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Introduction : l’endométriose est une pathologie gynécologique fréquente touchant en moyenne une femme sur 10 et dont le délai de diagnostic est long. Les médecins, généralistes et gynécologues, ainsi que les sages-femmes sont les premiers acteurs du repérage de cette pathologie. Début 2022, le parcours Endométriose a été créé par la CPTS Initiatives Santé dans le but de répondre à cette problématique de repérage, de formation et d’adressage à des professionnels experts. Objectifs : évaluation des pratiques des médecins et sages-femmes du territoire de la CPTS Initiatives Santé avant et 4 mois après la mise en place du parcours Endométriose (Bouches-du-Rhône). Matériel et méthode : étude descriptive de type avant-après, réalisée auprès de médecins, généralistes et gynécologues, et de sages-femmes sur un territoire d CPTS. Un premier questionnaire a été recueilli du 6 mars 2022 au 16 avril 2022, avant la mise en place du parcours, puis un deuxième questionnaire a été recueilli auprès des répondants du premier questionnaire, du 21 juillet 2022 au 15 septembre 2022 soit 4 mois après la mise en place du parcours Endométriose. Résultats : 38 professionnels de santé du territoire de la CPTS Initiatives Santé ont répondu au premier questionnaire. Parmi eux, 34 ont répondu au deuxième questionnaire. Les 4 non répondants ont été exclus des analyses comparatives finales avant-après (taux de participation 34/ 96 soit 35,4%). Les répondants pensent davantage à l'endométriose en présence d’une plainte de dyspareunie profonde, de dyschésie et de dysurie après le deuxième questionnaire (p=0,016). Une modification des pratiques d’adressage pour les échographies (p=0,016) et les IRM pelviennes (p=0,003) a été constatée puisqu’ils adressaient davantage leurs patientes à un radiologue expert en endométriose en clinique privée après la mise en place du parcours coordonné. Les répondants sont individuellement plus à l’aise avec les thérapeutiques des dysménorrhées après la mise en place du parcours (p=0,029).Conclusion : nos résultats suggèrent que les médecins et sages-femmes modifient leurs pratiques de façon satisfaisante après la mise en place d’une action comme le Parcours Endométriose de la CPTS Initiatives Santé. Il serait intéressant de renouveler cette étude pour obtenir un complément à distance et de recueillir le ressenti des patientes participant au parcours.

Introduction: as part of the health campaign for smoking cessation, a coordinated 'city-hospital' pathway was created in 2017 at the ‘Hôpital Suburbain du Bouscat’, under the aegis of Dr. N. Lajzerowicz. In this program, patients, addictologist and general practicioners are involved with alternating appointments between practitioners. Based on the encouraging results of a monocentric study conducted in 2017 by PhD Student M. Fournols, the ‘PACT-Tabac’ program and its viability evaluation ('EVIAPACT') are part of a desire to disseminate the coordinated pathway on a larger scale. Objective: the aim of this study was to evaluate the viability and acceptability of this coordinated program for patients, using a self-survey. Methods: we conducted a cross-sectional study between March and June 2021, using individual questionnaires, mainly constructed in the form of a Likert scale. The study concerned patients having followed the program between spring 2020 and winter 2021 in one of the 10 selected addictology centers distributed in ex-Aquitaine. Results: a total of 9 patients meeting the inclusion criteria completed the questionnaire. Our patients’ characteristics were comparable to a profile of 'Heavy Chronic Smokers'. Patients agreed on the acceptability of the program, but the adhesion was not full, with a minority of complete programs (44.4%). The program seems to provide guarantees of viability. First, because it is economically affordable, but also because of its usefulness and its geographical and social accessibility. Conclusion : the results of this study are encouraging, despite a lack of strength due to a very limited number of participants. The coordinated pathway seems appropriate for persistent smokers with multiple quit attempts, and for 'precarious' smokers for whom the effectiveness appears satisfactory.; Introduction : dans le cadre de la promotion d’actions de santé décloisonnées, un parcours coordonné ‘ville-hôpital’ pour l’arrêt du tabac voit le jour en 2017 à l’Hôpital Suburbain du Bouscat, sous l’égide du Dr N. Lajzerowicz. C’est une prise en charge tripartite impliquant patient, addictologue et médecin traitant, à l’aide de consultations alternées entre les praticiens. Fort des résultats encourageants d’une expérience monocentrique menée en 2017 par la Doctorante M. Fournols, le projet ‘PACT-Tabac’ et l’évaluation de la viabilité de celui-ci (‘EVIAPACT’) s’inscrivent dans une volonté de diffusion du parcours coordonné à plus large échelle. Objectif : cette étude a pour objectif d’évaluer la viabilité et l’acceptabilité de ce parcours coordonné pour les patients, à l’aide d’un auto-questionnaire remis en fin de parcours. Matériel et méthodes : notre étude transversale, correspond à une enquête d’opinion sur les pratiques, menée entre mars et juin 2021, à l’aide de questionnaires individuels, principalement construits sous la forme d’une échelle de Likert. L’étude concerne les patients ayant suivi le parcours entre le printemps 2020 et l’hiver 2021 dans un des 10 centres d’addictologie sélectionnés et répartis en ex-Aquitaine. Résultats : au total, 9 patients remplissant les critères d’inclusion ont répondu au questionnaire. Le profil des patients correspond sensiblement à la population des ‘Heavy Chronic Smokers’. L’acceptabilité du parcours fait consensus auprès des patients, sans remporter une adhésion totale, avec une minorité de parcours complets (44,4%). Le parcours fournit des garanties de viabilité. D’abord parce qu’il est abordable économiquement, mais aussi grâce à son utilité et à son accessibilité géographique et sociale. Conclusion : les résultats de cette étude sont encourageants, en dépit d’un manque de puissance en rapport avec un effectif très limité. Le parcours coordonné semble approprié pour les fumeurs persistants aux multiples tentatives d’arrêt du tabac, et aux ‘précaires’ pour lesquels l’efficacité apparaît satisfaisante.

