Search

International audience; Ce travail vise à évaluer en termes économiques les co-bénéfices générés par la mise en place de mesures de protection de la qualité des eaux, et leurs conséquences pour l’économie locale.

Cette évaluation des usages récréatifs des forêts métropolitaines s'inscrit dans le cadre du programme d’évaluation française des écosystèmes et des services écosystémiques (Efese).Elle s'appuie sur trois enquêtes auxquelles ont répondu plus de 3 000 visiteurs des forêts métropolitaines. Les données collectées éclairent la diversité et la grande valeur des usages récréatifs des forêts métropolitaines. Elles permettent de prendre la mesure, à l’échelle de la métropole, de l’importance des usages récréatifs des forêts pour les Français : la valeur annuelle de ce service écosystémique, par exemple, s’avère être au moins quatre fois supérieure à la valeur marchande du bois qui y est récolté.Ces données ont également permis de comprendre et d’évaluer les facteurs d'attractivité des forêts métropolitaines pour les usages récréatifs. Elles ont enfin permis de proposer une méthode pour estimer des valeurs de référence du service de récréation en forêt susceptibles d'être mobilisées pour l'évaluation socio-économique de projets et d'investissements.

Les comptes de la forêt française ont pour objectif principal de collecter et mettre en cohérence les données sur la ressource forestière et les flux de bois au sein de la filière, en termes physiques et monétaires, pour mettre à disposition des pouvoirs publics les éléments d’analyse nécessaires aux prises de décisions. L’objectif de ce rapport complémentaire aux comptes de la forêt (convention 2018-2019 avec le ministère en charge de l’environnement) est de cerner les limites actuelles, pour la comptabilité environnementale, des données disponibles sur la thématique « bois énergie », et de proposer des pistes d’amélioration pour parfaire l’information en la matière.

L'accord de Paris conclu lors de la COP 21 a rappelé le rôle des forêts dans la lutte contre le réchauffement climatique et a inscrit les politiques des États à leur égard dans les obligations des signataires. Pouvoir disposer d’un système de comptabilité sectorielle est ainsi essentiel pour étayer la mesure des évolutions de stocks de carbone forestiers, des surfaces forestières et des prélèvements annuels. Au- delà des questions climatiques, d’autres enjeux soulignent égale ment l’intérêt de pouvoir disposer d’une évaluation du patrimoine forestier : enjeux écologiques (comme la biodiversité), sociaux (bien-être), et économiques (sylviculture, exploitation forestière, etc.). Les comptes de la forêt permettent le suivi, en termes physiques et monétaires, des ressources et activités liées à la forêt. Leur structure, formée d’un ensemble de tableaux comptables cohérents et harmonisés à l’échelon européen par Eurostat, s’appuie sur une collecte des différentes sources de données disponibles et produites en France. La synthèse de celles-ci et leur éventuel complément par des estimations propres sont mis en œuvre au travers d’une méthodologie rigoureuse et régulièrement révisée, par le Laboratoire d’économie forestière (LEF – AgroParisTech -INRA), avec l’appui de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN). Cet outil de comptabilité, développé sous la responsabilité du Service de la donnée et des études statistiques (SDES), offre ainsi une observation synthétique et transversale, économique et environnementale, sur un pas de temps adaptable (dans ce document, la période 2007-2014), de la forêt vue comme ressource renouvelable et productrice de biens et services. Il complète les indicateurs de gestion durable des forêts françaises et les comptes nationaux, avec lesquels ils forment un ensemble de synthèses de référence pour le diagnostic, l’analyse et l’évaluation des politiques publiques, concernant les interactions entre la forêt, l’économie nationale et l’environnement.

