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Implementing new surgical technology: a national perspective on case volume requirement for proficiency in transanal total mesorectal excision

Authors :
Sandra de Montbrun
Vanessa N. Palter
Source :
Can J Surg
Publication Year :
2020
Publisher :
CMA Joule Inc., 2020.

Abstract

Early data suggest that transanal total mesorectal excision (TaTME) is a safe alternative to the abdominal approach for rectal cancer. This study aims to understand the approach to the management of rectal cancer in Canada and to ascertain perspectives on introducing TaTME.Surgeons were invited to complete a survey that asked about their management practices relating to rectal cancer and their opinions regarding TaTME.Ninety-four surgeons completed the survey (38% response rate). The number of rectal cancer cases handled annually by surgeons varied widely (1–80 cases, median 15 cases). Twenty-seven percent of respondents performed TaTME at the time of the survey, and 43% of those who did not said they planned on learning the technique. Surgeons who performed TaTME felt that a higher annual volume of rectal cancer cases was required to maintain proficiency than did non-TaTME surgeons (median 20 cases [interquartile range (IQR) 15–25 cases] v. 15 cases [IQR 10–20 cases]). Surgeons who performed TaTME also felt that a higher annual volume of TaTME cases was required to maintain proficiency (median 12 cases [IQR 10–19 cases] v. 9 cases [IQR 5–10 cases]).These findings help define the current practice environment for rectal cancer surgeons in Canada and highlight the complex issues associated with learning TaTME.Selon des données préliminaires, l’exérèse totale du mésorectum par voie transanale (ou TaTME, pour transanal total mesorectal excision) est une solution de rechange sécuritaire à l’approche abdominale pour le cancer du rectum. Cette étude vise à faire le point sur le traitement du cancer rectal au Canada et à mesurer l’intérêt à l’endroit de la technique TaTME.Des chirurgiens ont été invités à répondre à un sondage sur leur façon de prendre en charge le cancer rectal et sur leur opinion au sujet de la TaTME.Quatre-vingt-quatorze chirurgiens ont répondu au sondage (taux deréponse 38 %). Le nombre de cancer rectaux traités annuellement par chirurgien variait grandement (de 1 à 80 cas, nombre médian 15 cas). Vingt-sept pour cent des participants appliquaient la TaTME au moment du sondage et 43 % de ceux qui ne l’appliquaient pas disait avoir l’intention de s’y initier. Les chirurgiens qui appliquaient la TaTME se disaient d’avis qu’il fallait un volume annuel plus élevé de cas de cancer rectal pour garder la main comparativement aux chirurgiens qui n’appliquaient pas cette technique (nombre médian de 20 cas [éventail interquartile (ÉIQ) 15–25 cas] c. 15 cas [ÉIQ 10–20 cas]). Les chirurgiens qui appliquaient la TaTME ont aussi estimé qu’il fallait un volume annuel plus élevé de cas de TaTME pour garder la main (nombre médian de 12 cas [ÉIQ 10–19 cas] c. 9 cases (ÉIQ 5–10 cas]).Ces observations permettent de mieux définir les pratiques actuelles des chirurgiens qui soignent le cancer rectal au Canada et mettent en lumière les enjeux complexes inhérents à l’apprentissage de la TaTME.

Details

ISSN :
0008428X
Volume :
63
Database :
OpenAIRE
Journal :
Canadian Journal of Surgery
Accession number :
edsair.doi.dedup.....f0215690fd89fc2edd29190d973f4e36
Full Text :
https://doi.org/10.1503/cjs.001119