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Das wohlbekannte der Bild der Frau im Frankreich des 18. Jahrhunderts ist nicht besonders anziehend. Das traute Heim, die Familie und die Fähigkeit eine angemesseneUnterhaltung zu führen: damit ist die Liste der Ideale, die die zeitgenössischen Theoretiker formulierten, bereits beendet. Und dennoch: eine nicht geringe Anzahl von Quelle belegt, dass die französischen Musikerinnen in der Regel gute Instrumentalistinnen mit reichen Kenntnissen in Musiktheorie, waren und zudem im Pariser Musikleben anerkannt waren. Der vorliegende Aufsatz beleuchtet den sich aufzeigenden Widerspruch, untersucht die Esthetik des französischen Generalbass-Spiels und vergleicht es mit dem theoretisch formulierten Frauenbild. Es zeigt sich, dass es neben der offiziellen Lesart bestimmte Aspekte gab, die es Mädchen erlaubten, eine fundierte Ausbildung zu erlangen und die ihnen später sogar eine berufliche musikalischeTätigkeit eröffnen konnten., The well-known image of women from the 18th century sounds anything but appealing : the cosy home, the family, and an adequate education to make good conversation – these are roughly the ideals of the age as portrayed by théorists. There are, however, a considerable number of sources documenting French female musiciens who were well-trained not only in instrumental technique but also music theory, and who indeed held a respected position in Parisian musical life. The present essay attempts to illuminate the apparent contradiction by examingin the aesthetics of French figured bass playing in the 18th century and comparing it to the female gender model formulated. It becomes clear that outside of the officially sanctioned framework, there were certain criteria that first of all allowed girls to obtain the corresponding traingin, and later offered them possibilities to practice their profession., L'image bien connue de la femme bourgeoise au XVIIIe siècle semble très restrictive : le foyer, la famille, et une éducation destinée avant tout à participer à la conversation – voilà l'idéal comme on le trouve chez les théoriciens de l'époque. Cependant, il existe en France un bon nombre de sources sur des femmes musiciennes, bien formées non seulement en ce qui concerne la technique instrumentale, mais aussi la théorie musicale. Ces musiciennes étaient en outre très respectées sur la scène musicale à Paris. Cet article s'intéresse à cette opposition apparente entre l'image théorique et la réalité docu­mentée par les contemporains et biographes. A ces fins, il étudie l'esthétique de l'exécution de la basse continue en France au XVIIIe siècle et la compare avec l'idéal féminin évoqué. On voit qu'à part des normes officiellement fixées, il existait un autre type de critères qui – sous certaines conditions, bien évidemment – permettait aux filles d'abord d'avoir une solide éduca­tion, et de plus leur donnait plus tard dans la vie la possibilité de pratiquer une profes­sion musicale.

La bibliographie n'a pas été publiée par l'éditeur; Durant la Renaissance, l'instrument de musique connaît un développement et des métamorphoses qui en font la base de notre culture musicale européenne " classique ". C'est à cette époque que se développent l'art et la musique de cour. L'étude organologique contribue ainsi à la compréhension de la musique savante, qui conserve cependant des caractéristiques montrant son enracinement territorial et ses liens encore forts avec les pratiques populaires. L'instrumentarium de la Renaissance, relativement plus documenté que celui du Moyen Âge (et donc plus étudié) en raison des sources écrites plus nombreuses (manuscrits, traités imprimés) et des quelques instruments conservés, reste très marqué jusque vers 1500 par les traditions médiévales. La Renaissance voit l'émergence du métier de faiseur d'instruments de musique. Un peu partout en Europe, les grandes cités donnent naissance à des corps de métiers spécialisés et régis par des statuts. Parallèlement au développement de la facture instrumentale et de la musique instrumentale, maîtres de chapelle, princes et mécènes constituent des collections d'instruments pour leur usage et leur délectation mais aussi pour montrer leur savoir et leur pouvoir. Peu de ces cabinets ont subsisté mais ils sont connus par les documents. L'évolution des technologies de fabrication est surtout sensible dans les instruments à cordes qui de monoxyles deviennent peu à peu assemblés. L'outillage est relativement bien connu grâce aux inventaires d'ateliers. Alors que très peu de témoignages matériels non transformés sont parvenus jusqu'à nous, l'iconographie musicale apportent une documentation parfois exceptionnelle sur les caractéristiques morphologiques, techniques et décoratives des instruments. Les traités, malgré leur instabilité terminologique, témoignent des premières tentatives de classification systématique et précisent avec plus ou moins de rigueur les caractéristiques, les conditions d'utilisation musicale et la place symbolique des instruments dans la société. L'utilisation des instruments par familles entières en ensembles homogènes, ou en ensemble composés associant divers instruments dans des compositions également polyphoniques, la diversification jamais retrouvée des instruments à anche, l'existence d'instruments à cordes consacrés à l'accompagnement de la poésie et le développement des instruments à clavier support de l'harmonie caractérisent cette période.

