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Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme de suivi annuel des départements du Calvados, de la Manche et de la Seine-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus de 2021 à 2023, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également les résultats du réseau RQM (réseau qualité microbiologique) de l’Agence Régionale de Santé de Normandie pour le département de la Manche

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau d’observation des contaminants chimiques (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2021-2023. Selon les critères réglementaires pris en compte (articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627 pour la microbiologie et règlement (UE) n°2023/915 pour la chimie), la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité « B » pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met en évidence aucune tendance significative au niveau des deux points de suivi. Aucune alerte n’a été émise en 2023.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2023 du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, et l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2023, 718 résultats ont été obtenus dans le cadre de la surveillance régulière, correspondant à un taux de réalisation de 99%. 143 alertes ont été déclenchées : 86 alertes de niveau 0 (alertes préventives), 40 alertes de niveau 1 et 17 alerte de niveau 2. Parmi les 86 alertes de niveau 0, 10 ont été confirmées en niveau 2, et parmi les 40 alertes de niveau 1, 7 ont été confirmées en niveau 2. Ces alertes ont entraîné la réalisation de 167 prélèvements supplémentaires. Sur 53 zones classées et suivies, 30 présentent un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 22 un classement sanitaire qui ne concorde pas avec l’estimation de leur qualité et une présente un nombre de données insuffisant pour estimer sa qualité. Sur les 22 zones dont le classement sanitaire ne concorde pas avec l’estimation de la qualité, 21 sont classées en A alors que leur qualité est estimée en B, C ou en très mauvaise qualité, et 1 est classée en B alors que sa qualité est estimée en A sur la période 2021-2023. La qualité chimique est satisfaisante pour tous les lieux suivis.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats, ce rapport décrit les résultats obtenus entre 2021 et 2023 pour le réseau de surveillance microbiologique REMI et du réseau de surveillance de la contamination chimique ROCCH du département de Loire-Atlantique. Il présente l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2023, 49 alertes ont été déclenchées : 40 de niveau 0, 5 de niveau 1 et 5 de niveau 2. Sur les 29 zones classées, 3 zones présentent des discordances entre évaluation de la qualité et classement, et 4 zones n’ont pas suffisamment de données pour pouvoir estimer leur qualité.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau d’observation des contaminants chimiques (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2021-2023. La qualité a pu être estimée pour neuf zones de production conchylicole. Selon les critères réglementaires pris en compte (articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627 pour la microbiologie et règlement (UE) n°2023/915 pour la chimie), dans le département de la Gironde, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour quatre zones de production (coquillages non fouisseurs) et « B » pour cinq zones de production (une pour des coquillages fouisseurs et quatre pour des coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances met en évidence une tendance significative à la dégradation sur le point « La Touze » et une tendance non significative pour l’ensemble des autres points suivis pour la période 2014-2023. L’année 2023 a été marquée par treize alertes de niveau 0, onze alertes de niveau 1 et trois alertes de niveau 2.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées et suivies pour la période 2021-2023. Douze des 14 zones des Hauts de France, dont la qualité a pu être évaluée, sont estimées de qualité B, dont onze en concordance avec leur classement administratif. Une zone est estimée de qualité C et une zone estimée en très mauvaise qualité ce qui ne concorde pas avec leur classement administratif. L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique montre une tendance significative à la dégradation pour deux points sur la période 2014-2023. L’année 2023 a été marquée par 11 épisodes d’alertes de niveau 1 dont 3 en Baie d’Authie (qui a également fait l’objet de 2 alertes de niveau 2 dont une ayant durée plusieurs mois)

