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1. Présentation La recherche que nous présentons ici entre dans le cadre d’une étude plus vaste, qui cherche à préciser l’interaction des facteurs morphologiques, syntaxiques et sémantiques dans la construction et l’interprétation des noms déverbaux. Au départ, c’étaient surtout les modifications structurelles lors du passage du verbe au nom qui nous intéressaient : sur le plan syntaxique, quels types de constructions verbales se prêtent le mieux aux « nominalisations » et quels types de suff...

La notion de "nom abstrait" a derrière elle une longue tradition - abordée dès la période scholastique, elle accompagne plusieurs tournants de l’histoire de la logique et de la grammaire -, mais aucun travail d’ensemble ne lui avait, à ce jour, été consacré. Le colloque organisé à Dunkerque en septembre 1992, qui a réuni plus d’une cinquantaine de chercheurs français et étrangers, avait donc pour but de faire le point sur un problème d’autant plus important qu’il concerne à la fois la logique, les différents champs de la linguistique et la traductologie. La question du nom abstrait soulève plusieurs difficultés, dont la principale est de déterminer s’il est possible d’associer la notion intuitive d’abstraction à des propriétés logico-syntaxiques et à des caractéristiques morphologiques. Le nom abstrait semble en effet soumis à deux contraintes antagonistes : l’influence sémantique de sa base prédicative et le rôle formel de la catégorie nominale. On trouvera donc dans cet ouvrage un ensemble de réflexions critiques et d’analyses, portant non seulement sur la distinction entre noms concrets et noms abstraits et sur sa validité pour la description linguistique, mais encore sur la pertinence de la notion d’abstraction en général dans l’approche des faits de langue. Sous des angles très divers, toutes les démarches s’accordent à reconnaître l’importance de ce mouvement delà pensée qui, d’une part, permet de séparer les qualités et les procès de leur support - ou si l’on préféré les prédicats de leurs arguments - et qui, de l’autre, conduit à négliger les différences individuelles pour acceder au général.

Several studies demonstrated a reduction in bone mineral content (BMC) in idiopathic renal stone formers (RSF). We found this reduction in association with a chronic low-calcium diet. Low calcium intake could theoretically result in calcitonin deficiency, responsible for increased bone resorption. This hypothesis was tested in 22 male RSF eating a low-calcium diet (350 +/- 72 SD mg/day) for 2 years or more, who showed a significant reduction in their BMC. When compared to 15 normal male subjects eating a free diet, RSF showed increases in serum alkaline phosphatase activity and fasting urinary excretion of hydroxyproline and calcium, suggesting increased bone turnover. Plasma calcitonin levels were measured by radioimmunoassay following an extraction-concentration technique (exCT). Basal plasma exCT levels were higher (P less than 0.005) in RSF (4.1 +/- 0.8 SEM pg/ml) than in normal subjects (2.8 +/- 0.4). Following a 5 minute infusion of 2 mg elemental calcium per kg, levels of plasma exCT tended to increase more, although not significantly, in RSF (51.3 +/- 9.4 pg/ml) than in normal subjects (36.6 +/- 9.7). The CT secretory response, taking into account changes in serum calcium concentration (delta exCT/delta Ca), was higher (P less than 0.05) in RSF (50.0 +/- 10.0) than in normal subjects (25.6 +/- 6.6). Our study thus demonstrates that RSF chronically fed a low-calcium diet have increased basal plasma CT levels and increased CT cells responsiveness. CT deficiency cannot therefore be considered a cause for the low BMC associated with a chronic low-calcium diet in RSF., SCOPUS: ar.j, FLWNA, info:eu-repo/semantics/published