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SUMMARYThis is the first study to evaluate the royal jelly production potential of two honey bee races in Kenya, Apis mellifera monticolaand Apis mellifera scutellata. No significant differences were observed in cell acceptance rates and royal jelly yields between the two races. However, the age of larvae at grafting, supplementary feeding and time between grafting and harvest had significant effects on cell acceptance rates and royal jelly yields.

The effects of temperature on the development of Orius albidipennis(Reuter) (Hemiptera: Anthocoridae), reared on its prey, Megalurothrips sjostedti(Trybom) (Thysanoptera: Thripidae), were studied in the laboratory. Nymphal mortality was 87, 48 and 38 % at 20, 25 and 30 °C, respectively. With the exception of first-instar nymphs, percentage mortality was lowest at 25 °C. Pre-oviposition period and longevity decreased with an increase in temperature. Mean daily and total fecundity were 2.1 and 76.4 respectively at 25 °C. The mean developmental period from oviposition to adult eclosion was 27.7, 14.1 and 10.9 days at 20, 25 and 30 °C respectively. There was a linear relationship between temperature and developmental rate (1 /day) of O. albidipennis. Lower thermal thresholds were 13.8, 13.5, 12.7, 15.0, 13.8 and 12.5 °C for eggs and nymphal stages 1 to 5, respectively, with the corresponding average degree-day requirement of 46.9, 42.6, 33.3, 29.2, 26.1 and 51.4 days,, respectively. The implications of these results for biological control of thrips are discussed. Les effets de la température sur le développement d’Orius albidipennis(Reuter) (Hemiptera: Anthocoridae) élevé sur sa proie, Megalurothrips sjostedti(Trybom) (Thysanoptera: Thripidae), ont été étudiés au laboratoire. La mortalité des nymphes est respectivement de 87,48 et 38% à 20, 25 et 30 °C. A l’exception de la nymphe de 1erstade, la mortalité est plus faible à 25 °C. La durée de pré-oviposition et la longévité diminuent lorsque la température augmente. La fécondité moyenne journalière et totale sont respectivement de 2,1 et 76,4 à 25 °C. La durée moyenne de développement de l’oviposition à l’émergence de l’adulte est respectivement de 27,7, 14,1 et 10,9 jours à 20, 25 et 30 °C. Il existe une relation linéaire entre le température et le taux de développement (1/jour) d’Orius albidipennis. Les seuils thermiques de développement inférieurs sont respectivement de 13,8, 13,5, 12,7, 15,0, 13,8 et 12,5 °C pour l’oeuf et les stades nymphaux 1 à 5 avec respectivement un besoin moyen en degrés jours de 46,9,42,6,33,3,29,2,26,1 et 51,4 jours. On discute des conséquences de ces résultats sur la lutte biologique contre les thrips.

A study was conducted at Katumani, Kiboko and Ithookwe, in the semi-arid Eastern Province of Kenya for four seasons (short rains 1996-long rains 1998), to confirm the major stemborers of maize, and to introduce and monitor the colonisation of Cotesia flavipesCameron (Hymenoptera: Braconidae) in these stemborers. About 6750 adults of Cotesia flavipeswere released at each site, from ‘release stations’, starting one week after plant emergence and repeated fortnightly up to harvest. Pre-release parasitism of the stemborers was determined, for two seasons prior to release of Co. flavipes, during the season of release and one season after the release of this parasitoid. Parasitism was assessed from developmental stages of the stemborers recovered through destructive sampling of 100 plants, starting one week after plant emergence. This was repeated weekly at Katumani, and fortnightly at Kiboko and Ithookwe until harvest. The stemborers recovered from maize were Chilo partellus, Sesamia calamistis, Cryptophlebia leucotretaand Busseola fuscain descending order of abundance, with Ch. partellusbeing the most widespread stemborer. Cotesia flavipesparasitised and successfully colonised Ch. partellusand S. calamistisin the three sites during the season of release and one season post-release of the parasitoid. Parasitism by Co. flavipesranged from 7.14-25.80 %. The colonisation rate of Co. flavipesin the two major stemborers in the semi-arid Eastern Province of Kenya suggests the high potential of this parasitoid in regulating populations of stemborers that attack maize in this region. Durant quatre saisons (courtes saisons des pluies 1996-longues saisons 1998), une étude a été menée à Katumani, Kiboko et Ithookwe dans la zone sémi-aride de la province de l’est du Kenya. Elle avait pour but de confirmer les principales espèces de foreur de tige de mais, d’introduire et de suivre la colonisation par Cotesia flavipesCameron (Hymenoptera: Braconidae) de ces foreurs. Environ 6750 adultes de Cotesia flavipesont été lâché à chaque site à partir d’une semaine après émergence des plantes et répété toutes les deux semaines jusqu’â la récolte. Le parasitisme avant les lâchés a été mesuré durant deux saisons. Le parasitisme a aussi été mesuré pendant la saison des lâchés et une saison après. La parasitisme a été évalué à partir des different stades de développement collectés après échantillonage destructif de 100 plantes à partir d’une semaine après la germination. Ceci a été répété toutes les semaines à Katumani et une fois toutes les deux semaines à Kiboko et Ithookwe, ceci jusqu’à la récolte. Les foreurs collectés sur du maïs étaient les suivants: Chilo partellus, Sesamia calamistis, Cryptophlebia leucotretaet Busseola fuscadans l’ordre descendant d’abondance avec Chilo Partelluscorne étant l’espèce la plus répandue. Cotesia flavipesa parasité et colonisé avec success Ch. partelluset Sesamia calamistisdans les 3 sites pendant la saison des lâchés et une saison après lâchés. Le parasitisme par Co.flavipesétait compris entre 7.14 et 25.80 %. La vitesse de colonisation des deux foreurs majeurs de la zone semi-aride de la province de l’est du Kenya est une indication du grand potentiel qu’aurait ce parasitoid à assurer la régulation de population des foreurs de tige de maïs dans cette région.

