139 results on '"Prolapsus genital"'
Search Results
2. Blinder Fleck Beckenboden – wenn die Blase in die Jahre kommt
- Author
-
Müller, Katharina and Najjari, Laila
- Published
- 2024
- Full Text
- View/download PDF
3. Postoperative Physiotherapy in Women Undergoing Pelvic Floor Reconstructive Surgery: A Randomized Controlled Clinical Trial.
- Author
-
Brandt, Corlia and van Vuuren, E.C. Janse
- Subjects
KRUSKAL-Wallis Test ,ANALYSIS of variance ,MUSCLE contraction ,PHYSICAL therapy ,KEGEL exercises ,PLASTIC surgery ,POSTOPERATIVE care ,MANN Whitney U Test ,TREATMENT effectiveness ,RANDOMIZED controlled trials ,COMPARATIVE studies ,QUESTIONNAIRES ,QUALITY of life ,BLIND experiment ,DESCRIPTIVE statistics ,ABDOMINAL exercises ,STATISTICAL sampling ,ELECTROMYOGRAPHY ,DATA analysis software ,PELVIC organ prolapse ,REHABILITATION ,EVALUATION - Abstract
Copyright of Physiotherapy Canada is the property of University of Toronto Press and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2022
- Full Text
- View/download PDF
4. Laser, LED (photothérapie) et radiofréquence du vagin pour le traitement de l'atrophie vaginale, de l'incontinence urinaire, du prolapsus et de la béance vaginale : que dit la littérature ?
- Author
-
Deffieux, X., Louis-Vahdat, C., and Vieillefosse, S.
- Abstract
Lors de la dernière décennie, de nouveaux dispositifs de thérapie vaginale non invasive ont fait leur apparition et ont ensuite pris un essor important en dermatologie et en médecine esthétique et elles commencent à s'appliquer en urologie et en gynécologie dans le cadre de la pelvi-périnéologie. Il s'agit des techniques utilisant la radiofréquence, le laser ou la photothérapie (photobiomodulation). Différentes applications se dessinent et sont en cours d'évaluation (hyperactivité vésicale dans le cadre du syndrome génito-urinaire de la ménopause (SGUM), incontinence urinaire à l'effort, béance vaginale). Revue exhaustive de la littérature en utilisant les mots-clés : laser ; vagina ; radiofrequency ; Low Level Laser Therapy, urinary incontinence ; pelvic organ prolapse. Nous avons étudié la méthodologie et les résultats des études comparatives (avec groupe contrôle et les essais randomisés). Le laser et la radiofréquence appliqués au vagin semblent améliorer l'hyperactivité vésicale de certaines patientes présentant un syndrome génito-urinaire de la ménopause. Le laser CO2 semble plus efficace que la procédure simulée pour traiter à court terme les symptômes d'incontinence urinaire à l'effort et l'atrophie vaginale. Un essai randomisé a observé que le laser Er. semblait inefficace dans le traitement du prolapsus. Un essai randomisé a montré une efficacité significative de la radiofréquence vaginale dans les symptômes de béance vaginale. Ces nouvelles énergies appliquées à la pelvi-périnéologie pourraient permettre de prendre en charge de façon non invasive certaines patientes souffrant de diverses pathologies (vulvodynies, incontinence urinaire à l'effort, hyperactivité vésicale, SGUM, béance vaginale, etc). Toutefois, nous sommes dans l'attente de résultats d'essais randomisés de plus grande ampleur et à long terme. Jusqu'à présent, très peu de complications ont été rapportées avec ces techniques. During the last decade, new devices for non-invasive vaginal therapy have appeared and have then taken a significant step forward in dermatology and aesthetic medicine and they are beginning to be applied in urology and gynecology in the context of pelvic floor dysfunctions. These are techniques using radiofrequency, laser or phototherapy (photobiomodulation). Different applications are emerging and have being evaluated (overactive bladder in the context of genitourinary syndrome of menopause (GSM), stress urinary incontinence, vaginal hyperlaxity). Exhaustive review of the literature using the keywords: laser; vagina; radiofrequency; Low Level Laser Therapy, urinary incontinence; pelvic organ prolapse. We investigated the methodology and results of comparative studies (with control group and randomized trials). Laser and radiofrequency applied to the vagina appeared to improve overactive bladder in some patients with SGM. The vaginal CO2 laser appeared to be more effective than the shamed procedure in treating short-term symptoms of stress urinary incontinence and vaginal atrophy. A randomized trial observed that the Er. laser appeared to be ineffective in treating prolapse. A randomized trial has shown a significant efficacy of vaginal radiofrequency in the symptoms of vaginal hyperlaxity. These new energies applied to vagina for pelvi-perineology permits to manage without surgery, some patients suffering from various pathologies (vulvodynia, urinary stress incontinence, overactive bladder, GSM, vaginal open bite, etc.). However, we are awaiting results from larger, longer-term randomized trials. So far, very few complications have been reported with these techniques. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
5. Fracture du pelvis et conséquences urogénitales chez la femme : revue de la littérature
- Author
-
Thibault Thubert, K. Brulefert, S. Gauthier, Claire Cardaillac, V. Dochez, and P. Gueudry
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,medicine ,Pelvic fracture ,Prolapsus genital ,medicine.disease ,business - Abstract
Resume Introduction Les consequences d’une fracture du pelvis chez la femme sur la statique pelvienne et la sexualite sont souvent negligees et releguees au second plan de la prise en charge. Objectif Effectuer un etat des connaissances sur les troubles de la statique pelvienne et de la sexualite chez les patientes ayant eu un antecedent de fracture du pelvis : incidence, facteurs de risques, prise en charge. Methodes Revue de la litterature sur la base de donnees de Pubmed, Medline, Embase et Cochrane en utilisant les mots cles et termes MeSH suivants : pelvis floor dysfunction, urinary dysfunction, sexual dysfunction, pelvic organ prolapse, en association avec les termes pelvic fracture, pelvic trauma. Resultats Parmi les 270 articles initiaux, 21 ont ete retenus. Au total, une etude de cohorte retrospective comparative a evalue l’impact d’une fracture sur la survenue d’un prolapsus genital, 2 etudes comparatives retrospectives et une prospective ont etudie leur impact sur les troubles du bas appareil urinaire et finalement une revue de la litterature a evalue leur impact sur la sexualite. L’incidence du prolapsus dans les suites d’une fracture de pelvis n’a pas pu etre identifie. L’incidence des troubles urinaires du bas appareil varient entre 21 et 67 % avec une difference significative pour l’urgenturie sans fuite (p = 0,016) et l’incontinence urinaire a l’effort (p = 0,004). L’incidence des troubles de la sexualite varient entre 21 et 62 % avec une predominance des dyspareunies. Le mecanisme du traumatisme serait un facteur favorisant tout comme l’atteinte de la symphyse pubienne (RR 4,8 IC95 % 2,0-11,2). Conclusion L’evaluation des dysfonctions urogenitale, sexuelle et ano-rectal au decours d’un traumatisme du bassin n’est a ce jour que peu explorees dans la litterature. De futures etudes prospectives sont a mener pour ameliorer la prise en charge des patientes.
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
6. Indications de l’abord vaginal en chirurgie urologique: à propos de 30 cas
- Author
-
I. Diabaté, I. Sow, A. Bâ, and V. Fall
- Subjects
Prolapsus génital ,Fistule vésico-vaginale ,Incontinence urinaire ,Chirurgie urologique ,Chirurgie vaginale ,Diseases of the genitourinary system. Urology ,RC870-923 - Abstract
Buts: Présenter les variables épidémiologiques des patientes qui ont été opérées par voie vaginale, présenter les pathologies en cause et leur prise en charge. Patientes et méthodes: Etude rétrospective portant sur les patientes opérées par voie vaginale entre novembre 2005 et novembre 2010 au Centre Hospitalier Régional de Louga pour des pathologies du bas appareil urogénital. Les renseignements concernant l’épidémiologie, les pathologies, le type d’intervention, les complications et résultats ont été obtenus de l’exploitation des dossiers. Résultats: Trente (30) patientes étaient concernées par cette étude dont une opérée à deux reprises. L’âge moyen était de 42,17 ans (extrêmes de 20 ans à 70 ans) avec un écart type de 15,06. La parité moyenne était de 4,06 (extrêmes de 1 à 10). Il a été noté 22 cas de prolapsus génito-urinaire (PGU) tous extériorisés, 6 cas de fistule vésico-vaginale (FVV), un cas de métastase péri-urétrale d’un choriocarcinome gestationnel et un cas de diverticule urétral lithiasique. Les composantes des PGU étaient : cystocèles (21 cas dont 11 cas isolés), hystérocèles (11 cas) et rectocèles (3 cas). Trois cas de PGU étaient associés à une incontinence urinaire d’effort (IUE). Toutes les patientes ont été opérées sans pose de renfort prothétique. Les interventions ont consistées en : une triple intervention périnéale (TIP) associée à une hystérectomie totale (11 cas dont 7 cas avec annexectomie bilatérale), une cure des cystocèles isolées avec colpopérinéorraphie postérieure (11 cas). Les IUE (3 cas) ont été corrigées selon Marion-Kelly. Toutes les FVV ont été traitées par dédoublement puis fermeture en plan séparé avec interposition d’un lambeau de Martius dans 5 cas. Le diverticule urétral a été résequé totalement après ablation des calculs. La métastase péri-urétrale du choriocarcinome gestationnel a également été réséquée et la perte de substance comblée par un lambeau de Martius. Il y a eu une transfusion dans 5 cas de TIP avec hystérectomie totale. Une brèche vésico-vaginale a été constatée après hystérectomie et a été résolue par simple drainage vésical. Aucun décès n’a été constaté. Le taux de satisfaction des patientes était de 86,66% avec un recul de 6 mois. Nous avons enregistré un échec et deux patientes ont été perdues de vue. Conclusion: La chirurgie urologique par voie vaginale est majoritairement pratiquée dans notre institution pour les PGU ; elle est avantageuse en matière de coût, de morbidité et de convalescence. Mais la question de l’usage de matériel prothétique qui se pose dans certains cas et dans certains pays fait que cette chirurgie sans prothèse a encore des années devant elle.
