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La complessità dell'epoca fa emergere il tema antropologico anche nell'ambito delle scienze dure. Alcuni modelli epistemologici emergenti riportano il tema della qualità relazionale al cuore dei processi di produzione del sapere. La teologia e la filosofia hanno la possibilità di interagire in modo nuovo con queste istanze.

L’identification des liens de la phénoménologie de la donation soit avec la pensée heideggérienne suivant la Kehre, soit avec la pensée théologique, offrent de mieux considérer la forme événementielle de la saturation, pour demander à nouveau si sa structure formelle rend possible le sens plénier du temps, demeurant ouvert à la finitude de l’adonné. Cette possibilité est envisagée par une différente interprétation des études de Marion : il utilise de manière de plus en plus décisive le paradigme de la naissance pour exprimer la radicalité de l’événement. Il est alors surprenant de vérifier que la naissance comporte la même structure de la temporalité eschatologique : interruption, irruption, unicité, structure d’appel, ouverture d’une dimension tout à fait nouvelle mais non alternative. L’analyse de la structure formelle de l’événement demeure indécise parce que liée au soupçon de la fermeture de toute temporalité, comme si la radicalité du jugement conséquent à la crise décrète l’impossibilité pour l’histoire à être sensée. Au contraire, la naissance comme figure de l’eschatologique est définie par l’auteur en tant qu’impossibilité de l’impossibilité. On peut l’interpréter comme l’ultérieur renversement de la démarche marionienne : elle révèle la dimension effective en tant que dernière, l’effectivité devient la possibilité la plus radicale, la temporalité qu’elle ouvre c’est l’authentique forme de l’eschatologie.

L’identification des liens de la phénoménologie de la donation soit avec la pensée heideggérienne suivant la Kehre, soit avec la pensée théologique, offrent de mieux considérer la forme événementielle de la saturation, pour demander à nouveau si sa structure formelle rend possible le sens plénier du temps, demeurant ouvert à la finitude de l’adonné. Cette possibilité est envisagée par une différente interprétation des études de Marion : il utilise de manière de plus en plus décisive le paradigme de la naissance pour exprimer la radicalité de l’événement. Il est alors surprenant de vérifier que la naissance comporte la même structure de la temporalité eschatologique : interruption, irruption, unicité, structure d’appel, ouverture d’une dimension tout à fait nouvelle mais non alternative. L’analyse de la structure formelle de l’événement demeure indécise parce que liée au soupçon de la fermeture de toute temporalité, comme si la radicalité du jugement conséquent à la crise décrète l’impossibilité pour l’histoire à être sensée. Au contraire, la naissance comme figure de l’eschatologique est définie par l’auteur en tant qu’impossibilité de l’impossibilité. On peut l’interpréter comme l’ultérieur renversement de la démarche marionienne : elle révèle la dimension effective en tant que dernière, l’effectivité devient la possibilité la plus radicale, la temporalité qu’elle ouvre c’est l’authentique forme de l’eschatologie.

L’article accueille la recommandation de la Ciase concernant l’éducation à une lecture authentique du texte biblique, pour vérifier quels sont les enjeux théoriques qui fondent la liberté du lecteur de la Bible. On ne considère pas la plénitude de la liberté à partir d’une herméneutique subjectiviste et solipsiste, mais à partir de la relation particulière qu’on peut tisser avec la Bible : sa primauté est absolue et indépassable, le lecteur se laisse lire. Cela ne détermine pas la passivité du lecteur, ni empêche sa liberté, bien au contraire la fonde et la sollicite ; le récit biblique de l’annonciation et ses réinterprétations artistiques offrent à ce propos des suggestions remarquables. On y découvre la liberté de Marie vis-à-vis de la rencontre avec Dieu dont l’ange et la sainte écriture sont la médiation insurmontable. En outre, la structure de médiation est une caractéristique première de la révélation christologique en tant que telle : il y a un entrelacs décisif entre le texte de la révélation et son événement, décrit à partir du concept d’attestation. Tous ces enjeux contribuent à reconnaitre la structure de médiation testimoniale qui caractérise la révélation comme fondamentale pour le rapport entre le lecteur et la Bible aussi, justement ce qui est défiguré par l’immédiateté autoritaire et violente qui caractérise les emprises abusives.

Nella liturgia accade la fede della chiesa: la celebrazione manifesta la relazione che Dio istituisce con gli umani, offrendo loro di realizzare legami nuovi e autentici, ma il rito rischia anche di rafforzare paradigmi estranei al vangelo. In particolare, la liturgia struttura un immaginario relativo al maschile e al femminile, del quale è necessario verificare l’autenticità evangelica.

Il contributo elabora il nesso che intercorre tra la dimensione escatologica e la pratica sacramentale, per illustrare un possibile modello che intenda come non separabili né alternative la temporalità e l'eternità. La considerazione del sacramento quale evento escatologico è ottenuta tramite la considerazione della Parola, nella sua manifestazione nello scritto biblico, quale fenomeno dell'incontro tra la singolarità umana e la trascendenza divina.

Il contributo offre una lettura teologica dell'opera di Aby Warburg e delle sue intuizioni sul mondo dell'immagine. In particolare, a partire dai testi di Didi-Huberman, che raccoglie l'eredità warburghiana, il testo identifica lo specifico dell'immagine cristiana nella tradizione occidentale.

Lungo tutto il suo sviluppo la ricerca del teologo milanese Sergio Ubbiali si è caratterizzata per l’interesse di tipo fondamentale, declinato nell’ambito dell’antropologia, della sacramentaria, dell’escatologia, con un chiaro rimando alla postura fenomenologica. Il volume Il segreto della libertà omaggia tale percorso, con saggi filosofici e teologici, offerti da colleghi, amici e discepoli, provenienti dall’ambito di ricerca italiano, francese e tedesco.

Da più di un secolo, il dibattito sul rapporto tra politica e religione torna ciclicamente ad affacciarsi sulla scena culturale egiziana. Tra gli anni '80 e gli anni '90 due protagonisti di questo dibattito sono sul fronte islamista lo shaykh Yousef al-Qaradawi, e sul fronte laico Farag Foda, un intellettuale nato nel 1945 che, agronomo per formazione, sceglie il giornalismo e l’attivismo per i diritti umani come vera vocazione. Qaradawi presenta il secolarismo come strutturalmente incompatibile con l’Islam, usando ed estremizzando argomenti usati sin da inizio '900 da pensatori come Muhammad ‘Abduh. Foda invece diventa famoso per una serie di pubblicazioni e dispute pubbliche in cui sostiene la necessità di separare religione e Stato polemizzando con la presenza sempre più pervasiva dell’Islam politico.