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Background Postoperative intracranial hypotension-associated venous congestion (PIHV) is a rare event. The authors report the case of a patient presenting with PIHV after spinal surgery following the sudden loss of cerebrospinal fluid (CSF) induced by suction drainage. Methods A 69-year-old patient underwent uneventful revision surgery for wound dehiscence after lumbar surgery with placement of a subfascial suction drain. Results Postoperatively, the patient presented with fluctuating consciousness and a generalized tonic–clonic seizure. Computed tomography (CT) and serial magnetic resonance imaging (MRI) were performed showing convexity subarachnoid hemorrhages (SAHs), diffuse swelling of the brain and thalami and striatum bilaterally without diffusion restriction, and signs of intracranial hypertension resulting in pseudohypoxic brain swelling in PIHV. A dural leak at L3–L4 was treated with several CT-guided patches combining autologous blood and fibrin glue injections. The patient recovered without neurologic deficit and follow-up MRI revealed progressive complete reversal of brain swelling, and re-expansion of CSF spaces. Conclusion PIHV is a rare but potentially fatal entity. Awareness of PIHV after cranial or spinal surgery leads to early treatment of CSF hypovolemia and possibly better clinical outcome. Following acute CSF volume loss, an acute elevation of cerebral blood volume overcoming autoregulatory mechanisms seems a likely explanation for diffuse cerebral vasogenic edema and SAH in PIHV.

Background Frailty complicates management and worsens outcomes. We assessed the prevalence, determinants and consequences of frailty among elderly patients in a hospital setting. Design Retrospective observational study in a Swiss university hospital. Methods 22,323 patients aged ≥65 years hospitalized between January 2009 and December 2017 at the internal medicine ward were included. Frailty was defined by the Hospital Frailty Risk Score (HFRS) and patients were categorized as low (HFRS15) risk. Results Overall prevalence of intermediate and high risk of frailty was 43% and 20%, respectively; prevalence was higher in women and increased with age. Prevalence of high risk of frailty increased from 11.4% in 2009 to 31% in 2012, and decreased to 19.2% in 2017. After multivariable adjustment, frailty was associated with increased length of stay: average and (95% confidence interval) 11.9 (11.7–12.1), 15.6 (15.4–15.8) and 19.7 (19.3–20.1) days for low, intermediate and high risk, respectively, and increased likelihood of ICU stay: odds ratio (OR) and (95% CI) 1.57 (1.41–1.75) and 2.10 (1.82–2.42) for intermediate and high risk, respectively, p for trend 70,000 CHF: OR and (95% CI) 3.46 (2.79–4.29) and 10.7 (8.47–13.6) for intermediate and high risk, respectively, p for trend Conclusions Frailty is a frequent condition among hospitalized patients and is associated with higher costs.

Un patient de 53 ans est admis aux soins intensifs d’un centre hospitalier universitaire dans le cadre d’un epanchement pericardique avec repercussion hemodynamique.

Bei Intoxikationen durch naturliche Umweltsubstanzen erweist sich die Diagnosestellung oft als schwierig. Es gibt keine spezifische Behandlung, doch es mussen besondere Massnahmen in die Wege geleitet werden.

Ce cas montre la difficulte diagnostique en cas d’intoxication par des agents environnementaux naturels. Bien qu’il n’existe pas de traitement specifique, il faut effectuer des traitements particuliers.

Resume Selon les objectifs de couverture vaccinale inscrits dans la loi, les professionnels de sante devraient etre vaccines a 75 % contre la grippe saisonniere. Or, malgre de nombreuses compagnes d’information a destination des professionnels de sante, la France est encore loin de ce resultat. En effet, pour la saison 2018–2019 [1] seuls 35 % des professionnels de sante exercant dans les etablissements de soins etaient vaccines contre la grippe. Alors que l’eventualite de passer par la coercition pour augmenter les taux de vaccination est une solution regulierement evoquee par les pouvoir publics, pouvoir communiquer autrement aupres des personnels soignants pour rappeler l’importance de cette vaccination apparait etre un enjeu essentiel. En effet, les determinants de la vaccination ou de la non vaccination grippale sont nombreux et ont fait l’objet de publications scientifiques. Les personnels soignants ne sont pas exsangues eux aussi de fake-news au sujet du vaccin [2] . Notre Objectif etait de realiser un film d’animation afin de promouvoir d’une maniere originale la vaccination antigrippale des personnels soignants en y expliquant la balance benefices-risques favorable a partir d’une revue de la litterature scientifique et d’aborder l’autodetermination vaccinale des professionnels de sante par une approche bienveillante et optimiste. Ce film [3] s’intitule « Sylvie et le vaccin contre la grippe », il raconte l’histoire d’une infirmiere qui hesite une annee de plus a se faire vacciner contre la grippe. Il a ete deploye au CHU de Nimes et Montpellier pour la campagne vaccinale 2019-2020 et dans plus d’une quinzaine d’etablissement de soin en France et est accessible librement sur le reseau social YOUTUBE. Il a pour ambition d’etre un outil facile d’acces pouvant etre utilise comme campagne d’information « pret a l’emploi » pour ouvrir la discussion sur la vaccination avec des professionnels de sante ou des etudiants qui au contact quotidien avec leurs patients sont plus a risque de contracter et de propager le virus de la grippe [4] .

Introduction La medecine du travail (MT) est une specialite medicale qui connait actuellement un important deficit d’attractivite. Promouvoir cette discipline aupres des etudiants en medecine est un enjeu primordial pour les annees a venir. Aucune donnee dans la litterature n’evalue jusqu’a present la pertinence d’outils de promotion de la MT et leur impact sur le choix futur de specialite. Objectif L’objectif de cette etude etait d’evaluer l’impact d’une video d’information sur la MT aupres des etudiants en medecine francais. Materiel et methode Un film d’animation numerique sur le role des medecins du travail a ete realise et diffuse sur internet ( https://youtu.be/aM6lKtBv-wQ ) par courriel et sur les reseaux sociaux du 28 juin au 29 aout 2017. Une etude avant-apres a ete menee aupres des repondants se declarant etudiants en 4e, 5e et 6e annee de medecine. Un auto-questionnaire en ligne a permis d’evaluer le niveau d’information ressentie concernant la MT et l’evolution induite par le film sur l’interet vis-a-vis de la discipline (0 a 10), l’image nouvellement percue, le souhait d’y realiser un stage d’externe ou de la choisir eventuellement a l’issue de l’ECN. Le critere principal de jugement etait l’amelioration du score d’interet vis-a-vis de la MT (0 a 10). Resultats Sur les 1096 reponses au questionnaire, 623 correspondaient a des etudiants de 4eme, 5eme ou 6eme annee de medecine. Avant visionnage, 78 % des etudiants se disaient peu ou pas informes sur le role du medecin du travail. Apres exposition a la video, plus de la moitie des etudiants (53,3 %) affirmaient avoir une meilleure image de la MT. La note moyenne d’interet (de 0 a 10) attribuee vis-a-vis de la MT augmentait en moyenne de 1,23/10 ± 1,32 passant de 4,5 ± 2,2 a 5,8 ± 1,9 (p Conclusion Cette etude montre qu’une video d’information sur la MT a destination des etudiants en medecine est susceptible d’en ameliorer l’image. Elle tend a mettre egalement en avant la curiosite des etudiants en medecine vis-a-vis de la MT. L’augmentation du nombre de terrains de stage disponibles pourrait etre une piste interessante pour repondre a cette curiosite. D’autres etudes sont necessaires pour confirmer ces resultats.