- Published
- 2015
- Full Text
- View/download PDF
7. Validation d’un nouvel auto-questionnaire d’évaluation de la sexualité chez les patientes opérées d’une incontinence urinaire ou d’un prolapsus génital (Pelvi-Perineal Surgery Sexuality Questionnaire – PPSSQ)
- Author
-
R. de Tayrac, N. Berrogain, J.-F. Hermieu, Sandrine Alonso, Brigitte Fatton, M. Chevret-Measson, F. Cour, P. Costa, and Guy Valancogne
- Subjects
Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,medicine ,Prolapsus genital ,business - Abstract
Resume Introduction L’objectif principal de cette etude etait de valider un nouveau questionnaire evaluant la sante sexuelle, dans une population de femmes sexuellement actives ou non, operees d’une incontinence urinaire d’effort ou d’un prolapsus genital avec ou sans renfort prothetique. Materiel et methodes Apres le developpement d’une premiere version du questionnaire par des membres issus des principales societes savantes francaises impliquees dans l’etude de la sexualite de la femme, une validation linguistique du contenu du questionnaire a ete realisee par des entretiens structures semi-directifs. Ensuite, une validation psychometrique a ete effectuee dans une etude de cohorte prospective multicentrique. Le questionnaire a ete evalue en termes d’acceptabilite, de qualite, de dimensionnalite, de coherence interne, de stabilite temporelle, de sensibilite aux changements et de validite de construction. Resultats La validation linguistique a ete menee chez 25 patientes, la validation psychometrique chez 297 femmes (dont 291 avec donnees disponibles) qui ont ete operees d’une incontinence urinaire par bandelette sous-uretrale (n = 79) ou d’une cure de prolapsus genital par voie vaginale avec prothese (n = 105), par voie vaginale sans prothese (n = 22) ou par cœlioscopie (n = 85) entre le 18/01/2013 et le 18/01/2016. Parmi les 288/291 femmes qui ont complete la question no 1 permettant de connaitre leur « statut » sexuel avant la chirurgie, 159 (55 %) femmes etaient sexuellement actives (SA) et 129 (45 %) femmes etaient non sexuellement actives (NSA). Parmi ces 288 femmes, 165 ont complete le questionnaire en preoperatoire et a 12 mois, et 111 ont complete le questionnaire a 12 mois et a 12 mois + 1 semaine. Le questionnaire a ete bien accepte par les femmes. Toutes les questions ont ete conservees, mais une modification de l’ordre et de la numerotation des questions a du etre realisee. Deux dimensions cliniquement pertinentes ont ete degagees de cette analyse : une dimension « sante sexuelle » regroupant 5 questions et une dimension « gene et douleur » regroupant 3 questions. Le questionnaire global et les deux dimensions avaient une bonne fiabilite et une stabilite temporelle moderee a excellente. Un lien statistiquement significatif a ete demontre entre la question no 15 et l’amelioration rapportee par le PGI-I et le taux de succes anatomique sur la classification de POP-Q. Une forte correlation a ete mise en evidence entre le score de « sante sexuelle » et le score total du FSFI. Conclusion Le Pelvi-Perineal Surgery Sexuality Questionnaire (PPSSQ) est un auto-questionnaire en 13 questions valide dans une population de femmes sexuellement actives ou non, operees d’une incontinence urinaire d’effort ou d’un prolapsus genital par voie cœlioscopique ou vaginale, avec ou sans renfort prothetique. Niveau de preuve 4.
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
8. Le prolapsus génital néonatal: entité exceptionnelle (à propos d'un cas)
- Author
-
Hind Zhiri, Btissam Fatih, Karam Harou, Abderrahim Aboulfalah, Hamid Asmouki, and Abderraouf Soummani
- Subjects
prolapsus génital ,néonatal ,exceptionnel ,Medicine - Abstract
Le prolapsus génital est une entité exceptionnelle chez le nouveau-né. Il est le plus souvent associé à des anomalies congénitales du système nerveux central. Nous rapportons le cas d'un nouveau-né à terme ayant un prolapsus génital sans anomalies de système nerveux central a travers lequel nous rapportons la particularité diagnostic et thérapeutique de cette pathologie rarissime.
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
9. Traitement du prolapsus genital par voie tranobturatrice : prolift
- Author
-
A. Aitsakel, B. Makhoul, and F. N'guebou
- Subjects
Prolapsus génital ,Prolift® ,Renfort transvaginal ,Diseases of the genitourinary system. Urology ,RC870-923 - Abstract
Objectif: Evaluer l'efficacité, la faisabilité, et rapporter les complications peropératoires et postopératoires ainsi que le suivi à court terme du traitement du prolapsus par renfort transvaginal de type Prolift®. Matériel et Méthodes: Onze femmes ont eu une cure de prolapsus génital selon la technique Prolift® au service d'urologie d'hôpital d'Auxerre. Les caractéristiques gynéco-obstétricales, les facteurs de risques, les traitements antérieurs, les interventions associées, les complications peropératoires et postopératoires étaient notées. Les patientes sont revues à un, trois, et six mois puis annuellement. L’échec était défini par une récidive supérieure ou égale au stade I de la classification de Baden et walker. Résultats: L'Age moyen était de 70 ans. Le suivi médian était de 9 mois. Deux (18%) et neuf (81%) patientes avaient respectivement des cystocèles de grade II et III. Cinq (45%) avaient des rectocéles de grade II/III. Trois (27%) avaient des hysterocéles. La durée moyenne d'intervention était de 40 minutes. La durée d'hospitalisation était de 3 jours. Aucune complication peropératoire n'a été rapportée, trois cas de cystite postopératoire, une (9%) érosion vaginale traitée par excision de la partie exposée, une incontinence urinaire d'effort de novo (9%), deux cas (18%) d'urgenturie. Le taux de sucée était de 90%. Conclusion: Cette étude a montré la faisabilité, l'efficacité à court terme avec une morbidité acceptable de la technique de Prolift® dans la cure du prolapsus génital.
- Published
- 2012
- Full Text
- View/download PDF
10. Préserver ou non l’utérus en cas de chirurgie du prolapsus : revue de la littérature
- Author
-
N. Winer, E. Vaucel, Thibault Thubert, P. Lopes, Y. Joueidi, Claire Cardaillac, V. Dochez, and P. Gueudry
- Subjects
Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,0302 clinical medicine ,Hysterectomy ,business.industry ,Urology ,medicine.medical_treatment ,Prolapse surgery ,030232 urology & nephrology ,medicine ,Prolapsus genital ,business - Abstract
Resume Objectif Evaluer l’impact de la realisation d’une hysterectomie en cas de cure de prolapsus sur les resultats anatomiques, fonctionnels, les complications per et postoperatoires par rapport a la conservation uterine. Materiels et Methodes Nous avons realise une revue de la litterature sur Pubmed, Medline, Embase et Cochrane en utilisant les termes et MeSH (Medical Subject Headings of the National Library of Medicine) suivants : uterine prolapse ; genital prolapse ; prolapse surgery ; vaginal prolapse surgery ; abdominal prolapse surgery ; hysterectomy ; hysteropexy ; sacrocolpopexy ; surgical meshes ; complications ; sexuality ; neoplasia ; urinary ; incontinence ; cancer. Resultats Parmi les 168 resumes etudies, nous avons retenu 63 articles. Il n’existait pas de difference significative en termes de resultats anatomiques et fonctionnels en cas de promontofixation (OR = 2,21 [IC95 % : 0,33–14,67[) et en cas de chirurgie vaginale sans pose de prothese (OR = 1,07 [IC95 % : 0,38–2,99]). Il n’y avait pas non plus de difference en termes de symptomatologie urinaire ou de sexualite au decours quel que soit la voie d’abord. L’hysterectomie etait associee a une morbidite plus importante (saignements, allongement du temps operatoire, allongement de la duree d’hospitalisation), un risque augmente d’exposition prothetique en cas d’hysterectomie totale (8,6 % IC95 % : 6,3–11). Conclusion En l’absence de preuve de superiorite en termes de resultats anatomiques et fonctionnels, avec une augmentation du taux de complications, l’hysterectomie concomitante en cas de cure de prolapsus ne doit probablement pas etre realisee de maniere systematique.
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
11. Doit-on réaliser systématiquement une hystérectomie subtotale dans le cadre d’une promontofixation cœlioscopique ?
- Author
-
E. Saliba, Michelle Nisolle, C. Tchente, and L. De Landsheere
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,business.industry ,030232 urology & nephrology ,Obstetrics and Gynecology ,Subtotal hysterectomy ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Reproductive Medicine ,Supracervical hysterectomy ,medicine ,Laparoscopic sacrocolpopexy ,Prolapsus genital ,business - Abstract
Resume Objectifs Evaluer la place de l’hysterectomie subtotale lors de la promontofixation cœlioscopique. Methodes Cette etude retrospective observationnelle reprend les patientes operees d’une promontofixation cœlioscopique entre novembre 2010 et mars 2015 au centre hospitalier regional de la Citadelle, Liege, Belgique. Les caracteristiques des patientes et les antecedents medicaux et chirurgicaux ont ete recueillis. Les donnees cliniques, operatoires ainsi que les complications peroperatoires ont ete analysees. Les resultats postoperatoires ont ete collectes a 6 semaines, a 4 mois puis annuellement reprenant une evaluation clinique et anatomique par POP-Q (Pelvic Organ Prolapse - Quantification). Resultats Nonante quatre patientes ont ete incluses dans l’etude. 64 patientes (68,1 %) ont beneficie d’une promontofixation avec hysterectomie subtotale, 12 patientes (12,7 %) d’une promontofixation avec conservation uterine, 16 patientes (17 %) presentaient un antecedent d’hysterectomie et 2 patientes (2,2 %) ont beneficie d’une promontofixation avec hysterectomie totale. L’âge moyen des patientes etait de 61 ± 20 ans, la parite de 2 ± 2 et l’index de masse corporelle de 25,2 ± 7,32. Le taux de succes objectif, defini par un stade de POP-Q Conclusion La promontofixation offre de bons resultats anatomiques, avec de meilleurs taux de succes objectifs et subjectifs lorsqu’elle est associee a une hysterectomie subtotale. La decision de realiser une hysterectomie doit tenir compte de la balance risque/benefice ainsi que des preferences de la patiente.
