16 results on '"jardin botanique ou bâtiment"'
Search Results
2. Un eco-quartier dans la ville de Bukavu
- Author
-
Balegamire, Linda, Chenal, Jérôme, Graezer Bideau, Florence, and Kemajou, Armel
- Subjects
lac ,argile ,métal ,aménagement de quartier d’habitation en ville ,urbanisme et aménagement du territoire ,habitat collectif ,Bukavu ,administration ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,République démocratique du Congo ,fleuve, rivière ,intervention paysagère et environnementale ,logement individuel groupé ,Afrique ,restaurant ,brique ,aménagement de centre ville ,végétation ,logement individuel ,jardin botanique ou bâtiment ,province du Sud-Kivu ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,habitation ,marché ,commerce ,verre ,friche ,nouvelle construction ,développement durable ,ville ,magasin ,bureau ,sociologie, sciences sociales ,restructuration urbaine - Abstract
Pourquoi un éco-quartier ? Serait-ce que les autres formes de quartiers possibles ne fonctionnent pas à Bukavu ? L’analyse historique nous montre qu’en dépit d’un plan précis d’urbanisation établi pour cette ville verte à l'époque coloniale, Bukavu est aujourd’hui un amas de constructions anarchiques. Cet échec est dû à la non intégration de la culture des aborigènes de l’époque. D’autres quartiers unifonctionnels – résidentiels, industriels, commerciaux, administratifs… – qui respectent pourtant les règles écologiques et urbanistiques globales sont également en échec dans cette ville car, dans la culture bukavienne, il est d’usage d’être entouré d’une multitude d’activités à la fois. Le développement durable propose des objectifs à atteindre à long terme, mais laisse la possibilité à chaque pays de les appliquer selon ses propres démarches et à la vitesse souhaitée, dans un timing donné. C’est dans ce contexte que l’éco-quartier prend tout son sens, par l’équilibre entre le social, les coutumes et les mœurs, le respect de l’environnement et la promotion de l’économie locale. À noter ici que l’homme n’est plus au centre de tout intérêt mais qu’il a le devoir de collaborer avec le milieu dans lequel il évolue.
3. Le réseau vert, transition entre espace construit et espace naturel. Base nautique de Torcy (Marne-La Vallée, F)
- Author
-
Foyatier, Aurélia
- Subjects
bois ,métal ,maison de club et association, réunion ,fleuve, rivière ,pierre ,éducation, instruction et recherche ,Route de Torcy ,centre de loisirs et de détente ,observatoire ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,Base nautique de Torcy ,jardin botanique ou bâtiment ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,périphérie urb./banlieue ,bâtiment d'exposition ,parc/jardin ,Vaires-Sur-Marne ,culture et vie sociale ,pont, aqueduc, viaduc ,Europe ,génie civil et transports ,nouvelle construction ,France ,Seine et Marne ,béton ,sport et loisir - Abstract
Dans les pays développés, la population, essentiellement urbaine, évolue dans un monde de l'image et de l'instantané. Grâce au développement des moyens de communication, chacun se déplace dans différents univers sociaux et culturels, de manière plus ou moins équitable, durable et volontaire. Mais, paradoxalement, cela a permis un regain d'intérêt pour les sensations réelles. La société moderne est à la recherche d'une nouvelle qualité de vie : écologique et multi sensorielle. Cela nous amène à travers la nature et la vie sociale, à nous poser la question de l'espace public dans la ville. Serait-il possible de créer une ville « éco-média » où la nature, la technologie et l'humanité coexisteraient en harmonie ? Ce projet propose dans un premier temps la création d'un réseau de mode doux à l'échelle de l'agglomération parisienne. Il s'articule autours des éléments naturels et des infrastructures préexistantes. C'est un «réseau vert». Il est interconnecté avec le réseau des transports en commun et facilite pour toute la population de la région, l'accès au patrimoine naturel, culturel et sportif. Le projet détaille un point de jonction entre le réseau vert et la base nautique de Torcy. C'est un pôle d'accueil vers un centre de loisir qui respecte l'harmonie entre la nature et l'homme. Il se veut avant tout un exemple, témoignage du potentiel de ce réseau : mixer les populations par l'accès à diverses activités et les sensibiliser à notre environnement - patrimoine naturel à protéger.
