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International audience; Objectif : Le but de cette étude était d’analyser l’impact d’une tâche cognitive exigeante, suscep- tible de provoquer une fatigue mentale, sur une performance physique sous maximale réalisée à une perception d’effort constante (modèle de la perception de l’effort produite). Méthode : Après une séance de familiarisation, 12 adultes en bonne santé et physiquement actifs ont effectué une tâche cognitive d’une heure impliquant le processus d’inhibition de la réponse (tâche Stroop) ou une tâche contrôle (visualisation d’un documentaire émotionnellement neutre), suivie de 20 minutes de pédalage sur un ergocycle à une perception d’effort constante tout en mesurant les fonctions cardiorespiratoires et neuromusculaires. L’humeur, la charge de travail et la motivation ont été mesurées avant et après la tâche cognitive et avant et après l’exercice physique aux cours de chaque session. Résultats : La tâche de Stroop induit des sensations subjectives de fatigue mentale qui ont été confirmées par la demande mentale supérieure exprimée par les sujets dans les questionnaires par rapport à la tâche contrôle (La vigueur post-tâche de Stroop : 3.92±2.61 - post-tâche contrôle : 5.67±3.26; p\textless0.05, la charge de travail subjective post-tâche de Stroop : 58.61±14.57 - post-tâche contrôle : 32.5±10.1; p\textless0.05). Cette fatigue mentale n’a pas eu d’effet sur la perception d’effort produite auto-imposée et n’a pas affecté ni les fonctions cardiorespiratoires (La fréquence cardiaque session Stroop : 134.16±23.9 bpm – session vidéo : 131.83±20.48 bpm; p\textgreater0.05, la consommation d’oxygène session Stroop : 29.54±10.6 ml.min

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International audience; Introduction : En cyclisme, la distance médio-latérale entre les deux pieds est une variable très peu explorée et souvent négligée (1). Un écartement des pieds non-adapté à la morphologie de l’individu pourrait néanmoins être responsable de pathologies et d’une baisse de performance par un mauvais alignement hanche/genou/cheville (2). L’objectif de cette étude était de mesurer l’impact de la modi- fication de l’écartement des pieds lors du pédalage sur des variables physiologiques et subjectives. Méthode : Vingt-deux cyclistes de différentes morphologies (23±12 ans; 1,72±0.11 m; 67±14 kg) se sont portés volontaires pour cette expérimentation. Les participants ont effectué dans un ordre aléatoire 4 exercices de pédalage de 8 min espacés de 6 min sur un vélo de route monté sur un ergomètre Cyclus 2® (RBM elektronik-automation GmbH, Leipzig, Germany) à 60% de la PMA et à une cadence de pédalage libre (mais identique pour les 4 exercices). L’écartement médio-latéral des pieds était augmenté de +2cm, +4cm et +6cm par rapport à l’écartement le plus faible (15cm) en modifiant la longueur d’axe des pédales. Les échanges gazeux (VO2 et VCO2) ont été collectés avec un Metamax Metalizer® (Cortex Biophysik GmbH, Leipzig, Germany) afin de mesurer le rendement énergétique brut. A la fin de chaque exercice, les sujets devaient indiquer leur perception subjective du confort et de la difficulté de l’effort (Borg-RPE-Scale). L’analyse statistique a été réalisée à partir d’Anova à mesures répétées ou de tests de Friedman si l’hypothèse de normalité n’était pas acceptable. Résultats : Le rendement énergétique brut était supérieur avec l’écartement minimal comparé aux conditions +2cm et +6cm (p\textless0,05) tandis que la perception de l’effort était accrue avec l’écartement maximal comparé aux 3 autres conditions (p\textless0,05). La perception du confort était détériorée avec un écartement de +4cm et de +6cm (p\textless0,05). Conclusion : Cette étude confirme les résultats de Disley et Li (1, 2) qui avaient montré une amélio- ration du rendement énergétique brut avec un écartement médio-latéral minimal. Cela se traduit par une perception de difficulté supérieure lorsque l’écartement est plus important. En revanche, l’altéra- tion du confort lorsque l’écartement augmente n’avait à notre connaissance jamais été mis en évidence. Ces résultats suggèrent qu’il est préférable d’utiliser un écartement médio-latéral réduit pour optimiser la performance et le confort en cyclisme.