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
12. Chirurgie vaginale sans prothèse en cas de prolapsus des organes pelviens : un retour vers le futur ? : revue de la littérature
- Author
-
Martin Lasnel, Mathilde, Université de Caen Normandie - UFR Santé (UNICAEN Santé), Université de Caen Normandie (UNICAEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU), and Anne-Cécile Pizzoferrato
- Subjects
Vagin -- Chirurgie ,Prolapsus génital ,[SDV.MHEP.GEO]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Gynecology and obstetrics ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
Introduction. The recent removal of vaginal prostheses has allowed the return of techniques with native tissues. Objective. The objective of this work was to identify the different techniques of vaginal surgery using native tissues and to identify recent modifications allowing to improve the results. Material and methods: We performed a systematic review of the literature in the Pubmed database up to January 2021. The main outcomes were operative efficiency and morbidity. Results. We analyzed 76 articles of the 2570 found. Colpopexy or hysteropexy of the uterosacral (US) and sacrospinous ligaments were the main techniques used for apical prolapse without significant differences in efficacy. The double suspension of US and the combination of the plication with the US suspension are interesting changes. The anterior approach, bilateral suspension, the use of suturing aids are the main changes to the traditional sacrospinous fixation. Anterior colporrhaphy, paravaginal repair and plastron were the main surgeries for anterior prolapse. The choice of technique is adapted to the type of cystocele (apical, median, lateral). Conclusion. Given the disparity in operative morbidity and the results of autologous surgery, it seems important to conduct new studies with a higher level of evidence, randomized, with long-term follow-up analyzing the functional results rather than anatomical.; Introduction. Le retrait récent des prothèses vaginales a permis le retour de techniques utilisant des tissus natifs. Objectif. L’objectif de ce travail était de recenser les différentes techniques de chirurgie vaginale utilisant les tissus natifs et d’identifier les modifications récentes permettant d’en améliorer les résultats. Matériel et Méthodes : nous avons réalisé une revue systématique de la littérature sur la base de données Pubmed jusqu’à janvier 2021. Les critères de jugement principaux étaient l’efficacité et la morbidité opératoire. Résultats. Nous avons analysé 76 articles sur les 2570 retrouvés. La colpopexie ou hystéropexie aux ligaments utéro-sacrés (US) et sacro-épineux étaient les principales techniques utilisées pour les prolapsus apicaux sans différence significative d’efficacité. La double suspension aux US et l’association de la plicature à la suspension des US sont des modifications intéressantes. La voie d’abord antérieure, la suspension bilatérale, l’utilisation de dispositifs d’aide à la pose de suture sont les principales modifications apportées à la sacrospinofixation traditionnelle. La colporraphie antérieure, le paravaginal repair et le plastron étaient les principales chirurgies en cas de colpocèle antérieure. Le choix de la technique est adapté au type de cystocèle (apicale, médiane, latérale). Conclusion. Devant la disparité de la morbidité opératoire et des résultats de la chirurgie autologue, il paraît important de mener de nouvelles études de plus haut niveau de preuve, randomisées, avec un suivi sur le long terme analysant les résultats fonctionnels plutôt que anatomiques.
- Published
- 2021
13. Évaluation des connaissances et des pratiques cliniques concernant la prise en charge des prolapsus génitaux et de l'incontinence urinaire de la femme en médecine générale sur le territoire de l'ex Basse-Normandie
- Author
-
Jeanne, Lucie, Université de Caen Normandie - UFR Santé (UNICAEN Santé), Université de Caen Normandie (UNICAEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU), and Anne-Cécile Pizzoferrato
- Subjects
Médecins généralistes ,Périnée -- Maladies ,Prolapsus génital ,Incontinence urinaire chez la femme ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
Introduction: pelvic-perineal disorders are very common and bring together different pathologies including urinary incontinence (UI) and pelvic organ prolapse (POP). About 1 in 9 women will have surgery before age 80 for a POP and 15 to 50% of women have UI according to studies. These disorders impact the quality of life on the psychic, social and sexual levels. They are associated with taboos limiting consultations for these issues. Many general practitioners (GPs) are not comfortable with these pathologies. The aim of the study was to assess knowledge and clinical practices concerning the management of POPs and UI in women, in general medical practice, in the territory of the former Basse-Normandie. Method: quantitative cross-sectional descriptive study by questionnaire. The population was formed by drawing lots for MGs; then the questionnaire was distributed to the masters of university internships in the territory by email, web or by telephone. Results: among the 503 GPs solicited, 81 responses were usable (16.1%). 97.5% of GPs offered at least partial gynecological follow-up. 95.1% knew how to recognize a POP and 85.2% prescribed perineal rehabilitation in 1st intention. Only 1/3 had ever prescribed or handled a pessary and, 1/3 didn't know about them. 100% recognized exertional UI and 81.5% recognized Urge UI. 70.3% of GPs mentioned obstacles to their care (taboo and lack of training (72.8%)). Conclusion: GPs feel concerned by these pathologies but express difficulties in taking charge due to taboos and lack of training.; Introduction : les troubles pelvi-périnéaux sont très fréquents et rassemblent différentes pathologies dont l’incontinence urinaire (IU) et les prolapsus génitaux (POP). Environ 1/9 femme subira une chirurgie avant 80 ans pour un POP et, 15 à 50% des femmes seraient atteintes d’IU selon les études. Ces troubles impactent la qualité de vie aussi bien sur les plans psychique, social que sexuel. Ils sont associés à des tabous limitant les consultations pour ces problématiques. De nombreux médecins généralistes (MG) ne sont pas à l’aise avec ces pathologies. Le but de l’étude était d’évaluer les connaissances et les pratiques cliniques concernant la prise en charge des POP et de l’IU de la femme, en médecine générale, sur le territoire de l’ex Basse-Normandie. Méthode : étude descriptive transversale quantitative par questionnaire. La population a été constituée par tirage au sort des MG ; puis le questionnaire a été diffusé aux maîtres de stages universitaires du territoire par mail, web ou réalisé par téléphone. Résultats : parmi les 503 MG sollicités, 81 réponses étaient exploitables (16,1%). 97,5% des MG proposaient un suivi gynécologique au moins partiel. 95,1% savaient reconnaître un POP et 85,2% prescrivaient la rééducation périnéale en 1ère intention. Seulement 1/3 avait déjà prescrit/manipulé un pessaire et, 1/3 ne les connaissait pas. 100% avaient reconnu l’IU d’effort et 81,5% l’IU par urgenturie. 70,3% des MG évoquaient des freins à leur prise en charge (tabou et leur manque de formation (72,8%)). Conclusion : les MG se sentent concernés par ces pathologies mais expriment des difficultés de prise en charge du fait des tabous et du manque de formation.
- Published
- 2021
14. Rééducation pelvi-périnéale et troubles de la statique pelvienne de la femme.
- Author
-
Thubert, T., Bakker, E., and Fritel, X.
- Abstract
Résumé Notre objectif est de faire le point sur les résultats de la rééducation périnéale dans le traitement de l’incontinence urinaire et des symptômes du prolapsus génital. Le renforcement des muscles du plancher pelvien permet de réduire les symptômes de l’incontinence urinaire. La rééducation encadrée par un rééducateur permet une guérison dans plus de la moitié des cas de l’incontinence urinaire d’effort. La visualisation de la contraction grâce au biofeedback améliore les résultats, mais cet effet pourrait être expliqué par une prise en charge plus intense et prolongée avec le rééducateur. La place de l’électrostimulation reste à préciser. Les résultats obtenus grâce à l’utilisation des cônes vaginaux sont équivalents au renforcement musculaire avec ou sans biofeedback ou à l’électrostimulation. On ne sait pas si l’effet de la rééducation périnéale avec renforcement musculaire a encore un effet après un an. Dans l’incontinence urinaire d’effort, la rééducation périnéale encadrée par un rééducateur en première intention évite l’intervention chirurgicale dans la moitié des cas à un an. La rééducation périnéale est le traitement de première intention de l’incontinence urinaire du post-partum. Son effet préventif est incertain. Le renforcement des muscles du plancher pelvien semble réduire les symptômes associés au prolapsus génital. En conclusion, la rééducation périnéale encadrée par un rééducateur est un traitement efficace, à court terme, pour réduire les symptômes d’incontinence urinaire ou de prolapsus génital. Our goal is to provide an update on the results of pelvic floor rehabilitation in the treatment of urinary incontinence and genital prolapse symptoms. Pelvic floor muscle training allows a reduction of urinary incontinence symptoms. Pelvic floor muscle contractions supervised by a healthcare professional allow cure in half cases of stress urinary incontinence. Viewing this contraction through biofeedback improves outcomes, but this effect could also be due by a more intensive and prolonged program with the physiotherapist. The place of electrostimulation remains unclear. The results obtained with vaginal cones are similar to pelvic floor muscle training with or without biofeedback or electrostimulation. It is not known whether pelvic floor muscle training has an effect after one year. In case of stress urinary incontinence, supervised pelvic floor muscle training avoids surgery in half of the cases at 1-year follow-up. Pelvic floor muscle training is the first-line treatment of post-partum urinary incontinence. Its preventive effect is uncertain. Pelvic floor muscle training may reduce the symptoms associated with genital prolapse. In conclusion, pelvic floor rehabilitation supervised by a physiotherapist is an effective short-term treatment to reduce the symptoms of urinary incontinence or pelvic organ prolapse. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2015
- Full Text
- View/download PDF
15. Traitement du prolapsus génital en soins primaires : une revue de la littérature
- Author
-
Dumont, Claire, Thèses d'exercice et mémoires - UFR de Médecine Montpellier-Nîmes, Université de Montpellier (UM), and Laure Panel
- Subjects
Revue de littérature ,Soins primaires ,MESH: Pessaires ,Rééducation pelvienne ,Renforcement musculaire pelvi-périnéal ,MESH: Médecine générale ,Prolapsus génital ,Traitement ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
Le prolapsus génital est une pathologie invalidante dont la fréquence est amenée à augmenter avec le vieillissement de la population. À ce jour, il n’existe pas de recommandations portant sur le traitement du prolapsus en soins primaires. Objectifs : déterminer les traitements du prolapsus génital accessibles en soins primaires et en préciser les modalités de prescription, efficacité, tolérance, observance et coût. Comparer les données issues de cette revue de littérature avec les recommandations de bonnes pratiques de la HAS à paraître. Méthode : la recherche a été effectuée du 2 au 11 novembre 2020 au sein des bases de données Pubmed, Cochrane Library, Science Direct, Ovid, LiSSa et Google Scholar. La littérature grise a été explorée au sein de revues de médecine générale et de gynécologie (DocDocPro, Prescrire, Exercer, Gynécologie Obstétrique Pratique, Journal of Obstetrics and Gynecology Canada) ainsi que de bases de données (SUDOC, HAL et Open Grey). Les articles devaient dater de moins de 10 ans et ne concerner que des thérapeutiques accessibles en soins primaires. Résultats : trente et une études ont été incluses. Les traitements les plus étudiés sont la rééducation pelvienne et les pessaires. La rééducation pelvienne accompagnée de conseils d’hygiène de vie semble améliorer la qualité de vie des patientes présentant un prolapsus de stade 1-2, avec une bonne tolérance et observance. Les résultats en termes d’amélioration des symptômes sont divergents. Les pessaires constitueraient un traitement efficace des prolapsus de stade 2-4, tant sur le plan des symptômes que de la qualité de vie. Des effets indésirables sont rapportés, l’observance au long court est bonne. Conclusion : la rééducation pelvienne et les pessaires seraient des traitements adaptés à la prise en charge du prolapsus génital en soins primaires. D’autres études sont nécessaires pour préciser les indications propres à chaque type de pessaire et déterminer l’efficacité de la rééducation pelvienne en termes de symptômes.
