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Resume Objectif En France, les visites en service de sante au travail (SST) representent une occasion privilegiee de reperer les cas d’asthme en relation avec le travail (ART). Ce travail vise a fournir une demarche simple, confrontee aux resultats d’une expertise, susceptible d’aider le medecin du travail a reperer un ART. Methode Dans le cadre d’une etude epidemiologique avec un recrutement en SST, les sujets reperes, par autoquestionnaire, comme ayant un asthme actif potentiel, se voyaient proposer des autoquestionnaires sur les symptomes et les expositions professionnelles et la tenue d’un journal de debit expiratoire de pointe (DEP). Une expertise basee sur ces informations les classait en potentiellement non-asthmatiques (NA), asthmatiques sans relation avec le travail (ASRT) et ART. La recherche d’informations discriminant des sujets ART et ASRT, tels qu’identifies par l’expertise, a ete faite par le test du Chi2, puis par la regression logistique. Resultats L’expertise des 152 questionnaires approfondis a classe 16 salaries comme NA, 43 comme ASRT et 93 ART. La demarche d’expertise est detaillee sur la base d’exemples. L’amelioration des symptomes hors du travail, l’exposition professionnelle aux asthmogenes, la rythmicite de la variabilite du DEP et la recherche d’une sensibilisation par tests cutanes ont permis de discriminer les ART et les ASRT selon l’expertise avec une bonne valeur predictive positive. Conclusion Un autoquestionnaire simple et un journal de DEP permettent de reperer potentiellement des asthmes en relation avec le travail dans une population tout-venant suivie en SST.

The following paper summarises a number of international research projects being undertaken to understand the mechanical properties of natural cellulose fibres and composite materials. In particular the use of novel techniques, such as Raman spectroscopy, synchrotron x-ray and half-fringe photoelastic methods of measuring the physical and micromechanical properties of cellulose fibres is reported. Current single fibre testing procedures are also reviewed with emphasis on the end-use in papermaking. The techniques involved in chemically modifying fibres to improve interfacial adhesion in composites are also reviewed, and the use of novel fibre sources such as bacterial and animal cellulose. It is found that there is overlap in current international research into this area, and that there are complementary approaches and therefore further combining of these may make further progress possible. In particular a need to measure locally the adhesion properties and deformation processes of fibres in composites, with different chemical treatments, ought to be a focus of future research.