International audience; Dans le cadre de la mise en place du nouveau « Plan National d’Identification des Talents », la Fédération Française de Cyclisme souhaite tester et valider de nouveaux outils à utiliser lors de ses protocoles de tests, pour la détection et pour le suivi longitudinal des meilleurs cyclistes français. L’objectif de la présente étude est de tester un capteur accélérométrique (BEAST, Beast Technologies S.r.l., Italie) comme outil d’évaluation de la performance d’extension des membres inférieurs lors de sauts verticaux à poids de corps. Dix sujets (26,1 ±6,3 ans ; 1,77 ±0,7 m ; 70,1 ±9,6 kg ; 22,2 ±2,2 IMC) ont participé volontairement à cette étude. Le capteur BEAST (50 Hz) a été comparé à un OptoJump (MicroGate, 1000 Hz) et une plateforme de force OR6-7-2000 (AMTI, 2000 Hz). Après un échauffement adapté, chaque sujet a réalisé 10 squat jumps (SJ) suivis de 10 countermovement jumps (CMJ) suivis de 10 CMJ bras libres (CMJb). Les hauteurs des sauts ont été calculées (à partir du pic de vitesse, BEAST; à partir du temps de suspension, AMTI et OptoJump) puis comparées (tests de Wilcoxon, corrélations linéaires et ICC). Une différence significative a été observée pour chaque type de saut entre le BEAST et l’OptoJump et pour les CMJ et CMJb entre le BEAST et la plateforme. Le coefficient de corrélation (tous sauts regroupés) est de 0,79 entre le BEAST et l’OptoJump et de 0,78 entre le BEAST et la plateforme. Le BEAST surestime les hauteurs des CMJ et CMJb de 12,1% (vs OptoJump) et 16,6% (vs plateforme) mais pas les hauteurs de SJ (-5,4 et +0,4%). Les ICC entre BEAST et OptoJump sont moyens (0,703, 0,586 et 0,722 pour SJ, CMJ et CMJb) et moyens à faible avec la plateforme (0,681, 0,415 et 0,663). Les ICC entre les deux outils de référence (OptoJump et plateforme) sont excellents (0,936, 0,949 et 0,975). En conclusion, les résultats concernant la validité du capteur BEAST se sont révélés insatisfaisants pour une éventuelle intégration dans le nouveau plan mis en place, d’autres capteurs miniaturisés sem- blant présenter, dans la littérature scientifique, de meilleures concordances avec les outils de référence.

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International audience; The purpose of our study was to establish an anthropometric, neuromuscular, and physiological characterization of circus student-artists as well as design the most appropriate injury prevention and performance optimization programs to preserve the health of circus artists and acrobats. To do so, a biomechanical analysis intending to reveal the parasitic movements to be avoided during circus and acrobatic figures to prevent injuries to the upper limbs and the trunk was performed associated to an exploration of the neuromuscular component (i.e., proprioception) in order to reveal problems of instability in equilibrium postures (i.e. lower and upper limbs). An evaluation of the strengths of the large muscular chains was also performed to disclose the imbalance between the anterior and posterior chains. Thirty student-artists (13 women and 17 men, 22.5 ± 2 years) participated voluntarily in this study. They were divided into two groups: 15 aerials (dangling trapeze, stated trapeze, outfielders, Chinese mast, aerial fabrics, aerial webbing, smooth rope, and flying rope) and 15 non-aerials (banquine, bascule, carried acrobatic, cyr wheel, acrobatics, and acrobatic juggling). To start, an injury report for the year 2016 was performed and biometric measurements of all body segments were collected. During the specialties sessions the effective engagement time on the apparatus and the periods of poses were quantified. Just after the specific warm-up and at the end of the session, a measurement of the hand-grip force (HGF) and the maximum voluntary contraction (MVC) of the quadriceps muscle (right and left) were performed. Statistical Analysis: All data are presented as means ± SD. The data follow a normal distribution. Paired T test was used to assess the differences between the two groups. Results: more than three-quarters of student-artists had previously been injured with an average of two injuries per student. All injuries were reported during specialties sessions. 44% of these injuries affected the lower limb, 32% the upper limb, 16% the trunk and 8% the neck. Anthropometric measurements showed significant differences between the two groups at the height (p \textless005) and span (p \textless0.05). A significant difference in arm circumference (p \textless0.05) was also observed in non-aerials between left and right arms, and not among the aerials. Significant differences were, however, observed in HGF at the beginning and end of the sessions between the two groups (p\textless0.01), which was not the case for the MVC. These last two parameters showed an increase in more than half of the student-artists (all disciplines) between before and the end of the sessions. Conclusion: These findings might have practical implications for both training and injury prevention.

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International audience; Background: Paris-Roubaix is a unique and singular race of UCI World Tour. Compared to other “classic races”, the difficulty of the route is increased by the mechanical vibrations encountered during many cobbles sectors. These ones represent ~20% of the total distance to be covered (~250 km). They are classified by the organizers according to their length and the cobble’s characteristics from “easy” (two stars) to “very hard” (five stars). Previous studies measured vibration exposure at cyclist’s hand on one single cobbles sector [1] and for whole body on short urban road path [2]. Thus, the vibration exposure of cyclists during a whole race that includes many cobbles sectors remain unknown.