- Published
- 2021
16. Douleur pelvi-périnéales et prolapsus génital : revue de la littérature
- Author
-
Thibault Riant, M.A. Perrouin-Verbe, A. Lesveque, A. Mortier, G. Meurette, V. Dochez, Thibault Thubert, Claire Cardaillac, S. Ploteau, Groupe de RecherchE CliniquE en Neuro-urologie [CHU Tenon] (GREEN GRC 01), CHU Tenon [AP-HP], Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP), CIC - Bordeaux, and Université Bordeaux Segalen - Bordeaux 2-CHU Bordeaux [Bordeaux]-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)
- Subjects
Gynecology ,medicine.medical_specialty ,business.industry ,Urology ,Pelvic pain ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,030232 urology & nephrology ,3. Good health ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Medicine ,medicine.symptom ,Prolapsus genital ,business - Abstract
Resume Introduction Les douleurs pelvi-perineales postchirurgie du prolapsus genital sont des complications postoperatoires graves et frequentes dont le diagnostic et le traitement peuvent etre complexes. Materiels et methodes Nous avons realise une revue de la litterature sur la base de donnees Pubmed en utilisant les mots et MeSH suivants : genital prolapse, pain, dyspareunia, genital prolapse and pain, genital prolapse and dyspareunia, genital prolapse and surgery, pain and surgery. Resultats Parmi les 133 articles trouves, 74 ont ete retenus. Les douleurs pelvi-perineales chroniques evoluent depuis plus de 3 mois selon l’International Association for the Study of Pain, et peuvent etre de type nociceptif, neuropathique ou dysfonctionnel. Leur definition est avant tout clinique. Leur incidence varie de 1 a 50 % et les facteurs de risques suspectes sont un âge jeune, des comorbidites, un antecedent de chirurgie de prolapsus, un stade eleve de prolapsus, des douleurs preoperatoires, une voie d’abord chirurgicale invasive, la pose simultanee de plusieurs protheses, une moindre experience de l’operateur, une duree importante d’intervention et des douleurs postoperatoires precoces. La voie vaginale peut favoriser une modification de la compliance ou de la longueur vaginale, des lesions des nerfs pudendaux, sciatiques ou obturateurs ou un syndrome myofascial pelviens ; la voie cœlioscopique est a risque de lesion des nerfs parietaux ; la chirurgie prothetique implique des complications liees aux modifications de prothese. La prise en charge therapeutique est complexe et doit etre multimodale et pluridisciplinaire. Conclusion Les connaissances sur les douleurs pelvi-perineales apres chirurgie du prolapsus genital sont encore limitees a ce jour.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
17. Comparaison des complications et des résultats fonctionnels après double promontofixation cœlioscopique par agrafage ou suture de la prothèse postérieure pour la cure du prolapsus génital.
- Author
-
Bui, C., Ballester, M., Chéreau, E., Guillo, E., and Daraï, E.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
18. Faisabilité du traitement concomitant du prolapsus rectal et génital par prothèse par voie vaginale avec rectopexie.
- Author
-
Bot-Robin, V., Drain, A., Lucot, J.-P., Poncelet, E., Quinton, J.-F., and Cosson, M.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
19. Réparation cœlioscopique des prolapsus des organes pelviens par suspension prothétique latérale : une série continue de 218 patientes
- Author
-
Dubuisson, J.-B., Eperon, I., Jacob, S., Dubuisson, J., Wenger, J.-M., Dallenbach, P., and Kaelin-Gambirasio, I.
- Subjects
- *
LAPAROSCOPY , *POLYPROPYLENE , *VAGINAL vault prolapse , *UTERUS , *RECTOCELE , *CARDIOPULMONARY system , *DISEASES , *SURGICAL excision , *PELVIC organ prolapse - Abstract
Abstract: Objectives: To evaluate the technique of laparoscopic lateral colpo-uterine suspension using a mesh to treat pelvic organ prolapse, with a sufficient follow-up. Patients and methods: The technique consists of two steps. First, the lateral suspension of the vaginal vault and of the uterus is performed using a polypropylene mesh placed in the vesicovaginal septum as a transversal hammock. The second step is the application of a polypropylene patch to the posterior surface of the vagina and the rectovaginal septum. The transversal hammock is placed laterally by the tension-free fixation of the mesh to the lateral abdominal wall above the iliac crests. Between January 2004 and December 2007, 218 patients were treated. It is a continuous series including all the patients needing a surgical procedure to treat a genital prolapse. We excluded, from the study, the patients with a severe cardiorespiratory disease and the cases of isolated rectocele. Results: We observed a recurrence of the prolapse in thirty patients (13.76%). A reoperation was performed in 10 patients (4.6%). One complication was related to the technique of lateral suspension (bladder injury immediately sutured 0.46%). A mesh erosion was noted in 13 cases (5.96%), nine were treated by vaginal excision of the mesh (4.12%). Conclusions: The laparoscopic lateral colpo-uterine suspension using a mesh corrects the pelvic organ prolapse with a predominant cystocele or rectocele. It is an interesting alternative to the other procedures because of the low risk of complications and the satisfactory results. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
20. Étude préliminaire de l'évaluation de la qualité de vie comme critère décisionnel pour la chirurgie du prolapsus génital.
- Author
-
Chauvin, C., Ballester, M., Chéreau, E., Rouzier, R., and Daraï, E.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
21. Testing périnéal et incontinence urinaire masquée dans l'évaluation clinique des prolapsus génitaux.
- Author
-
Deffieux, X., Trichot, C., Bontoux, L., Demoulin, G., Thubert, T., and Faivre, E.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
22. Comparaison entre suture et agrafage de la prothèse postérieure lors de promontofixation cœlioscopique
- Author
-
Bui, C., Ballester, M., Chéreau, E., Guillo, E., and Daraï, E.
- Subjects
- *
STAPLERS (Surgery) , *COMPARATIVE studies , *PROSTHETICS , *LAPAROSCOPIC surgery , *QUALITY of life , *POSTOPERATIVE care , *LENGTH of stay in hospitals - Abstract
Abstract: Objective: To compare the morbidity, functional results and quality of life after laparoscopic promontofixation for the cure of genital prolapsed according with the type of fixation of the posterior mesh. Patients and method: From 2001 to 2009, 89 patients with genital prolapse of grade greater than or equal to 2 (POP-Q classification) were operated on by laparoscopy including 47 patients with the suture of the posterior mesh (group suture) and 39 patients with staplin (group staples). Complications per- and postoperative were assessed. Quality of life was evaluated using the questionnaires Pelvic Floor Distress Inventory (PFDI 20), Pelvic Floor Impact Questionnaire (PISQ 7) and Pelvic Organ Prolaps/Urinary Incontinence Sexual Questionnaire (PISQ 12). Results: Except for the mean parity that was higher in the group staples, no difference was found between the groups in the mean age, prior surgery, and genital prolapsed stage. Operating time was shorter in the group staples (P =0.005). No difference was found between the groups in the rate of intra- and postoperative complications. Hospital stay was shorter for the group staples (P =0.007). No difference between the groups was found in de novo symptoms, as well as in the improvement of quality of life. Conclusion: Our results support that stapling of the posterior mesh for the laparoscopic promontofixation is associated with decrease in operating time and hospital stay compared to the suture without affecting functional results and quality of life. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
23. Complications de la double promontofixation cœlioscopique pour la cure du prolapsus génital.
- Author
-
Bui, C., Ballester, M., Chéreau, E., Guillo, E., and Daraï, E.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
24. Cure de rectocèle par prothèse type Transvaginal Mesh et compression rectale: à propos de trois cas.
- Author
-
Emmanuelli, V., Rubod, C., Poncelet, E., Lucot, J.-P., Quinton, J.-F., and Cosson, M.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
25. Résultats fonctionnels et qualité de vie après double promontofixation cœlioscopique pour la cure du prolapsus génital
- Author
-
Bui, C., Ballester, M., Chéreau, E., Guillo, E., and Daraï, E.
