Search

Following a request from the European Commission, EFSA was asked to deliver a new scientific opinion on the coccidiostat halofuginone hydrobromide (STENOROL®) when used as a feed additive for chickens for fattening and turkeys for fattening/reared for breeding. The Panel on Additives and Products or Substances used in Animal Feed (FEEDAP) concludes that the safety for turkeys for fattening established in its previous opinion can be extended to turkeys for breeding up to 12 weeks of age. Based on the new data provided on the safety for consumer, environment and efficacy, the Panel updates its previous conclusions as follows: halofuginone hydrobromide is not genotoxic. Applying an uncertainty factor of 100 to the lowest no observed adverse effect level (NOAEL) of 0.03 mg/kg body weight (bw) per day, an acceptable daily intake (ADI) of 0.3 μg halofuginone/kg bw is established. The chronic exposure of consumers to residues of halofuginone would amount to 6–19% of the ADI after 3 days of withdrawal. Therefore, the Panel considers that the additive is safe for the consumer of tissues obtained from chickens for fattening and turkeys for fattening fed the additive at a maximum level of 3 mg/kg complete feed at a 3-day withdrawal time. For control purposes, the Panel recommends the setting of the following maximum residue limits (MRLs): liver, 50 μg/kg; kidney, 40 μg/kg; muscle, 3 μg/kg; skin/fat, 10 μg/kg wet tissue. Based on an updated environmental risk assessment, no concern for groundwater is expected. Halofuginone is unlikely to bioaccumulate and the risk of secondary poisoning is not likely to occur. No safety concerns are expected for terrestrial and aquatic environments. The additive has the potential to control coccidiosis in chickens for fattening and turkeys for fattening/reared for breeding up to 12 weeks of age at a minimum level of 2 mg/kg complete feed.

L-Methionine, feed grade, is a feed additive produced by two genetically modified Escherichia coli strains. Neither the production strains nor their recombinant DNA were detected in the final product; thus, no safety concerns are associated with the genetic modification of the production strains. The L-methionine produced by such E. coli strains is safe for the target animals when used as a feed additive to meet their requirements. The FEEDAP Panel has concerns over the safety of L-methionine for the target species when administered via water for drinking since any additional supply of an essential amino acid would disturb the balanced amino acid profile of complete diets. There are no safety concerns for the consumer associated with the use of L-methionine in animal nutrition. The additive L-methionine was demonstrated to be without irritant or dermal sensitising properties. Although no data on dusting potential were provided, the FEEDAP Panel considers it unlikely that the user will be exposed to significant amounts of L-methionine by inhalation. L-Methionine is a natural constituent of plants and animals. Its use in animal nutrition does not represent a risk to the environment. The additive L-methionine is considered an efficacious source of the amino acid L-methionine for all animal species.

L-Valine is a feed additive produced by a genetically modified strain of Corynebacterium glutamicum. Neither the production strain nor its recombinant DNA was found in the final product. The final product does not raise any safety concern with regard to the genetic modifications. L-Valine is safe for all target animals when added in appropriate amounts to diets. However, the FEEDAP Panel has concerns over the safety of L-valine for target species when administered via water for drinking since any additional supply of an essential amino acid would disturb the balanced amino acid pattern of complete diets. When used in animal nutrition, L-valine will be incorporated into the protein of the body of the target animal, and any potential excess will be metabolised and excreted. Considering the high purity of the product under assessment, and the lack of toxicological effects at likely use levels, no risks are expected for the consumer from the use L-valine as a feed additive. The L-valine produced by such strain of C. glutamicum has been shown not to be an irritant or a dermal sensitiser. The results of an acute inhalation study performed at high concentration show no evidence of significant acute toxicity by this route. Exposure of users by inhalation cannot be excluded. L-Valine is a natural constituent of plants and animals. Its use in animal nutrition does not represent a risk to the environment. L-Valine is efficacious as a supplemented amino acid to maintain or restore the adequate balance of amino acids for animal nutrition. A response in ruminants requires some degree of protection of L-valine from ruminal degradation.

Changes in serum low molecular weight proteins from DL-PCB contaminated heifers

National audience; L'activité agricole est en interaction avec d'autres activités anthropiques potentiellement émettrices de Polluants Organiques Persistants (POP). Ces molécules posent des problèmes de transfert dans la chaîne alimentaire, notamment vers les produits animaux. Les POP sont caractérisés par une forte rémanence, une volatilité élevée et une lipophilicité marquée entranant leur accumulation potentielle dans les tissus adipeux. Ce groupe de molécules potentiellement toxiques pour l'homme et l'environnement fait l'objet d'une attention internationale. L'objectif de cette synthèse est d'aborder le devenir de trois familles de composés POP, de type hydrocarbures polycycliques : les dioxines-furanes (PCDD/F), les polychlorobiphényls (PCB) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Les résultats de recherche montrent une contamination significative des fourrages situés en zones exposées aux polluants par comparaison avec des zones isolées. Ils mettent également en évidence un transfert différentiel de ces molécules toxiques vers les matrices biologiques dont le lait.

