The yield strengths of nominally dry Westerly granite, Enfield aplite, and Hale albite rock show a positive pressure dependence at temperatures of 250 to 800° C, over the range of pressures of 5 to 15 kbar, for deformation at a constant strain rate of 3 x 10-6/sec. However, at 900° C all three rock types show an inversion of this pressure dependence, and samples deformed at higher pressures have lower yield strengths. For quartzites this inversion of the pressure dependence occurs at a somewhat lower temperature, roughly 750° C. Optical and transmission electron microscope (TEM) observations indicate that for the lower temperature samples which have a positive pressure dependence of their yield strength, dislocation mobility is limited and microcracking has contributed to the deformation. For the higher temperature samples which have a negative pressure dependence of their yield strength, through-going faults occur at 5 kbar but not at 10 or 15 kbar. In addition, there appears to be evidence of more recovery in the higher pressure samples. This inversion of the pressure dependence of the yield strength may result from a pressure dependence of hydrolytic weakening. The critical weakening temperature is known to depend on the water concentration within the crystal structure, and it appears that the equilibrium concentration of water within the structure, as well as the rate of exchange, may increase with increasing pressure. If so, then 900° C may be above the weakening temperature for quartz and feldspar for the amount of water which is made soluble in the crystal structure (and which diffuses in from the grain boundaries) by 1 5 kbar confining pressure, but below the weakening temperature for the amount of water which is made soluble in the structure by 5 kbar confining pressure., La limite élastique macroscopique du granite de Westerly, de l'aplite d'Enfield et de l'albitite de Haie, nominalement secs, augmente avec la pression entre 5 et 15 kbar pour des températures de 250 à 800° C et une vitesse de déformation constante de 3 x 10-6 s-1. Cependant à 900° C, ces trois roches exhibaient une dépendance en pression de la limite élastique en sens inverse et les specimens déformés à haute pression ont une limite élastique plus faible. Pour les quartzites, cette inversion de la dépendance en pression se produit à une température légèrement inférieure voisine de 750° C. Les observations en microscopie électronique par transmission révèlent que la microfissuration a contribué à la déformation des échantillons à basse température qui ont une limite élastique croissante avec la pression. Pour les échantillons déformés à haute température dont la limite élastique décroît lorsque la pression augmente, la microfissuration se produit à 5 kbar mais pas à 10 ou 15 kbar. Cette inversion de la dépendance en pression de la limite élastique peut résulter d'une dépendance en pression de l'adoucissement hydrolytique. On sait que la température critique d'adoucissement dépend de la concentration en eau dans le cristal et il semble que la solubilité de l'eau dans la structure ainsi que la cinétique de dissolution augmente avec la pression. Si tel est le cas, 900° C peut être supérieur à la température d'adoucissement du quartz et du feldspath pour la quantité d'eau qui peut entrer en solution à partir des joints de grains à une pression de confinement de 15 kbar mais inférieur à la température d'adoucissement pour la quantité d'eau qui peut entrer en solution à une pression de confinement de 5 kbar., Tullis Jan, Shelton Glen L., Yund Richard A. Pressure dependence of rock strength : implications for hydrolytic weakening. In: Bulletin de Minéralogie, volume 102, 2-3, 1979. Mécanismes de déformation des minéraux et des roches.