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The authors would like to thank Mexbrain for providing the cerebrospinal fluid.; International audience; During last decade, special focus has been laid on ultrasmall nanoparticles for nanomedicine and eventual clinical translation. To achieve such translation, a lot of challenges have to be solved. Among them, size determination is a particularly tricky one. In this aim, we have developed a simple hyphenation between Taylor dispersion analysis and ICP-MS. This method was proven to allow the determination of the hydrodynamic radius of metal-containing nanoparticles, even for sizes under 5 nm, with a relative standard deviation below 10% (with a 95% confidence interval) and at low concentrations. Moreover, its specificity provides the opportunity to perform measurements in complex biological media. This was applied to the characterization of an ultrasmall gadolinium-containing nanoparticle, used as theranostic agent in cancer diseases. Hydrodynamic radii measured in urine, cerebrospinal fluid and undiluted serum demonstrated the absence of interaction between the particle and biological compounds such as proteins.

Institut de Chimie CNRS action convergence; National audience

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International audience; There is a need to determine time-weighted average concentrations of polar contaminants such as pesticides by passive sampling in environmental waters. Calibration data for silicone rubber (SR)-based passive samplers are lacking for this class of compounds. The calibration data, sampling rate (Rs) and partition coefficient between SR and water (Ksw) were precisely determined for 23 pesticides and 13 candidate performance reference compounds (PRCs) in a laboratory calibration system over 14 d for two water flow velocities, 5 cm s-1 and 20 cm s-1. Results showed that an in situ exposure duration of 7 d left a SR rod passive sampler configuration in the linear or curvilinear uptake period for 19 of the pesticides studied. A change in the transport mechanism from polymer control to water boundary layer control was observed for pesticides with a log Ksw of around 3.3. The PRC candidates were not fully relevant to correct the impact of water flow velocity on Rs. We therefore propose an alternative method based on an overall resistance to mass transfer model to adjust Rs from laboratory experiments to in situ hydrodynamic conditions. We estimated diffusion coefficients (Ds) and thickness of water boundary layer (δw) as adjustable model parameters. Log Ds values ranged from

best oral presentation award; International audience

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International audience; Hydrophilic interaction LC was investigated in hydro-organic and nonaqueous elution modes on a titania column by using a set of N-methyl xanthines as neutral polar probes. To get information regarding the mechanisms that are behind the discrimination of these analytes in hydrophilic interaction, we focused our study on the type and amount of organic modifier as a critical yet rarely explored mobile phase parameter. Several alcohols such as methanol, ethanol, and isopropanol were studied as substitutes to acetonitrile in hydro-organic elution mode. Compared to silica, the investigation of the eluotropic series of these alcohols on titania highlighted a different implication in the retention mechanism of the xanthine derivatives. At low amounts of protic solvents, the adsorption mainly characterized the retention of analytes on bare silica; whereas mixed interactions including adsorption and ligand exchange were identified on native titania. To investigate the peculiar behavior of alcohols on the metal oxide, methanol, ethanol, and ethylene glycol were tested in replacement of water in polar-organic elution mode. Distinctive effects on the chromatographic retention and selectivity of xanthines were noticed for the dihydric alcohol, which was found to be a stronger eluting component than water on titania.

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communication à vocation pédagogique; National audience; Avec le développement des techniques instrumentales permettant d'identifier et de quantifier des espèces chimiques à des niveaux de c oncentration de plus en plus bas dans des matrices de plus en plus complexes, le choix de la technique analytique devient de plus en plus difficile. En effet, ce choix est basé sur de nombr eux critères, et ces critères doivent être soigneusement définis avec le demandeur d'analyse d e façon à fournir une réponse qui soit parfaitement adaptée aux attentes de ce demandeur. Si à chacun des niveaux de formation, les étudiants disposent d'un niveau de connaissance sur les techniques que l'on peut estimer comme suff isant, ils sont souvent très désorientés par la nécessaire relation qui doit s'instituer avec le cl ient afin de définir précisément tous les éléments qui conduiront à la satisfaction de celui-ci ainsi que celle du laboratoire d'analyse. Pour développer ces compétences, les approches par étude de cas se révè lent très pertinentes et peuvent être menées au travers de projets, mais une première prise de cons cience est toutefois nécessaire avant que l'étudiant soit confronté à la situation réelle. No us présenterons ici la méthodologie utilisée au cou rs de l'école d'été du consortium d'universités " Meas urement Science in Chemistry " pour des étudiants entrant dans un master dédié à l'analyse physico-chimique. Plusieurs situations-problèmes sont proposées aux é tudiants par petits groupes et ils doivent proposer une méthodologie pour répondre au besoin d u client. Différentes situations permettent de faire émerger des points critiques sur lesquels il sera nécessaire d'être attentif lors des interactio ns futures avec un demandeur. La synthèse de ces ateli ers est réalisée de façon participative, pour créer une carte conceptuelle globale des points clefs lié s à l'interaction entre le client et le laboratoire d'analyse. Forts de cette expérience, les étudiants intègrent plus facilement les contraintes propres à la demande client et fournissent une réponse en adéqua tion avec le besoin.

