A SITUAÇÃO DAS TRABALHADORAS RURAIS NO ACESSO À ÁGUA E ENERGIA NO MÉDIO VALE DO JEQUITINHONHA (MINAS GERAIS).

Dans ce texte, nous indiquons que la relation entre l'eau, l'énergie et la qualité de vie des femmes rurales est intrinsèque. C'est également évident qu'il ne s'agit pas de facteurs liés à la nature ou à la «naturalisation» de la rareté de l'eau. Ou encore la naturalisation de la situation de pauvreté liée à la capacité des individus à gérer leurs conditions de vie. C'est sans aucun doute comment les communautés rurales sont affectées par l'absence de l'État dans son devoir de garantir l'accès aux droits constitutionnels - tels que l'accès à la terre, à l'eau, à l'énergie, au logement, à la santé, à l'éducation, etc. - et, de manière contradictoire, pour la présence dans l'État en garantissant les conditions d'installation de grands projets de développement tels que la monoculture d'eucalyptus, hydroélectrique etc. Et ce sont aussi les principaux acteurs qui contestent la terre et l'eau avec les communautés, et leur refusent le droit d'accéder à l'énergie - même ceux que les terres ont été envahies par le lac du barrage et relocalisées dans un autre environnement sans accès aux sources d'eau. C'est dans ce contexte que cet article vise à analyser l'accès à l'eau et à l'énergie et la relation avec la qualité de vie des femmes dans certaines communautés rurales, au centre de Vale do Jequitinhonha (Minas Gerais). Sur le plan méthodologique, la recherche utilise une approche qualitative, avec enquête bibliographique et recherche exploratoire. Il a été observé que l'accès à l'eau et à l'énergie est associé à la vie des femmes, comme l'augmentation des heures de travail, la violence, l'indépendance financière, entre autres. Ces questions sont directement liées aux conditions et à la capacité des femmes à participer aux projets et à l'accès aux politiques publiques, en tant que possibilités d'émancipation et d'autonomisation. [ABSTRACT FROM AUTHOR]