Neaud, Pascal, Charbonnier, Marie-Caroline, Willems, Sonja, Yvinec, Jean- Hervé, Jagou, Benjamin, Cammas, Cécilia, Coubray, Sylvie, Deschodt, Laurent, Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), Archéologies et Sciences de l'Antiquité (ArScAn), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris Nanterre (UPN)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), IRAMAT - Laboratoire Métallurgies et Cultures (IRAMAT - LMC), Institut de Recherches sur les Archéomatériaux (IRAMAT), Université de Technologie de Belfort-Montbeliard (UTBM)-Université d'Orléans (UO)-Université Bordeaux Montaigne-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Technologie de Belfort-Montbeliard (UTBM)-Université d'Orléans (UO)-Université Bordeaux Montaigne-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - UFR Histoire de l'art et archéologie (UP1 UFR03), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1), Archéologie des Sociétés Méditerranéennes (ASM), Université Paul-Valéry - Montpellier 3 (UPVM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Ministère de la Culture (MC), Laboratoire de géographie physique : Environnements Quaternaires et Actuels (LGP), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université d'Orléans (UO)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Bordeaux Montaigne-Université de Technologie de Belfort-Montbeliard (UTBM)-Université d'Orléans (UO)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Bordeaux Montaigne-Université de Technologie de Belfort-Montbeliard (UTBM), Archéologie de la Gaule : structures économiques et sociales (GAMA), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris Nanterre (UPN)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Université Paris Nanterre (UPN)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de Recherche Archéologique de la Vallée de l'Oise (CRAVO), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paul-Valéry - Montpellier 3 (UPVM)-Ministère de la Culture (MC), Archéozoologie, archéobotanique : sociétés, pratiques et environnements (AASPE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN), Charbonnier, Marie-Caroline, Willems, Sonja, Yvinec, Jean-Hervé, Jagou, Benjamin, Coubray, Sylvie, and Deschodt, Laurent
International audience; The ancient agglomeration of Sains-du-Nord (Nord) is known thanks to casual discoveries made since the 19th c. from the end of the 20th c., thanks to the development of rescue archaeology, new vestiges have been excavated, sometimes on large areas. In spite of difficult contexts of intervention (reduced deadlines and sites partially destroyed by the building of new constructions), these operations contributed to increase our knowledge about this ancient settlement, which has been, from then on, characterised as a small town. After ten years of interruption, six new archaeological operations were led on the site. They opened the study of various contexts relating to the religious, domestic and craft fields. Therefore, those new datas allowed to enrich and to renew our perception of this agglomeration. On these bases, we can now propose a first topographical approach of this ancient site, as well as an hypothesis about its origins.; L’agglomération antique de Sains-du-Nord (Nord) est connue grâce à des découvertes fortuites depuis le XIXe s. À partir de la fin du XXe s., grâce au développement de l’archéologie préventive, des pans de quartiers ont pu être fouillés, parfois sur de grandes surfaces. Malgré des contextes d’intervention difficiles – délais réduits et sites en partie irrémédiablement détruits par les aménagements contemporains –, ces opérations ont permis d’élargir notre connaissance de ce site qui a pu, dès lors, être formellement identifié comme une agglomération secondaire. Après dix ans d’interruption (1998-2008), six nouvelles opérations archéologiques – quatre diagnostics ayant donné lieu à deux fouilles – ont été menées sur la commune. Elles ont permis d’étudier des contextes variés se rapportant aux domaines religieux, domestique et artisanal. Ainsi, les informations recueillies au cours de ces interventions ont permis d’enrichir et de renouveler notre perception de cette agglomération secondaire. La synthèse de ces données permet d’en proposer une première analyse topographique et de formuler une hypothèse quant à son origine.