Knowledge, perceptions, attitudes, and barriers pertaining to genetic literacy among surgeons: a scoping review

The rapid evolution of genetic testing technology over recent decades has allowed genetic information to guide clinical care. Approximately 5%-10% of cancers are hereditary, and once an underlying germline mutation [...]
Background: The rapid evolution of genetic technologies and utilization of genetic information for clinical decision-making has necessitated increased surgeon participation in genetic counselling, testing, and appropriate referral of patients for genetic services, without formal training in genetics. We performed a scoping review to describe surgeons' knowledge, perceptions, attitudes, and barriers pertaining to genetic literacy in the management of patients who had confirmed cancer or who were potentially genetically at risk. Methods: We conducted a scoping review in accordance with the Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-analyses Extension for Scoping Reviews checklist. We performed a comprehensive literature search, and 2 reviewers independently screened studies for inclusion. These studies included surgeons involved in the care of patients with confirmed gastrointestinal, breast, and endocrine and neuroendocrine cancers, or patients who were potentially genetically at risk for these cancers. Results: We analyzed 17 studies, all of which used survey or interview-based formats. Many surgeons engaged in genetic counselling, testing, and referral, but reported low confidence and comfort in doing so. Knowledge assessments showed lower confidence in identifying genetic inheritance patterns and hereditary cancer syndromes, but awareness was higher among surgeons with greater clinical volume or subspecialty training in oncology. Surgeons felt responsible for facilitating these services and explicitly requested educational support in genetics. Barriers to genetic literacy were identified and catalogued at patient, surgeon, and system levels. Conclusion: Surgeons frequently engage in genetics-related tasks despite a lack of formal genetics training, and often report low knowledge, comfort, and confidence in providing such services. We have identified several barriers to genetic literacy that can be used to develop interventions to enhance genetic literacy among surgeons. Contexte : L' volution rapide des technologies g n tiques et l'utilisation d'information g n tique pour la prise de d cisions cliniques ont men une augmentation in vitable de la participation des chirurgiens aux conseils et aux tests g n tiques ainsi qu' l'aiguillage appropri des patients vers des services g n tiques, sans pour autant avoir re u la formation n cessaire dans le domaine. Nous avons effectu une synth se exploratoire visant d crire l' tat des connaissances des chirurgiens, leurs perceptions et leurs attitudes l' gard de la litt ratie g n tique, et les obstacles auxquels ils se butent dans la prise en charge de patients ayant un diagnostic de cancer confirm ou qui pourraient tre g n tiquement risque. M thodes : Pour notre synth se exploratoire, nous avons suivi la liste de v rification Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-analyses Extension for Scoping Reviews. Nous avons effectu une revue exhaustive de la litt rature, et 2 relecteurs ont valu ind pendamment les tudes inclure. Les tudes retenues devaient porter sur des chirurgiens ayant particip aux soins de patients ayant un diagnostic confirm de cancer du sein ou de tumeur gastro-intestinale, endocrine ou neuroendocrine, ou encore de patients pr sentant un risque g n tique potentiel pour ces types de cancers. R sultats : Nous avons analys 17 tudes examinant les r sultats de sondages ou d'entrevues. Beaucoup de chirurgiens donnent des conseils en g n tique, prescrivent des tests et font des aiguillages, mais disent avoir peu confiance en leurs capacit s et tre peu l'aise de le faire. Les valuations des connaissances ont montr des niveaux de confiance inf rieurs concernant la mise en vidence de configurations g n tiques indiquant une transmission h r ditaire et de syndromes h r ditaires pr disposant au cancer, mais le niveau de connaissances tait plus lev chez les chirurgiens ayant un fort volume clinique ou une sursp cialisation en oncologic Les chirurgiens se sentaient responsables de faciliter l'acc s ces services et ont explicitement demand une formation compl mentaire en g n tique. Les entraves la litt ratie g n tique ont t recens es et class es l' chelle des patients, des chirurgiens, et du syst me. Conclusion : Les chirurgiens accomplissent r guli rement des t ches relevant de la g n tique, bien qu'ils n'aient suivi aucune formation dans le domaine, et disent fr quemment avoir peu de connaissances sur le sujet et tre peu l'aise ou confiants lorsqu'ils doivent prodiguer de tels services. Nous avons mis en vidence plusieurs obstacles la litt ratie g n tique qui pourraient tre abolis par l' laboration d'interventions visant l'am lioration de cette litt ratie chez les chirurgiens.