG malignes representent 5 a 10 % des cas, souvent apres irradiation d’une TCG initialement benigne. Le traitement de ces tumeurs reste chirurgical mais la recidive se voit dans 2 a 25 % des cas. Cette etude descriptive de 13 dossiers cliniques et radiologiques a pour objectifs de rapporter les presentations radiocliniques et evolutives et a illustrer les aspects en imagerie des formes classiques et des formes atypiques des TCG de l’os.

Chapo Qu’avez-vous retenu de cet article ? Testez si vous avez assimile les points importants de cet article en repondant a ce questionnaire sous forme de QCM.

Resume La maladie de Carrington ou pneumopathie chronique idiopathique a eosinophile est une pathologie rare ne presentant que 0 a 2,5 % des pneumopathies infiltrantes diffuses. Elle est caracterisee par des infiltrats pulmonaires associes a une eosinophilie circulante et/ou alveolaire. Nous rapportons deux observations chez des femmes d’âge moyen dans le but de rappeler les elements du diagnostic positif en particulier les aspects radiologiques.

Objectifs pedagogiques Connaitre les aspects en imagerie des metastases osseuses sur la radiographie standard, la TDM et l’IRM. Connaitre les formes particulieres des metastases osseuses et les principaux diagnostics differentiels. Savoir faire le choix de la technique d’examen en fonction du contexte clinique et/ou radiologique. Messages a retenir L’analyse rigoureuse des cliches standard permet le plus souvent le diagnostic, mais apporte aussi des arguments sur l’origine, le risque de complication et Fevolutivite des lesions. La radiographie standard associee a la scintigraphie osseuse permet la detection des metastases. Les metastases osseuses peuvent etres revelatrices d’une neoplasie primitive inconnue. Une lesion osseuse en cas de cancer, n’est pas toujours une metastase.

Objectifs pedagogiques Connaitre l’ensemble des pathologies impliquees dans les syndromes de l’angle ponto-cerebelleux. Connaitre les signes radiologiques specifiques a chaque etiologie. Connaitre les indications et l’apport des differentes techniques d’imagerie. Messages a retenir les syndromes de l’angle ponto-cerebelleux se manifestent par l’hemispasme de la face, la paralysie trijeminale, les acouphenes et la surdite retrocochleaire. Les etiologies sont dominees par les conflits neuro-vasculaire qui retrouvent dans la quasi totalite des cas une boucle arterielle. Les cisterno-IRM couplees a l’angio-RM permettent dans la majorite des cas de mettre en evidence le siege du conflit et la visualisation de la boucle.

Objectifs pedagogiques Connaitre les espaces retro-peritoneaux. Connaitre les aspects anatomo-scanographiques des composants peri-toneaux et fibreux dans leurs regions topographiques. Connaitre les variantes des espaces retro-peritoneaux. Discuter de l’interet dans la connaissance des voies de communication de ces espaces. Messages a retenir La reconnaissance anatomo-scanographique des espaces retroperitoneaux a beneficie de la physiopathologie de l’extension des collections inflammatoires, pancreatiques en particulier. Les processus pathologiques du retroperitoine entrainent le plus souvent un epaississement des feuillets et fascias, bien mieux identifiables. L’analyse scanographique tridimensionnelle confirme la realite des voies de communication entre les espaces du retroperitoine.

Objectifs pedagogiques Connaitre les aspects TDM et IRM des tuberculomes et des abces tuberculeux. Savoir reconnaitre les signes evocateurs de tuberculose du SNC. Connaitre les differents aspects en IRM des nodules sarcoidosiques. Savoir reconnaitre les signes evocateurs de la neurosarcoidose. Discuter la place de la ponction stereotaxique dans le diagnostic des abces tuberculeux. Messages a retenir Le tuberculome peut sieger dans n’importe quelle partie du nevraxe. Contrairement aux abces a pyogene, l’abces tuberculeux est hypo-intense sur les sequences de diffusion. Les granulomes sarcoidosiques ne comportent pas de necrose centrale, contrairement aux nodules tuberculeux et metastatiques. La localisation a la tige pituitaire ou a l’hypothalamus suggere un granulome sarcoidosique.

Objectifs pedagogiques Connaitre la semiologie du syndrome parietal sur la radiographie du thorax. Connaitre les signes permettant d’evoquer la topographie parietale ou pleurale d’une opacite. Savoir evoquer les principales etiologies du syndrome parietal en fonction du tableau radio-clinique. Messages a retenir L’interpretation d’une radiographie thoracique ne devrait pas omettre l’analyse de l’os et de la paroi, une lyse osseuse et/ou une opacite des parties molles sont frequemment retrouvees a posteriori, apres l’examen TDM. Le signe de lisere graisseux pathognomonique du syndrome parietal est rarement perceptible. L’echographie, la TDM et parfois l’IRM facilitent le diagnostic positif et permettent l’approche etiologique. La lyse osseuse est representee par le sarcome d’Ewing avant 20 ans, par les metastases apres 50 ans. Les tumeurs des parties molles sont dominees par les lipomes, les tumeurs nerveuses et vasculaires.

