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Genotype by environment interaction and its implications for genetic improvement of interior spruce in British Columbia.

Authors :
Xie, C -Y
Source :
Canadian Journal of Forest Research; Sep2003, Vol. 33 Issue 9, p1635-1643, 9p, 2 Diagrams, 3 Charts, 1 Map
Publication Year :
2003

Abstract

Ten-year height data from 232 open-pollinated interior spruce families tested in five seed planning zones located in north-central interior British Columbia were used to investigate the extent and pattern of genotype by environment (G×E) interaction and to examine the validity of the seed planning zone delineation in this region. The G×E interaction in the entire region was both statistically and practically significant, with an estimated type b genetic correlation coefficient of 0.64. The detected geographic pattern of the G×E interaction indicates that the old delineation is overly conservative, and consolidating the five old zones into the two new zones is a valid decision. A procedure was developed to convert the expected genetic gain, with respect to the old zone, to the new zone when seed from a rogued local seed orchard is used for reforestation in the entire new zone. A similar procedure was also proposed to predict the breeding value of an individual that was only tested in the old zone of its origin with respect to the new zone. Given the detected amounts of the G×E interaction, and considering other factors, using three to five sites in each new zone for the second-generation progeny testing seems to be appropriate.L'auteur a étudié, chez l'épinette de l'intérieur, l'ampleur et l'allure de l'interaction génotype × environnement (G×E) ainsi que la validité de la délimitation des zones semencières de la région du centre nord de l'intérieur en Colombie-Britannique, à l'aide des données de hauteur à 10 ans de 232 descendances à pollinisation libre testées dans cinq zones semencières de la région. L'interaction G×E pour la région entière était significative, tant au plan statistique qu'à celui des incidences pratiques, avec un coefficient de corrélation génétique de type b de 0,64. Le patron de variation géographique de l'interaction G×E indique que l'ancienne délimitation est trop conservatrice, et que la fusion des cinq anciennes zones en deux nouvelles représente une solution valide. L'auteur a développé une procédure afin de convertir le gain génétique espéré dans le cadre de l'ancienne zone en fonction de la nouvelle zone, en assumant que les semences du verger à graines local éclairci sont utilisées pour l'ensemble du reboisement dans la nouvelle zone. Également, des procédures similaires ont été proposées pour prédire la valeur en croisement d'un individu en fonction de la nouvelle zone, alors qu'il n'avait été testé que dans son ancienne zone d'origine. Étant donnée l'ampleur observée de l'interaction G×E et en considérant d'autres facteurs, l'emploi de trois à cinq sites par nouvelle zone apparaît approprié pour l'évaluation des descendances de seconde génération.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Details

Language :
English
ISSN :
00455067
Volume :
33
Issue :
9
Database :
Complementary Index
Journal :
Canadian Journal of Forest Research
Publication Type :
Academic Journal
Accession number :
11344209
Full Text :
https://doi.org/10.1139/x03-082