- Subjects
- *
SACRUM diseases , *LAPAROSCOPY , *HEALTH outcome assessment , *QUALITY of life , *UTERINE prolapse , *POSTOPERATIVE care , *PELVIC floor , *CLINICAL trials , *PATIENTS - Abstract
Abstract: Objective: To evaluate the feasibility and morbidity of laparoscopic promontofixation in the cure of genital prolapse. Patients and method: From March 2001 to January 2009, 101 patients with genital prolapse of grade greater than or equal to 2 (POPQ classification) were operated by laparoscopy. Complications per and postoperative as well as patient satisfaction were assessed. Quality of life was evaluated using the questionnaires Pelvic Floor Distress Inventory (PFDI 20), Pelvic Floor Impact Questionnaire (PISQ 7) and Pelvic Organ Prolaps/Urinary Incontinence Sexual Questionnaire (PISQ 12). Results: The mean operative time was 196min including the time for hysterectomy done in 83% of cases. The peroperative complication rate was 7% including two bladder and one rectal injuries and 4% of laparoconversion. The postoperative complication rate was 16% corresponding to 3/4 of retention of urine. Two pelvic hematomas were observed. The distance complication rate was 3% corresponding to a vaginal erosion, a spondylodiscitis and a case of persistent pelvic pain requiring removal of material. With a mean follow-up of 30.7 months, 81% patients declared themselves satisfied with the intervention. In intention to treat, the satisfaction rate was only 67.3%. A significant improvement in quality of life was observed using the questionnaire PFDI 20 (p < 0.0001), PFIQ 7 (p < 0.0001) et PISQ 12 (p < 0.001). Discussion and conclusion: Our results confirm the feasibility of the laparoscopic promontofixation with a quality of life improvement but also highlights the existence of significant morbidity requiring further trials for the choice of surgical approach for the treatment of genital prolapse. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
26. Troubles anorectaux après chirurgie du prolapsus génital.
- Author
-
Deffieux, X., Thubert, T., Trichot, C., Donnadieu, A.-C., and Faivre, E.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
27. Diagnostic et prise en charge de l'incontinence urinaire d'effort de la femme adulte. Recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF).
- Author
-
Fritel, X., Fauconnier, A., Bader, G., Cosson, M., Debodinance, P., Deffieux, X., Denys, P., Dompeyre, P., Faltin, D., Fatton, B., Haab, F., Hermieux, J.-F., Kerdraon, J., Mares, P., Mellier, G., Michel-Laaengh, N., Nadeau, C., Robain, G., Tayrac, R., and Jacquetin, B.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
28. Périnée et grossesse
- Author
-
Fritel, X.
- Subjects
- *
PERINEUM , *PREGNANCY , *OBESITY , *AGE factors in disease , *PELVIC floor , *URINARY incontinence , *PELVIC organ prolapse , *DIAGNOSTIC ultrasonic imaging , *DISEASES , *DISEASE risk factors - Abstract
Abstract: Congenital factor, obesity, aging, pregnancy and childbirth are the main risk factors for female pelvic floor disorders (urinary incontinence, anal incontinence, pelvic organ prolapse, dyspareunia). Vaginal delivery may cause injury to the pudendal nerve, the anal sphincter, or the anal sphincter. However the link between these injuries and pelvic floor symptoms is not always determined and we still ignore what might be the ways of prevention. Of the many obstetrical methods proposed to prevent postpartum symptoms, episiotomy, delivery in vertical position, delayed pushing, perineal massage, warm pack, pelvic floor rehabilitation, results are disappointing or limited. Caesarean section is followed by less postnatal urinary incontinence than vaginal childbirth. However this difference tends to disappear with time and following childbirth. Limit the number of instrumental extractions and prefer the vacuum to forceps could reduce pelvic floor disorders after childbirth. Ultrasound examination of the anal sphincter after a second-degree perineal tear is useful to detect and repair infra-clinic anal sphincter lesions. Scientific data is insufficient to justify an elective cesarean section in order to avoid pelvic floor symptoms in a woman without previous disorders. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2010
- Full Text
- View/download PDF
29. Facteurs de risque d’exposition de prothèse dans les cures de prolapsus génital par voie vaginale
- Author
-
Guillibert, F., Chêne, G., Fanget, C., Huss, M., Seffert, P., and Chauleur, C.
- Subjects
- *
UTERINE prolapse , *SURGICAL complications , *RETROSPECTIVE studies , *HYSTERECTOMY , *HORMONE therapy , *AGE factors in disease , *DISEASE risk factors ,VAGINAL surgery - Abstract
Abstract: Objectives: We analysed the risk factors of vaginal surgery of pelvic organ prolapse with non resobable prothesis. Patients and methods: This is a continuous, retrospective study of the 208 patients who had surgery between 2003 and 2007. Depending on the localisation of the prolapse, they had a prothesis under the bladder and/or a posterior tape through the sacrospinous ligament. An hysterectomy and a levator myorraphy were done if necessary. Results: After a 3 years follow-up, we found 16,8% mesh exposure (23% were treated by a conservative way). The highest rate of incidence was at 4 and 10 months. The independent risk factors of exposure were the kind of prothesis, age under 60 and concomitant hysterectomy. Women treated by vaginal estrogens and those operated by the most experienced surgeon had less exposure. We had 5% of complications during the surgery. Discussion and conclusion: Hysterectomy, kind of prothesis and inverted T colpotomy of Crossen are well known risk factors. Age, stage of prolapse, size of prothesis and surgeon experience are discussed. Vaginal surgery of pelvic organ prolapse with non resobable prothesis must be used only when prolapse stage is higher than 3, hysterectomy has to be avoid and vaginal estrogens must be prescribed. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
30. Symptômes et qualité de vie dans le prolapsus génital.
- Author
-
Tayrac, R. and Marès, P.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
31. Traitement du prolapsus génital chez la femme jeune : voie vaginale ou voie cœlioscopique ?
- Author
-
Delarue, E., Collinet, P., Sabban, F., Lucot, J.-P., and Cosson, M.
- Subjects
- *
UTERINE prolapse , *FERTILITY , *SURGERY , *WOMEN , *OPERATIVE surgery , *YOUNG women , *MEDICAL care ,VAGINAL surgery - Abstract
Even if genital prolapse does particularly affect the elder woman, we often have to face a surgical demand with conservation of the uterus from a patient less than 50 years. Before making the decision of treating a non life-threatening symptom by a specific surgical technique, it is important to ask who should be operated and when. Then, the route of the surgery has to be chosen considering that the woman wants to preserve her fertility. In the past decade, some surgical acts, like the sacrohysteropexy, were known as having poorer results if the women got pregnant. Thus, if there was a persistent childbearing desire, more interventions allowing pregnancy (like the Manchester’s or the Richardson’s procedures) were preferred. Nowadays, the sacrohysteropexy is considered as the gold standard technique, but one question is coming out: could we substitute this traditional surgery by a vaginal repair with meshes? Despite the big diversity of the so-called “sacrohysteropexy”, we think that it remains the first choice technique to cure a young woman. Vaginal meshes have too high a rate of morbidity (especially on sexual activity) to be considered as the best surgical treatment. But this question could probably find another answer in the future, when all the studies about the component of the meshes will be finished. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
32. Chirurgie du prolapsus : cœlioscopie ou voie basse ?
- Author
-
Descargues, G., Collard, P., and Grise, P.
- Subjects
- *
LAPAROSCOPY , *UTERINE surgery , *UTERINE prolapse , *HYSTERECTOMY , *PROSTHETICS ,VAGINAL surgery - Abstract
Objective: To compare the safety and the efficacy of the laparoscopic and vaginal technique for the surgical management of pelvic organ prolapse, with systematic support of the three compartments and prosthetic reinforcements. Patients and methods: Retrospective study of 154 patients presenting a stage 3 or 4 prolapse on one of the three compartments. Laparoscopic procedures were performed with subtotal hysterectomy, double synthetic prosthesis attached to promontory, and douglassectomy. Vaginal procedures were performed with vaginal hysterectomy, anterior colporrhaphy with a hammock using porcine skin collagen implant fixed by transobturator passages, unilateral sacral colpopexy and posterior colporrhaphy. Monitoring was performed at six months and then annually. Results: The laparoscopic technique requires a more important operating time, but a shorter hospitalization. The discovery of three carcinoma reinforces the idea of the interest of uterine radical surgery in these patients. The tolerance of prostheses by laparoscopy is safe. The biological prostheses, introduced vaginally, offer the same advantages. The anatomical results in the medium term (30 months) seem more favourable to laparoscopy than transvaginal approach, as well as functional results but they still need to better evaluated. Discussion and conclusion: The two techniques must coexist, ideally without competing with each other but rather complementarily, as the overall rate of recurrence, requiring additional procedure does not exceed 2%. It is therefore important that surgeons, who support prolapse, have a good comprehensive training of the laparoscopic and vaginal techniques. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
33. Dyspareunies postopératoires.
- Author
-
Clouqueur, E., Lucot, J., Collinet, P., and Cosson, M.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
34. Utilisation pratique des pessaires.
- Author
-
Courtieu, C., Panel, L., and Mirabel, X.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
35. Traitement chirurgical du prolapsus du quatrième âge. À propos d’une série continue de 43 cas
- Author
-
Rathat, G., Yazbeck, C., Ebrard, M., Guglielminotti, J., Levin, I., and Madelenat, P.
- Subjects
- *
QUALITY of life , *OLDER women , *DIAGNOSIS of female reproductive organ diseases , *UTERINE surgery , *UTERINE prolapse , *DISPLACEMENT of the uterus - Abstract
Abstract: Objectives: To evaluate surgical treatment for genital prolapse in patients over the age of 75. Patients and methods: This is a continuous retrospective series of 43 patients operated for genital prolapse between March 2001 and October 2006. Surgical outcomes in terms of anatomical correction as well as urological and proctological results were analyzed. Morbidity and mortality studies were carried out. A satisfaction and quality of life assessment was carried out among 19 patients (44%) by an independent researcher at a distance from the intervention. Results: Morbidity attributable to the surgery was minimal, with no cases of mortality. Mean hospital stay was five days. Anatomical correction was good without troubling urological or proctological consequences. Two surgical options were compared: surgery with vaginal occlusion in 23 patients (53.5%) and vaginal conserving surgery in 20 patients (46.5%). Surgical outcomes and morbidity were equivalent in the two groups. Seventy-nine percent of patients surveyed at a distance from the interventions estimated that the procedure had improved their quality of life. Discussion and conclusion: Surgical treatment for genital prolapse in the very elderly population is a reasonable therapeutic option. Postoperative evaluation demonstrates good anatomical as well as functional results in the majority of cases. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
36. Étude histologique de la paroi vaginale antérieure dans le prolapsus génital récidivé.
- Author
-
Badiou, W., Granier, G., Bousquet, P., Monrozies, X., Mares, P., and Tayrac, R.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
37. Le traitement des rectocèles à l’épreuve des preuves.
- Author
-
Siproudhis, L.
