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National audience; The authors present a computer program library (fig. 3) to get automatic mapping of the incoming solar radiation on hilly regions. The landscapes are squared into cells or « sectons » of which slope and orientation are determined. The daily irradiation of each « secton is calculated according to processes perfected by PERRIN DE BRICHAMBAUT (1978), but slightly modified to take into account the possible occultation of the sun by relief. The program of the total irradiation reckoning was tested during two years of very different weathers in 9 climatic stations for horizontal areas : 8 in France and the last one in the Guadeloupe (French West Indies). The results are satisfying in general. Furthermore the program was checked on a sloping area, but in a single case (fig. 1), here again, the results are rather good. The program of the cast shadows calculation is being compared with another method. Since the radiation absolute values estimates are satisfying, the radiation variations in terms of topography should be much better.; Les auteurs présentent une bibliothèque de programmes (fig. 3) permettant la cartographie automatique de l’éclairement énergétique d’origine solaire pour une région accidentée. Celle-ci est quadrillée de « sectons » dont on détermine la pente et l’orientation. Pour chacun de ces « sectons » on calcule l’irradiation globale quotidienne selon les procédures mises au point par PERRIN DE BRICHAMBAUT (1978), légèrement modifiées pour tenir compte de l’occultation éventuelle du soleil par le relief. Le programme de calcul d’irradiation globale a été testé, pour deux années climatiquement très différentes, sur 8 stations métropolitaines et une station de la Guadeloupe (Antilles). Les résultats sont satisfaisants. Il n’a pu être testé que pour une seule surface inclinée (fig. 1), mais là encore, les résultats sont encourageants. Le programme de calcul des ombres portées est en cours de confrontation avec une autre méthode. Les estimations des valeurs absolues du rayonnement étant bonnes, les variations du rayonnement en fonction de la topographie doivent être bien meilleures.

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* INRA, URD, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9 Diffusion du document : INRA, URD, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9; National audience

* INRA URD, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9 Diffusion du document : INRA URD, Domaine St Paul, Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9; National audience

Hydrological study of the upper Medjerdah. The regime study of the upper reaches of the Medjerdah (in the framwork of the general studies by the hydrology and climatology section of the S.E.E.) necessitated the construction in 1946-1947 of a gauging-station, level with South-Ahras. The first results of the measurements carried out there did not have any real statistical value because of the relatively short period (5 years) for which they apply. The author has thus been led to re-establish the discharges by a study of the correlation between discharge and precipitation. The precipitation is well known since 1913. This evaluation of the mean discharge — 50 million cubic metres a year for 220 sq. kms. is completed by information of the temperature, the precipitations (duration and intensity), the runoff, the floods and the nature of the waters of the Upper-Medjerdah., L'étude du régime du cours supérieur de la Medjerdah (dans le cadre des études générales de la section hydrologie et climatologie du S.E.S.) a nécessité la construction en 1946-1947 d'une station de jaugeage à hauteur de Souk-Ahras. Les premiers résultats des mesures qui y sont effectuées n'ayant pas de valeur statistique réelle par suite de la période relativement courte (5 ans) sur laquelle ils portent, l'auteur a été amené à rétablir les débits par une étude de la corrélation entre les débits et les précipitations qui, elles, sont relativement bien connues depuis 1913. Cette évaluation du débit moyen — 50 millions de m3 par an pour 200 km2 — est complétée par des renseignements sur la température, les précipitations (importance et intensité), le ruissellement, les crues et la nature des eaux de la Haute-Medjerdah., Samie C. Etude hydrologique de la Haute Medjerdah. In: Pluie, évaporation, filtration et écoulement. Compte rendu des troisièmes journées de l'hydraulique, Alger, 12-14 avril 1954. Tome 1, 1955.

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Experimental "hydraulic balance" for Chott d Ouargla in the Western Sahara. The purpose of an investigation during the past two years has been to find out whether the "chott" (which, like most other Algerian "chotts", can be compared to a complex evaporation mechanism) is fed by underground water, or whether it is part of the degraded Oued Mya hydrographical system in that it provides a return path for runoff from the Ouargla palm grove to the underflow water tables. The "chott’s" hydraulic balance is based on three items : 1) a positive item expressing the inflow from the drains collecting surplus irrigation water from the palm grove, which is supplied both by an artesian well and runoff ; 2) a negative item relating to evaporation losses and 3) the quantity of water drawn off by pumping, also a negative item. If the "chott" is operating as a closed-circuit system, the algebraic sum of these three items should be the same as the change in the volume stored in the "chott". The repeated failure to get the two sides of the "balance sheet" to agree during the past two years appears to show that the "chott" is either feeding or boosting supplies to the underflow water table, especially a series of "sebkhets" in the N’Goussa depression 20 kms north of Ouargla. The existence of a pronounced pressure gradient towards this depression appears to substantiate this theory. The "trial balance" drawn up by the Hydro-logical Section of the Scientific Research Department is presented and its pedological aspect discussed by Mr. P. Dutil, who is a member of the Pedological Section of that Department., L'étude entreprise depuis deux ans visait à s'assurer, soit de l'alimentation souterraine du chott qui fonctionnait alors comme la majeure partie des chotts algériens en machine évaporatoire complexe, soit de son appartenance à l'ensemble hydrographique dégénéré de l'Oued Mya en permettant aux eaux de ruissellement de la palmeraie d'Ouargla de retourner aux nappes d'inféro-flux. Le rapport présente le bilan du chott à partir de trois postes : le premier, positif chiffre l'apport des drains recueillant le surplus des eaux d'irrigation de la palmeraie alimenté par un forage artésien et les eaux de ruissellement ; le second, négatif concerne les pertes par évaporation et le dernier, également négatif, est celui des prélèvements par pompage. La somme algébrique de ces trois postes du bilan doit, si le chott travaille en circuit fermé, correspondre à la variation du volume emmagasiné dans le chott. L'impossibilité où l'on se trouve depuis deux ans de fermer ce bilan par excès montre que le chott alimente, ou suralimente, la nappe d'inféro-flux et en particulier une série de sebkhet dans la dépression de N'Goussa à une vingtaine de kilomètres au N d'Ouargla ; l'existence d'une pente piézométrique importante vers cette dépression semble confirmer cette hypothèse. L'essai de bilan de la Section Hydrologie du S.E.S. est présenté et commenté du point de vue pédologique par M. P. Dutil (Section Pédologie du S.E.S.)., Dutil Pierre, Samie C. Essai de bilan hydrologique du chott d’Ouargla (Sahara occidental). In: L'hydraulique souterraine. Compte rendu des sixièmes journées de l'hydraulique, Nancy, 28-30 juin 1960. Tome 2, 1961.