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle surveillance REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Vendée. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2020-2022, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. 230 résultats ont été obtenus en 2022 sur les 237 attendus dans le cadre de la surveillance régulière, correspondant à un taux de réalisation de 97%. Au cours de l’année 2022, 7 alertes ont été déclenchées, toutes de niveau 1. Ces alertes ont conduit à la réalisation de 8 prélèvements et analyses supplémentaires. Sur les 18 zones suivies, six présentent une estimation de la qualité non concordante avec le classement préfectoral en vigueur : trois zones classées en A présentent une qualité estimée B (groupe 3), une zone classée en B présente une qualité estimée A (groupe 2), une zone classée A présente une qualité estimée très mauvaise et enfin une zone classée B présente une qualité estimée C.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats, ce rapport décrit les résultats obtenus en 2022 pour le réseau de surveillance microbiologique REMI et du réseau de surveillance de la contamination chimique ROCCH du département de Loire-Atlantique. Il présente l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2022, 46 alertes ont été déclenchées : 36 de niveau 0, 8 de niveau 1 et 2 de niveau 2. Sur les 29 zones classées, 2 zones présentent des discordances entre évaluation de la qualité et classement, et 4 zones n’ont pas suffisamment de données pour être classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2022 de la région Occitanie. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones classées de production de coquillages. En 2022, 23 zones de production ont été suivies par le REMI en Occitanie dont 10 dans l’Aude, 12 dans l’Hérault et 1 dans le Gard au travers de 29 points de suivi. Le taux de réalisation de la surveillance régulière microbiologique en 2022 est de 95.7%, et 40 alertes ont été déclenchées au cours de l’année. La qualité microbiologique estimée en 2023 à partir des résultats de la période 2020-2022 est : « A » pour 2 zones (8,7%), « B » pour 12 zones (52,2%), « C » pour 6 zones (26.1%) et « très mauvaise » pour 3 zones (13%). Parmi ces zones, 16 ont un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 7 ont un classement sanitaire plus favorable que l’estimation de leur qualité. La qualité chimique est satisfaisante pour l’ensemble des points suivis.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Côtes d’Armor (22). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan au 31 décembre 2022 est stable. Il ne présente aucune nouvelle évolution du classement sur la base des résultats plutôt favorables de 2022. C’est en partie dû à la faible pluviométrie (sécheresse estivale) et au faible nombre d’alertes associé (seulement deux alertes supérieures à 700 E. coli/100 g CLI). Le bilan présente cependant une évaluation de la qualité différente du classement administratif pour quatre zones : 22.01.20 groupe 2, 22.01.20 groupe 3, 22.03.23 groupe 2, 22.00.00 groupe 3 et 22.12.10 groupe 3 (ces deux zones sont basées sur le même point en 2023). Ils sont liés à des résultats de 2020 et 2021. Ils concernent la baie d’Arguenon, la baie d’Yffiniac et la baie de Lannion. Globalement, la qualité sanitaire reste en amélioration (statistiquement, 45% des points suivis montrent une tendance à l’amélioration – Annexe 4). Aucun point de surveillance ne présente de tendance à la dégradation.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de l’Ille‐et‐Vilaine (35). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan global de la qualité sanitaire des zones conchylicoles dans le département d’Ille‐et‐Vilaine est assez stable depuis trois ans. Il est en concordance avec le classement administratif pour toutes les zones sauf les zones 35.08‐groupe 3, 35.06‐groupe 3 et 35.13‐groupe 3, qui présentent une dégradation (A vers B). Le bilan est donc plus partagé en baie du Mont‐Saint‐Michel. Mais l’ensemble des points continue de présenter un faible bruit de fond des contaminations, seuls huit résultats sont déclassants dans l’ensemble de la baie. En Rance et en baie de Saint‐Malo, l’état sanitaire s’était considérablement dégradé au début des années 2010. Mais depuis 2015, l’essentiel des zones suivies connaît un regain de qualité et permet un classement généralisé en qualité moyenne. Cette qualité sanitaire se maintient en 2022 et présente quelques améliorations : une diminution des épisodes d’alertes et une zone 3522.02 très proche de la bonne qualité sanitaire pour les deux groupes. Les tendances statistiques calculées sur dix ans montrent une amélioration sur sept points, soit le tiers des points permettant ce calcul (cf. Annexe 4). Aucun point de surveillance ne présente de tendance à la dégradation. Seules quatre alertes sanitaires sont comptées en 2022. Mais deux d’entre elles, faisant partie d’un même épisode pluvieux, sont à l’origine des deux nouveaux déclassements estimés en 2023.