communication à vocation pédagogique; National audience; Une réaction peut s'arrêter parce qu'un réactif a totalement disparu, mais certaines réactions chimiques s'arrêtent aussi alors qu'il reste des qu antités appréciables de tous les réactifs dans le système. Pour introduire cette problématique dans l 'enseignement des sciences physiques, une approche pédagogique basée sur un passage du modèle de la réaction totale à celui de l'équilibre chimique a été mise en œuvre dans les enseignements du lycée au cours des années précédentes et elle apportait une continuité dans la complexité de s systèmes étudiés. Dans le nouveau programme du lycée [1], le mot équilibre n'apparait plus qu'u ne seule fois, associé à la réaction chimique par échange de proton, et sous la terminologie " notion d'équilibre ". Il va donc maintenant revenir à l'université la nécessité d'introduire la notion d' équilibre chimique auprès des étudiants scientifiques. Si nous regardons les approches que l'on retrouve a ctuellement dans l'enseignement supérieur et dans les ouvrages qui font référence à l'équilibre, l'introduction de l'équilibre est réalisée par une approche thermodynamique ou cinéti que, et bien souvent les exemples choisis font référence à des réactions en phase gazeuse, des réa ctions entre gaz et solide, avant de traiter le cas des solutions aqueuses. Mais l'exemple le plus util isé reste celui de l'estérification que l'on présentait aussi au lycée. Le principal reproche qu e l'on peut faire vis-à-vis de ces approches réside dans le fait qu'elles abordent l'équilibre de façon très conceptuelle. Dans le cas de l'estérification , s'il est possible de déterminer la quantité d'acide , d'alcool, d'ester et d'eau dans un mélange réactionnel, il n'en demeure pas moins que l'impact de la modification des conditions expérimentales ne peut être évalué que par des mesu res compliquées à mettre en œuvre en première année. Alors pourquoi ne pas changer d'approche, traiter d irectement des équilibres en solution aqueuse et travailler sur un système qui exploite l es propriétés spectrophotométriques des solutions, propriétés largement utilisées par les bacheliers ? En solution aqueuse, la réaction entre les ions fer (III) et les ions thiocyanate conduit à la formation d'un complexe thiocyanatofer(III) de coul eur rouge avec une constante de formation voisine de 500 [2]. Un mélange de 40 mL d'une solut ion de thiocyanate de potassium 2.10 -3 mol.L -1 et de 60 mL d'une solution de nitrate de fer(III) 2 .10 -3 mol.L -1 présente à 460 nm une absorbance proche de 0,8. Cette solution aqueuse est le point de départ de nombreux échanges avec les étudiants. Que ce passera-t-il si on rajoute quelqu es cristaux de thiocyanate de potassium ? Que ce passera-t-il si on rajoute quelques cristaux de nit rate de fer(III) ? Que se passera-t-il si on dilue la solution par 2 ? Comment préparer une solution cont enant une quantité connue de complexe ? Comment expliquer que l'absorbance diminue si on aj oute de l'EDTA dans la solution ? Cette expérience permet à l'étudiant de manipuler, de voir, de mesurer, de remettre en questionnement ses connaissances initialement basée sur la réaction totale. Alors pourquoi ne pas l'utiliser plus largement ?

communication à vocation pédagogique; National audience; Avant toute réalisation expérimentale, les étudian ts doivent s'intéresser aux risques inhérents à l'utilisation des produits chimiques. P our ceci, les informations présentes sur les étiquettes des flacons de produits commerciaux sont forts riches ; le règlement CLP relatif à la classification, à l'étiquetage et à l'emballage des substances chimiques et des mélanges, a entrainé une évolution substantielle de cet étiquetage. Il n 'en demeure pas moins qu'à ce jour les étudiants rencontrent de nombreuses difficultés à accéder à t oute l'information pertinente dans les laboratoires d'enseignement ou pendant la préparati on des travaux pratiques. Par exemple, les fiches de données toxicologiques et les fiches de d onnées de sécurité ne sont accessibles que sous un format papier au sein d'une bibliothèque interne du laboratoire d'enseignement. Partant de ce constat, nous avons décidé de dévelo pper l'accessibilité de l'information sur un site web dédié via des terminaux mobiles et des QR code. Un QR code est un type de code barre en deux dimensions qui contient une information per mettant de naviguer sur un site web, déclencher un appel téléphonique, envoyer un courri el, montrer un point géographique... Un QR code est lisible par de nombreux téléphones portabl es ou tablettes (sous Android, Bada, Blackberry OS, iOS, Linux, Symbian OS, Windows phone...) via l 'installation d'une simple application gratuite. Pour chaque produit présent dans le laboratoire d' enseignement, un QR code a été créé. La lecture du QR code conduit sur la fiche du produit contenant le nom du produit, sa formule semi-développée, les pictogrammes de sécurité, les phrases de danger, les phrases de prévention, la fi che de données de sécurité, la fiche toxicologique, et un lien vers la base de don nées du NIST. Cette image est actuellement positionnée sur les fascicules, sur le s bouteilles des produits... Toutes ces informations peuvent aussi être retrait ées pour retrouver par exemple tous les produits qui nécessitent le port d'un équipement de protection respiratoire.

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