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Abstract: Stereotactical radiotherapy is a very high precision procedure, limited to radiosurgery since a long time. Technologic progress permitted to develop radiotherapy in stereotactical conditions, leading to a lot of innovations. Previously indicated for cerebral pathologies, this procedure is now developed for extracerebral locations. In pediatrics, stereotactical radiotherapy is still limited, delivered precociously, due to the possibility of long-term late effects that needs to be to addressed. This review reports the different useful conditions, technical evolutions, and the current validated pediatric indications, with differences from adults, and future directions. Current state of pediatric stereotactical radiotherapy used in France is presented. [Copyright &y& Elsevier]

Abstract: Stereotactic radiotherapy is a very high precision procedure, which has been limited to radiosurgery for a long time. Technological improvements allowed the development of radiotherapy in stereotactic conditions, leading to a lot of innovations. Previously indicated for cerebral pathologies, this procedure is now developed for extracerebral locations. In paediatrics, stereotactic radiotherapy is still limited, delivered precociously, due to the possibility of long-term late effects that needs to be addressed. This review reports the different useful conditions, technical evolutions, and the current validated paediatric indications, with differences from adults, and future directions. [Copyright &y& Elsevier]

Summary: Despite the numerous clinical trials undertaken, the prognosis of children with diffuse brain stem glioma remains very poor. This review examines the different strategies for the treatment of malignant brain stem glioma such as radiation therapy, concurrent radiochemotherapy, and classical cytotoxic drugs, with a particular focus on the novel targeted and antiangiogenic drugs recently introduced in pediatric oncology. The strategy using integrin inhibitors is discussed. [Copyright &y& Elsevier]