- Abstract
Copyright of Colon & Rectum is the property of Lavoisier and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
38. Chirurgie du prolapsus génital de la femme âgée de plus de 70 ans : revue de la littérature.
- Author
-
Menard, J.-P., Mulfinger, C., Estrade, J.-P., Agostini, A., and Blanc, B.
- Subjects
- *
WOMEN'S health , *TREATMENT of diseases in women , *RECTAL prolapse , *UTERINE prolapse - Abstract
Objective: The purpose of the study was to report surgical techniques for pelvic organ prolapse and complications in women aged more than 70 years. Patients and methods: A Medline® search was made for articles indexed between 2000 and 2006 and dealing with operative techniques for pelvic organ prolapse. Seven articles in English and French were included. Results: Three hundred and ninety-four women were treated for pelvic organ prolapse. Transvaginal repairs were reported in 97% (384 women). Vaginal function was preserved in 57% (207 women) and vaginal obliteration techniques represented 40% (145 women) of all prolapse surgery. The death rate was 1% (four deaths). The blood transfusion rate was 12%. The mean complication rate was 3.8% with cardiovascular prevalence (seven pulmonary embolisms, two myocardial infarctions, two congestive heart failures, one prolonged angina, two transient arrhythmias, one cerebrovascular accident, one acute renal failure). The temporospatial disorientation rate was 4.6%. Discussion and conclusion: Vaginal hysterectomy with colpo-perineorrhaphy and sacrospinous ligament fixation are alternative procedures instead of colpocleisis to treat pelvic organ prolapse in women aged more than 70 years. For all pelvic prolapse surgery, the overall perioperative morbidity and mortality rate in elderly women are acceptable. This surgery needs a good collaboration between anesthetist and surgeon team and vigilance during postoperative follow-up. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
39. Colpopexie infracoccygéale translévatorienne postérieure (IVS): faisabilité et premiers résultats d'une série continue de 108 cas
- Author
-
von Theobald, P. and Labbé, E.
- Subjects
- *
UTERINE surgery , *UTERINE prolapse , *CYSTOCELE , *THERAPEUTIC complications , *PREOPERATIVE risk factors , *MEDICAL equipment , *THERAPEUTICS - Abstract
Objective: We present a continuous series of 108 patients operated for genital prolapse by vaginal route using the Posterior Intravaginal Slingplasty (PIVS) technique (IVS 02® Tyco Healthcare™, polypropylene multifilament band), associated to prosthetic repair of cystocele and/or rectocele if present by interposition of a mesh (Surgipro® Mesh Tyco Healthcare™). Patients and methods: Inclusion criteria were C and/or D point superior to –1 cm. The main criterion is the assessment of feasibility, morbidity and anatomical results obtained for the treatment of level 1 genital prolapse with an average follow-up of 19 months. The secondary criterion is to assess the same elements for the treatment of associated cystocele and rectocele. Results: Seventy-three patients presented with a cystocele (Ba>–1 cm) and eighty-seven with a rectocele (Bp>–1 cm). Nineteen patients had a hysterectomy, twenty had amputation of the cervix and forty-nine were treated for stress urinary incontinence by anterior IVS. Perioperative complications consisted of seven bladder injuries, one injury to the lower rectum during dissection. Postoperative complications were: a loss more than 2 g haemoglobin for seven patients, two haematomas in the cave of Retzius, one haematoma of the pararectal fossa with secondary superinfection requiring mesh removal. Three erosions occurred: two in front of the vesicovaginal prosthesis and one in front of the recto-vaginal prosthesis. The latter became secondarily super infected and had to be removed. With regard to the anatomical result, one failure was noted for the Posterior IVS excluding the two patients in whom the prosthetic material had to be removed. For the anterior compartment, eight failures occurred. From a functional perspective, we noted one case of dyspareunia due to fibrous retraction and seven patients complained of de novo stress urinary incontinence and eight of moderate voiding obstruction. Discussion and conclusions: The technical feasibility is excellent. Feasibility of level 2 repair, anterior or posterior, but results on cystocele are insufficient in case of lateral defect. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2007
- Full Text
- View/download PDF
40. Suspension du fond du vagin par bandelette transobturatrice postérieure
- Author
-
Mellier, G., Gertych, W., Lamblin, G., Chabert, P., and Mathevet, P.
- Subjects
- *
SURGICAL & topographical anatomy , *SEXUAL dysfunction , *LONGITUDINAL method ,VAGINAL surgery - Abstract
Abstract: Objective: A study on the feasibility and safety of a new surgical procedure of vaginal vault suspension using a polypropylene mesh placed in the uterovaginal septum by a posterior transobturator approach. Patients and methods: Longitudinal study from March 2002 to January 2006 of patients treated by this new surgical procedure. Postoperative visits, including an interview and a physical examination were made at two, six and 12 months and annually thereafter. The minimal required follow-up time was 12 months up to January 2007. Results: Seventy-eight patients were included. Three cases of intraoperative bleeding occurred. In these cases no transfusion was required and no complications were observed later on. The mean hospital stay was five days (range 3–9). The mean follow-up time was 20.36 months (range 12–48). Six recurrences were observed in the medial compartment (8%) and two anterior recurrences (2%). There was no recurrence in the posterior compartment. New-onset moderate dyspareunia was noted in 13% of the cases and a severe in two cases. No erosion occurred. Discussion and conclusion: The analysis of our experience shows that vaginal vault suspension by posterior transobturator approach is a safe and simple procedure, and demonstrates its median efficacy. Further, this study should confirm these results over the long-term follow-up. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2007
- Full Text
- View/download PDF
41. Traitement des expositions prothétiques vaginales après mise en place d’une prothèse sous-vésicale pour cystocèle.
- Author
-
Deffieux, X., Huel, C., de Tayrac, R., Gervaise, A., Chevalier, N., Bonnet, K., Frydman, R., and Fernandez, H.
- Abstract
Copyright of Pelvi-Perineologie is the property of Springer Nature and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
- Published
- 2006
- Full Text
- View/download PDF
42. Prolapsus et colpocèle antérieure. Double promontofixation cœlioscopique. Technique
- Author
-
Mandron, E. and Bryckaert, P.-E.
- Subjects
- *
GENITOURINARY diseases , *UROLOGY , *HUMAN anatomy , *LAPAROSCOPIC surgery , *LAPAROSCOPY - Abstract
Abstract: Genito-urinary prolapse is a common disease that requires a global approach which includes all the compartments. Sacrocolpopexy with anterior and posterior mesh allows long-lasting anatomical restoration with a preservation of the sexual function. The laparoscopic approach is a modern and efficient answer for this functional surgery. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2005
- Full Text
- View/download PDF
43. Comment je fais… simplement une colpopérinéorraphie antérieure et postérieure sans prothèse (avec vidéo)
- Author
-
E Cerruto, Georges Mellier, Gautier Chene, K Lebail-Carval, Gery Lamblin, Erdogan Nohuz, P. Chabert, Ciblage thérapeutique en Oncologie (EA3738), Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL), and Université de Lyon-Université de Lyon
- Subjects
medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,Vaginal route ,business.industry ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,Obstetrics and Gynecology ,Video-Audio Media ,Surgery ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Reproductive Medicine ,Medicine ,030212 general & internal medicine ,Prolapsus genital ,business - Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
44. Apport de l’IRM dynamique dans la nature de la prise en charge chirurgicale des prolapsus génitaux avec signes cliniques d’atteinte du compartiment postérieur
- Author
-
Commissaire, Marine, Université Paris Descartes - Faculté de Médecine (UPD5 Médecine), Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5), and Christine Louis-Sylvestre
- Subjects
IRM dynamique ,Prolapsus du compartiment postérieur ,Dynamic pelvic floor MRI ,Surgical Management ,Posterior wall prolapse ,Prolapsus génital ,MESH: Magnetic Resonance Imaging, Cine ,Prise en charge chirurgicale ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology ,Pelvic organ prolapse - Abstract
Introduction: the purpose of this study was to determine the effect of dynamic pelvic floor MRI (dMRI) findings on surgical management of patients with pelvic organ prolapse (POP) presenting with symptoms correlated with posterior wall prolapse. Methods: we conducted a retrospective cohort study from 2017, January to 2018, December, in a french surgical facility, specialized in gynecologic functional surgery. All patients were referred for surgical management of POP. After clinical evaluation, the recommended surgical procedure was written in the medical file. In case of a clinical suspicion of a posterior wall prolapse, dMRI was prescribed. Surgical strategy was reevaluated in light of imaging findings. Results: out of 50 patients, dMRI was considered adequate in 47 of them (94%). Overall, the surgical procedure was modified 14 times (28%). Regarding rectoceles, radiological assessment was different from the physical exam’s in 29 cases: in 1 case it had been missed; 20 rectoceles were suspected clinically but not confirmed by MRI, in 8 cases the size of the rectoceles was reevaluated. Following dMRI, surgery was modified in 8 cases (27.6%). Regarding hernia of the Douglas pouch, radiological assessment was different in 16 cases: 8 had been missed; 8 were suspected clinically but not confirmed by MRI. These results led to 5 procedure changes (31.2%). Conclusion: dMRI findings help define clinical evaluation of posterior POP, and sometimes lead to a change in procedure choice.; Introduction : le but de ce travail a été d’évaluer l’apport de l’IRM dynamique (IRMd) dans la nature de la prise en charge chirurgicale des prolapsus génitaux (POP) avec signes cliniques d’atteinte du compartiment postérieur. Méthodes : une étude de cohorte rétrospective a été menée entre janvier 2017 et décembre 2018 dans un centre de chirurgie gynécologique spécialisé en chirurgie fonctionnelle. Les patientes avaient toutes été adressées pour prise en charge chirurgicale d’un POP. Après évaluation clinique, la nature de l’intervention préconisée a été inscrite dans le dossier. Une IRMd a ensuite été réalisée en cas de suspicion d’atteinte du compartiment postérieur. Le chirurgien a ensuite réévalué le type de chirurgie à l’aide des résultats. Résultats : sur 50 patientes inclues, l’IRMd a été jugée de qualité satisfaisante pour 47 (94%). La nature de l’intervention chirurgicale a été changée au total 14 fois (28%). Concernant la rectocèle, l’évaluation radiologique a différé de la clinique dans 29 cas : un cas avait été méconnu par l’examen clinique seul ; 20 suspicions cliniques ont été infirmées, la taille de la rectocoele a été réévaluée dans 8 cas. La décision chirurgicale a été changée 8 fois (27,6%) Pour les élytrocèles, l’évaluation radiologique a différé dans 16 cas : 8 n’avaient pas été diagnostiqués ; 8 suspicions ont été infirmées. En conséquence la décision chirurgicale a été modifiée 5 fois (31,2%). Conclusion : l’IRMd aide à préciser l’évaluation du POP pour l’étage postérieur et conduit parfois à adapter le geste opératoire.