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Charente-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2020-2022, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2022, un total de 33 zones de production a été suivi dans le département de la Charente-Maritime. Le suivi REMI a été opéré sur ces zones de production au travers de 39 lieux de surveillance. Le programme de surveillance microbiologique programmé en 2022 a été réalisé à 96.3%. Au cours de l’année 2022, 17 alertes ont été déclenchées : 15 alertes de niveau 1 et deux alertes de niveau 2. Ces alertes ont conduit à la réalisation de 33 prélèvements et analyses supplémentaires. Aucune alerte préventive de niveau 0 n’a été déclenchée. Le taux de réalisation des prélèvements en alerte a atteint 93.9 % pour l’année 2022. En 2022, pour les coquillages du groupe 3, cinq zones présentent une estimation de la qualité non concordante avec le classement en vigueur. Une zone classée A (zone 17.11.01) dont la qualité est estimée B et quatre zones classées A (17.02.02, 17.04.02, 17.05.02, 17.10.04) et dont la qualité est estimée B liée à un seul résultat dépassant le seuil de 700 E. coli/ 100 g de CLI. Pour les coquillages du groupe 2, une zone (17.50) présente une qualité estimée C, non concordante avec le classement B en vigueur.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2022 du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2022, 700 résultats ont été obtenus dans le cadre de la surveillance régulière, correspondant à un taux de réalisation de 97%. En 2022, 71 alertes ont été déclenchées : 54 alertes de niveau 0 (alertes préventives), 16 alertes de niveau 1 et 1 alerte de niveau 2. Trois des alertes 0 et une alerte 1 ont été confirmées en alerte de niveau 2. Sur 53 zones classées et suivies, 41 présentent un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 9 un classement sanitaire qui ne concorde pas avec l’estimation de leur qualité et trois présentent un nombre de données insuffisant pour estimer leur qualité. Sur les 9 zones dont le classement sanitaire ne concorde pas avec l’estimation de la qualité, 7 sont classées en A alors que leur qualité est estimée en B ou en très mauvaise qualité, et 2 sont classées en B alors que leur qualité est estimée en A sur la période 2020-2022. La qualité chimique est satisfaisante pour tous les lieux suivis.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2020-2022. Suivant les seuils microbiologiques des articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627, la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité « B » pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met en évidence aucune tendance significative au niveau des deux points de suivi. Une alerte REMI de niveau 1 a été émise en 2022.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de surveillance microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2020-2022. La qualité a pu être estimée pour neuf zones de production conchylicole. Selon les critères réglementaires pris en compte (articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627), dans le département de la Gironde, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour cinq zones de production (coquillages non fouisseurs) et « B » pour quatre zones de production (deux pour des coquillages fouisseurs et deux pour des coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances met en évidence une tendance significative à la dégradation sur les points « Grand Banc » et « La Touze » et une tendance à l’amélioration pour les points « Cap Ferret (a) » et « Brignard » pour la période 2013-2022. L’année 2022 a été marquée par sept alertes microbiologiques de niveau 1.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées et suivies pour la période 2020-2022. Quatorze des 15 zones des Hauts de France, dont la qualité a pu être évaluée, sont estimées de qualité B, en concordance avec leur classement administratif. Pour la quatorzième zone, la qualité est estimée A et également concordante avec le classement. L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique montre une tendance à la dégradation pour trois points sur la période 2013-2022. L’année 2022 a été marquée par 2 épisodes d’alertes.