Eight potato cultlvars namely Anett, Desiree, Feldeslohn, Kerr’s Pink, Kenya Baraka, Roslin Eburu, Roslin Gucha and Roslin Tana were tested in the greenhouse to compare their susceptibility to Myzus persicaeSulzer. Differences in the susceptibility of the potato cultivars to aphids were reflected in the number of the apterae aphids that developed on them. Anett, Kerr’s Pink and Feldeslohn supported the highest, and Roslin Tana the lowest population of M. persicae.Roslin Tana was found to be resistant. The bottom leaves of most potato cultivars maintained the highest aphid population while the upper leaves maintained the lowest. There were no significant correlations between leaf area and yield of potatoes with the number of apterae aphids on the eight potato cultivars. Huit varietés de pomme de terre, Anette, Désirée, Feldeslohn, Rose de Kerr, Kenya Baraka, Roslin Eburu, Roslin Gucha, et Roslin Tana ont été testées dans une serre afin de comparer leur sensibilité aux aphidés, ont été observées en tenant compte de nombre d’ aphidés Myzus persicaeSulzer. Des diferences dans la sensibilité de variétés de pomme de terre aux aphidés ont été observées en tenant compte de nombre d’ aphidés aptéres qui ont dévelopé sur elles. La population la plus élevée de M. persicaea été observée sur Anett, Rose de Kerr et Feldeslohn; tandis que Roslin Tana a donné la plus faible population d’aphidés. Cette derniére variété de pomme de terre a été ainsi trouvée résistante á cette espéce d’ aphidés. La plus part de variétés de pomme de terre ont presenté des febilles ayant un nombre élevé d’aphidés á leur partie inférieure alors que la population d’aphidés la moinsélevée était localisée sur la partie supérieure de feuilles. Il n’y avait pas de correlat’ions significant entre la surface de la fenille, la quantité de pomme de terre ré coltée avec le nombre d’aphidés aptéres.

—Eight potato cultivars, viz, Anett, Desiree, Feldeslohn, Kerr’s Pink, Kenya Baraka, Roslin Eburu, Roslin Gucha and Roslin Tana were tested in the field to compare their susceptibility to aphids. Despite the variation in results, Anett, Kerr’s Pink and Desiree were identified as the most susceptible cultivars. The experiments revealed that Roslin Tana was a comparatively resistant cultivar useful for reference in further work. There were no significant correlations between leaf area, glandular hairs and alate aphids with the number of apterae aphids on the eight potato cultivars. Resistance of Roslin Tana to aphids was, therefore, not due to the morphological characteristics of the cultivar, but probably to some physiological factor(s). —Huit ‘cultivars’ de pommes de terre, à savoir, l’‘Anett’, la ‘Désirée’, la ‘Feldeslohn,’ la ‘Kerr’s Pink,’ la ‘Kenya Baraka,’ la ‘Roslin Eburu,’ la ‘Roslin Gucha,’ et la ‘Roslin Tana’ furent testes sur le terrain pour comparer leurs prédispositions aux aphis. Malgré les différences en résultats, l’Anett, la Kerr’s Pink et la Désirée ont été identifiées comme les ‘cultivars’ les plus prédisposés. Ces expériences ont révélé que la ‘Roslin Tana’ est relativement résistante, ce qui implique son utilité referentielle pour des travaux ultérieurs. Il n’y avait pas de correlations importantes concernant l’aire de feuille, les poils glandulaires et les ‘aphis alates’ vis à vis le nombre d’‘apterae’ sur le huitième cultivar de pomme de terre. La résistance de la Roslin Tana aux aphis n’était, donc, pas due les caractères morphologiques des ‘cultivars’ mais probablement aux facteurs physiologiques.

