Financial inclusion and the chasm of poverty and exclusion

In the face of acute poverty, financial inclusion is still a topical issue. It aims to lift the poor out of the abyss of exclusion and marginalization. Financial inclusion refers to the proportion of individuals or organizations accessing a range of financial services such as savings, credit, payment instruments and insurance (WB 2015). Thus, financial inclusion appears to be a universal strategy for fighting poverty. This article explores the historical and theoretical contours of financial inclusion through a review of the literature. With a real antiquity, through the pawnshop, financial inclusion has been strengthened over the years in its performance to become widespread in all parts of the world. It has been adopted as an inclusive strategy to fight poverty by providing access to a range of financial services. Even though its purpose is to give the poor the possibility of integrating finance, two approaches with contradictory appearances have come together to feed the theoretical reflection. The most salient elements of their opposition are the quest for rationality and the search for broad social outreach. However, although seemingly contradictory, these approaches converge, while complementing each other, on three determinants that underpin the performance of financial inclusion. These are affordability, use of financial services and quality. These three determinants are discussed in the literature as the foundations of the performance of financial inclusion strategies. As such, they are analyzed in different contexts to determine proven methodologies for their implementation.   Keywords: Financial inclusion; Poverty; Approach Classification JEL: G20, G21 Paper type: Theoretical Research &nbsp
Face à l’acuité de la pauvreté, l’inclusion financière se positionne toujours comme une actualité. Elle ambitionne d’extirper les pauvres du gouffre de l’exclusion et de la marginalisation. L’inclusion financière et la proportion d’individus ou d’organisation accédant à des services financiers d’une gamme variée comme l’épargne, le crédit, les moyes de payement et l’assurance (BM, 2015). Ainsi, l’inclusion financière apparait comme une stratégie universelle de lutte contre la précarité. Son exploration à partir d’une revue de la littérature a permis, dans cet article, de dresser ses contours historiques et théoriques. Avec une ancienneté réelle, à travers le mont-de-piété, l’inclusion financière s’est fortifiée au fil des âges dans ses performances pour se généraliser dans toutes les contrées de la planète. Elle est adoptée ainsi comme une stratégie inclusive de lutte contre la pauvreté par l’octroi de capacités d’accès à une gamme de service financier. Même si sa finalité est de donnée aux pauvres, la possibilité d’intégrer les finances, deux approches aux allures contradictoires se sont côtoyées pour alimenter la réflexion théorique. Les éléments les plus saillants de leur opposition sont la quête de la rationalité et la recherche d’une portée sociale étendue. Toutefois, bien qu’apparemment contradictoire ses approches convergent, tout en se complétant, sur trois déterminants qui fonde les performances de l’inclusion financière. Il s’agit en l’occurrence de l’accessibilité financière, l’utilisation des services financiers et enfin le niveau de qualité. Ces trois déterminants sont abordés dans la littérature comme étant les fondements des performances des stratégies d’inclusion financières. À ce titre, ils sont analysés dans différents contextes pour déterminer les méthodologies éprouvées pour leur mise en œuvre.   Mots clés : Inclusion financière ; Pauvreté ; Approche Classification JEL : G20, G21 Type de l’article : Article théorique.