Objectifs Decrire les aspects en imagerie, notamment echographiques et IRM, des tumeurs glomiques des doigts. Materiels et methodes Notre etude retrospective comporte 15 cas de tumeurs glomiques des doigts confirmees histologiquement, chez des patients dont l’âge moyen etait de 44,6 ans et avec un sex-ratio de 1/4. Ils ont tous presente une douleur spontanee ou provoquee aux chocs et au froid. Ils ont tous ete explores par des radiographies standard, une echographie et/ou une IRM. Resultats Les radiographies standard systemiques ont montre une atteinte osseuse dans 40% des cas. L’echographie a fait le diagnostic chez tous les patients. La taille tumorale moyenne etait de 6,3 mm. Deux cas (13,4%) presentaient un hypersignal doppler intralesionnel net compatible avec le diagnostic de tumeur glomique. L’IRM a ete realisee chez 4 patients, sans aucun faux negatif ni faux positif. Conclusion Les tumeurs glomiques des doigts sont des tumeurs benignes et rares, representant 1,2% des tumeurs des parties molles de la main. L’imagerie joue un role primordial dans le diagnostic et le suivi postoperatoire de ces tumeurs. L’IRM reste le meilleur examen permettant un bilan topographique et morphologique precis de la lesion.

Objectifs Souligner l’apport des nouvelles sequences d’IRM dans le diagnostic positif et l’approche etiologique des microhemorragies cerebrales multiples. Materiels et methodes A travers des observations cliniques illustrees, les differents aspects des microhemorragies cerebrales multiples sont rapportes ainsi que leurs differentes etiologies. Resultats L’IRM objective de multiples hypo signaux nodulaires particulierement visibles sur la sequence en T2*, dissemines sur l’ensemble du cerveau. L’âge et la topographie des lesions orientent sur l’etiologie : la topographie lobaire sus-tentorielle, corticale ou dans la substance blanche, respectant les noyaux gris centraux et predominant en region frontale chez les sujets âges ont comme cause une angiopathie amyloide, la topographie sur les arteres de petit calibre lenticulo-striees, paramedianes du tronc basilaire et cerebelleuses ont une origine hypertensive alors que la survenue chez les patients plus jeunes symptomatiques (epilepsie, cephalee, hemorragie) evoque une cavemomatose familiale. Conclusion Les hemorragies cerebrales multiples non traumatiques sont facilement diagnostiquees par l’IRM, particulierement la sequence T2* Leur etiologie est dominee par l’angiopathie amyloide, la lipohyalinose et la cavemomatose familiale. Il est important d’evoquer le diagnostic d’angiopathie amyloide, car la chirurgie est dangereuse sur ce terrain vu le risque hemorragique post-operatoire.

Objectifs Presentation didactique exposant des images clefs des condensations osseuses focalisees. Materiels et methodes Deux cent vingt dossiers provenant des archives de l’hopital militaire de Rabat selectionnes pour leurs vertus didactiques, recouvrant les differentes pathologies entrainant une condensation osseuse focalisee. Resultats Les dossiers selectionnes contiennent tous des radiographies standard, et pour les cas qui le necessitent une TDM et / ou une IRM. Ces dossiers recouvrent l’essentiel des pathologies entrainant une condensation osseuse focalisee (tumorale, reactionnelle a une agression tumorale, ischemique, inflammatoire, infectieuse, mecanique, degenerative), et permettent aux lecteurs d’approfondir et completer leurs connaissances. Conclusion Importance des radiographies standard qui associees a la clinique, orientent le diagnostic et guident la suite des examens complementaires.

Objectifs pedagogiques Savoir l’interet de l’imagerie dans la prise en charge de l’appendicite. Connaitre la semiologie echographique et scannographique de l’appendicite. Savoir les difficultes et les pieges diagnostique en imagerie de l’appendicite. Connaitre les principaux diagnostics differentiels de l’appendicite. Messages a retenir Le diagnostic de l’appendicite est clinico-biologique. Les variations de la localisation de l’appendice et du caecum exposent aux difficultes diagnostiques. Interet de l’echographie couplee au doppler chez le sujet maigre et du scanner chez le sujet obese. Penser aux causes gynecologiques devant un syndrome appendicu-laire chez une femme jeune. L’echographie abdominale, completee par le scanner en cas de doute, permet d’eviter les appendicectomies blanches et de reduire les complications de l’appendicite.

Objectifs Presenter les maladies rhumatismales et systemiques ayant une traduction nette sur la radiographie standard de la main. Decrire les aspects radiologiques des differentes lesions. Discuter des elements qui aident la demarche diagnostique. Points cles L’analyse doit se faire de facon comparative sur des radiographies des mains de face, prenant les poignets et les doigts. L’analyse semiologique des lesions permet de differencier les arthropathies des osteopathies. Reconnaitre les lesions d’origine rhumatismale sur radiographies des mains. Reconnaitre les lesions d’origine systemique sur les radiographies des mains. Savoir orienter les bilans a venir pour etablir le diagnostic etiologique.