Introduction: the fight against smoking has been at forefront of public health stakes in France. The general practitioner, at the heart of the overall care of the patient, has a privileged role to support him in his smoking cessation. Since 2017, the Bouscat Suburban Hospital offers a joint care between the addictologist and general practitionners treating patients requesting help to quit smoking. A first evaluation carried out in 2018 on a small sample (n=31) showed that smoking cessation was maintained for more than 6 months for 60% of the patients who started the pathway. The main objective of our tork was to assess the effectiveness of this approach, on a larger population. Methods: this is a quantitative retrospective study of the smoking cessation of patients included in the device between September 2017 and October 2020. The primary endpoint is the maintenance of smoking abstinence for at least 6 months. Results: among the patients who started the shared process (n=163/173), 55% maintained smoking abstinence for at least 6 months. Among the patients jointly treated before the health crisis linked to the COVID pandemic in 2020, the rate of maintaining smoking abstinence at 6 months is 62% (59% when counting those lost to follow-up as failures), which confirms the results of the originator study. The patients involved their attending physician in their follow-up by consulting him on average 2 to 3 times. Over 90% of practitioners wrote comments in the shared booklet. This support served as link between the two professionals and allowed the general practitioner to take ownership of the process. Conclusion: this city-hospital partnership model seems effective. Its diffusion in other regions, and the highlighting of the involvement of primary care physicians, could be interesting prospects for increasing the management of smoking cessation in the national territory.; Introduction : la lutte contre le tabagisme est au premier plan des enjeux de santé publique en France. Le médecin généraliste, au cœur de la prise en charge globale du patient, a une place privilégiée pour accompagner celui-ci vers l’arrêt du tabac. L’Hôpital Suburbain du Bouscat propose depuis 2017, une prise en charge conjointe entre médecin addictologue et médecins traitants des patients candidats au sevrage. Une première évaluation réalisée en 2018 sur un échantillon réduit (n=31) avait montré un maintien du sevrage de plus de 6 mois pour 60% des patients ayant engagé le parcours. Notre travail avait pour objectif principal d’évaluer l’efficacité de cette démarche, sur une population plus importante. Méthode : il s’agit d’une étude rétrospective quantitative des sevrages des patients inclus dans le dispositif entre septembre 2017 et octobre 2020. Le critère de jugement principal est le maintien d’une abstinence tabagique au moins 6 mois. Résultats : parmi les patients ayant engagé le parcours partagé (n=163/173), 55% ont maintenu une abstinence tabagique au moins 6 mois. Parmi les patients pris conjointement en charge avant la crise sanitaire liée à la pandémie de COVID en 2020, le taux de maintien de l’abstinence tabagique à 6 mois s’élève à 62% (59% en comptabilisant les perdus de vue comme échecs), ce qui confirme les résultats de l’étude princeps. Les patients ont impliqué leur médecin traitant dans leur suivi en le consultant en moyenne 2 à 3 fois. Plus de 90% des praticiens ont rédigé des observations dans le livret partagé. Ce support servait de lien entre les deux professionnels, et permettait au médecin généraliste de s’approprier la démarche. Conclusion : ce modèle de partenariat ville-hôpital semble efficace. Sa diffusion dans d'autres régions, et la valorisation de l’implication des médecins de premier recours, pourraient être des perspectives intéressantes pour accroître la prise en charge du sevrage tabagique sur le territoire national.