National audience; L'activité agricole est en interaction avec d'autres activités anthropiques potentiellement émettrices de produits polluants dont fait partie le groupe des POPs (Polluants Organiques Persistants). Ces molécules posent des problèmes de transfert dans la chaîne alimentaire, notamment dans les produits animaux. Les POPs sont caractérisés par une forte rémanence, une volatilité élevée et une lipophilicité marquée entraînant leur accumulation potentielle dans les tissus adipeux. Ce groupe de molécules fait l'objet d'une attention internationale pour organiser le suivi et l'information concernant ces produits potentiellement toxiques pour l'homme et l'environnement. L'objectif de cette synthèse est d'aborder le devenir de trois familles de composés POPs, de type hydrocarbures polycycliques : les dioxines-furanes (PCDD/F), les polychlorobiphényls (PCB) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Les résultats de recherche montrent une contamination significative des fourrages situés en zones exposées aux polluants par comparaison avec des zones isolées. Ils mettent également en évidence un transfert différentiel de ces molécules toxiques vers les matrices biologiques dont le lait.

Les activités anthropiques (voies routières, usines à gaz de ville, aciérie) génèrent des polluants organiques persistants qui saccumulent dans l'environnement. Bien que les émissions soient localisées, la volatilité de ces molécules augmente les surfaces affectées (dépôt possibles à plusieurs dizaines de kilomètres) et les niveaux de contamination dans l'environnement (de l'ordre du microgramme par gramme de matière sèche). Les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont une classe de molécules organiques générées par les activités humaines. Le caractère cancérigène de certains composés en fait une famille de molécules très étudiée de par les risques toxicologiques quelle présente pour l'environnement et la santé humaine. L'homme, dernier maillon de la chaîne alimentaire, est susceptible d'accumuler ces molécules lipophiles à la suite d'ingestion quotidienne d'aliments contaminés, même faiblement. Au LSA, dont la sécurité des aliments (les produits laitiers en particulier) est l'une des thématiques de recherche, le transfert des HAP de l'aliment au lait est étudié. Les niveaux de contamination dans l'environnement étant connus, les quantités de HAP ingérées par des ruminants via l'herbe et le sol ont été estimées. Une expérimentation visant à déterminer la biodisponibilité des HAP du sol ainsi que le coefficient de transfert de ces molécules du sol au lait chez les vaches laitières a donc été mise en place. Le dispositif expérimental mis en oeuvre reposait sur l'utilisation de ruminants laitiers. Une quantité connue de sol a été contaminée artificiellement avec 6 molécules à des doses proches des valeurs rencontrées dans les sols analysés précédemment. Ce sol a été donné à hauteur de 500 grammes par jour (quantité moyenne ingérée quotidiennement au pâturage) à des vaches laitières sur une période de 21 jours. Le lait collecté régulièrement a été analysé : le dosage des molécules natives ainsi que de leurmétabolites (issus des molécules natives) a été fait par CG-SM sur le lait entier. Les teneurs en HAP natifs dans le lait n'ont pas augmenté par rapport à la concentration initiale dans le lait durant l'exposition chronique. En revanche, il y a une apparition de métabolites (non détectés en conditions initiales) dans le lait dès le 3e jour d'apport de sol. Bien qu'il n'y ait pasd'augmentation de la concentration an HAP dans le lait, l'apparition de ces métabolites montre une désorption des molécules du sol qui sont alors disponibles pour l'organisme

International audience

International audience

International audience

International audience

International audience

International audience

1. Three experiments were conducted to evaluate the effects of the dietary addition of fungal phytase (derived from Aspergillus niger) on the performance and phosphorus utilisation in broiler chickens receiving low phosphorus diets without additional inorganic phosphates. 2. Graded amounts of supplemental phytase (125, 250, or 500 PU/kg diet) resulted in significant increases in both growth rate and food intake. However, only moderate improvements in food conversion were noted. 3. The enhancement of chick performance was related to an improved utilisation of dietary phosphorus, as confirmed by significantly elevated plasma concentrations of inorganic phosphorus and increased tibia ash percentages in birds receiving phytase-treated diets. The apparent availability of phosphorus was markedly improved and its concentration in excreta was reduced (experiment 1, P < 0.05). 4. It was concluded that an inclusion of phytase into practical broiler diet will allow the reduction or omission of additional dietary inorganic phosphorus.