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The impacts of burning on Thomson's gazelles',Gazella thomsonii, vigilance in Serengeti National Park, Tanzania

Authors :
Mark E. Ritchie
Stephanie Eby
Source :
African Journal of Ecology. 51:337-342
Publication Year :
2012
Publisher :
Wiley, 2012.

Abstract

Alterations to habitats that increase the distance at which prey can detect predators can decrease the risk of predation. In grasslands, burning may have this effect for mammalian herbivores by decreasing vegetation height, potentially making burned areas safer habitats. However, few studies have tested the impacts of burning on the perceived predation risk of herbivores. Vigilance can be used as a measure of habitat safety and therefore should be lower in burned areas than unburned areas. We tested the impacts of prescribed burning on vigilance by Thomson's gazelles in Serengeti National Park, Tanzania. Both individual vigilance, proportion of time an individual spends looking, and group vigilance, proportion of a group looking, of Thomson's gazelles was observed in burned and unburned areas before and after presenting a model cheetah to each group. Surprisingly, both individual and group vigilance was the same in both habitats pre- and post-cheetah addition and removal. This is despite the fact that both vegetation height and biomass were lower in burned areas than unburned areas. Thus, it does not appear that Thomson's gazelles perceive burned areas to be safer habitats than unburned areas. Resume Des modifications de l'habitat qui augmentent la distance a laquelle les proies peuvent deceler leurs predateurs peuvent aussi diminuer le risque de predation. Dans les prairies, les feux peuvent avoir cet effet pour les mammiferes herbivores en diminuant la hauteur de la vegetation, ce qui fait eventuellement des zones brulees des habitats plus surs. Cependant, peu d'etudes ont teste les impacts des feux sur la perception du risque de predation chez les herbivores. L'etat de vigilance peut servir de mesure de la securite de l'habitat et il devrait donc etre moindre dans les zones brulees que dans celles qui ne le sont pas. Nous avons teste les impacts des feux prescrits sur la vigilance de gazelles de Thomson dans le Parc National de Serengeti, en Tanzanie. Nous avons observe la vigilance individuelle, la proportion de temps qu'un individu passe a surveiller, et la vigilance du groupe, la proportion des membres du groupe qui sont en train de regarder, dans des aires brulees et non brulees, avant et apres avoir presente a chaque groupe une silhouette de guepard. Curieusement, la vigilance individuelle et la vigilance de groupe etaient les memes dans les deux habitats avant et apres avoir introduit puis enleve le guepard factice alors que et la hauteur de la vegetation et la biomasse etaient plus faibles dans les zones brulees que dans les zones non brulees. Il semble donc que les gazelles de Thomson ne percoivent pas les zones brulees comme des habitats plus surs que les zones non brulees.

Details

ISSN :
01416707
Volume :
51
Database :
OpenAIRE
Journal :
African Journal of Ecology
Accession number :
edsair.doi...........43572fb5df4935c0ca3808074799ab11
Full Text :
https://doi.org/10.1111/aje.12044