Introduction: an experiment has been realized in 2017 at the Bouscat Hospital, which aimed to familiarize general practitioners with tobacco cessation accompaniment. The idea was to integrate them, in a practical way, in the care of their smoking patients, shared with the addictologist. The evaluation of the perception and the attitude of the 30 general practitioners implicated showed that these were well received and the improvement of their skills. It has been proposed to diffuse the method and the tools of this initial experience to others volunteers addictologists in ex-Aquitaine. Objective: to identify the difficulties and action’s levers in obtaining an implicated specialist consensus, for the diffusion of this coordinated care experience. Method: it’s about two qualitative studies. The first one on the exchanges in meetings between specialists, during the consensus-seeking, based on the full transcript of the partipants’ discussions. The second one is about the opinion’s collecting by semi-structured interviews. Results: the vast majority of addictologist have joined the issues of this process. However, in practice, the dissemination of the coordinated course was more complex. Thus if the levers were identified (favourable recepetion from health workers, the progressiveness of the approach and the participatory method) many obstacles were also perceived (diversity of organization and practices of the addictologist involved, profile of their active file, complexity of the debates, geographical distance, …) Conclusion: this experiment has been supported by a large number of health workers. The appropriation of the method and the tools used tooks several months. The next step will be to support its implementation on the ground., Introduction : une expérimentation a été réalisée en 2017 à l’Hôpital du Bouscat, qui avait pour objectif de familiariser les médecins traitants à l’accompagnement à l’arrêt du tabac. Il s’agissait de les intégrer de façon pratique dans la prise en charge de leurs patients fumeurs, partagée avec l’addictologue. L’évaluation de la perception et des attitudes des 30 médecins généralistes impliqués a permis de montrer un accueil favorable de ces praticiens et un accroissement de leurs compétences. Il a été proposé de diffuser la méthode et les outils de cette expérience princeps à d’autres addictologues volontaires en ex-Aquitaine. Objectif : identifier les difficultés et les leviers d’actions pour l’obtention d’un consensus des spécialistes impliqués, pour la diffusion de cette expérience de prise en charge coordonnée. Méthode : il s’agit de deux études qualitatives. La première, explorant les échanges en réunion entre spécialistes, s’est basée sur la retranscription intégrale des discussions des participants. La deuxième recueillant leurs avis, a été réalisée en entretiens semi-dirigés. Résultats : la grande majorité des addictologues ont adhéré aux enjeux de la démarche. Cependant en pratique, cette diffusion du Parcours coordonné pour l’arrêt du tabac était complexe. Ainsi si des leviers ont été relevés (l’accueil favorable par les acteurs de santé, la progressivité de la démarche et la méthode participative), de nombreux freins ont également été perçus, (diversité d’organisation et des pratiques des addictologues impliqués, profil de leur file active, complexité des débats, distance géographique …). Conclusion : cette expérience a recueilli l’adhésion d’un grand nombre d’acteurs de santé. L’appropriation de la méthode et des outils utilisés s’est déroulée sur plusieurs mois. La suite de la démarche consistera en l’accompagnement de sa mise en œuvre sur le terrain.

L’amélioration de la prise en charge du cancer est un enjeu de santé publique important compte tenu des impacts de cette maladie pour la santé publique. Les technologies de l’information et de communication (TIC) sont perçues comme une solution pouvant contribuer à l’amélioration de cette prise en charge. Malgré cela, peu d’expériences évaluent leur utilisation dans un contexte de coordination des soins en cancérologie. Le but de ce mémoire est d’apprécier comment les TIC peuvent être utilisées pour améliorer la coordination des soins en cancérologie et de décrire quelles sont les stratégies pouvant permettre leur succès. Deux articles ont été rédigés avec chacun un objectif rattaché au but global du mémoire. L’objectif du premier article est de rassembler les connaissances existantes relatives aux usages des TIC pouvant être à même de fournir une amélioration de la coordination des soins en cancérologie. Il présente les résultats d’une revue de littérature ayant identifié six types d’usages des TIC pouvant être utilisés dans un parcours coordonné. Il propose six recommandations pouvant contribuer à la réussite de leur conception et de leur implantation. Les plus importantes sont la planification rigoureuse du design de l’intervention et l’amélioration des stratégies de gestion de projet. Le deuxième article a comme objectif de connaître la perception des professionnels de soins par rapport à l’utilisation des technologies mobiles. Il analyse les perceptions et les attentes de professionnels oeuvrant dans un centre de cancérologie spécialisé (France) à partir de 10 entretiens faits auprès d’individus rattachés à divers services. Leur analyse permet de constater l’attitude favorable à l’utilisation de TIC mobiles en cancérologie et le peu de craintes associées aux impacts néfastes qu’il pourrait avoir. Elle met en évidence l’importance des enjeux organisationnels nécessaire à la mise en place et au succès de cette intervention. Ces deux études permettent de constater les rapprochements et les écarts entre les usages et recommandations tirés de la littérature et les perceptions des répondants en cancérologie. Mots-clés : technologies de l’information, cancérologie, parcours coordonné, étude de cas, revue de littérature, coordination des soins, enjeux organisationnels, usages des TIC., The impact of cancer care is a major public health issue, mainly because of