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Abstract: Using positron emission tomography (PET), we investigated the organisation of spatial versus object-based visual working memory in 11 normal human subjects. The paradigm involved a conditional colour-response association task embedded within two visual working memory tasks. The subject had to remember a position (spatial) or shape (object-based) and then use this to recover the colour of the matching element for the conditional association. Activation of the nucleus accumbens and the anterior cingulate cortex was observed during the conditional associative task, indicating a possible role of these limbic structures in associative memory. When the 2 memory tasks were contrasted, we observed activation of 2 distinct cortical networks: (1) The spatial task activated a dorsal stream network distributed in the right hemisphere in the parieto-occipital cortex and the dorsal prefrontal cortex, and (2) The non spatial task activated a ventral stream network distributed in the left hemisphere in the temporo- occipital cortex, the ventral prefrontal cortex and the striatum. These results support the existence of a domain-specific dissociation with dorsal and ventral cortical systems involved respectively in spatial and non spatial working memory functions. [Copyright &y& Elsevier]

Introduction L’unité d’hémovigilance et sécurité transfusionnelle du GH, en lien avec le site EFS, a initié en 2012 un suivi des non-conformités des prélèvements immuno-hématologiques. L’objectif est de présenter le bilan comparatif entre 2012 et 2014. Méthodes Deux types de non-conformités ont été définis par l’unité d’hémovigilance, les référents qualité et l’EFS : – majeures, dont 2 nécessitent une action immédiate (erreurs d’étiquetage/patient prélevé et prélèvements simultanés ou non différenciés lors des 2 déterminations de groupe sanguin) ; – mineures, pouvant être régularisées avant analyse. Les non-conformités identifiées par l’EFS lors des étapes pré-analytique ou analytique sont transmises à l’unité d’hémovigilance. Après analyse préliminaire, elle les adresse aux services pour enquête de terrain et mesures correctives/préventives. Une rétro-information est assurée aux référents qualité et à l’EFS. Résultats La part des non-conformités majeures parmi les non-conformités immuno-hématologiques totales était de 17 % en 2014 (19 % en 2013, 13 % en 2012). Les erreurs d’étiquetage/patient prélevé s’élevaient à 16 en 2013 et 2014 (10 en 2012). Les prélèvements simultanés ou non différenciés des 2 déterminations de groupe, un peu plus de 100 chaque année, représentaient 24 % des NC majeures en 2013 et 2014 (20 % en 2012). Conclusion Une vigilance continue est indispensable pour éviter les erreurs d’identification du patient et les pratiques à risques. Les services concernés sont encouragés par l’unité d’hémovigilance à mener des analyses des causes avec leur référent qualité et contribuer à l’amélioration continue des pratiques et de la sécurité transfusionnelle. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Introduction Le Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière intègre depuis 2011 deux indicateurs d’hémovigilance et sécurité transfusionnelle dans sa politique de qualité et sécurité des soins. L’objectif est de présenter le bilan comparatif de ces indicateurs entre 2012 et 2013. Méthodes Un groupe de travail constitué de l’unité d’hémovigilance, du réseau des référents qualité du GH et du site EFS Pitié-Salpêtrière a choisi comme indicateurs : 1. la traçabilité spontanée (sans relance) des PSL, qui reflète une pratique transfusionnelle de qualité (objectif ≥ 95 %) ; 2. les non conformités majeures des prélèvements immuno-hématologiques (IH) liées à un défaut d’identification du tube et/ou de la prescription d’examen (objectif = 0 erreur). L’EFS identifie les bordereaux de traçabilité des PSL non retournés ou non-conformes et détecte les non-conformités des prélèvements IH lors de l’étape pré analytique ou analytique. Les données sont transmises à l’unité d’hémovigilance qui après analyse, les adresse aux services concernés pour investigation puis assure une rétro-information mensuelle par l’intermédiaire des référents qualité des pôles. Résultats En 2013, la traçabilité spontanée est restée stable autour de 94 %. Le nombre de non conformités majeures représentait près de 20 % du total des non conformités des prélèvements IH (13 % en 2012). Le nombre d’erreurs de patient prélevé est passé de 7 à 10. Le détail des résultats sera présenté. Conclusion Le taux de traçabilité spontanée s’est maintenu dans un contexte d’augmentation de 6 % du nombre de PSL transfusés. Le nombre d’erreurs de patient prélevé, qui représente un risque majeur pour la sécurité transfusionnelle, exige une vigilance renforcée. Les services de soins concernés sont encouragés par l’unité d’hémovigilance via les référents qualité des pôles à mener des analyses de causes racines et à contribuer ainsi à l’amélioration continue des pratiques et de la sécurité transfusionnelle. [ABSTRACT FROM AUTHOR]