Back to Search Start Over

Risques liés aux pinnatoxines dans les coquillages. Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective

Authors :
Mattei, César
Abadie, Eric
Delcourt, Nicolas
Fessard, Valérie
Fremy, Jean-Marc
Hess, Philippe
Hort, Vincent
Lagrange-Guillon, Emmeline
Vernoux, Jean Paul
Biologie Neurovasculaire et Mitochondriale Intégrée (BNMI)
Université d'Angers (UA)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
MARine Biodiversity Exploitation and Conservation (UMR MARBEC)
Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Université de Montpellier (UM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
Hôpital Purpan [Toulouse]
CHU Toulouse [Toulouse]
Laboratoire de Fougères, Bâtiment Bioagropolis
Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES)
Laboratoire Phycotoxines
Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)
Source :
[Rapport de recherche] Saisine 2016-SA-0013, 2019, pp.1-136
Publication Year :
2019
Publisher :
HAL CCSD, 2019.

Abstract

Dans un rapport de 2012, l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) mettait en évidence la présence de pinnatoxines (PnTX), produites par le dinoflagellé Vulcanodinium rugosum, dans des moules de l’étang d’Ingril (Hérault). Les concentrations variaient fortement selon les années (2010, 2011 et 2012), avec un maximum de 1244 μg de PnTX G par kg de coquillages en poids frais en 2010 (rapport Ifremer, septembre 2012, Pinnatoxines en lien avec l’espèce Vulcanodinium rugosum). En juillet 2015, une concentration de 1143 μg de PnTX G par kg de coquillages a été rapportée par l’Ifremer.La présence de ces toxines pourrait expliquer des cas de discordance entre les résultats obtenus par le bioessai sur souris et ceux obtenus par analyse chimique (LC-MS/MS) observés dans les moules de l’étang d’Ingril dans le cadre du dispositif de vigilance pour les biotoxines marines lipophiles dans les coquillages, piloté par la DGAL. Par ailleurs, des travaux de l’Université de Trieste, menés en collaboration avec le CNRS (Gif-sur-Yvette) et l’Anses (Fougères), ont établi une dose létale à 50% (DL50) d’environ 200 μg/kg pc chez la souris par gavage (rapport Anses-Université de Trieste-CNRS 2014).

Details

Language :
French
Database :
OpenAIRE
Journal :
[Rapport de recherche] Saisine 2016-SA-0013, 2019, pp.1-136
Accession number :
edsair.dedup.wf.001..c6fe1cda412a50b6014dced429010df0