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Embryonic aestivation and emergence behaviour in the pig-nosed turtle, Carettochelys insculpta.

Authors :
Doody, J. Sean
Georges, Arthur
Young, Jeanne E.
Pauza, Matthew D.
Pepper, Ashe L.
Alderman, Rachael L.
Welsh, Michael A.
Source :
Canadian Journal of Zoology. Jun2001, Vol. 79 Issue 6, p1062. 11p.
Publication Year :
2001

Abstract

Two related aspects of hatchling emergence were studied in a population of pig-nosed turtles (Carettochelys insculpta) in northern Australia. Using emergence phenology data, nest temperatures, historical weather data, and a developmental model, we tested the hypothesis that delayed hatching occurs in C. insculpta, and that such a delay would allow hatchlings to time their emergence to match the onset of the wet season. Carettochelys insculpta hatchlings emerged, on average, 17 days after dates predicted from a developmental model. Combined with observations of hatchlings remaining in eggs until emergence, these results confirmed delayed hatching in nature. This delay was synchronized with initial river rises associated with the onset of wet-season rains, and is consistent with published criteria for embryonic aestivation. On a diel scale, we generated predictions of two potentially competing models of nocturnal emergence in hatchling turtles based on the knowledge that air temperatures decrease with season during the emergence period. A test of these predictions for C. insculpta produced ambiguous results. However, further analysis indicated that C. insculpta, and probably other nocturnally emerging turtle species, respond to a decline in diel temperature rather than to an absolute temperature. The former would ensure nocturnal emergence, while the latter is experienced during the day as well as at night. Nocturnal emergence may be associated with nesting in open microhabitats.Nous avons étudié deux aspects interreliés de l'éclosion chez une population de Tortues palustres (Carettochelys insculpta) du nord de l'Australie. Nous avons utilisé des données sur la phénologie de l'émergence, les températures au nid, les conditions climatiques du passé, ainsi qu'un modèle de développement, pour tester l'hypothèse selon laquelle l'éclosion est tardive chez C. insculpta et qu'un tel retard permet aux petites tortues de synchroniser leur émergence avec le début de la saison humide. Les C. insculpta néonates ont émergé, en moyenne, 17 jours plus tard que prévu par un modèle de développement. Cette émergence tardive, combinée à l'observation de petites tortues restant dans les oeufs jusqu'à l'émergence, confirme l'émergence tardive en nature. Ce retard est synchronisé à la première crue des rivières associée au début de la saison humide et s'accorde avec les critères de la littérature sur l'estivation des embryons. Deux modèles potentiellement opposés ont généré, sur une échelle de 24 h, des prédictions d'une émergence nocturne chez les tortues néonates, tenant compte que les températures saisonnières baissent pendant la période d'émergence. Un test sur ces prédictions a produit des résultats ambigus dans le cas de C. insculpta. Cependant, une analyse subséquente indique que C. insculpta, et probablement aussi d'autres espèces à émergence nocturne, réagit à une chute de température journalière plutôt qu'à une température absolue. La chute journalière de température entraîne une émergence nocturne, alors que la température absolue est subie autant de jour que de nuit. L'émergence nocturne est peut être reliée à la nidification dans des microhabitats ouverts.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Details

Language :
English
ISSN :
00084301
Volume :
79
Issue :
6
Database :
Academic Search Index
Journal :
Canadian Journal of Zoology
Publication Type :
Academic Journal
Accession number :
10559133
Full Text :
https://doi.org/10.1139/z01-061