4. Métamorphose de la place d'armes de Moudon. Une interface intégrative entre requérants d’asile et société civile suisse
- Author
-
Ryser, Ziyad, Huang, Jeffrey, Cogato Lanza, Elena, and Holz, Georg-Christoph
- Subjects
bois ,logement ,village ,foyer pour sans-abri, établissement d’assistance publique ,urbanisme et aménagement du territoire ,entrepôt ,école professionnelle ,piscine, bains en plein air, sports nautiques ,établissement spécialisé ,éducation, instruction et recherche ,atelier ,centrale, bâtiment pour la production d’énergie ,centre de loisirs et de détente ,Suisse romande ,montagne, forêt ,périphérie urbaine, banlieue ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,aménagement de friche militaire ,Vaud ,végétation ,Suisse ,rénovation, transformation ,jardin botanique ou bâtiment ,centre sportif ,santé publique et oeuvre sociale ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,artisanat, industrie et agriculture ,extension ,terrain de sport, installation en plein air ,baraques, habitation provisoire, de fortune ,habitation ,architecture, construction, technologie, génie civil ,Europe ,verre ,hangar ,histoire, réhabilitation du domaine bâti ,halle ,Moudon ,Place d’Armes de Moudon ,bureau ,salle de sport ,réhabilitation ,campagne ,sport et loisir - Abstract
D’ici 2025, l’armée suisse quittera définitivement la place d’armes de Moudon: l’emplacement est une option probable pour accueillir un centre fédéral pour requérants d’asile, et ce dès 2029. Il s’agirait d’un centre dit « de procédure » ; le modèle actuel d’un tel centre, largement caractérisé par son isolement, entretient une distance forte, psychologique et souvent physique, entre les requérants d’asile qui le peuplent et la société civile suisse. De plus, il est difficile d’envisager la caserne comme un cadre de vie épanouissant, tant son architecture militaire et brutaliste renvoie une image d’austérité. En réponse aux défis contenus dans ces problématiques, ce travail propose une vision plus humaniste du centre pour requérants d’asile, en l’incluant dans un projet plus vaste dont le concept s’articule en trois composantes: le prolongement d’une promenade existante au travers de la place d’armes, l’apport d’une mixité programmatique (école professionnelle, camping et piscine) dans le site et l’aménagement d’une structure bois multifonctionnelle liant intérieurs et extérieurs. Les trois éléments se combinent et travaillent ensemble à la création de synergies intégratives, en rattachant le centre au monde extérieur et en dotant l’architecture existante d’un visage neuf et accueillant. Ce nouveau cadre offre aux usagers du centre la possibilité de faire de leur séjour une expérience plus enrichissante et agréable, et à la société civile suisse d’en bénéficier au même titre.
5. Arlecchinata a Porta Volta. La mise en scène du jardin, Milan (I)
- Author
-
Bornet, Laura, Ortelli, Luca, Pattaroni, Luca, and Bourdon, Valentin
- Subjects
bois ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,Italie ,Milan ,maçonnerie ,parc, jardin ,Giardino comunitario Lea Garofalo ,Viale Montello, 3 ,pierre ,Europe ,scénographie ,friche ,centre de loisirs et de détente ,histoire, réhabilitation du domaine bâti ,ville ,halle multi-usages ,réhabilitation ,sociologie, sciences sociales ,brique ,végétation ,béton ,sport et loisir ,jardin botanique ou bâtiment - Abstract
Les ruines, fragments hérités des bombardements qui encerclent ce lieu de nos jours, témoignent de la deuxième guerre passée. Lea Garofalo, le nom que porte ce jardin, rappelle que cet espace a été attribué en la mémoire d’une victime de la filière clandestine de la “Ndrangheta”, qui résidait dans la maison voisine. C’est ainsi, par les différentes épaisseurs politiques et territoriales particulières de ce site, que le projet s’est développé sur le thème de la mémoire. A l’image du territoire-palimpseste, le projet utilise les empreintes pour construire la mise en scène du jardin: de la superposition des traces laissées par le bâti du passé émerge la définition des espaces végétalisés. D’une part, cette délimitation spatiale rend lisible la richesse historique du site. D’autre part, elle accueille différentes expériences dans une succession scénographique de pièces du jardin. Cette lecture archéologique et théâtrale du lieu se base sur la délimitation des pièces en plein-air. Elle se fait par différentes délimitations en brique permettant diverses utilisations et appropriations. De plus, la variation de la porosité de ces limites offre une tension entre les expériences scéniques. Chacune des transitions entre ces espaces est marquée par une mise en scène de passage différente. Le langage architectural répond à celui de la ruine, proposant des variations de l’appareillage de la brique dans le jeu de l’opacité et de la transparence.