La baie du Mont-Saint-Michel, internationalement reconnue, est aussi une baie à forte vocation conchylicole. Son territoire, bordé par de nombreux bassins-versants de petite à moyenne taille (77 à 1100 km²), présente une diversité d’usage pouvant affecter la qualité microbiologique des eaux. Tant pour la pression démographique qu’agricole, les secteurs immédiats du centre de la baie sont plutôt épargnés du fait que ce territoire présente une forte activité maraichère en lien avec sa configuration géomorphologique (polder). Ces pressions vont croissantes à l’Est de la baie vers la Normandie. Les résultats des différents suivis sanitaires et des modélisations hydrodynamiques disponibles montrent un gradient de contamination croissant d’Ouest en Est, avec des vecteurs bien identifiés. Il s’agit des grands fleuves de fond de baie (Sée, Sélune et Couesnon), pouvant expliquer des pics de contamination sur l’extrême Est des bouchots à moules, et des Biez venant de Saint-Benoit et du Vivier-sur-Mer, pouvant toucher le centre de la baie. Historiquement stables, les qualités sanitaires de plusieurs points de suivi REMI se sont améliorées depuis la fin des années 2010, en parallèle de la mise en place d’un assouplissement des règles de classement. Des hétérogénéités entre les points de prélèvements sont apparues et posent la question d’affiner la limite de certaines zones. Cette étude sanitaire avait pour but d’évaluer la qualité sanitaire des zones de production du centre de la baie du Mont-Saint-Michel et d’en adapter la stratégie du suivi REMI si nécessaire. Conclusion intermédiaire pour la 35.06 D’après les résultats de l’étude, la bonne qualité sanitaire de l’ensemble des zones de production du centre de la baie du Mont-Saint-Michel ne tient qu’à quelques pics de moyenne qualité sanitaire. La principale source de contamination du secteur est le biez venant du Vivier-sur-Mer. Cette source peut s’avérer encore impactante sur les points de suivi situé à l’Est de son exutoire

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de l’Ille-et-Vilaine (35). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan global au 31 décembre 2021 est similaire à celui de l’année précédente. La qualité sanitaire des zones conchylicoles dans le département d’Ille-et-Vilaine est en concordance avec le classement administratif pour toutes les zones sauf les zones 35.08-groupe III et 35.06-groupe III, qui présentent une dégradation (A vers B) et la 35.14-groupe III qui présente une amélioration (B vers A). Il est plus partagé en baie du Mont-Saint-Michel. Mais l’ensemble des points continue de présenter un faible bruit de fond des contaminations, seuls huit résultats sont déclassants dans l’ensemble de la baie. En Rance et en baie de Saint-Malo, l’état sanitaire s’était considérablement dégradé au début des années 2010. Mais depuis 2015, l’essentiel des zones suivies connaît un regain de qualité et permet un classement généralisé en qualité moyenne. Cette qualité sanitaire se maintient en 2021. Mais l’estuaire reste fragile aux contaminations très locales en cas de forte pluviométrie. La partie centrale de l’estuaire est plus particulièrement menacée. Les tendances statistiques calculées sur dix ans montrent une amélioration sur dix points, soit la moitié des points permettant ce calcul (cf. Annexe 4). Aucun point de surveillance ne présente de tendance à la dégradation. Le nombre d’alertes est resté exceptionnellement élevé en 2021 entre le département du 22 et du 35 (30, hors alertes préventives, dont six de niveau 2).

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Côtes d’Armor (22). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan au 31 décembre janvier 2021 est partagé. Par rapport au classement préfectoral, ce sont sept zones qui présentent une dégradation contre trois zones en amélioration. Si on prend en compte les zones dont l’estimation s’est améliorée au-delà du classement, le nombre de zone en amélioration est porté à six. Globalement, la qualité sanitaire reste en amélioration (statistiquement, 60% des points suivis montrent une tendance à l’amélioration – Annexe 4). Aucun point de surveillance ne présente de tendance à la dégradation. Mais la présence de rares pics de contamination de faible à moyenne intensité pénalise encore de nombreuses zones du département. Les principaux secteurs en amélioration sont en baie d’Arguenon et en baie de Paimpol. Cette dernière devient intégralement de bonne qualité sanitaire. Les principaux secteurs subissant des dégradations sont la baie de Saint-Brieuc (dont la zone 22.03.23 qui est estimée en qualité C), l’amont de l’estuaire du Trieux et la baie de Lannion. Le nombre d’alertes est resté exceptionnellement élevé en 2021 entre le département du 22 et du 35 (30, hors alertes préventives, dont six de niveau 2).