La bibliographie n'a pas été publiée par l'éditeur; Durant la Renaissance, l'instrument de musique connaît un développement et des métamorphoses qui en font la base de notre culture musicale européenne " classique ". C'est à cette époque que se développent l'art et la musique de cour. L'étude organologique contribue ainsi à la compréhension de la musique savante, qui conserve cependant des caractéristiques montrant son enracinement territorial et ses liens encore forts avec les pratiques populaires. L'instrumentarium de la Renaissance, relativement plus documenté que celui du Moyen Âge (et donc plus étudié) en raison des sources écrites plus nombreuses (manuscrits, traités imprimés) et des quelques instruments conservés, reste très marqué jusque vers 1500 par les traditions médiévales. La Renaissance voit l'émergence du métier de faiseur d'instruments de musique. Un peu partout en Europe, les grandes cités donnent naissance à des corps de métiers spécialisés et régis par des statuts. Parallèlement au développement de la facture instrumentale et de la musique instrumentale, maîtres de chapelle, princes et mécènes constituent des collections d'instruments pour leur usage et leur délectation mais aussi pour montrer leur savoir et leur pouvoir. Peu de ces cabinets ont subsisté mais ils sont connus par les documents. L'évolution des technologies de fabrication est surtout sensible dans les instruments à cordes qui de monoxyles deviennent peu à peu assemblés. L'outillage est relativement bien connu grâce aux inventaires d'ateliers. Alors que très peu de témoignages matériels non transformés sont parvenus jusqu'à nous, l'iconographie musicale apportent une documentation parfois exceptionnelle sur les caractéristiques morphologiques, techniques et décoratives des instruments. Les traités, malgré leur instabilité terminologique, témoignent des premières tentatives de classification systématique et précisent avec plus ou moins de rigueur les caractéristiques, les conditions d'utilisation musicale et la place symbolique des instruments dans la société. L'utilisation des instruments par familles entières en ensembles homogènes, ou en ensemble composés associant divers instruments dans des compositions également polyphoniques, la diversification jamais retrouvée des instruments à anche, l'existence d'instruments à cordes consacrés à l'accompagnement de la poésie et le développement des instruments à clavier support de l'harmonie caractérisent cette période.

