5 results on '"Taux d'utilisation"'
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2. Improvement in efficiency of fibre utilization by the Canadian forest products industry 1970 to 2010.
- Author
-
Rotherham, Tony and Burrows, John
- Subjects
FOREST products industry ,FIBERS ,PAPER industry ,FOREST management ,FORESTS & forestry ,ECONOMICS - Abstract
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- Published
- 2014
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3. Quelle place pour les aides aux technologies de réduction d'émissions en présence d'un prix du carbone? Le cas du secteur électrique
- Author
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Lecuyer, Oskar, centre international de recherche sur l'environnement et le développement (CIRED), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École des Ponts ParisTech (ENPC)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-AgroParisTech-Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad), Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), and Philippe Quirion(quirion@centre-cired.fr)
- Subjects
Efficacité énergétique ,Renewable energy ,Technology policy ,Mitigation policy ,Policy overlapping ,Interactions ,Coûts actualisés de l'électricité ,Energies renouvelables ,Transition énergétique ,Electricity sector ,Dépréciation ,Climate change mitigation ,Path dependence ,Combinaisons de politiques ,Prix de l'électricité ,Optimal timing ,European Union ,Congestion costs ,Nil CO2 price ,Policy interaction ,Politiques climatiques ,Uncertainty ,Capital vert ,EU-ETS ,Politiques énergétiques ,Atténuation du changement climatique ,[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance ,Energy efficiency ,Politiques technologiques ,Climate policy ,Corner solutions ,Taux d'utilisation ,Incertitude ,Dépendance au sentier ,Electricity price ,Effets de filière ,Energy policy ,Levelized costs - Abstract
Thèse réalisée en collaboration avec EDF R&D, département EFESE.; This thesis contributes to the literature on optimal policy choice. It studies the use of policy combinations to mitigate greenhouse gases emissions from electricity production. One finding applies to cases where uncertainty is such that the risk of a nil carbon price cannot be excluded. A cap on emissions alone may then not trigger enough abatements, justifying the addition of e.g. a renewable subsidy. When considering a transition toward a carbon-free electricity sector, capital accumulation causes complex dynamic effects to happen. We find that decisions taken by comparing the levelized costs of abatement technologies, even including carbon costs, would favor intermediate technologies (e.g. gas plants) to the detriment of more-expensive but lower-carbon technologies (renewable power), leading to a suboptimal investment schedule. This thesis also studies the effects of marginal policy changes in a mix comprising the main French instruments. We find that surprisingly, adding a tariff for renewables financed by a tax on electricity consumption to a cap on emissions and a subsidy for energy efficiency will reduce the consumer electricity price when the non-renewable production is fixed and does not depend on the carbon price. The assessment of the French climate policies in the electricity sector shows that overlapping policies for mitigation may be justified by multiple carbon price failures, even if the ideal long-term policy mix depends on the carbon price trajectory.; Cette thèse étudie les conditions d'efficacité d'un portefeuille de politiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur électrique. Il est montré qu'en présence d'incertitude, le prix du carbone issu d'un marché de permis d'émissions peut ne pas entraîner suffisamment de réductions d'émission, justifiant l'ajout d'une politique au marché de permis, par exemple une subvention renouvelable. Dans le cadre d'une transition vers une production électrique décarbonée, l'accumulation du capital électrique génère des effets dynamiques complexes. Il est montré que l'utilisation naïve du signal-prix du carbone ou de critères statiques pour évaluer les investissements peut alors conduire à un sous-investissement en capital vert. L'effet d'une modification à la marge du portefeuille de politiques actuel est également étudié. Il est montré en particulier que si on suppose une seule technologie de production fossile à taux d'émission constant, contrainte par un plafond d'émissions - donc toutes les réductions d'émissions proviennent des renouvelables - augmenter à la marge le tarif d'achat renouvelable réduit le prix de l'électricité perçu par le consommateur, et ce paradoxalement même si la taxe à la consommation nécessaire pour financer le tarif augmente. Cette thèse réalise enfin une évaluation qualitative du portefeuille actuel de politiques climat-énergie en France. Cet examen montre que les multiples défaillances du prix du carbone justifient l'utilisation d'une combinaison de politiques, même si le portefeuille cible varie en fonction des hypothèses sur les trajectoires du prix du carbone.