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2021 du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2021, 680 résultats ont été obtenus dans le cadre de la surveillance régulière, correspondant à un taux de réalisation de 98.7 %. 43 alertes de niveau 0 (alertes préventives) ont été déclenchées dont une a été confirmée en alerte 1 et trois ont été confirmées en alerte 2. Par ailleurs, 16 alertes de niveau 1 ont été déclenchées dont deux ont été confirmées en alerte 2. Sur les 52 zones classées et suivies en 2021, 39 présentent un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 12 un classement sanitaire qui ne concorde pas avec l’estimation de leur qualité et une zone présente un nombre de données insuffisant pour estimer sa qualité. Sur les 12 zones dont le classement sanitaire ne concorde pas avec l’estimation de la qualité, 10 sont classées en A alors que leur qualité est estimée en B, et 2 sont classées en B alors que leur qualité est estimée en A sur la période 2019-2021. La qualité chimique est satisfaisante pour tous les points suivis

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de contrôle microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2019-2021. La qualité a pu être estimée pour dix zones de production conchylicole. Selon les critères réglementaires pris en compte (articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627), dans le département de la Gironde, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour six zones de production (coquillages non fouisseurs) et « B » pour quatre zones de production (deux pour des coquillages fouisseurs et deux pour des coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances met en évidence une tendance significative à la dégradation sur le point « Bourrut » pour la période 2019-2021. L’année 2021 a été marquée par sept alertes microbiologiques de niveau 1.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2019-2021. Suivant les seuils microbiologiques des articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627, la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité « B » pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met en évidence aucune tendance significative au niveau des deux points de suivi. Aucune alerte REMI n’a été émise en 2021.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et la méthode d’interprétation des résultats, ce rapport décrit les résultats obtenus en 2021 pour le réseau de surveillance de la contamination microbiologique REMI et du réseau de surveillance de la contamination chimique ROCCH du département de Loire – Atlantique. Il présente l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2021, 35 alertes ont été déclenchées ; 22 de niveau 0, 11 de niveau 1 et 2 de niveau 2. Sur les 29 zones classées, 6 zones présentent des discordances de classement, et 4 zones n’ont pas suffisamment de données pour être classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Vendée. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2019-2021, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. 250 résultats ont été obtenus en 2021 sur les 261 attendus dans le cadre de la surveillance régulière, correspondant à un taux de réalisation de 95.8%. Au cours de l’année 2021, 11 alertes ont été déclenchées : cinq alertes de niveau 0, cinq alertes de niveau 1 et une alerte de niveau 2. Ces alertes ont conduit à la réalisation de 20 prélèvements et analyses supplémentaires. Sur les 18 zones suivies, six présentent une estimation de la qualité non concordante avec le classement préfectoral en vigueur : quatre zones classées en A et de qualité estimée B (groupe 3), une zone classée en B et de qualité estimée A (groupe 2). Enfin, une zone classée B présente une qualité estimée très mauvaise en raison d’un résultat supérieur à 46 000 E. coli / 100g de CLI, la zone 85.05.01 « Lotissement des filières de l'Ile d'Yeu ».