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International audience; The purpose of this preliminary study was to compare the surface EMG level activity of seven muscles (gluteus maximus, rectus femoris, vastus medialis, tibialis anterior, gastrocnemius medialis and soleus) while pedalling with circular and noncircular ring (OSymetric). Five cyclists rode at 2 power output levels (150 - 200 W) and 3 different pedalling cadences (70 – 90 – 110 rpm) on SRM ergotrainer. Unlike the other muscles, gluteus maximus and vastus medialis were more recruited while pedalling with OSymetric ring (~5-15%) only at the lowest cadence (70 rpm). These neuromuscularbehaviours might be related to the increase in time of the power crank sector induced by the O-Symetric design. However, this substantial advantage didn’t appear as benefical for higher crank velocities, probaby due to muscle activation-deactivation dynamics.

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Nowadays the tumble turn is the turn technique embraced by all freestyle competitive swimmers. It consists of five main phases: the approach, the rotation, the wall contact (with braking and push-off sub phases), the underwater phase (with glide and underwater propulsion sub phases), and the resumption of swimming.Within the first collaboration between the Laboratoire de Mécanique Physique of Bordeaux and the research department of the Fédération Française de Natation, this study relied on a comprehensive protocol for 3D underwater analysis that allowed assessing all kinematic and dynamic variables of performance.A double comparative analysis showed that both the level of expertise and the gender have effects on the turn performance. Female swimmers of various levels differ by higher approach and push-off speeds for the experts who are more streamlined throughout the contact. At a high level, male swimmers differ from female swimmers first by higher speed at the beginning of the rotation and also by producing more horizontal force at the push-off peak, directly resulting in a higher speed.The use of the Lasso method made it possible to establish two models for the expert turn performance. For female swimmers, the model revealed the role of lateral momentum during the braking phase, a new parameter that could be representative of the twist executed. For male swimmers, the best turns are swum when the rotation is anticipated. The wall is reached with a slightly flexed posture that results in a fast extension but also creates a slow speed. The best swimmers’ trajectories are short and optimized.This study showed the importance of a 3D analysis of the crawl tumble turn: on one hand the dynamic analysis, with the use of a 3D force platform that makes easier the distinction between the braking and the push-off phases, and probably also gives insights into the twist movement; on the other hand the kinematic analysis, with the importance of the length of the swum path on the turn performance.Beyond this study of the turn, the design, the implementation and the use of new tools devoted to motion analysis in swimming can now offer athletes assistance in line with their objectives. By increasing the knowledge of different techniques used by experts and non-experts swimmers, this study should also improve the teaching of high-performance turns.; De nos jours la culbute est la technique de virage crawl unanimement employée par les nageurs de compétition. Elle se décompose en cinq phases principales : l’approche, le retournement, le contact avec le mur (composé du placement et de la poussée), la phase sous-marine (composée de la glisse et de la coulée) et la reprise de nage.Dans le cadre d’une première collaboration entre le Laboratoire de Mécanique Physique de Bordeaux et le service recherche de la Fédération Française de Natation, cette étude s’est appuyée sur un protocole complet d’analyse sous- marine 3D qui a permis d’évaluer l’ensemble des paramètres cinématiques et dynamiques de la performance.Une double analyse comparative a montré que le niveau d’expertise et le genre ont un effet sur la performance au virage. Les nageuses de niveaux différents se différencient entre-elles par des vitesses en approche et en fin de poussée plus élevées pour les expertes qui adoptent une position plus profilée tout au long du contact. À haut niveau, les nageurs se différencient des nageuses au début du retournement par une vitesse plus élevée puis lors de la poussée où ils produisent un pic de force horizontale plus élevé et obtiennent un gain de vitesse en conséquence.L’utilisation de la méthode Lasso a permis d’établir deux modèles experts de la performance au virage. Chez les nageuses expertes, le modèle a révélé l’importance de l’impulsion latérale pendant le placement, paramètre nouveau qui pourrait être représentatif de la vrille exécutée. Chez les nageurs experts, les meilleurs virages sont réalisés par anticipation du retournement. Le mur est impacté dans une position corporelle peu fléchie ce qui favorise une extension rapide mais crée peu de vitesse. Le trajet parcouru par les meilleurs est court et optimisé.Cette étude illustre l’intérêt d’une analyse 3D du virage culbute crawl : en dynamique d’une part, l’utilisation d’une plateforme de force 3D permettant de distinguer les phases de placement et de poussée et probablement aussi le mouvement de vrille ; en cinématique d’autre part, avec l’importance de la trajectoire parcourue sur la performance au virage des nageurs experts.Par delà cette étude du virage, la conception, la réalisation et l’utilisation de nouveaux outils dédiés à l’analyse du mouvement en natation permet aujourd’hui de proposer au sportif une aide à la performance en phase avec ses objectifs. De part un enrichissement de la connaissance des différentes techniques utilisées par les experts et les non- experts, cette étude devrait également permettre d’améliorer l’enseignement des virages de haut-niveau.