6. Architecture éphémère. 17ème anniversaire du Jardin botanique de Genève
- Author
-
Gruber, Patricia
- Subjects
Jardin botanique ,Europe ,Suisse romande ,Genève ,constructions éphémères ,parc/jardin ,Suisse ,sport et loisir ,jardin botanique ou bâtiment
7. Usine hybride: relocaliser l'usine au sein de la ville (Genève)
- Author
-
Cretton, Oliver, Gargiani, Roberto, Muttoni, Aurelio, and Lampariello, Béatrice
- Subjects
construction après démolition ,métal ,entrepôt ,piscine, bains en plein air, sports nautiques ,industrie ,théâtre ,habitat collectif ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,atelier ,cinéma, cinémathèque ,Suisse romande ,halle multi-usages ,île ,musée ,Suisse ,jardin botanique ou bâtiment ,centre sportif ,piscine couverte ,habitation ,usine, fabrique ,architecture, construction, technologie, génie civil ,culture et vie sociale ,salle de concert ,Europe ,verre ,Genève ,hangar ,halle ,nouvelle construction ,ville ,salle polyvalente ,bureau ,salle de sport ,aménagement de zone industrielle ,béton ,sport et loisir - Abstract
L’usine disparaît progressivement des centres urbains européens, les zones industrielles se déplacent en périphérie ou à la campagne, se situant dans d’énormes bâtiments à un étage; leur emplacement précédent attribué à des logements ou des bureaux, les bâtiments les plus anciens reconvertis et les plus récents démolis. C’est dans cette situation que se trouve actuellement la zone du PAV (Praille-Acacias-Vernets) à Genève, où des nouvelles constructions – pour la majeure partie des blocs résidentiels – remplacent l’ancien tissu industriel, datant des années 60 et 70. Les nouveaux développements sont divisés sur un plan horizontal selon le programme. Le projet questionne cette division. Garder l’usine au sein de la ville, sans y exclure d’autres programmes? Sans exclure le logement qui manque tant à Genève? Il vise à transformer l’usine en un hybride, où industrie, logement, bureau et loisir se côtoient. Divisée verticalement, et non plus horizontalement, l’indétermination programmatique spécifique à l’usine est mise à profit de nouveaux programmes qui peuvent être insérés dans le bâtiment, exploitant à l’extrême le principe de flexibilité. C’est une proposition qui critique le principe moderniste du cantonnement des fonctions et qui propose un prototype de mixité urbaine qui puisse maintenir l’usine dans la ville.