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Charente-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2019-2021, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2021, un total de 36 zones de production a été suivi dans le département de Charente-Maritime. Le suivi REMI est opéré sur ces zones de production au travers de 41 lieux de surveillance. Le programme de surveillance microbiologique programmé en 2021 a été réalisé à 99.6%. Au cours de l’année 2021, 18 alertes ont été déclenchées : 16 alertes de niveau 1 et deux alertes de niveau 2. Ces alertes ont conduit à la réalisation de 33 prélèvements et analyses supplémentaires. Aucune alerte préventive de niveau 0 n’a été déclenchée. Le taux de réalisation des prélèvements en alerte a atteint les 100 % pour l’année 2021. La qualité microbiologique estimée en 2021 à partir des résultats de la période 2019-2021 est : « A » pour 13 zones, « B » pour 20 zones, « A/B » pour 2 zones et « C » pour une zone. Une zone possède un nombre de données insuffisant pour estimer sa qualité. Huit zones du groupe 3 présentent une estimation de la qualité non concordante avec le classement en vigueur. Pour cinq des zones présentant un classement et une qualité non concordants, seul un résultat dépassant le seuil de 700 E. coli/100 g de CLI fait basculer l’estimation de la qualité de la zone.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2021 de la région Occitanie. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones classées de production de coquillages. En 2021, 23 zones de production ont été suivies par le REMI en Occitanie dont 10 dans l’Aude, 12 dans l’Hérault et 1 dans le Gard au travers de 29 points de suivi. Le taux de réalisation de la surveillance régulière microbiologique en 2021 est de 98.5%, et 30 alertes ont été déclenchées au cours de l’année. La qualité microbiologique estimée en 2022 à partir des résultats de la période 2019-2021 est : « A » pour 2 zones (8,7%), « B » pour 15 zones (65,2%), « C » pour 3 zones (13%) et « très mauvaise » pour 2 zones (8,7%). Le nombre de données est insuffisant pour estimer la qualité d’une zone de pêche de palourdes pour laquelle le suivi a été initié en 2020. Parmi ces zones, 17 ont un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 4 ont un classement sanitaire plus favorable que l’estimation de leur qualité, et 1 a un classement plus défavorable. La qualité chimique est satisfaisante pour l’ensemble des points suivis.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme de suivi annuel des départements du Calvados, de la Manche et de la Seine Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus de 2019 à 2021, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également certains résultats du réseau « Coquillages » de l’Agence Régionale de Santé de Normandie dans le cadre de la surveillance de la qualité des zones de pêche à pied récréative.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées et suivies pour la période 2019-2021. Douze des 14 zones des Hauts de France, dont la qualité a pu être évaluée, sont estimées de qualité B, en concordance avec leur classement administratif. Pour deux zones, la qualité est non concordante avec le classement : la zone 80.02 Quend-Plage dont la qualité est estimée A, et la zone 62.09 Le Portel Equihen dont la qualité est estimée C. L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique montre une tendance à l’amélioration pour deux points et une tendance à la dégradation pour trois points sur la période 2012-2021. L’année 2021 a été marquée par 10 épisodes d’alertes.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de surveillance microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme de suivi annuel des départements du Calvados, de la Manche et de la Seine-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus de 2020 à 2022, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également les résultats du réseau RQM (Réseau Qualité Microbiologique) de l’Agence Régionale de Santé de Normandie pour le département de la Manche.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2020 de la région Occitanie. