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L’éducation est actuellement un des sujets de discussion des plus fréquents partout dans le monde. Elle est, décidemment, la base de toute société selon plusieurs penseurs. C’est pourquoi nous avons consacré notre TFG à rédiger une étude comparative des deux systèmes à première vue similaires, mais qui, en réalité, présente une diversité énorme. C’est les cas de la France et l’Espagne. En effet, ce travail est l’objet d’une analyse minutieuse de plusieurs facteurs qui ont une certaine incidence sur la constitution des deux systèmes éducatifs. Ainsi, les conjonctures politiques, financières, sociales et religieuses font partie de ces éléments avec une emprise remarquable. Les valeurs de la République (liberté, égalité, fraternité et laïcité) octroient à l’Hexagone un caractère particulier qui a des conséquences importantes dans le domaine de l’éducation. La France cherche à offrir une éducation similaire à ces citoyens, ce qui se réalise à l’aide d’un processus centralisateur qui caractérise également le système français. Contrairement à cela, le cas de l’Espagne montre une diversité entre les régions qui implique un processus de décentralisation afin d’adapter l’enjeu éducatif aux besoins particuliers de chaque « Comunidad Autónoma ». En outre, l’Espagne est enracinée sur la religion catholique, ce qui a pour conséquence l’existence de nombreux établissements scolaires privés ou « privado-concertados ». De même, l’importance accordée aux langues est un sujet que nous traitons dans notre travail, étant donné le rôle majeur qu’elles jouent dans le panorama actuel et sa prolifération dans le monde de l’éducation. Ces traits caractéristiques constituent, avec d’autres facteurs, le point de départ de notre étude, dans lequel nous tentons de mettre en lumière les aspects les plus pertinents de chaque système éducatif.

The mandate of the Task Force on Valuation of Foreign Direct Investment (FDI) Positions was to review the methods to value direct investment positions stated in Annex III of the Guideline ECB/2011/23 on External Statistics. In particular, the work of the Task Force was focused on reviewing recent developments that may justify amendments to the current method and assessing whether new methods to be applied in the national contributions to the euro area aggregate would lead to a more reliable international investment position (i.i.p.), in particular by increasing the consistency in the valuation of FDI assets and liabilities. The report concluded that in some cases where the use of own funds at book value (OFBV) data would lead to significant biases in the national net i.i.p., other valuation methods than OFBV could be used, adding that national compilers shall exchange information on those positions with the other relevant Member State(s). National compilers should then consider, on a case-bycase basis, adjusting the valuation of those positions in order to strive for a consistent recording of these investments by counterpart EU countries. The Task Force’s final report was considered and approved by the Working Group on External Statistics at its meeting on 30 and 31 October 2012.