8. Accessibilité comme valeur principale et moteur d'organisation d'espace public. Une stratégie formative pour le site de la gare centrale ferroviaire à Belgrade (Serbie-Montenegro)
- Author
-
Jankovic, Uros
- Subjects
stade ,bois ,gare routière ,métal ,parking ,université ou école polytechnique ,intervention paysagère et environnementale ,éducation, instruction et recherche ,Amphithéâtre de la Save ,garage ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,Belgrade ,halle multi-usages ,patinoire ,aménagement de centre ville ,gare ou bâtiment d'exploitation ferroviaire ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,zone industrielle ,terrain de sport, installation en plein air ,culture et vie sociale ,centre ,tribune ,scène, décor ,Europe ,verre ,Serbie, Monténégro ,installation pour exposition ,développement durable ,sociologie, sciences sociales ,aménagement de zone industrielle ,sport et loisir ,restructuration urbaine ,crèche, jardin d'enfants ,urbanisme et aménagement du territoire ,route ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,fleuve, rivière ,aménagement régional ou national ,centre de loisirs et de détente ,jardin botanique ou bâtiment ,jardin zoologique ou bâtiment ,centre sportif ,bibliothèque, médiathèque, ludothèque ,bâtiment d'exposition ,génie civil et transports ,institut scientifique, centre de recherche ,installation didactique ,nouvelle construction ,ville ,réhabilitation ,béton - Abstract
La particularité du site traité par ce projet est qu'il est à la fois central et difficilement accessible. Dès lors l'accessibilité, physique et sociale, s'impose naturellement comme la valeur à apporter. La question est: "comment socialiser cet espace"? Ce projet propose une stratégie pour y répondre. L'accessibilité dans un milieu urbain est un enjeu qui appelle la problématique des espaces publics et je pense que c'est sur ce plan-là qu'un projet urbain et architectural doit travailler. L'essence même de l'espace public est justement son accessibilité physique et sociale. Elle s'exprime spatialement sous forme de la continuité. Pour moi, l'objectif architectural est, alors, de créer cette continuité qui manque, en plan, en coupe et en structure. L'hypothèse de travail peut être formulée ainsi: "en agençant un espace public on intègre le site à la ville et on pose la base prête à recevoir tout développement futur". Une conséquence importante de cette approche est un programme lapidaire: créer un maximum d'espace pour un maximum de gens venant en transport public et individuel - le reste allant de soi. D'où la préoccupation architecturale portant sur le sol, la toiture et la manière dont le piéton rencontre la voiture, accède à la nature et se déplace en commun. Selon le degré de continuité achevée, on peut mesurer la valeur apportée. Le résultat est un bâtiment/sol/toiture interminable qui se propage entre la ville et la nature en les intégrant.
9. 'Lausannovores'. Architecture(s) de productions et de consommations locales
- Author
-
Pierret, Nicolas
- Subjects
bois ,construction après démolition ,urbanisme et aménagement du territoire ,école professionnelle ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,intervention paysagère et environnementale ,Lausanne ,éducation, instruction et recherche ,atelier ,Suisse romande ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,Vaud ,aménagement de centre ville ,Suisse ,jardin botanique ou bâtiment ,pisé ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,artisanat, industrie et agriculture ,ferme, bâtiment agricole ,Europe ,verre ,institut scientifique, centre de recherche ,développement durable ,ville ,sport et loisir ,restructuration urbaine - Abstract
La vision de Lausanne comme ville productive cherche à intégrer les mécanismes de l'agriculture urbaine au sein d'une réflexion architecturale et urbanistique. A l'échelle du territoire, le projet développe un axe vert raccordant la campagne Nord lausannoise au lac Léman. Celui-ci relie en un cheminement piéton les poches vertes existantes, en renforçant leurs présences et leurs diversités. Le long de cet axe prend place une grande variété d'interventions visant à reconnecter les citadins et leur alimentation, et à favoriser la biodiversité lausannoise. Le cœur de ce réseau se situe aux Jardins Botaniques, avec la construction d'un Centre de l'Agriculture Urbaine, lieu de rencontre entre professionnels, chercheurs et citadins. Un pôle de recherche agronomique, dédié à l'agriculture urbaine et à ses techniques, développe de nouvelles méthodes et espèces adaptées à la ville. Il abrite également une banque de gènes des espèces productives, présentée au public dans l'enceinte du jardin botanique. Un pôle de formation permet le transfert de connaissances entre chercheurs, particuliers ou associations. Enfin, un pôle public abrite des expositions, un espace de conseil et de vente de matériel et de semis, ainsi qu'une cuisine didactique destinée à l'éducation alimentaire des citadins. L'ensemble émerge de la colline de Montriond en une construction conjuguant la durabilité et l'intemporalité de la terre avec l'éphémère et la légèreté des serres de verre, pleinement intégré dans le paysage et le cheminement des Jardins Botaniques.
