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La diffusion des jeux d’argent, avec les formes de « dépendance » qui y sont associées, est un problème très répandu dans la société occidentale en général, et en Italie en particulier, où les espaces et les modes de jeu sont devenus de plus en plus ouverts et accessibles. La recherche que nous présentons concerne l’organisation spatiale des salles de jeu avec des machines à sous dans un contexte territorial spécifique, la Toscane. À travers une approche ethnosémiotique, qui combine l’observation des lieux et des pratiques de jeu et des entretiens avec les joueurs eux-mêmes, la recherche tente de montrer comment la configuration spatiale des lieux de jeu constitue une variable pertinente dans la constitution de ce que l’on peut définir comme la « carrière » du joueur, dans laquelle une approche purement ludique et relativement détachée se traduit progressivement par une passion totalisante. L’organisation de l’espace influence en effet l’expérience du jeu et est à son tour façonnée par les attentes des joueurs qui, après un premier contact avec les machines permis par la chute des frontières dans lesquelles le jeu était relégué, tendent à rechercher des espaces qui leur permettent de s’immerger dans le jeu et de se soustraire au regard d’autrui. Car si le jeu est de plus en plus accepté socialement, il n’en va pas de même pour le joueur qui joue « trop » assidûment.

L’articolo propone una riflessione, condotta con gli strumenti della semiotica, sulla verità e sui suoi travisamenti (maschere, segreti), attraverso l’analisi di un racconto: Doppio sogno (Traumnovelle, 1926) di Arthur Schnitzler. Dopo un excursus su alcune concezioni della verità, derivate sia dal discorso filosofico che dalla prassi quotidiana, l’analisi testuale è volta a mostrare come i processi discorsivi, quali sono messi in scena dal racconto, presentano un ampio intreccio di pratiche “veritative” diverse, quali la constatazione, la confessione, l’inchiesta, la messa alla prova, lo smascheramento, la simulazione e la dissimulazione. Pratiche che sono a loro volta correlate a concezioni e valorizzazioni diverse della verità. Infine, l’articolo si concentra sul ruolo della “maschera”, nei processi di tematizzazione e di attorializzazione, come mezzo di nascondimento e rivelazione.

Le sujet de cet article est la citation en peinture en tant que mode spécifique de la praxis énonciative. En particulier, partant d’un texte de Louis Marin de 1989, l’article se concentre sur certaines œuvres de Jasper Johns qui présentent, avec plus ou moins d’évidence, des références au Polyptyque d’Issenheim de Matthias Grünewald. L’analyse des œuvres nous permet d’avancer quelques hypothèses sur les stratégies énonciatives qui sous-tendent le travail de Jasper Johns.

Partindo de uma detalhada discussão teórica sobre a problemática da figuratividade e do semissimbolismo nos textos literários, com base nos ensaios “Semiótica figurativa e semiótica plástica” de Greimas, publicado em 1984, e “A mitologia comparada”, de 1963, o artigo explora tais ideias na análise, revista e ampliada, de um trecho de Pinóquio, de Carlo Lorenzini (Collodi), para a qual interessam em especial os modos de articulação e de manifestação da dimensão figurativa, bem como os consequentes regimes de significação a partir daí produzidos.

Il contributo intende ripercorrere il ruolo che Omar Calabrese ha avuto nella fondazione della Semiotica dell’arte. Una disciplina che, in Italia, vede la sua nascita a partire dall’ultimo ventennio del secolo scorso e che lo studioso, recentemente scomparso, ha contribuito a delineare con precisione. Il volume La macchina della pittura è sicuramente il suo contributo più innovativo, più sistematico e anc’oggi attuale. All’epoca in cui è stato pubblicato, nel 1985, lanciava una duplice sfida: alla storia dell’arte tradizionale e alla semiotica. Alla prima perché imponeva un altro tipo di sguardo, capace di decifrare il modo in cui attraverso la forma è costruito il senso pittorico. Alla semiotica perché dimostra come la pittura sia in grado di produrre senso e addirittura contenga al suo interno i meccanismi per interpretarla.