Cet article analyse le concept de bioéconomie et décrit la nature des outils économiques mobilisés pour l’explorer. Il s’inscrit dans le prolongement d’une réflexion initiée au sein du Laboratoire d'Economie Forestière. Il découle de ce travail que la bioéconomie peut être interprétée par le biais de deux axes principaux : une première vision « disciplinaire » (bioeconomics) et une seconde vision plus « technico-industrielle » (bioeconomy). La vision disciplinaire de la bioéconomie peut elle-même s’ouvrir sur deux approches : le courant de Georgescu-Roegen, qui vise à modifier profondément la conception de l’économie (analyse économique comme cycle ouvert intégré dans un cycle biologique fermé) et le courant visant à intégrer les disciplines économie et biologie, lequel n’est pas forcément incompatible avec les principes de l’analyse économique néoclassique. La vision plus « technico-industrielle » et politique, quant à elle, s’intéresse principalement à la création de richesse (voire de croissance) à partir de la ressource renouvelable biomasse., This paper analyzes the concept of bioeconomy and describes the nature of the tools economists can use to explore it. It extends a discussion initiated at the Laboratoire d'Economie Forestière (UMR LEF 356 INRA-AgroParisTech). We show that bioeconomy can be interpreted through two main axes: first a "disciplinary" axe (“bioeconomics”) and, second, a "technico-industrial" axe (“bioeconomy”). We separate the disciplinary axe into two approaches: the Georgescu-Roegen school, which seeks to profoundly alter the conception of economics (economic analysis as an open cycle integrated into a closed life cycle) and the environmental economics approach which seeks to integrate the economics and biology disciplines, which is not necessarily incompatible with the principles of neoclassical economic analysis. The "technico-industrial" and political view, in turn, focuses on the creation of wealth (or even growth) from the renewable biomass resource.

Document de travail : Cahier du LEF - Hors-série n°5; Le bois est la principale richesse marchande issue de la forêt. Il alimente une filière large et complexe. Il est donc primordial de pouvoir assurer le suivi de cette ressource, notamment en termes de prix. De nombreuses initiatives existent depuis le XIXème siècle. Le Laboratoire d’économie forestière (LEF) se propose de dresser un panorama des principales sources d’information en matière de prix des bois. Cet éclairage devrait permettre au lecteur de mieux cerner les différences entre les indicateurs disponibles pour en améliorer l’utilisation.

absent

Le présent rapport constitue, conjointement à la remise de l’ensemble des tableaux des Comptes Intégrés Économiques et Environnementaux de la Forêt (IEEAF), (fichier Excel comprenant les 13 tableaux), la phase 3 de la convention signée par le Meeddm, AgroParisTech-Engref (LEF) et l’IFN1 le 07/10/2010 , dont l’objet principal est la réalisation des comptes de la forêt selon le format recommandé par Eurostat (version du 18/07/2012 - voir annexe 1). Ce rapport présente la méthodologie utilisée et l’analyse des 13 tableaux IEEAF.

La connaissance des conditions socio-économiques du secteur forestier est aussi nécessaire pour gérer durablement la forêt que le suivi quantitatif et qualitatif de la ressource. Le critère 6 des indicateurs de gestion durable des forêts de France métropolitaine tente d'apporter ces informations complémentaires. Il met en avant la place du secteur forestier dans l'économie française, ses principales caractéristiques économiques, ainsi que l'importance du maintien d'autres services rendus par les forêts tels que l'accueil du public et la prévention de risques. Notre intervention sera l'occasion de présenter les sources d'informations et les principaux contributeurs des indicateurs socio-économiques. Ceux élaborés par le LEF à partir d'outils originaux tels que les tableaux de bord de la filière bois et les comptes intégrés économiques et environnementaux de la forêt feront l'objet d'un développement approfondi. La présentation conclura sur les difficultés et les manques observés. Une discussion pourra s'ouvrir sur les potentiels apports de la comptabilité environnementale en matière de suivi des ressources dans un contexte de durabilité.

