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Abstract: The incidence of venous thromboembolism in multiple myeloma depends on the disease characteristics that include recent diagnosis, persistent or recurrent multiple myeloma, patient characteristics, and the type of treatment received such as thalidomide or lenalidomide especially in combination with high-dose dexamethasone, or combined chemotherapy. Currently, recommendations could be challenged by the results of the first randomized study evaluating aspirin, low molecular weight heparins and vitamin K antagonists in the antithrombotic prophylaxis. The recent data from the literature show that it is not possible to propose a therapeutic management for venous thromboembolism prophylaxis in multiple myeloma and that the use of antithrombotic prophylaxis may not be mandatory. [Copyright &y& Elsevier]

Summary: Aims of the study: To evaluate post-operative complications and the recurrence rate after repair of large ventral incisional hernia with an open technique using intraperitoneal composite mesh and an associated aponeurotic overlay. Patients and methods: This prospective study included a total of 280 patients who underwent repair of large incisional hernia using Parietex® composite mesh. Results: The post-operative mortality rate was 0.35%. Six patients (2%) developed subcutaneous surgical site infection without infection of the prosthesis. Six other patients (2%) developed a deep-seated infection; in three cases, the mesh had to be removed. Nine patients (3.2%) developed recurrent incisional hernia. Conclusion: Large ventral incisional hernias can be effectively treated by the intraperitoneal placement of Parietex® composite mesh overlaid by an aponeurotic graft; the incidence of complications in this prospective study was very low. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Les prises en charge thérapeutiques dans le myélome multiple (MM) se sont considérablement modifiées ces dernières années avec l'essor de chimiothérapies orales efficaces et de traitements pris en continu. En accord avec le plan cancer 2014–2019 et ses objectifs de sécuriser l'utilisation des chimiothérapies orales tout en améliorant la coordination des soins, un protocole de suivi original par une infirmière en pratique avancée (IPA) a été mis en place. Alors que le rôle des IPA est très bien défini en Amérique du Nord, il n'en est encore qu'à ses débuts en France. Cette étude vise à décrire précisément cette nouvelle prise en charge des patients traités par lenalidomide et dexaméthasone (LD) dans le cadre d'un MM et d'évaluer l'impact de l'intervention d'une IPA sur une prise en charge ambulatoire, notamment en termes de qualité et de sécurité. Un protocole de suivi complémentaire par une IPA était proposé aux patients suivis pour un MM et nouvellement traités par LD. Des appels téléphoniques et des consultations étaient programmés de manière complémentaire au suivi standard, selon un schéma prédéfini. Par délégation, l'IPA était habilitée à assurer le renouvellement de la chimiothérapie orale et des thérapeutiques associées, à prendre en charge les toxicités médicamenteuses par l'adaptation des posologies ou l'arrêt des traitements et à prescrire de manière encadrée des examens complémentaires. Les données ont été collectées rétrospectivement d'avril 2017 à septembre 2020. Quarante-deux patients ont accepté de participer à cette étude. L'ensemble des appels et des interventions de l'IPA ont été notifiés, comptabilisant un total de 1240 appels téléphoniques et 162 consultations. Les raisons de chaque appel ont été analysées de manière exhaustive. Quatre-vingt-deux appels ont été référés avec le déclenchement de 45 consultations. Les appels étaient plus fréquents durant les premiers mois de traitements, avec une forte demande d'informations et de réassurance. L'intérêt semble important chez les patients naïfs de traitement ou en rechute. Soixante pour cent de l'ensemble des patients et 100 % de ceux en rechute ont été hospitalisés. Par son numéro direct, l'IPA était en première ligne avec tous les professionnels de santé, permettant une meilleure coordination entre la ville et l'hôpital. Un tel suivi semble être pertinent chez des patients fragiles multi-traités avec des évaluations clinicobiologiques régulières et adaptations thérapeutiques mais également chez des patients plus anxieux avec un besoin d'information et de réassurance. Par sa gestion des traitements et de leurs effets secondaires ainsi que de sa capacité d'organisation de transfusions ou d'hospitalisations, l'IPA permet un gain de temps médical considérable. Afin de répondre aux besoins du système de santé et dans la volonté d'améliorer la sécurité de la prise médicamenteuse, nous avons mis en place un nouveau mode de suivi des patients atteints de MM et traités avec une chimiothérapie orale. Ce nouveau métier en hématologie est destiné à se développer rapidement et pourrait être une des réponses aux problèmes de santé actuels et à venir. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Background: Peripheral T-cell lymphomas (PTCLs) are rare and heterogeneous diseases with dismal outcome when treated with chemotherapy alone. Because allogeneic stem-cell transplantation (allo-SCT) can cure relapse/refractory patients, we hypothesized that upfront allo-SCT may provide a better outcome. Therefore, all patients that presented with advanced PTCL in our institution at diagnosis were scheduled to undergo upfront allo-SCT after induction chemotherapy. Patients and methods: The aim of the present work was to assess the feasibility and toxicity of upfront allo-SCT. From 2004 to 2012, 49 newly diagnosed PTCL patients were scheduled to receive upfront allo-SCT. A human leukocyte antigen-matched donor was found for 42 patients: related to the patient in 15 cases, unrelated in 20 cases, and suitable cord blood units were used in 7 cases. Results: After induction chemotherapy, 17 patients reached complete remission and 29 (60%) proceeded to upfront allo-SCT. For all patients, the 1 and 2-year overall survival (OS) rates were 59% [95% confidence interval (CI) 47–75] and 55% (95% CI 43–71), respectively. The most frequent reason we did not proceed to allo-SCT was disease progression or insufficient response after induction. For transplanted patients, the 1- and 2-year OS were 76% (95% CI 62–93) and 72.5% (95% CI 58–91), respectively. Toxicity-related mortality (TRM) 1 year after allo-SCT was only 8.2% (95% CI 0–18.5). The 2-year progression-free survival (PFS) rate of patients who did not proceed to allo-SCT (n = 20) was below 30%. The disease status at the time of transplantation was a strong predictive marker for both PFS and OS in transplant patients. Conclusions: Upfront allo-SCT in PTCLs is feasible with low TRM, and it provides long-term disease control. However, one-third of patients remain chemo-refractory and, thus, new therapeutic approaches are warranted. The role of upfront allo-SCT compared with other therapeutic approaches in PTCLs requires investigation in randomized studies. [ABSTRACT FROM AUTHOR]