- Published
- 2013
4. When should green technology support policies supplement the carbon price? The case of the electricity sector
- Author
-
Lecuyer, Oskar, centre international de recherche sur l'environnement et le développement (CIRED), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École des Ponts ParisTech (ENPC)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-AgroParisTech-Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad), Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), and Philippe Quirion(quirion@centre-cired.fr)
- Subjects
Efficacité énergétique ,Renewable energy ,Technology policy ,Mitigation policy ,Policy overlapping ,Interactions ,Coûts actualisés de l'électricité ,Energies renouvelables ,Transition énergétique ,Electricity sector ,Dépréciation ,Climate change mitigation ,Path dependence ,Combinaisons de politiques ,Prix de l'électricité ,Optimal timing ,European Union ,Congestion costs ,Nil CO2 price ,Policy interaction ,Politiques climatiques ,Uncertainty ,Capital vert ,EU-ETS ,Politiques énergétiques ,Atténuation du changement climatique ,[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance ,Energy efficiency ,Politiques technologiques ,Climate policy ,Corner solutions ,Taux d'utilisation ,Incertitude ,Dépendance au sentier ,Electricity price ,Effets de filière ,Energy policy ,Levelized costs - Abstract
Thèse réalisée en collaboration avec EDF R&D, département EFESE.; This thesis contributes to the literature on optimal policy choice. It studies the use of policy combinations to mitigate greenhouse gases emissions from electricity production. One finding applies to cases where uncertainty is such that the risk of a nil carbon price cannot be excluded. A cap on emissions alone may then not trigger enough abatements, justifying the addition of e.g. a renewable subsidy. When considering a transition toward a carbon-free electricity sector, capital accumulation causes complex dynamic effects to happen. We find that decisions taken by comparing the levelized costs of abatement technologies, even including carbon costs, would favor intermediate technologies (e.g. gas plants) to the detriment of more-expensive but lower-carbon technologies (renewable power), leading to a suboptimal investment schedule. This thesis also studies the effects of marginal policy changes in a mix comprising the main French instruments. We find that surprisingly, adding a tariff for renewables financed by a tax on electricity consumption to a cap on emissions and a subsidy for energy efficiency will reduce the consumer electricity price when the non-renewable production is fixed and does not depend on the carbon price. The assessment of the French climate policies in the electricity sector shows that overlapping policies for mitigation may be justified by multiple carbon price failures, even if the ideal long-term policy mix depends on the carbon price trajectory.; Cette thèse étudie les conditions d'efficacité d'un portefeuille de politiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur électrique. Il est montré qu'en présence d'incertitude, le prix du carbone issu d'un marché de permis d'émissions peut ne pas entraîner suffisamment de réductions d'émission, justifiant l'ajout d'une politique au marché de permis, par exemple une subvention renouvelable. Dans le cadre d'une transition vers une production électrique décarbonée, l'accumulation du capital électrique génère des effets dynamiques complexes. Il est montré que l'utilisation naïve du signal-prix du carbone ou de critères statiques pour évaluer les investissements peut alors conduire à un sous-investissement en capital vert. L'effet d'une modification à la marge du portefeuille de politiques actuel est également étudié. Il est montré en particulier que si on suppose une seule technologie de production fossile à taux d'émission constant, contrainte par un plafond d'émissions - donc toutes les réductions d'émissions proviennent des renouvelables - augmenter à la marge le tarif d'achat renouvelable réduit le prix de l'électricité perçu par le consommateur, et ce paradoxalement même si la taxe à la consommation nécessaire pour financer le tarif augmente. Cette thèse réalise enfin une évaluation qualitative du portefeuille actuel de politiques climat-énergie en France. Cet examen montre que les multiples défaillances du prix du carbone justifient l'utilisation d'une combinaison de politiques, même si le portefeuille cible varie en fonction des hypothèses sur les trajectoires du prix du carbone.
- Published
- 2013
5. What are european union trade preferences worth for sub-saharan african and other developing countries?
- Author
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Fabien Candau, Sébastien Jean, Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA), Economie Publique (ECO-PUB), AgroParisTech-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, Bernard Hoekman (Coordinateur), Will Martin (Coordinateur), and Carlos Alberto Primo Braga (Coordinateur)
- Subjects
AFRIQUE SUBSAHARIENNE ,UTILISATION RATE ,SUBSAHARAN AFRICA ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,VALEUR DES PREFERENCES ,TAUX D'UTILISATION ,PREFERENTIAL TRADE AGREEMENT ,EUROPEAN UNION ,ACCORD PREFERENTIEL ,VALUE OF PREFERENCES - Abstract
International audience; This study shows that EU preferences to developing countries were fairlywell utilised in 2001, especially in sub-Saharan Africa. For severalsub-Saharan African countries, the value of EU tariff preferences, evenwithout accounting for tariff rate quota rents, is worth a significantproportion of their world exports. For non-African Least DevelopedCountries, in contrast, we find that the EBA initiative was onlyhalf-utilised approximately, although it is the only preferential regimeavailable to most of them. It is difficult to reach a firm conclusion since2001 was the first year of enforcement of Everything But Arms (EBA), andfigures for 2002 show utilisation is on the rise, but rules of origin appearto limit significantly the value of this scheme. This also likely explainswhy the Generalised System of Preferences (GSP) scheme is significantlyunder-utilised in the manufacturing sector, even when the receiving countryis not eligible to any other preferential regime.; Ce travail montre que les préférences commerciales accordées par l'UnionEuropéenne aux pays en développement étaient relativement bien utilisées en2001 (dans le sens où les importations éligibles s'effectuaient pour laplupart en demandant effectivement à bénéficier d'un régime préférentiel),en particulier par les pays d'Afrique subsaharienne. Pour plusieurs des cespays, la valeur des préférences tarifaires européennes représentait uneproportion significative de leurs exportations mondiales, même sans tenircompte des contingents tarifaires. Pour les pays les moins avancés nonafricains, en revanche, l'initiative "Tous sauf les armes" n'étaient guèreutilisée que pour la moitié des exportations éligibles, alors qu'il s'agitpour la plupart d'entre eux du seul régime préférentiel auquel ils ontdroit. Il est difficile d'en tirer une conclusion définitive, dans la mesureoù 2001 est l'année de mise en place de cette initiative et où les chiffrespour 2002 montrent une progression de l'utilisation, mais les règlesd'origine paraissent avoir significativement limité la valeur de ce régimepréférentiel. Les règles d'origines expliquent probablement aussi que leSystème généralisé de préférences soit significativement sous-utilisé dans lesecteur manufacturier, même lorsque le pays bénéficiaire n'est éligible àaucun autre régime.
- Published
- 2009
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