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones classées de production de coquillages. En 2020, 24 zones de production ont été suivies par le REMI en Occitanie dont 10 dans l’Aude, 13 dans l’Hérault et 1 dans le Gard au travers de 30 points de suivi. Le taux de réalisation de la surveillance régulière microbiologique en 2020 est de 96,6%, et 46 alertes ont été déclenchées au cours de l’année. La qualité microbiologique estimée en 2021 à partir des résultats de la période 2018-2020 est : « A » pour 2 zones (8,3%), « B » pour 12 zones (50%), « C » pour 6 zones (25%) et « très mauvaise » pour 2 zones (8,3%), le nombre de données est insuffisant pour estimer la qualité de 2 zones de pêche de palourdes pour lesquelles le suivi a été initié en 2020. Parmi ces zones, 16 ont un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité et 6 ont un classement sanitaire plus favorable que l’estimation de leur qualité. La qualité chimique est satisfaisante pour l’ensemble des points suivis.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Côtes d’Armor (22). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan au 1er janvier 2021 est plutôt négatif. Sans considérer les dépassements déjà observés en 2018, cinq zones présentent une dégradation de leur qualité sanitaire, contre une seule pour une amélioration. Globalement, la qualité sanitaire reste en amélioration (statistiquement, 70% des points suivis montrent une tendance à l’amélioration – Annexe 4). Mais la présence de rares pics de contamination de faible à moyenne intensité pénalise encore de nombreuse zones du département et notamment en baie de Paimpol et dans l’estuaire du Trieux. Une partie d’entre elles avait été classée A en 2018 mais la pérennisation de la bonne qualité sanitaire demeure fragile dans ces secteurs. Le constat est plus inquiétant pour la zone 22.06.11 dont l’estimation en qualité B est due à des contaminations qui ne s’observaient pas auparavant. La situation est la même pour les zones 22.08.20 (près de Plougrescant) et la 22.00.00 au niveau de la baie de Lannion. Il semble cependant que les résultats de ces zones présentent de nouveau une bonne qualité sanitaire en 2020, année pourtant très pluvieuse. Le nombre d’alertes est exceptionnellement élevé en 2020 (34 alertes dont cinq de niveau 2), le double de 2019. Ces pics de contamination ont eu néanmoins très peu de conséquence directe sur l’estimation du classement sanitaire. Deux zones présentent une dégradation par rapport à 2019. Parmi elles se trouvent la zone 22.03.23, estimée en mauvaise qualité sanitaire, malgré un bruit d

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de l’Ille-et-Vilaine (35). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan au 1er janvier 2021 est très similaire à celui de l’année précédente. Globalement la qualité sanitaire de la baie du Mont Saint-Michel est en amélioration. Le classement généralisé en bonne qualité sanitaire ne tient qu’à cinq pics de contamination moyenne. Il ne faut toutefois pas négliger ces signaux qui témoignent encore d’une certaine fragilité des bassins versants. Ces contaminations peuvent encore se révéler très impactantes lorsqu’elles s’accompagnent d’épisode de TIAC. En Rance et en baie de Saint-Malo, l’état sanitaire s’était considérablement dégradé au début des années 2010. Mais depuis 2015, l’essentiel des zones suivies connaît un regain de qualité et permet un classement généralisé en qualité moyenne. Cette qualité sanitaire se maintient en 2020. Mais l’estuaire reste fragile aux contaminations très locales en cas de forte pluviométrie. La partie centrale de l’estuaire est plus particulièrement menacée. Les tendances statistiques calculées sur dix ans montrent une amélioration sur dix points, soit plus de la moitié des points permettant ce calcul (cf. Annexe 4). Aucun point de surveillance ne présente de tendance à la dégradation. La qualité sanitaire des zones conchylicoles dans le département d’Ille-et-Vilaine est en concordance avec le classement administratif pour toutes les zones sauf la 35.15-groupe III, qui présente une dégradation (A vers B) et la 35.13-groupe III qui présente une amélioration (B vers A).