10. Défrichage. Construction dans l’interstice entre la zone ferroviaire et le quartier d’habitation (Saint-Roch, Nice, F)
- Author
-
Barreca, Xavier, Pattaroni, Luca, Perrault, Dominique, and Tirone, Barbara
- Subjects
Alpes maritimes ,bâtiment d’exposition ,métal ,urbanisme et aménagement du territoire ,maison de club et association, réunion ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,intervention paysagère et environnementale ,atelier ,Gare Nice-Saint-Roch ,halle de fête ,périphérie urbaine, banlieue ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,halle multi-usages ,rénovation, transformation ,jardin botanique ou bâtiment ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,artisanat, industrie et agriculture ,zone industrielle ,ferme, bâtiment agricole ,aménagement de friche ferroviaire ,café ,commerce ,culture et vie sociale ,Europe ,friche ,Nice ,verre ,nouvelle construction ,ville ,Avenue Denis Semeria ,salle polyvalente ,magasin ,France ,hôtellerie et tourisme ,sociologie, sciences sociales ,aménagement de zone industrielle ,béton ,sport et loisir - Abstract
A Nice, le quartier Saint-Roch a longtemps constitué le cœur industriel de la ville. Développé sur des terres auparavant cultivées, il a peu à peu vu toutes ses infrastructures industrielles disparaître, à l’exception de la plus imposante: la gare de marchandises de Nice-Saint-Roch. Achevée en 1928, elle représente aujourd’hui encore une barrière infranchissable et agit comme une véritable limite. Ce projet propose d’intervenir sur une partie de la zone ferroviaire dans le but de développer une relation nouvelle entre la gare et son quartier. Implanté en bordure des voies ferrées, il consiste en une structure installée sur le terrain avec la volonté de s’y adapter sans le dénaturer. Celle-ci prévoit l’établissement de jardins potagers publics, la construction d’une maison de quartier ainsi que la redéfinition d’une place publique. Le lieu ainsi conçu pour les habitants doit offrir flexibilité et polyvalence dans ses usages. On trouve donc, au cœur du développement, une réflexion sur des qualités comme l’appropriation et la convivialité. Tel un filtre placé entre le quartier et la gare, la structure investit la rue et les rails, dans l’intention de rendre au secteur un peu de ce système étanche. Cette intervention met en avant et célèbre le caractère industriel du lieu, en jouant sur le thème de la halle industrielle, tout en offrant une activité agricole, reflet de son passé pré-industriel.
11. Tortuga. Projet pour une nouvelle vitalité dans le quartier de Malley, Lausanne
- Author
-
Reyes Osorio, José, Gargiani, Roberto, Kaufmann, Vincent, and Hamzeian, Boris
- Subjects
logement ,construction après démolition ,métal ,maison de club et association, réunion ,habitat collectif ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,Av. du Chablais ,Lausanne ,Suisse romande ,périphérie urbaine, banlieue ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,Vaud ,Suisse ,jardin botanique ou bâtiment ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,zone industrielle ,terrain de sport, installation en plein air ,baraques, habitation provisoire, de fortune ,habitation ,culture et vie sociale ,centre ,Europe ,friche ,matériau composite ,installation pour exposition ,nouvelle construction ,ville ,Malley ,sociologie, sciences sociales ,béton - Abstract
Le quartier de Malley possède une vaste aire qui change rapidement d’aspect et qui formait, il y a peu encore, un tissu industriel très diversifié. Aujourd’hui, des réflexions à propos du futur de Malley poussent à redéfinir cette zone jadis active. En effet, même si l’ancien site industriel constitue un patrimoine important aux yeux des habitants, la Ville a l’ambition d’en faire un nouveau quartier d’appartements et de commerce dense d’ici 2025. C’est à ce moment précis qu’intervient le projet Tortuga qui considère le vide actuel du site comme une forme sensible pouvant accueillir de nouveaux modes de vie urbains. Le déjà-là de cet espace disponible est alors une tension vers quelque chose, une dynamique vers une autre réalité que le rien ou le conventionnel ne peuvent offrir. Un grand parc-place se développe à partir d’un geste fort qui l’organise en séquence d’éléments dans lesquels émergent des mouvements divers mais clairement reconnaissables. Le niveau du sol est pensé comme une portion de terre performative dédiée aux événements, aux jeux, aux manifestations, à ce qui nécessite un déplacement intense des usagers. Puis, au-dessus de l’ensemble du projet, une grille de pilotis suspend une barre-hôtel vitrée. Cette dernière complète le programme en intégrant des installations pour vivre et travailler : des espaces alternatifs organisés comme des galeries linéaires à chaque niveau. Avec ses étagères habitées et sa généreuse tapisserie urbaine, Tortuga prône l’invention de nouvelles manières de structurer le temps privé et social par la multiplicité des rythmes individuels et collectifs.