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Nowadays the tumble turn is the turn technique embraced by all freestyle competitive swimmers. It consists of five main phases: the approach, the rotation, the wall contact (with braking and push-off sub phases), the underwater phase (with glide and underwater propulsion sub phases), and the resumption of swimming.Within the first collaboration between the Laboratoire de Mécanique Physique of Bordeaux and the research department of the Fédération Française de Natation, this study relied on a comprehensive protocol for 3D underwater analysis that allowed assessing all kinematic and dynamic variables of performance.A double comparative analysis showed that both the level of expertise and the gender have effects on the turn performance. Female swimmers of various levels differ by higher approach and push-off speeds for the experts who are more streamlined throughout the contact. At a high level, male swimmers differ from female swimmers first by higher speed at the beginning of the rotation and also by producing more horizontal force at the push-off peak, directly resulting in a higher speed.The use of the Lasso method made it possible to establish two models for the expert turn performance. For female swimmers, the model revealed the role of lateral momentum during the braking phase, a new parameter that could be representative of the twist executed. For male swimmers, the best turns are swum when the rotation is anticipated. The wall is reached with a slightly flexed posture that results in a fast extension but also creates a slow speed. The best swimmers’ trajectories are short and optimized.This study showed the importance of a 3D analysis of the crawl tumble turn: on one hand the dynamic analysis, with the use of a 3D force platform that makes easier the distinction between the braking and the push-off phases, and probably also gives insights into the twist movement; on the other hand the kinematic analysis, with the importance of the length of the swum path on the turn performance.Beyond this study of the turn, the design, the implementation and the use of new tools devoted to motion analysis in swimming can now offer athletes assistance in line with their objectives. By increasing the knowledge of different techniques used by experts and non-experts swimmers, this study should also improve the teaching of high-performance turns., De nos jours la culbute est la technique de virage crawl unanimement employée par les nageurs de compétition. Elle se décompose en cinq phases principales : l’approche, le retournement, le contact avec le mur (composé du placement et de la poussée), la phase sous-marine (composée de la glisse et de la coulée) et la reprise de nage.Dans le cadre d’une première collaboration entre le Laboratoire de Mécanique Physique de Bordeaux et le service recherche de la Fédération Française de Natation, cette étude s’est appuyée sur un protocole complet d’analyse sous- marine 3D qui a permis d’évaluer l’ensemble des paramètres cinématiques et dynamiques de la performance.Une double analyse comparative a montré que le niveau d’expertise et le genre ont un effet sur la performance au virage. Les nageuses de niveaux différents se différencient entre-elles par des vitesses en approche et en fin de poussée plus élevées pour les expertes qui adoptent une position plus profilée tout au long du contact. À haut niveau, les nageurs se différencient des nageuses au début du retournement par une vitesse plus élevée puis lors de la poussée où ils produisent un pic de force horizontale plus élevé et obtiennent un gain de vitesse en conséquence.L’utilisation de la méthode Lasso a permis d’établir deux modèles experts de la performance au virage. Chez les nageuses expertes, le modèle a révélé l’importance de l’impulsion latérale pendant le placement, paramètre nouveau qui pourrait être représentatif de la vrille exécutée. Chez les nageurs experts, les meilleurs virages sont réalisés par anticipation du retournement. Le mur est impacté dans une position corporelle peu fléchie ce qui favorise une extension rapide mais crée peu de vitesse. Le trajet parcouru par les meilleurs est court et optimisé.Cette étude illustre l’intérêt d’une analyse 3D du virage culbute crawl : en dynamique d’une part, l’utilisation d’une plateforme de force 3D permettant de distinguer les phases de placement et de poussée et probablement aussi le mouvement de vrille ; en cinématique d’autre part, avec l’importance de la trajectoire parcourue sur la performance au virage des nageurs experts.Par delà cette étude du virage, la conception, la réalisation et l’utilisation de nouveaux outils dédiés à l’analyse du mouvement en natation permet aujourd’hui de proposer au sportif une aide à la performance en phase avec ses objectifs. De part un enrichissement de la connaissance des différentes techniques utilisées par les experts et les non- experts, cette étude devrait également permettre d’améliorer l’enseignement des virages de haut-niveau.