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Au début des années 1980, alors qu'il était jeune photographe, Serge Jauvin a passé un long séjour chez les Innus d'Unamen Shipu (La Romaine) dans la famille d'Hélène et de William-Mathieu Mark. Il a reçu d'eux le témoignage exceptionnel de leur passage du nomadisme à la sédentarité et l'a documenté à travers son journal et ses photographies. Cela lui a permis d'illustrer à la fois la vie dans la communauté et celle sur le Nutshimit, le territoire ancestral. Ce récit sur les derniers nomades de la Côte-Nord n'est pas le regard extérieur d'un étranger. Au contraire, il constitue un témoignage intime du savoir-être et du savoir-faire innu. Il est une empreinte indélébile qui témoignera aux générations futures de la contribution d'un peuple millénaire de l'Amérique septentrionale «qui vivait ainsi». Originaire du Lac-Saint-Jean, Serge Jauvin vit sur la Côte-Nord. Son oeuvre, toujours inspirée de la nature, s'impose par la façon exceptionnelle dont il a documenté la vie contemporaine des Innus et des Atikamekw. Il publie AITNANU. C'est ainsi que nous vivons en 1993 (Libre Expression). En 2007, il publie avec l'auteure Francine Chicoine Le pays dans le pays.

L'intégration des arts dans le système d'enseignement universitaire marque un jalon important dans l'évolution du Québec moderne. La création de l'École des arts visuels, qui intégrait la plus ancienne université du Québec en 1970, fut abordée avec la ferme volonté de rompre radicalement avec la tradition des beaux-arts, ce qui constitue son caractère distinctif. Innovants et précurseurs, les programmes de l'École alors mis en place sont caractérisés par une approche transdisciplinaire qui demeure aujourd'hui le fondement de son enseignement. L'apport de l'École au développement du quartier Saint-Roch, à la suite de son déménagement en 1994, et sa nouvelle proximité avec le milieu de l'art actuel lui permettront par ailleurs de devenir, au fil des ans, une constituante essentielle de cet écosystème. Par les partenariats qu'elle a su développer, notamment avec le riche réseau des centres d'artistes de la ville de Québec, l'École d'art offre un contexte d'enseignement et de recherche qui réaffirme, au cœur même de la ville, la place de l'art comme forme singulière de savoir et de rapport au monde.

Hélène, jeune femme de vingt ans, apprentie infirmière est bouleversée quand les troupes allemandes déferlent sur Bordeaux en juin 1940 après avoir bombardé la ville. Pour elle, la seule réponse est la révolte clandestine. Mais dans cette période trouble où la trahison et la collaboration avec l'occupant sont l'arme des lâches et des traîtres, elle va tomber dans les griffes de ces renégats et connaître les pires tortures jusqu'au plus ignoble des viols, avant d'être déportée dans le camp de concentration de femmes de Ravensbrück en Allemagne. Pourtant son courage, sa vaillance et sa pugnacité vont lui permettre de s'évader de cet ignoble bagne féminin. Pendant des jours et des jours, elle va lutter contre les éléments, le froid, la faim et la fatigue pour arriver sur les bords de la mer Baltique et enfin trouver de l'aide pour revenir retrouver la France et sa ville de Saint-Médard-en-Jalles après la fin de la guerre.À PROPOS DE L'AUTEURDans le monde du textile, en France et à l'étranger pendant plus de quarante ans, revenu dans son Lauragais natal, Jacques Travers se lance dans sa passion de l'écriture, trempant sa plume dans l'encre bouillonnante de l'Histoire. Des romans attrayants vont naître de son Imagination. Des récits qui illustrent, dans de nombreuses époques, du Moyen-Âge à nos jours, les difficiles combats quotidiens des femmes et des hommes de notre pays, pour se libérer d'un oppresseur ou pour survivre.

Despite an often unfair reputation as being less popular, less successful, or less refined than their bona-fide Broadway counterparts, Off Broadway musicals deserve their share of critical acclaim and study. A number of shows originally staged Off Broadway have gone on to their own successful Broadway runs, from the ever-popular A Chorus Line and Rent to more off-beat productions like Avenue Q and Little Shop of Horrors. And while it remains to be seen if other popular Off Broadway shows like Stomp, Blue Man Group, and Altar Boyz will make it to the larger Broadway theaters, their Off Broadway runs have been enormously successful in their own right. This book discusses more than 1,800 Off Broadway, Off Off Broadway, showcase, and workshop musical productions. It includes detailed descriptions of Off Broadway musicals that closed in previews or in rehearsal, selected musicals that opened in Brooklyn and in New Jersey, and American operas that opened in New York, along with general overviews of Off Broadway institutions such as the Light Opera of Manhattan. The typical entry includes the name of the host theater or theaters; the opening date and number of performances; the production's cast and creative team; a list of songs; a brief plot synopsis; and general comments and reviews from the New York critics. Besides the individual entries, the book also includes a preface, a bibliography, and 21 appendices including a discography, filmography, a list of published scripts, and lists of musicals categorized by topic and composer.

Qui aurait pu supposer que le modeste cours professionnel accueillant 40 élèves en 1949 deviendrait un lycée technologique de 700 élèves? A l'origine, pas de local, aucun financement, mais un besoin de formation professionnelle pour les filles auquel ont su répondre des personnes qui n'y étaient pas préparées, une volonté d'affronter toutes les difficultés un peu à la fois, une foi à toute épreuve en l'homme et la Providence, un idéal de promotion humaine à réaliser.

This extensive bibliography and reference guide is an invaluable resource for researchers, practitioners, students, and anyone with an interest in Canadian film and video. With over 24,500 entries, of which 10,500 are annotated, it opens up the literature devoted to Canadian film and video, at last making it readily accessible to scholars and researchers. Drawing on both English and French sources, it identifies books, catalogues, government reports, theses, and periodical and newspaper articles from Canadian and non-Canadian publications from the first decade of the twentieth century to 1989. The work is bilingual; descriptive annotations are presented in the language(s) of the original publication. Canadian Film and Video / Film et vidTo canadiens provides an in-depth guide to the work of over 4000 individuals working in film and video and 5000 films and videos. The entries in Volume I cover topics such as film types, the role of government, laws and legislation, censorship, festivals and awards, production and distribution companies, education, cinema buildings, women and film, and video art. A major section covers filmmakers, video artists, cinematographers, actors, producers, and various other film people. Volume II presents an author index, a film and video title index, and a name and subject index.In the tradition of the highly acclaimed publication Art and Architecture in Canada these volumes fill a long-standing need for a comprehensive reference tool for Canadian film and video. This bibliography guides and supports the work of film historians and practitioners, media librarians and visual curators, students and researchers, and members of the general public with an interest in film and video.