12. Le jardin botanique.;Un parcours hiérarchisé, ayant pour but la détente de l'esprit et la rencontre de l'homme avec la nature civilisée. (Lausanne - Vallée de la Jeunesse)
- Author
-
Gay, Pascale and Troyon, Corinne
- Subjects
Lausanne ,Europe ,Vallée de la Jeunesse ,Suisse romande ,Vaud ,parc/jardin ,Suisse ,sport et loisir ,jardin botanique ou bâtiment
13. Le nouveau Rosengarten. Le projet du Rosengarten à Berne: un lieu au service de la ville
- Author
-
Bissig, Andrej
- Subjects
bois ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,Laubeggstrasse ,Berne ,artisanat, industrie et agriculture ,entrepôt ,café ,parc/jardin ,fleuve, rivière ,pierre ,Europe ,restaurant ,histoire, réhabilitation du domaine bâti ,nouvelle construction ,développement durable ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,ville ,Suisse allemande ,hôtellerie et tourisme ,brique ,terre séchée ,Suisse ,béton ,sport et loisir ,jardin botanique ou bâtiment
14. El Cruze. Water and Borders between Mexico and the United States of America
- Author
-
Collu, Valentina
- Subjects
bois ,San Luis Rio Colorado ,Amérique ,urbanisme et aménagement du territoire ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,intervention paysagère et environnementale ,centre de loisirs et de détente ,périphérie urbaine, banlieue ,architecture paysagère, environnement, protection des sites ,aménagement de zone rurale ,brique ,jardin botanique ou bâtiment ,aménagement de fête ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,terrain de sport, installation en plein air ,désert ,Californie, Sonora, Arizona ,architecture, construction, technologie, génie civil ,culture et vie sociale ,pont, aqueduc, viaduc ,génie civil et transports ,nouvelle construction ,Mexique ,sociologie, sciences sociales ,béton ,campagne ,sport et loisir - Abstract
Le mur, qui sépare les Etas-Unis du Mexique, n'est pas seulement une division politique, c'est aussi une barrière physique qui coupe la continuité territoriale. Plus précisément, dans l'Imperial Valley, ce mur s'arrête au Colorado River, fleuve qui devient une frontière naturelle et la seule source d'eau de la vallée. Le Colorado rejoint l'océan deux fois par année quand les barrages s'ouvrent mais, le reste du temps, le lit de la région limitrophe est sec en raison de l'exploitation et de la déviation de l'eau à la frontière. Le projet offre un regard territorial sur la zone limitrophe du Sud, adopte une stratégie qui restituera le fleuve à la ville de San Luis Rio Colorado (Mexique) et imagine la création d'un barrage perméable qui redessine la topographie du lit. Ce barrage permettra non seulement de donner accès au fleuve, à la population, pendant les périodes de pleine, mais aussi de stocker cette eau le reste de l'année. Cette infrastructure est aussi une promenade le long du mur qui amènera jusqu'au parc-oasis, ; Hortus Conclusus, deuxième partie du projet. Un parc destiné principalement à la rencontre des familles séparées par la frontière, qui permettra aussi le passage piétonnier. Cette oasis sera délimitée par des murs en brique qui dessinent un périmètre carré, centré et parallèle au mur; elle est aussi traversée par un canal du Colorado. Le projet essayera d'améliorer la problématique de l'eau et la discontinuité territoriale / sociale, causées par la présence du mur.