Children's ependymomas achieve a 5-years local control rate of 50% with a standard post-operative dose of 59.4 Gy. To decrease the dose to normal tissue, proton bean therapy (PBT) is preferred when available. Recently, retrospective studies reported higher rates of radionecrosis on the brainstem after PBT than photon radiation therapy (XRT), leading several teams to decrease the dose to 54 Gy in PBT for posterior fossa ependymomas under 3 years old. The benefit-risk's balance of the dose reduction is unclear especially since the real incidence of clinically relevant brainstem's toxicity appears low.This prompt us to compare the incidence of clinical and imaging brainstem toxicity between XRT and PBT and to correlate them to the dosimetric datas in the retrospective PEPPI French cohort. From 2001 to 2021, we studied the MRI brainstem's modification and clinical brainstem toxicity for patients ≤ 22 years old from 5 reference French centers treated with surgery and radiation therapy (RT) for a localized intracranial ependymoma. Pre operative, post operative and follow-up MRI during 18 months after RT were analyzed. Post-gadolinium T1, T2, FLAIR and diffusion weighted imaging were used. Eighty-three patients were included in the study, 42 patients were treated with PBT, 37 with XRT and 4 with both. Median follow-up was 5.6 years [95%CI: 4.8-6.2], the 5-years overall survival and progression free survival rates were respectively 86.1% [95%CI: 75.7-92.3] and 68.7% [95%CI: 56.4-78.3]. Neither clinical or MRI brainstem radionecrosis nor new or progressive brainstem symptoms were found. Four patients (whose two had received PBT) presented a punctiform brainstem enhancement with a median time of onset of 3.5 months [3.0-9.4] after RT and a median time of disappearance of 7.6 months [3.7-7.9]. Median brainstem mean dose was 47.2 Gy [45.3-53.2] for them and 48.5 Gy for the cohort. Brainstem imaging change occurred in 4,8% of children in a large series including PBT. No radionecrosis nor symptomatic MRI change was found within the brainstem. The pursue of the study with the others French centers will strengthen our results. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Objectifs Évaluer la toxicité tardive chez les patients atteints d’un cancer de prostate localisé ayant reçu une radiothérapie avec modulation d’intensité (RCMI). Identifier les facteurs prédictifs de toxicité et analyser la survie sans récidive biochimique. Patients et méthodes Au total, 280 patients pris en charge entre 2000 et 2010 ont reçu 70 Gy (10,7 %), 74 Gy (63,7 %) ou 80 Gy (25,6 %), sans traitement des ganglions pelviens. Une RCMI par cinq faisceaux statiques a été appliquée. Une hormonothérapie d’au plus 6 mois (25,5 %) ou d’au moins 6 mois (20 %) a été associée en fonction des facteurs pronostiques. La toxicité a été décrite selon l’échelle Common Terminology Criteria for Adverse Events v4.0 (CTCAE). Les corrélations entre les caractéristiques cliniques (âge, traitement par anticoagulants, antécédents de diabète, chirurgie abdominopelvienne, résection trans-urethrale de la prostate) et liées à la RCMI et la toxicité ont été identifiées selon un modèle de Cox. Résultats Le suivi médian était de 53,1 mois (3,4–150). Aucune toxicité de grade 4 ou plus n’a été observée. La probabilité de survie à 5 ans sans toxicité rectale tardive grade de plus de 2 était de 93,8 % (intervalle de confiance à 95 % : 89,8 %–96,2 %) et sans toxicité urinaire grade de plus de 2 de 75,2 % (68,7 %–80,5 %). En analyse multifactorielle, seule la dose (80 Gy contre 74 et 70 Gy) augmentait le risque de toxicité rectale ( p = 0,0391 ; hazard ratio =2,917[1,055–8,065]) ; seul l’ International Prostate Symptom Score (IPSS) initial (8 ou plus contre 0–7) avait un impact sur la toxicité urinaire ( p = 0,0011 ; hazard ratio =2,602 [1,466–4,619]). La probabilité de survie sans rechute biochimique à 5 ans était de 81,3 % (74,9 %–86,2 %). Conclusion Le taux de toxicité tardive est apparu plus élevé après une RCMI de 80 Gy et un IPSS initial de plus de 8. Les paramètres dosimétriques ayant un impact sur la toxicité sont en cours d’analyse. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Objectifs La réirradiation en conditions stéréotaxiques des récidives des gliomes de haut grade, encore peu étudiée, semble intéressante. L’objectif de cette étude rétrospective bicentrique (centre Antoine-Lacassagne de Nice et institut de cancérologie de Lorraine de Nancy) était d’analyser la faisabilité, la tolérance et la survie des patients ré-irradiés par CyberKnife ® pour des gliomes de haut grade récidivants. Patients et méthodes De 2009 à 2013, 30 patients d’âge médian : 53 ans [19–78] ont été réirradiés par CyberKnife ® pour une récidive de tumeur gliale de grade III ou IV selon la classification de l’OMS. Tous avaient reçu une irradiation à dose curative lors du premier traitement. Ils ont reçu une dose de 25 Gy en cinq fractions. Le suivi a été réalisé par IRM cérébrale. Résultats Trente-deux ré-irradiations ont été réalisées, pour 25 glioblastomes, quatre oligodendrogliomes et un oligoastrocytome anaplasique. Le volume médian ré-irradié était de 1,99 cm 3 (0,72–17,3). Le suivi médian était de 12,5 mois (0–42). La tolérance a été bonne chez 83,4 % des patients, 76,7 % n’ont pas souffert de toxicité et 6,7 % d’une toxicités de grade 1–2 selon la Common Terminology Criteria for Adverse Events v4,0. Une courte hospitalisation a été nécessaire chez 10 % des patients. Une seule toxicité de grade 4 (convulsion et ralentissement psychomoteur) a été notée chez un patient ayant reçu deux ré-irradiations de 20 Gy en séance unique. Les probabilités de survie globale à 6, 9 et 12 mois étaient respectivement de 87,8 %, 82,9 % et 78 %, celles de survie sans récidive à 6, 9 et 12 mois respectivement de 82,6 %, 59 % et 39,4 %. Une récidive a eu lieu chez 46,7 % des patients et 20 % étaient d’emblée en situation de poursuite évolutive. Conclusion En cas de récidive de gliome de haut grade de moins de 2 cm 3 , une ré-irradiation en conditions stéréotaxiques hypofractionnée de 25 Gy en cinq fractions peut être proposée. Une étude prospective est nécessaire. [ABSTRACT FROM AUTHOR]