In an effort to study genome diversity within and between the Indian biotypes of the Asian rice gall midge, Orseolia oryzae, a major insect pest of rice, we made use of mariner transposable element integration site polymorphisms. Using degenerate primers, the design of which is based on mariner sequences, we amplified a ca. 450 bp mariner sequence from the rice gall midge. The mariner sequence showed homology with that of a mariner element isolated from the Hessian fly, Mayetiola destructor, a major dipteran pest of wheat. Southern hybridization, using this mariner fragment as a probe, revealed that the mariner elements are moderately to highly repetitive in the rice gall midge genome. Based on the sequence information of this 450-bp PCR-amplified fragment, outward-directed primers were designed and used in an inverse PCR (iPCR) to amplify the DNA flanking the conserved regions. To study the regions flanking the mariner integration sites, we employed a novel PCR-based approach: a combination of sequence specific amplification polymorphism (SSAP) and amplified fragment length polymorphism (AFLP). The outward-directed mariner-specific primer was used in combination with adapter-specific primers with 1–3 selective nucleotides at their 3' ends. The amplification products were resolved on an agarose gel, Southern-transferred onto nylon membranes, and probed with the iPCR fragment. Results revealed biotype-specific polymorphisms in the regions flanking the mariner integration sites, suggesting that mariner elements in the rice gall midge may be fixed in a biotype-specific manner. The implications of these results are discussed in the context of biotype differentiation.Key words: DNA fingerprinting, inverse PCR (iPCR), Oryza sativa, rice pest, transposon.Afin d'étudier la diversité génomique parmi et entre les biotypes indiens de la mouche des galles du riz (Orseolia oryzae), un ravageur important du riz, les auteurs ont exploité le polymorphisme au niveau des sites d'intégration des éléments transposables mariner. Des amorces dégénérées, inspirées de la séquence d'éléments mariner, ont permis d'amplifier une séquence d'environ 450 pb d'un élément mariner chez la mouche des galles du riz. Cette séquence mariner montrait de l'homologie avec l'élément mariner identifié chez la mouche de Hesse, Mayetiola destructor, un important diptère ravageur chez le blé. Une hybridation Southern, réalisée avec le fragment mariner comme sonde, a révélé qu'il s'agit d'une séquence modérément à fortement répétée au sein du génome de la mouche des galles du riz. En s'appuyant sur la séquence de l'amplicon de 450 pb, des amorces dirigées vers l'extérieur de l'élément ont été synthétisées et employées en PCR inverse (iPCR) afin d'amplifier les séquences d'ADN adjacentes aux régions conservées. Afin d'étudier les séquences adjacentes aux sites d'intégration des éléments mariner, les auteurs ont employé une nouvelle technique PCR, une combinaison des techniques SSAP (« sequence specific amplification polymorphism ») et AFLP (« amplified fragment length polymorphism »). L'amorce spécifique de l'élément mariner, et dirigée vers l'extérieur de celui-ci, a été utilisée en combinaison avec des amorces spécifiques à des adaptateurs et munies de 1–3 bases sélectives à leur extrémité 3'. Les amplicons ont été séparés sur gel d'agarose, transférés sur des membranes de nylon et hybridés avec le fragment d'iPCR. Les résultats ont révélé des polymorphismes spécifiques de biotypes dans les régions adjacentes aux sites d'intégration des élémets mariner. Cela suggérerait que les éléments mariner chez la mouche des galles du riz pourraient être fixés au sein des divers biotypes. Les implications de ces résultats sont discutées dans le contexte de la différenciation des biotypes.Mots clés : empreintes génétiques, PCR inverse (iPCR), Oryza sativa, ravageurs du riz, transposon.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]