—Field evaluation showed oxydemeton methyl 25% E.C. at 0.6 2kg a.i./ha and dimethoate 40% E.C. at 0.74 kg a.i./ha to be more effective than Cypermethrin 40% E.C. at 0.25 kg a.i./ha, decamethrin 2.5% E.C. at 0.03kg a.i./ha, endosulphan 35% E.C. at 0.8kg a.i./ha and profenofos 50% E.C. at 0.74 a.i./ha in the control of apterae on potatoes. Disulfoton 10G at 1.6 kg a.i./ha and carbofuran 10G at 5.2 kg a.i./ha were superior to oxamyl 10G at 5.2 kg a.i./ha and terbufos 5G at 2.6 kg a.i./ha applied in the furrow at planting for the control of aphids. Although these insecticides gave good control of apterae, the alate population in the treated plots varied from significant reduction to no reduction. All the insecticides tested did not significantly increase potato yield, although mean yields were increased. —Les expériences entreprises sur le terrain ont montré que l’‘oxydemeton methyl 25% E.C. á 0.6 kg m.a./ha’ et le ‘dimethoate 40% E.C. á 0.74 kg m.a./ha’ sont plus efficaces que le ‘Cypermethrin 40% E.C. á 0.25kg m.a./ha’, ‘decamethrin 2.5% E.C. á 0.03 kg m.a./ha’, ‘endosulphan 35% E.C. á 0.8kg m.a./ha’ et ‘profenofos 50% E.C. á 0.74kg m.a./ha’ pour la suppression des ‘apterae’ sur les pommes de terre. Le ‘disulfoton 10G á 1.6kg m.a./ha’ et le ‘carbofuran 10G á 5.2kg m.a./ha’ étaient meilleurs que l’‘oxamyl 10G á 5.2kg m.a./ha’ et le ‘terbufos 5G á kg m.a./ha’ dans le sillon au lemps desemence pour la suppression des aphis. Mênce si ces insecticides ont fait une bonne suppression des ‘apterae’, la population ‘alate’ dans les ceins traites a varié d’une réduction significative á une réduction nulle. Aucun de ces insecticides á accru significativement la production des pommes de terre.

There were significant differences in the level of susceptibility among the 12 varieties which were screened for resistance to A. lycopersiciPronounced tolerance to leaf damage was recorded on varieties Early Stone Improved and Beauty. Oxheart and Bonny Best both of which had comparatively lower mite densities were highly susceptible. Flower bud formation was not significantly affected by the mite damage. However, the number of dead flowers and flower buds on infested plants was significantly more than on protected ones. Russetting of young fruits due to mite damage differed significantly among the varieties tested, and was positively correlated with moisture content of young fruits. The least and most affected varieties were Beauty and Red Cloud respectively. The percentage yield loss was highest on Hybrid Beefmaster and Oxheart and lowest on Roma and Money Maker. Des différences significatives existent quant au degré de sensibilité des variétés de tomate testées pour la resistance à A. lycopersiciUne tolérance remarquable aux dégâts foliaires a été observée sur les variétés “Early Stone Improved”, et “Beauty”. “Oxheart” et “Bonny” sur lesquelles on observe des densités faibles de mites sont aussi sensibles. La formation de boutons floraux n’est pas affectée de façon significative par les dégâts dus aux mites. Cependant, le nombre de fleurs et de boutons floraux dessechés sur les plantes infestées est significativement plus important que sur celles protegées. Le bruinissement des jeunes fruits dû aux dégâts des mites est significativement différent entre les variétés testées; et il existe une corrélation positive avec le taux d’humidité des jeunes fruits. Les variétés les plus et moins affectées sont “Beauty” et “Red Cloud” respectivement. Le pourcentage de perte en rendement est le plus élevé sur l’hybride “Beef Master” et “Oxheart” alors qu’il est le plus bas sur “Roma” et “Money Maker”.

The population patterns of eggs, larvae and puparia in the bean plants and leaf punctures made by adults were investigated during cropping (March-July and October-January) and noncropping (July-October) seasons at two sites in Kenya. The beans planted in noncropping seasons had more leaf punctures, eggs, larvae and puparia than beans planted in cropping seasons. Beans planted in noncropping season attracted unusually high population from surrounding weeds as well as previous crop which cause severe damage. Under field conditions Ophiomyia spencerellaGreathead and Ophiomyia phaseoliTryon were the species of bean flies infesting the bean plants in all seasons. Both O. spencerellaand O. phaseolinormally oviposited in punctures on the leaves but O. spencerellaalso oviposited in the stems of bean seedlings. Les echantillons des oeufs, larves et chrysallides sur les haricots et les perforations faites sur les feuilles par les adultes ont èté analysé pendant les deux saisons Mars-Juillet et Octobre-Janvier ainsi que pendant les mois de Juillet à Octobre dans deux locations au Kenya. Les haricots plantés entre Juillet et Octobre avaient plus des feuille perforées, beaucoup d’ouefs, larves et chrysallides par rapport aux haricots plantés pendant les autres saisons. Les haricots plantés entre Juillet et Octobre ont attiré beaucoup des mauvaises herbes et d’autres cultures qui peu vent causées des pertes enormes. Sur les champs Ophiomyia spencerellaGreathead et O. phaseoliTryon etaient les espèces d’insectes attacquant les haricots pendant toutes les saisons. Toutes les deux espèces pondaient normalement sur les feuilles perforées bien que O. spencerellapuissent pondre sur les tiges des haricots en germination.