both its major health and economic impacts. The use of information technologies (IT) is seen as a solution that can contribute to reduce the load associated with cancer. Despite this, there are only few experiments evaluating their use in the cancer care. The purpose of this memoir is to find ways how IT can be used to improve this situation and describe what strategies can help them succeed. To do so, this memoir presents two articles each pursuing a goal related to that global objective. The first article aims to gather existing knowledge on how the use of IT may provide better coordination of cancer care. It presents the results of a literature review that built a typology of six uses in which IT can be used to provide better care coordination. It also offers six recommendations to insure the success of their design and their implementation. The two most important ones are rigorous planning and strong intervention design. The second article reports and analyse the perception of health professionals in relation to the use of mobile technologies in a cancer care setting. It presents data gathered from 10 interviews conducted a the cancer center (France). Their analysis shows that most of them have a positive attitude towards the use of IT in cancer care. It also denotes some of the fears associated with the adverse impacts it may bring. The results highlights the importance of considering organizational issues for the implementation of sucessful interventions. These two studies show that there are many similarities and few differences between the usages and recommendations from the literature and the perceptions of the professionnals working in a specialized cancer care center., Réalisé en cotutelle avec Claude Sicotte PhD Université de Montréal et le Pr. Étienne Minvielle École des Hautes Études en Santé Publique à Paris.

International audience; Information and communication technology usages in cancer care coordination: state of the art. what are the recommendations for an effective implementationCancer care management is a major public health problem and is responsible for a large part of healthcare spending in developed countries. Therefore, public powers are looking for solutions and mechanisms to reduce its socio-economical impact. It is in this context that the Institut Gustave Roussy (IGR) proposes the use of electronic tablets as a tool capable of enhancing care coordination. This intevention seek to put the patient at the center of the care process by the use of mobile information technology to ameliorate care by stimulating a direct engagement from the patient and act as a foundation for efficient coordination and communication between the patient, his relatives and the care team. This article aims, in preparation for the project, to identify which usage of mobile health technology could be used to enhance care coordination in a chronic care context. This research is inspired on the realist synthesis model and wishe’s to provide a broad coverage of technological interventions using mobile or non-mobile health IT interventions in a chronic care context. This method was chosen due to the few studies related directly to the use of IT in cancer care. The results show the scarcity of large scale interventions, the lack of evidence of an effective added-value and show the impact of the organizational context on both the deployment and adoption of these technologies. We recommend that experimentations be conducted on a larger scale on a multi-disciplinal level taking into account clinical, organisational and political challenges as well as work at a larger scale to enhance the validity of the results. Realist expectations should be maintained on the benefits of mobile information technology in healthcare while prefering robust and reliable results.; La prise en charge du cancer est un problème de santé publique majeur, responsable sur le plan économique d’une part importante des dépenses en santé dans l’ensemble des pays développés. Aussi, les pouvoirs publics cherchent à identifier des innovations managériales permettant d’améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer : à savoir améliorer leur qualité de vie, à moindre coût pour le système de soins, et dans un souci d’équité tant géographique que socioéconomique. C’est dans ce contexte qu’un projet est lancé à l’institut de cancérologie, Gustave Roussy (GR) proposant l’utilisation de tablettes électroniques comme outil d’amélioration de la coordination des soins. L’hypothèse faite est que ces technologies relevant de l’informatique mobile constituent un moyen efficace d’amélioration de la prise en charge grâce à un meilleur engagement du patient et une meilleure coordination entre celui-ci, son entourage et les professionnels de santé.L’objectif de cet article est en amont du démarrage effectif de ce projet de rassembler les connaissances existantes relatives aux usages de ces technologies de l’information mobile afin d’améliorer la coordination des soins dans un contexte de maladie chronique. À cet effet, nous avons mené une revue de littérature inspirée du modèle des synthèses réalistes de manière à inclure tout usage de l’informatique, mobile ou non, dans un contexte de maladie chronique. Ce choix se justifie par le peu d’études spécifiques à la cancérologie. Les résultats font état du nombre encore réduit de recherches portant sur des interventions à grande échelle, du manque d’évidence en faveur de leur valeur ajoutée, et de l’importance du contexte organisationnel dans lequel s’inscrit l’usage de cette technologie. Ils nous amènent à recommander la conception d’intervention de plus grande envergure tenant compte des aspects cliniques, organisationnels et politiques, et assurant un échantillonnage plus important. Il convient aussi de demeurer réaliste sur les hypothèses émises quant au bénéfice attendu de l’utilisation des technologies d’information mobiles et de privilégier des méthodes d’évaluation robustes et fiables.

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