Search

Lit.opg.

Lit.opg.

Lit.opg.

This resource is a single blog post created as part of the Day of Archaeology initiative. The Day of Archaeology project aimed to provide a window into the daily lives of archaeologists from all over the world. The project asked people working, studying or volunteering in the archaeological world to participate in a 'Day of Archaeology' each year by recording their day and sharing it through text, images or video on the Day of Archaeology blog.The project asked anyone with a personal, professional or voluntary interest in archaeology to get involved, and help highlight the reasons why archaeology is vital to protect the past and inform our futures. The resulting Day of Archaeology project archive demonstrates the wide variety of work the archaeological profession undertakes day-to-day across the globe, and helps to raise public awareness of the relevance and importance of archaeology to the modern world.The first ever Day of Archaeology was held in 2011 and, since then, the project had thousands of archaeologists take part in the event, from those working in the field through to specialists working in laboratories and behind computers. The last Day of Archaeology was on Friday 28th July 2017.

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met literatuuropgave

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Since 2002, the church of the Clunisian rural prieuré of Saint-Jean-de-Todon is the subject of programmed excavations. This religious building on a calcareous plateau overlooking the Rhone valley constitutes the most recent occupation of a Gallic then Roman town named the Camp of Caesar. It includes a nave closed by an apse and is 24,8 m long by 8 m wide. Ten excavation campaigns showed that the existing construction was built in several successive stages and possesses a complex history which may plunge its roots in the Vth or VIIth centuries and ends in the modern period. A cemetery in use between the second half of the IXth century and the end of the XIIIth century (twelve radiocarbon datings) extends to the South and West of the building. In recent years, exhaustive excavation became a priority because of its links with the various building phases and the exceptional preservation of tomb signalizations. The estimated total is about 200 graves and for the moment 141 anthropomorphic coffers and 141 secondary deposits have been studied., Depuis 2002, l’église du prieuré rural clunisien de Saint-Jean de Todon fait l’objet d’une fouille programmée. Cet édifice cultuel est situé sur un plateau calcaire surplombant la vallée du Rhône et constitue la dernière occupation d’une agglomération gauloise puis romaine nommée le Camp de César. Il comprend une nef fermée par une abside et mesure 24,8 m de long pour 8 m de large. Les dix campagnes de fouille ont montré que l’édifice aujourd’hui ruiné est construit en plusieurs étapes et qu’il possède une histoire complexe qui peut plonger ces racines dans les Ve-VIIe s. et se termine à l’époque moderne. Un cimetière utilisé entre la seconde moitié du IXe s. et la fin du XIIIe s. (douze datations par le radiocarbone) se développe au Sud et à l’Ouest du bâtiment. Depuis quelques années sa fouille exhaustive est devenue une priorité en raison de son articulation avec les différentes phases de construction et de la conservation exceptionnelle des dispositifs de signalisation. L’effectif total est évalué à 200 tombes, et pour le moment 141 coffrages anthropomorphes et 81 dépôts secondaires ont été étudiés., Ardagna Yann, Blanchard Delphine, Pélaquier Elie, Vidal Laurent, Seguin Maxime. Aux marges de l’ancienne agglomération antique du Camp de César : Saint-Jean-de-Todon alias Saint-Jean-de-Rousigue (Laudun-L’Ardoise, Gard). In: Archéologie du Midi médiéval. Tome 28, 2010. pp. 161-180.

La fouille programmée du four de terres cuites de Sagone, mis au jour partiellement sous le baptistère en 2012, s’inscrit dans le cadre d’un programme d’études diachroniques des ateliers de terres cuites en Corse. L’étude dufour envisagée lors de la découverte n’ayant pas été réalisée, sa datation et sa morphologie restaient floues. Afin d’étudier l’architecture du four et de rechercher sa fosse d’accès, trois petits secteurs de fouille ont été ouverts, entenant compte de la présence des structures bâties du baptistère, en vue de répondre aux questions posées par la présence de ce four.Bien que très limitée, cette intervention a permis d’accroître les connaissances sur le four lui-même en renouvelant les observations réalisées lors de la découverte, même si le recouvrement par les murs du baptistère n’a pas permis d’en dégager une plus grande partie. Ainsi, l’observation du troisième mur le délimitant à l’ouest montre qu’il s’agit d’un four quadrangulaire à deux volumes et à un seul alandier. La chambre de chauffe épouse une forme rectangulaire voire carrée. L’intérieur de la chambre de chauffe comporte au moins trois arches prenant naissance vers la base des parois maçonnées latérales de la chambre de chauffe. L’étroitesse de l’espace de fouille accessible (il n’a pas été possible de démonter l’arche complète) et sa profondeur n’ont pas permisd’atteindre la base de la chambre de chauffe. Par ailleurs, notre intervention a permis de s’assurer de l’absence d’une sole perforée de carneaux, qui avait été identifiée par les découvreurs en 2012.La recherche sur l’alandier et la fosse d’accès a été rendue impossible par la présence d’une fosse de spoliation qui n’avait pas été reconnue lors de la découverte en 2012. Cette dernière recoupe l’architecture du four enendommageant deux des trois arches connues. Son contenu est très semblable à l’ensemble des unités stratigraphiques observées dans la zone de recherche de la fosse d’accès. En effet, entre la cuve baptismale et le mur de première phase de construction du baptistère, l’espace dans lequel devait se développer la fossed’accès a livré une succession de couches archéologiques caractérisant une zone de rejets sans lien direct avec l’activité de fabrication de terres cuites. Elle livre de nombreux artefacts et restes biologiques qui nous informent sur une occupation des 6e-7e s. postérieure au fonctionnement du four et antérieure à l’édification du baptistère.En l’état des connaissances, les informations de datations physiques et archéologiques s’accordent pour inclure le fonctionnement du four quelque part dans un intervalle allant du début du 2e s. apr. J.-C. au milieu du 5e s. apr. J.-C.En dehors des informations nouvelles obtenues sur le four, l’opération programmée a permis de collecter des données, loin d’être négligeables, sur la culture matérielle du site de Sagone pour l’Antiquité tardive.Les avancées acquises ne portent pas sur tous les questionnements préalables, en raison de la conformation des structures archéologiques qui sont bien trop enchevêtrées pour permettre des décapages extensifs en vue d’une lecture aisée.De la même façon, pour atteindre la base du four et possiblement son dernier niveau d’utilisation, en sécurité, il faudrait retirer l’arche entièrement conservée et les deux départs de la deuxième. Ainsi, il serait alors possible de réaliser une datation par le radiocarbone et par archéomagnétisme, en vue d’affiner la datation de son fonctionnement, et également pour rattacher ou non les tuiles à estampilles épiscopales de Sagone à ce four.

Met literatuuropgave

Met literatuuropgave

Met literatuuropgave

Met literatuuropgave

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg

Met lit. opg