La bibliographie n'a pas été publiée par l'éditeur; Durant la Renaissance, l'instrument de musique connaît un développement et des métamorphoses qui en font la base de notre culture musicale européenne " classique ". C'est à cette époque que se développent l'art et la musique de cour. L'étude organologique contribue ainsi à la compréhension de la musique savante, qui conserve cependant des caractéristiques montrant son enracinement territorial et ses liens encore forts avec les pratiques populaires. L'instrumentarium de la Renaissance, relativement plus documenté que celui du Moyen Âge (et donc plus étudié) en raison des sources écrites plus nombreuses (manuscrits, traités imprimés) et des quelques instruments conservés, reste très marqué jusque vers 1500 par les traditions médiévales. La Renaissance voit l'émergence du métier de faiseur d'instruments de musique. Un peu partout en Europe, les grandes cités donnent naissance à des corps de métiers spécialisés et régis par des statuts. Parallèlement au développement de la facture instrumentale et de la musique instrumentale, maîtres de chapelle, princes et mécènes constituent des collections d'instruments pour leur usage et leur délectation mais aussi pour montrer leur savoir et leur pouvoir. Peu de ces cabinets ont subsisté mais ils sont connus par les documents. L'évolution des technologies de fabrication est surtout sensible dans les instruments à cordes qui de monoxyles deviennent peu à peu assemblés. L'outillage est relativement bien connu grâce aux inventaires d'ateliers. Alors que très peu de témoignages matériels non transformés sont parvenus jusqu'à nous, l'iconographie musicale apportent une documentation parfois exceptionnelle sur les caractéristiques morphologiques, techniques et décoratives des instruments. Les traités, malgré leur instabilité terminologique, témoignent des premières tentatives de classification systématique et précisent avec plus ou moins de rigueur les caractéristiques, les conditions d'utilisation musicale et la place symbolique des instruments dans la société. L'utilisation des instruments par familles entières en ensembles homogènes, ou en ensemble composés associant divers instruments dans des compositions également polyphoniques, la diversification jamais retrouvée des instruments à anche, l'existence d'instruments à cordes consacrés à l'accompagnement de la poésie et le développement des instruments à clavier support de l'harmonie caractérisent cette période.

Durant la Renaissance, l'instrument de musique connaît un développement et des métamorphoses qui en font la base de notre culture musicale européenne " classique ". C'est à cette époque que se développent l'art et la musique de cour. L'étude organologique contribue ainsi à la compréhension de la musique savante, qui conserve cependant des caractéristiques montrant son enracinement territorial et ses liens encore forts avec les pratiques populaires. L'instrumentarium de la Renaissance, relativement plus documenté que celui du Moyen Âge (et donc plus étudié) en raison des sources écrites plus nombreuses (manuscrits, traités imprimés) et des quelques instruments conservés, reste très marqué jusque vers 1500 par les traditions médiévales. La Renaissance voit l'émergence du métier de faiseur d'instruments de musique. Un peu partout en Europe, les grandes cités donnent naissance à des corps de métiers spécialisés et régis par des statuts. Parallèlement au développement de la facture instrumentale et de la musique instrumentale, maîtres de chapelle, princes et mécènes constituent des collections d'instruments pour leur usage et leur délectation mais aussi pour montrer leur savoir et leur pouvoir. Peu de ces cabinets ont subsisté mais ils sont connus par les documents. L'évolution des technologies de fabrication est surtout sensible dans les instruments à cordes qui de monoxyles deviennent peu à peu assemblés. L'outillage est relativement bien connu grâce aux inventaires d'ateliers. Alors que très peu de témoignages matériels non transformés sont parvenus jusqu'à nous, l'iconographie musicale apportent une documentation parfois exceptionnelle sur les caractéristiques morphologiques, techniques et décoratives des instruments. Les traités, malgré leur instabilité terminologique, témoignent des premières tentatives de classification systématique et précisent avec plus ou moins de rigueur les caractéristiques, les conditions d'utilisation musicale et la place symbolique des instruments dans la société. L'utilisation des instruments par familles entières en ensembles homogènes, ou en ensemble composés associant divers instruments dans des compositions également polyphoniques, la diversification jamais retrouvée des instruments à anche, l'existence d'instruments à cordes consacrés à l'accompagnement de la poésie et le développement des instruments à clavier support de l'harmonie caractérisent cette période.

Deutsche Übersetzung und aufführungspraktischer Kommentar der "Principes du Clavecin" von Saint-Lambert (Paris 1702), Traduction allemande et commentaire du traité "Les Principes du Clavecin" de Saint-Lambert (Paris 1702)