15. La Surmasse
- Author
-
Darbellay, Léonard, Fankhauser, Christian, Braghieri, Nicola, Gargiani, Roberto, and Lampariello, Beatrice
- Subjects
hôtel, motel ,métal ,parking ,piscine, bains en plein air, sports nautiques ,bâtiment commercial ,théâtre ,atelier ,cinéma, cinémathèque ,halle de fête ,halle multi-usages ,gare ou bâtiment d’exploitation ferroviaire ,parc, jardin, aménagement paysagiste ,construction éphémère ,piscine couverte ,zone industrielle ,grand magasin ou centre d’achats ,Londres ,marché ,commerce ,culture et vie sociale ,centre ,tribune ,Europe ,salle de concert ,scène, décor ,scénographie ,verre ,installation pour exposition ,salle polyvalente ,aménagement de zone industrielle ,restructuration urbaine ,sport et loisir ,bâtiment d’exposition ,étang, marais ,bâtiment maritime ou fluvial, chantier naval, port ,maison de club et association, réunion ,aménagement du territoire, urbanisme, insertion urbaine ,fleuve, rivière ,aménagement régional ou national ,centre de loisirs et de détente ,périphérie urbaine, banlieue ,musée ,jardin botanique ou bâtiment ,établissement thermal et de cure ,aménagement de fête ,centre sportif ,techniques de représentation, infographie, modélisation ,turbine éolienne ,friche ,Tottenham ,installation didactique ,nouvelle construction ,Grande-Bretagne ,maison de commune ou hôtel de ville ,réhabilitation ,salle de sport ,béton - Abstract
Les zones commerciales sont des lieux où la foule abonde mais où, paradoxalement, les interactions sociales sont limitées. Une masse individualiste, où chaque visiteur ne considère que ses besoins personnels. La Surmasse a pour but, à travers l’architecture, de démontrer aux visiteurs qu’ils font partie d’un ensemble social, où chacun doit œuvrer à son bon fonctionnement sans mettre de côté ses besoins personnels. La Surmasse atterrit dans cette zone commerciale sous laquelle elle crée une jungle urbaine, qui prolonge la vallée olympique, où les piliers remplacent les arbres. A la lumière naturelle se substitue celle des phares de voitures, de la discothèque et des “data centers”. Dernier vestige naturel, la rivière, canalisée, serpente sous la plateforme. Au-dessus, la Surmasse est constituée de deux figures, une ellipse contenant un cercle, qui définissent des lieux de gradations entre deux milieux. Le cercle représente l’espace collectif, où les interactions sociales se déroulent entre des éléments architecturaux autonomes qui entrent en collision les uns avec les autres. Cet espace libre est recouvert d’un rideau soutenu par une grille de poteaux laissant libre cours aux interactions. L’ellipse est dominée par une grille régulière qui règle le milieu le plus individuel. Chaque élément structurel est travaillé de manière indépendante, reprenant l’idée d’une multitude de libertés individuelles créant un tout. Cela fabrique un édifice autonome, capable de créer un monument pour la collectivité, à même d’être le contenant et le contenu de la Surmasse.
16. 'Europolis', un monument schizophrène pour l'Europe
- Author
-
Perret, Julien, Geers, Kersten, Braghieri, Nicola, and Zanderigo, Andrea
- Subjects
gare ou bâtiment d'exploitation ferroviaire ,logement ,métal ,parking ,bât. administratif privé ,extension ,banque ,habitation ,Londres ,commerce ,parc ,Europe ,bât. administratif public ,logement individuel groupé ,génie civil et transports ,jardin ,assurance ,St. Pancras International ,ville ,Grande-Bretagne ,bureau ,brique ,jardin botanique ou bâtiment - Abstract
Comme tous monuments, “Europolis” est avant tout un objet permettant de souligner un instant d'histoire, dans son cas, la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Située dans l'enceinte même de la gare St-Pancras, réelle porte londonienne vers l'Europe, ce grand complexe a pour but premier d'engendrer une enclave internationale au centre de la métropole. Cette machine programmatique s'inscrit dans un contexte urbain complexe (voire chaotique) où le style victorien se mêle au high-tech et l'architecture industrielle au postiche, le tout de manière étonnamment plaisante. De par sa taille cette zone franche est une ville dans la ville: «La Tour rejoint finalement la fonction essentielle des grands lieux humains: l'autarcie; la Tour peut vivre sur elle-même: on peut y rêver, y manger, observer, y comprendre, s'y étonner, y faire des achats; comme un bateau (autre objet mythique qui fait rêver les enfants), on peut s'y sentir coupé du monde et cependant propriétaire d'un monde.» [Barthes, Rolland, La tour Eiffel] N.B.: Ce travail fut précédé d'une analyse, qui visait à interpréter diverses pathologies liées au domaine de la psychiatrie à travers un catalogue regroupant huitante bâtiments. On y trouvait notamment des signes de délire de mémoire, de dissociation et même parfois l'étrange sentiment de faire face à une hallucination. “Europolis” comporte les troubles permettant de le définir comme schizophrène.
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.