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme de suivi annuel des départements du Calvados, de la Manche et de la Seine Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus de 2018 à 2020, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également les résultats du réseau « Coquillages » de l’Agence Régionale de Santé de Normandie dans le cadre de la surveillance de la qualité des zones de pêche à pied récréative.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et la méthode d’interprétation des résultats, ce rapport décrit les résultats obtenus en 2020 pour le réseau de surveillance de la contamination microbiologique REMI et du réseau d’observation de la contamination chimique ROCCH du département de Loire-Atlantique. Il présente l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. En 2020, il y a eu 32 alertes déclenchées : 24 de niveau 0, 7 de niveau 1 et 1 de niveau 2. Sur 29 zones classées, deux zones présentes des discordances de classement et quatre zones n’ont pas suffisamment de données pour être classées. Sur les deux zones dont le classement sanitaire ne concorde pas avec l’estimation de la qualité, les deux zones sont classées en A alors que leur qualité est estimée B.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des 16 zones de production de coquillages classées et suivies pour la période 2018-2020. Toutes les zones suivies sur le littoral sont estimées de qualité B pour les groupes des coquillages fouisseurs et non fouisseurs. L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique montre une tendance à l’amélioration pour deux points et une tendance à la dégradation pour un point sur la période 2011-2020. L’année 2020 a été marquée par 5 épisodes d’alertes.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de contrôle microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2018-2020. La qualité a pu être estimée pour dix zones de production conchylicole. Selon les critères réglementaires pris en compte (articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627), dans le département de la Gironde, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour cinq zones de production (coquillages non fouisseurs) et « B » pour quatre zones de production (deux pour des coquillages fouisseurs et deux pour des coquillages non fouisseurs). En ce qui concerne la zone « Cap Ferret », classée alternativement en « A » (toute l’année sauf juillet-août) et « B » (juillet-août), la qualité microbiologique est estimée « A » sur l’ensemble de l’année. L’étude des tendances ne met en évidence aucune tendance significative sur l’ensemble des points de suivi. L’année 2020 a été marquée par deux alertes microbiologiques de niveau 0 et six alertes de niveau 1.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport comprend un bilan national et décrit le programme annuel 2020 du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Sur 54 zones classées et suivies en 2020, 39 ont un classement sanitaire concordant avec l’estimation de leur qualité, 13 ont un classement sanitaire qui ne concorde pas avec l’estimation de leur qualité et 2 ont un nombre de données insuffisant pour estimer leur qualité. Ces estimations de la qualité des zones prennent en compte les résultats de la période 2018-2020, voire 2017-2020 pour une zone. Sur les 13 zones dont le classement sanitaire ne concorde pas avec l’estimation de la qualité, 11 sont classées en A alors que leur qualité est estimée en B, et 2 sont classées en B alors que leur qualité est estimée en A. La qualité chimique est satisfaisante pour tous les points suivis.

Longtemps classée C par l’arrêté préfectoral finistérien pour les coquillages du groupe 3, la zone 2956.08.100 (n° 56.08.100 par arrêté préfectoral du Morbihan) atteint une qualité sanitaire de niveau B et un classement B depuis 26/10/2004 [1]. La présence de coques en quantité substantielle et le souci de diversification de la production ont conduit les professionnels de l’établissement mytilicole Romagné à solliciter la création de concessions pour y élever des coques (Cerastoderma edule), coquillages fouisseurs du groupe 2. Afin de s’assurer de la qualité sanitaire de ces bivalves fouisseurs, une étude sanitaire a été initiée à la demande des représentations professionnelles. Par ailleurs, afin de répondre à l’obligation réglementaire de réaliser ces études sur l’ensemble des zones classées (Règlement d’exécution (UE) 2019/627), une étude sanitaire a été réalisée sur les coquillages du groupe 3 (bivalves fouisseurs). La stratégie d’échantillonnage de l’étude de zone est déterminée sur la base des résultats d’une étude de dossier (identification des sources de contaminations microbiologiques et analyse des résultats des suivis environnementaux existants). L’étude de zone a été menée en réponse à la demande de classement de cette zone par le Comité Régional des Pêches et des Elevages Marins et le Comité de la Conchyliculture Bretagne sud. Cette étude a permis de faire une synthèse des principales sources de contamination microbiologique des eaux et d’évaluer leurs impacts potentiels sur les coquillages de la zone étudiée. Cinq points de prélèvement de coquillages (deux pour les coques et trois pour les moules) ont été échantillonnés deux fois par mois entre février 2019 et mars 2020, en vue de l’évaluation de leur concentration en Escherichia coli (indicateur de contamination fécale) et chimique. Les données de l’étude, tant sur les coquillages échantillonnés que sur l’analyse des sources de contamination et les simulations hydrodynamiques, ont montré une qualité s

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2018-2020. Suivant les seuils microbiologiques des articles 53, 54 et 55 du règlement d’exécution (UE) n°2019/627, la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité « B » pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met en évidence aucune tendance significative au niveau des deux points de suivi. L’année 2020 a été marquée par deux alertes microbiologiques de niveau 0 dont une alerte de niveau 2.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Charente-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2018-2020, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.