Aunties, WhatsApp, and 'haldi da doodh': South Asian communities’ perspectives on improving COVID-19 public health communication in Ontario, Canada

To identify, from the perspective of South Asian communities, areas for improvement in public health communication.Focus groups were conducted with individuals (N=24) who could converse in English and self-identified as South Asian adults (18+) residing in Ontario. Participants were asked to share how, if at all, their identity as South Asian shaped their experiences during the pandemic and acceptance of public health measures put in place to mitigate the spread. Data were interpreted through the lens of intersectionality.Participants perceived a lack of culturally relevant and linguistically accessible health messaging, leading to the proliferation of misinformation. Peer-to-peer knowledge sharing filled a critical gap but created opportunities for misinformation to spread.Improving equity in health communications should be informed by structural changes to the public health sector in Ontario.RéSUMé: OBJECTIF: Identifier, à partir de la perspective de membres de communautés sud-asiatiques, les aspects à améliorer dans les communications de la santé publique. MéTHODES: Des groupes de discussion ont été réalisés auprès de participants (N=24) vivant en Ontario, âgés de 18 ans et plus, capables de tenir une conversation en anglais et s’identifiant comme originaires de l’Asie du Sud. Les participants ont été invité à partager si et comment leur identité sud-asiatique avait influencé leurs expériences vécues durant la pandémie et leur adhésion aux mesures de santé publique mises en place pour limiter la propagation du virus. Les données ont été interprétées à travers le prisme de l’intersectionnalité. RéSULTATS: Les participants ont noté le peu de messages de santé culturellement et linguistiquement adaptés, ce qui a laissé place à la prolifération de la désinformation. Le partage des connaissances entre pairs a permis de combler ces lacunes, mais a créé des opportunités de propagation de désinformation. CONCLUSION: L’amélioration de l’équité dans les communications sur la santé devrait être éclairée par des changements structurels dans le secteur de la santé publique en Ontario.