- Published
- 2019
45. Prise en charge en ambulatoire des cures de prolapsus génitaux de la femme : étude prospective multicentrique
- Author
-
Ricard, Cécilia, Université Grenoble Alpes - UFR Médecine (UGA UFRM), Université Grenoble Alpes [2016-2019] (UGA [2016-2019]), and François Istasse
- Subjects
Chirurgie ambulatoire ,Prolapsus génital ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology ,Promontofixation - Abstract
Objective: Evaluate outpatient management of vaginal prolapse surgery (with mesh) and laparoscopy (sacrocolpopexy). Methods: This is a prospective, multicentric study. It was divided in two parts: a feasibility study, where patients were treated under ambulatory conditions, but kept overnight for observation. In the second part of the study, the patients included were those really operated on as outpatients. The main judgement criterion was the ambulatory's success, conditioned by the validation of the Chung score and the voiding recovery of the patients. Results: From September 1, 2017 to February 1, 2019, 25 patients were included in the first part of the study, and 15 in the second part. The feasibility of the ambulatory was validated for 17 patients (85%) operated by the vaginal procedure, and the 5 patients (100%) operated by laparoscopy. In the second part of the study, the ambulatory was a success for the 15 patients included, 2 by the vaginal route and 13 by laparoscopy. Conclusions: Outpatient management of prolapse is possible. The success of this strategy depends in particular on a good selection and information of patients, as well as dedicated protocols. A randomized multicenter study would confirm our results.; Objectif : Évaluer la prise en charge ambulatoire des cures de prolapsus antérieurs et moyens par voie basse (avec pose de prothèse intervésico vaginale) et cœlioscopie (promontofixation antérieure). Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective, multicentrique, ouverte. Elle a été divisée en deux parties : une étude de faisabilité dans un premier temps, où les patientes étaient prises en charge dans les conditions de l’ambulatoire, mais gardées une nuit en observation. Dans la deuxième partie de l’étude, les patientes inclues étaient celles réellement opérées en ambulatoire. Le critère de jugement principal était la réussite de l’ambulatoire, conditionnée par la validation du score de Chung et la bonne reprise mictionnelle des patientes. Résultats : Entre le 1er septembre 2017 et le 1er février 2019, 25 patientes ont été inclues dans la première partie de l’étude, et 15 dans la deuxième partie. La faisabilité de l’ambulatoire a été validée pour 17 patientes (85%) opérées par voie basse, et les 5 patientes (100%) opérées par cœlioscopie. Dans la deuxième partie de l’étude, l’ambulatoire a été une réussite pour les 15 patientes inclues, soit 2 par voie basse et 13 par cœlioscopie. Conclusion : La prise en charge en ambulatoire des cures de prolapsus par voie basse avec mise en place d’une prothèse ou par cœlioscopie avec promontofixation est réalisable. La réussite de celle-ci passe notamment par une bonne sélection et information des patientes, ainsi que des protocoles dédiés. Une étude multicentrique randomisée permettrait de conforter nos résultats.
- Published
- 2019
46. Une interposition prothétique synthétique inter-vésico-vaginale implantée par voie vaginale diminue-t-elle le risque de récidive de cystocèle ? Recommandations pour la pratique clinique
- Author
-
Brigitte Fatton, F. Cour, X. Deffieux, L. Donon, and L. Le Normand
- Subjects
Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,Prolapsus genital ,business ,Vaginal surgery - Abstract
Resume Introduction L’utilisation d’une prothese de renfort inter-vesico-vaginale a ete largement employee pour tenter de diminuer les risques de recidive de prolapsus pour le traitement chirurgical des cystoceles par voie vaginale. Des complications specifiques, notamment a type d’erosion, ont conduit a des etudes randomisees comparant les chirurgies par voie vaginale avec et sans utilisation de prothese. Methodes Ce travail s’appuie sur une revue systematique de la litterature (PubMed, Medline, Cochrane Library, Cochrane Database of Systemactic Reviews, EMBASE) concernant les meta-analyses, essais randomises, registres, revues de la litterature, etudes controlees et grandes etudes non controlees publies sur le sujet. Sa realisation a suivi la methodologie de la Haute autorite de sante (HAS) concernant les recommandations pour la pratique clinique, avec un argumentaire scientifique (accompagne du niveau de preuve [NP]) et un grade recommandation (A, B, C et accord professionnel [AP]). Resultats L’utilisation de prothese synthetique inter-vesico-vaginale ameliore le resultat anatomique par rapport a la chirurgie autologue pour le traitement de la cystocele (NP1). Cependant, il n’y a pas de difference sur le resultat fonctionnel et on note une augmentation du nombre de reinterventions liees aux complications specifiques, notamment d’erosions vaginales. Conclusion Si l’utilisation de prothese synthetique inter-vesico-vaginale ameliore le resultat anatomique par rapport a la chirurgie autologue pour le traitement de la cystocele (NP1), l’absence de difference sur le resultat fonctionnel et l’augmentation du nombre de reinterventions liees aux complications specifiques, notamment d’erosions vaginales, ne plaident pas en faveur de l’utilisation systematique de prothese dans la cure de cystocele non recidivee de la femme. Elle doit etre discutee au cas par cas compte tenu d’un rapport benefices/risques incertain a long terme (grade B). Il convient d’etayer son utilisation par des etudes complementaires centrees sur des populations specifiques a risque de recidive. © 2016 Publie par Elsevier Masson SAS.
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
47. Chirurgie d’occlusion vaginale (colpocléisis) pour prolapsus génital : recommandations pour la pratique clinique
- Author
-
C. Trichot, L. Le Normand, J.-F. Hermieu, T. Thubert, X. Deffieux, and L. Donon
- Subjects
Gynecology ,03 medical and health sciences ,medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,0302 clinical medicine ,business.industry ,Urology ,Colpocleisis ,030232 urology & nephrology ,Medicine ,Prolapsus genital ,business ,Surgical treatment - Abstract
Resume Introduction La technique de colpocleisis demeurant largement utilise, nous avons souhaite realiser une revue de la litterature pour evaluer ses resultats et emettre des recommandations concernant cette procedure. Methodes Il s’agit d’une revue exhaustive de la litterature concernant le colpocleisis dans la cure de prolapsus, etablissement de niveaux de preuve (NP) et de grades de recommandation selon la methodologie des recommandations pour la pratique clinique Resultats A court terme, le colpocleisis est associe a une efficacite objective de 98 % (NP3) et a une efficacite subjective de 93 % (NP3). Une amelioration des symptomes (genitaux, urinaires et anorectaux) est observee, de meme qu’une amelioration de la qualite de vie (NP4) et de l’image corporelle (NP3) pour une grande majorite des patientes. A moyen terme (1 a 3 ans), 85 a 100 % des patientes se declarent satisfaites ou tres satisfaites (NP3). A moyen et long termes, 5 % des patientes regrettent d’avoir fait cette intervention (NP4). Le colpocleisis est associe a moins de complications par rapport aux autres techniques par voie vaginale chez les femmes de plus de 80 ans (NP2). Conclusion Les techniques d’occlusion vaginale (colpocleisis) sont une option envisageable pour le traitement du prolapsus chez les femmes ne souhaitant plus avoir de rapports sexuels par le vagin (grade C). Avant de « laisser en place » un uterus et de faire une fermeture vaginale qui rendra toute exploration uterine compliquee, il convient d’evaluer le risque de pathologie endometriale (grade C). © 2016 Publie par Elsevier Masson SAS.
