Youth climate activism in the United States

Youths are on the front line when considering their future on a planet that is becoming less and less livable. As the frequency and intensity of extreme weather events devastate regions and impact millions, the unapologetic anti-environmentalism of the Trump administration may have been the ultimate spark that ignited mass action from the young generations. Realizing, too, that many Congress members lack the political will to effect change, an increasing number of passionate youth leaders have initiated movements to raise awareness about the urgency of acting to mitigate the worst effects of climate change. Ranging from classic street protests to electoral canvassing to litigation, their actions may be characterized in terms of “disruptive, dutiful or dangerous dissent” (O’Brien et al). They have already played a key role in electing climate-conscious, progressive candidates, put pressure on governments through lawsuits and proposed an overhaul of the American economy on greener, more equitable terms by supporting the Green New Deal. In 2019 millennials (37% of US voters) surpassed baby boomers as the largest voting demographic group and could have a significant impact on climate policy. Très préoccupés par le changement climatique, les jeunes sont en première ligne sur une planète qui devient de moins en moins vivable. Alors que la fréquence et l’intensité des catastrophes naturelles ont un impact dévastateur sur des régions et des millions d’habitants, l’anti-environnementalisme avéré de l’administration Trump a sans doute été l’étincelle ultime déclenchant une mobilisation de masse des jeunes Américains. Ayant fait le constat que le Congrès manque de volonté politique pour initier le changement, un nombre croissant de leaders, jeunes et passionnés, ont créé des mouvements pour informer le public de l’urgence de la situation. Ils agissent dans l’optique de réduire les conséquences les plus graves du réchauffement de la terre. Leurs actions contestataires peuvent se ranger dans trois catégories : « disruptive, dutiful, dangerous » (O’Brien et al). Ces jeunes ont déjà joué un rôle clef dans les victoires électorales de candidats progressistes et pro-climat ; ils ont poursuivi des gouvernements en justice ; et ils ont proposé une refonte de l’économie américaine en termes verts et équitables, le « Green New Deal. » En 2019, la génération née entre 1981 et 1996 a dépassé celle des baby-boomers pour devenir le groupe démographique dominant, ce qui pourrait avoir un impact important sur la politique climatique.