Schiffmann, Serge N., Remmelink, Myriam, Gall, David, Migeotte, Isabelle, Vanderhaeghen, Pierre, Napierala, Jill, Wade-Martins, Richard, Dionisi, Chiara, Schiffmann, Serge N., Remmelink, Myriam, Gall, David, Migeotte, Isabelle, Vanderhaeghen, Pierre, Napierala, Jill, Wade-Martins, Richard, and Dionisi, Chiara
Friedreich Ataxia (FRDA) is an autosomal recessive multisystem disorder with prominent neurological manifestations, which include the early and severe loss of large primary proprioceptive neurons (PPNs) of the Dorsal Root Ganglia (DRGs) and, at a later stage, the degeneration of cerebellar and pyramidal systems. The disease is caused by the hyperexpansion of a GAA triplet repeat in the first intron of the FXN gene, encoding the mitochondrial protein frataxin (FXN), which is involved in iron-sulfur cluster biogenesis. The expanded GAA tract promotes chromatin condensation and disrupts FXN mRNA transcription, leading to reduced FXN levels, impaired mitochondrial function and altered iron metabolism. Despite notable progress in the identification of the underlying causes of FRDA, neither the details of these pathogenic processes nor the reason for the specific vulnerability of the proprioceptive system and a limited number of other cell types are yet fully understood. Human induced pluripotent stem cells (iPSCs) are used to generate models of human diseases that recapitulate the pathogenic process as it occurs in affected cell types. Studies conducted so far in FRDA have mainly utilized iPSC-derived cortical neurons and cardiomyocytes, which have shown to recapitulate essential aspects of FRDA pathogenesis that are at least partially corrected by restoring FXN expression. However, those studies can only provide a limited view of the effects that FXN silencing has in vivo, because the neuronal type utilized so far is not affected in FRDA patients. On the other side, efforts to differentiate iPSCs into primary sensory neurons have only succeeded in generating an unselected mixed neuronal population with a small minority of proprioceptors.Having an in vitro source of PPNs would enable the study of the alterations which are specifically induced and the pathways which are impaired by frataxin deficiency in these cells, helping in the understanding of their unique neuronal p, L'ataxie de Friedreich (FRDA) est une pathologie héréditaire autosomale récessive caractérisée par des manifestations neurologiques importantes, qui comprennent la perte précoce et sévère des neurones proprioceptifs (PPN) des ganglions de la racine dorsale (DRG) et, à un stade ultérieur, l’atteinte des systèmes cérébelleux et pyramidaux.La maladie est causée par une expansion de triplets nucléotidiques GAA au sein du premier intron du gène FXN, qui code pour la protéine mitochondriale frataxine (FXN), impliquée dans la biogenèse des centres fer-soufre (Fe-S). Cette expansion GAA induit la formation d’hétérochromatine et perturbe la transcription du gène FXN, entraînant une réduction des niveaux de frataxine, une altération de la fonction mitochondriale et une altération du métabolisme du fer. Malgré des progrès notables dans l'identification des causes de la maladie, ni les détails de ces processus pathogènes ni la raison de la vulnérabilité spécifique du système proprioceptif et d'un nombre limité d'autres types de cellules ne sont encore entièrement élucidés.Les cellules souches pluripotentes induites (iPSC) sont utilisées pour générer des modèles de maladies humaines qui récapitulent le processus pathogénique tel qu'il se manifeste dans les cellules affectées. Les études menées jusqu'à présent dans l’ataxie de Friedreich ont principalement utilisé des neurones corticaux et des cardiomyocytes dérivés des iPSC FRDA, qui présentent les aspects essentiels de la pathogenèse de FRDA, qui sont partiellement corrigés après la restauration de l’expression du gène FXN. Cependant, ces études ne peuvent fournir qu'une vision limitée des effets de la diminution de la transcription du gène FXN, car le type neuronal utilisé n'est pas affecté dans la maladie. D'autre part, les efforts pour différencier les iPSC en neurones sensoriels primaires n'ont réussi qu'à générer une population neuronale mixte avec une faible proportion de neurones de type proprioceptif. Disposer d'une sou, Doctorat en Sciences biomédicales et pharmaceutiques (Médecine), info:eu-repo/semantics/nonPublished