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
48. Traitement du prolapsus génital par promontofixation laparoscopique : recommandations pour la pratique clinique
- Author
-
L. Le Normand, Laurent Wagner, Evelyne Ragni, J.-B. Terassa, S. Warembourg, N. Berrogain, G. Meurette, A. Vidart, Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes (CHU Nîmes), Centre hospitalier universitaire de Nantes (CHU Nantes), Centre Hospitalier de Versailles André Mignot (CHV), Université de Montpellier (UM), La Casamance, Clinique Ambroise Paré, Département d'Urologie [Hôpital Nord - APHM], and Aix Marseille Université (AMU)-Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (APHM)- Hôpital Nord [CHU - APHM]
- Subjects
Gynecology ,Surgical treatment ,medicine.medical_specialty ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,Sacral colpopexy ,business.industry ,Recommandations ,Urology ,030232 urology & nephrology ,Genital prolapse ,Prolapsus génital ,Guidelines ,[SDV.MHEP.UN]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Urology and Nephrology ,Traitement chirurgical ,Promontofixation ,3. Good health ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,medicine ,business - Abstract
Resume Introduction La promontofixation par laparotomie (PFL) a demontre son efficacite dans le traitement du prolapsus sur un grand nombre de patientes et avec un recul important. La technique laparoscopique reproduit les memes temps operatoires avec une morbidite reduite et beneficie depuis peu du developpement de l’assistance robotique. De nombreuses variantes techniques se sont developpees autour de cette intervention et rendent parfois difficile l’analyse des resultats. L’objectif de cet article est d’etablir des recommandations pratiques a partir des donnees de la litterature sur les differents aspects techniques operatoires. Methodes Ce travail s’appuie sur une revue exhaustive de la litterature concernant les meta-analyses, essais randomises, registres, revues de la litterature, etudes controlees et grandes etudes non controlees publies sur le sujet. Les recommandations ont ete elaborees par un groupe de travail multidisciplinaire puis relues et amendees par un groupe de relecteurs egalement multidisciplinaire (urologues, gynecologues, gastro-enterologues et chirurgiens). La methodologie suit au mieux les recommandations de la Haute autorite de sante (HAS) avec un argumentaire scientifique pour chaque question (accompagnee du niveau de preuve [NP] et les recommandations, gradees (A, B, C et accord d’experts) et validees a l’issue de la phase de relecture. Resultats Lors d’une cure de prolapsus genito-urinaire par promontofixation associant hystero- et vaginopexie anterieure, il n’y a pas d’argument pour mettre systematiquement une prothese posterieure inter-rectovaginale en prevention du risque de rectocele secondaire (grade C). En l’absence de colpocele posterieure, le benefice apporte par la prothese posterieure n’est, en effet, pas etabli (NP3). Le traitement par mise en place d’une prothese (posterieure) des rectoceles, elytroceles et enteroceles est mal evalue (NP3), il n’est donc pas possible de se prononcer sur leurs resultats dans ces indications (accord professionnel [AP]). Les indications consensuelles de la rectopexie ventrale laparoscopique sont representees par le prolapsus du rectum symptomatique (grade C), dont les resultats anatomiques et fonctionnels sont les mieux evalues (NP3). Il n’existe aucune donnee comparative de qualite qui permette de conclure sur le mode et le type de fixation des protheses de promontofixation. Nous ne pouvons que rapporter les usages les plus courants sans autre conclusion. La fixation de la prothese anterieure a l’isthme uterin et a la paroi vaginale anterieure est faite le plus souvent a l’aide de fils et au promontoire a l’aide de fils non resorbables. La grande majorite des auteurs conseille d’effectuer une peritonisation des protheses pour limiter le risque d’occlusion postoperatoire. Il est recommande d’utiliser des protheses non resorbables de type I (polypropylene macroporeux) ou de type III (polyester) et de ne plus utiliser les protheses de type II (polytetrafluoroethylene [PTFE], silicone) (grade C) en raison d’un taux eleve d’erosion prothetique en utilisant ces materiaux : PTFE (9 %) ou silicone (19 %) (NP3). En raison de resultats anatomiques inferieurs a court et moyen termes (NP2), l’utilisation de protheses biologiques n’est pas recommandee (grade B). Les resultats anatomiques et fonctionnels ne sont pas differents entre laparotomie et cœlioscopie (NP1), mais la comparaison des resultats a long terme entre les deux voies n’est pas etablie. La cœlioscopie permet une reduction des pertes sanguines, de la duree d’hospitalisation et de convalescence (NP1), et la gravite des complications postoperatoires est superieure en laparotomie. La voie cœlioscopique est donc recommandee lorsqu’une promontofixation est indiquee (grade B). Lors de la promontofixation cœlioscopique, il n’a pas ete montre de difference de resultats anatomique, et fonctionnel, que l’on ait recours ou non a une assistance robotique (NP2). Cette derniere n’ameliore pas les suites postoperatoires et ne diminue pas le taux de complications par rapport a la cœlioscopie (NP3). Il ne peut donc etre actuellement recommande l’assistance robotique par rapport a la cœlioscopie classique lors de la realisation d’une promontofixation (grade B). Conclusion La technique de promontofixation utilisant des protheses non resorbables permet de traiter les prolapsus des organes pelviens avec des bons resultats, avec peu de complications y compris en termes d’exposition et d’infection de protheses. Elle est consideree a ce titre comme la technique chirurgicale de reference a laquelle toutes les autres techniques de correction des prolapsus devraient se comparer. Il parait donc important d’etablir des recommandations claires sur les nombreuses variantes techniques operatoires qui se sont developpees autour de cette intervention. © 2016 Publie par Elsevier Masson SAS.
- Published
- 2016
- Full Text
- View/download PDF
49. [Uterine preservation or not during prolapse surgery: Review of the literature]
- Author
-
Joueidi, Y, Gueudry, P, Cardaillac, C, Vaucel, E, Lopes, P, Winer, Norbert, Dochez, Vincent, Thubert, T, Centre hospitalier universitaire de Nantes (CHU Nantes), Centre d’Investigation Clinique (CIC), Laboratoire GREEN, and Partenaires INRAE
- Subjects
Hystéropexie ,Genital prolapse ,Prolapsus génital ,[SDV.MHEP.GEO]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology/Gynecology and obstetrics ,Hysterectomy ,Hysteropexy ,Hystérectomie ,Gynecologic Surgical Procedures ,Postoperative Complications ,Uterine Prolapse ,Préservation utérine ,Humans ,Surgery ,Female ,Hystéro-préservation ,Hysteropreservation ,Uterine preservation ,Chirurgie ,Organ Sparing Treatments ,[SDV.MHEP]Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology - Abstract
Objective To evaluate the impact of hysterectomy in case of genital prolapse on the anatomical and functional results, and on per and post operative complications compared with uterine preservation. Material and Methods We conducted a review of the Pubmed, Medline, Embase and Cochrane literature using the following terms and MeSH (Medical Subject Headings of the National Library of Medicine): uterine prolapse; genital prolapse; prolapse surgery; vaginal prolapse surgery; abdominal prolapse surgery; hysterectomy; hysteropexy; sacrocolpopexy; surgical meshes; complications; sexuality; neoplasia; urinary; incontinence; cancer. Results Among the 168 abstracts studied, 63 publications were retained. Whatever performance of hysterectomy or not, anatomical and functional results were similar in abdominal surgery (sacrocolpopexy) (OR = 2.21 [95% CI: 0.33–14.67]) or vaginal surgery (OR = 1.07 [95% CI: 0.38–2.99]). There was no difference in terms of urinary symptoms or sexuality after surgery. Hysterectomy was associated to a higher morbidity (bleeding, prolonged operating time, longer hospital stay), to an increased risk of mesh exposure particularly in case of total hysterectomy (8.6%; 95% CI: 6.3–11). Conclusion In the absence of evidence of superiority in terms of anatomical and functional outcomes, with an increased rate of complications, concomitant hysterectomy with prolapse surgery should probably not be performed routinely.; Objectif Évaluer l’impact de la réalisation d’une hystérectomie en cas de cure de prolapsus sur les résultats anatomiques, fonctionnels, les complications per et postopératoires par rapport à la conservation utérine. Matériels et Méthodes Nous avons réalisé une revue de la littérature sur Pubmed, Medline, Embase et Cochrane en utilisant les termes et MeSH (Medical Subject Headings of the National Library of Medicine) suivants : uterine prolapse ; genital prolapse ; prolapse surgery ; vaginal prolapse surgery ; abdominal prolapse surgery ; hysterectomy ; hysteropexy ; sacrocolpopexy ; surgical meshes ; complications ; sexuality ; neoplasia ; urinary ; incontinence ; cancer. Résultats Parmi les 168 résumés étudiés, nous avons retenu 63 articles. Il n’existait pas de différence significative en termes de résultats anatomiques et fonctionnels en cas de promontofixation (OR = 2,21 [IC95 % : 0,33–14,67[) et en cas de chirurgie vaginale sans pose de prothèse (OR = 1,07 [IC95 % : 0,38–2,99]). Il n’y avait pas non plus de différence en termes de symptomatologie urinaire ou de sexualité au décours quel que soit la voie d’abord. L’hystérectomie était associée à une morbidité plus importante (saignements, allongement du temps opératoire, allongement de la durée d’hospitalisation), un risque augmenté d’exposition prothétique en cas d’hystérectomie totale (8,6 % IC95 % : 6,3–11). Conclusion En l’absence de preuve de supériorité en termes de résultats anatomiques et fonctionnels, avec une augmentation du taux de complications, l’hystérectomie concomitante en cas de cure de prolapsus ne doit probablement pas être réalisée de manière systématique.
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
50. Comparison of functional outcomes with purely laparoscopic sacrocolpopexy and robot-assisted sacrocolpopexy in obese women
- Author
-
Morgan Rouprêt, X. Deffieux, M. Joubert, Emmanuel Chartier-Kastler, Christophe Vaessen, J.-P. Lefranc, and Thibault Thubert
- Subjects
Reoperation ,medicine.medical_specialty ,Urology ,Length of hospitalization ,Pelvic Organ Prolapse ,Gynecologic Surgical Procedures ,Postoperative Complications ,Robotic Surgical Procedures ,Humans ,Medicine ,Laparoscopic sacrocolpopexy ,Complication rate ,Obesity ,Stage (cooking) ,Laparoscopy ,Aged ,Retrospective Studies ,medicine.diagnostic_test ,business.industry ,Bladder injury ,Middle Aged ,Conversion to Open Surgery ,Surgery ,Female ,Prolapsus genital ,business ,Complication - Abstract
Summary Objective To compare the functional outcomes and complication rates following laparoscopic sacrocolpopexy (LS) with those occurring in robot-assisted laparoscopic sacrocolpopexy (RALSCP) in obese women. Patients and methods A comparative retrospective multicentre study was made, involving 39 obese women (BMI ≥ 30 kg/m 2 ) who underwent LS, and 17 obese women who underwent RASCLP. The operative parameters (length of operation, associated procedures, complication rate and length of hospitalization) and the objective and subjective results were evaluated at 12 months follow-up. Results The median (IQR) BMI was 30.5 kg/m 2 (30–32) in the LS group vs 31.6 kg/m 2 (30–34) in the RALSCP group ( P = 0.402). The anatomical results were comparable in both groups (LS vs RALSCP): post-operative stage of prolapse (POP-Q-ICS): stage 0–1: 34/39 (88%) vs 16/17 (94.1%), P = 0.7; stage 2: 4/39 (10%) vs 0/17 (0%), P = 0.7; stage 3–4: 1/39 (2%) vs 1/17 (5.9%), P = 0.7. The complication rate was similar in both groups (LS vs RALSCP): bladder injury 2.5% (1/39) vs 0% (0/17), P = 0.6, laparoconversion 5.1% (2/39) vs 5.9% (1/17), P = 0.5. The overall reoperation rate was (LS vs RALSCP): 18% (7/39) vs 5.9% (1/17), P = 0.4. Conclusion Laparoscopic sacrocolpopexy and robot-assisted laparoscopic sacrocolpopexy have equal results in obese women. The complication rates and outcomes appear to be similar in both groups of obese women. Level of evidence 3.
- Published
- 2014
- Full Text
- View/download PDF
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.