Le secteur forestier français est souvent présenté comme un tissu de paradoxes entre le dynamisme de la ressource forestière et la fragilité des industries du bois. Pour renforcer les filières en améliorant leur compétitivité, il apparaît fondamental de comprendre les marchés et leurs évolutions. Les tableaux de bord du secteur forestier, construits par le Laboratoire d'économie forestière (LEF, UMR AgroParisTech - INRA), répondent à ce besoin en décrivant, sur près de 30 ans, le cheminement technique du bois exploité, de sa transformation à sa consommation, en décrivant pour chaque activité les flux physiques et monétaires engendrés. Notre article espère combler une partie du manque d'éclairage économique sur le secteur forestier français, en initiant, dans la lignée des travaux antérieurs (notamment : Guillon, 1974, 1978, Naurois, 1987 et Cinotti, 1992, 1993, 2007) une série d'analyses du secteur forestier. L'objectif du travail présenté ici est principalement d'exposer la méthodologie utilisée pour la construction des tableaux de bord du secteur forestier. Nous proposons également un panorama général du secteur forestier français. Cet article servira de préalable à d'autres développements par thématique ou sous-secteur qui feront l'objet de publications ultérieures dans la Revue forestière française.

Projet PCRD, EFORWOOD, Sustainability impact assessment of the forestry-wood chain; Instrument: IPThematic Priority: 6.3 Global Change and Ecosystems; This deliverable presents the research protocol for the Delphi survey that is being used to derive scoresto assess the recreational value of 240 forest stand types in four European regions: upland areas ofGreat Britain, Boreal areas of the Nordic Region, Central Europe, and Mediterranean areas of Iberia.The scores will contribute to a European synthesis of public perceptions of the recreational value offorests (EFORWOOD D2.3.3 and D2.3.6). They will also be combined with outputs from theEuropean forest resource projection model, „EFISCEN‟, to estimate current and future recreationalvalues under different scenarios (EFORWOOD D2.3.7). A concluding section outlines the timing ofthe survey and final steps for the WP2.3 research agenda. The questionnaire used for the Great Britainsurvey is included as an appendix.

Cet article fait suite à la présentation des auteurs lors du colloque « les indicateurs forestiers sur la voie d’une gestion durable ? » organisé dans le cadre de l’année internationale des forêts par le CEMAGREF/IRSTEA, l’IFN et le GIP ECOFOR (6 et 7 décembre 2011, Montargis, France) http://igd.cemagref.fr/.Avec l’évolution de la démographie, des technologies, de la consommation, nos sociétés contemporaines sont amenées à s’interroger sur le caractère durable des activités auxquelles elles participent. Le secteur forestier est concerné au premier chef par ce type d’introspection. La complexité de la question et son caractère multidimensionnel rendent nécessaire la mise en place de critères et indicateurs permettant le suivi et l’évaluation des stratégies et pratiques forestières, tant sur le plan écologique que sur les plans économique et social.Le travail présenté ici vise à exposer et analyser les indicateurs sociaux économiques retenus dans le cadre de la réflexion sur les « indicateurs de gestion durable des forêts de France métropolitaine » édition 2010 (MAAPRAT, 2011).

Rapport final de la phase 2 de la convention du 07/10/2010 établie entre le Service de l’Observation et des Statistiques (SOeS) du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM), le Laboratoire d’Economie Forestière (UMR INRA – AGROPARISTECH-ENGREF) et l’Inventaire Forestier National (IFN); absent

Rapport final de la convention du 07/10/2010 établie entre le Service de l'Observatoire et des Statistiques (SOeS) du ministère de l'Ecologie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM), le Laboratoire d'Economie Forestière (UMR INRA-AGROPARISTECH-ENGREF) et l'Inventaire Forestier National (IFN); This document is joint to an Excel file providing the French forest accounts for 2007-2008. It constitutes the final report of the first part of the convention between the French ministry of environment, the LEF and the French National Forest Inventory (IFN) in date of 2010-10-07. The proper aim of this convention is the providing of the French Integrated Economic and Environmental Accounts for Forests according to the Eurostat framework (2010 version). For each one of the 13 tables, are précised employed methodology and data sources.; Ce rapport accompagne la remise de l’ensemble des tableaux IEEAF 2007-2008 (fichier Excel joint). Il constitue le rapport final de la phase 1 de la convention signée par le Meeddm, AgroParisTech-Engref (LEF) et l’Inventaire Forestier National (IFN) le 07/10/2010, dont l’objet principal est la réalisation des Comptes Intégrés Économiques et Environnementaux selon le format recommandé par Eurostat (voir annexe). Ce rapport présente la méthodologie des 13 tableaux du compte intégré environnemental et économique sur la forêt (IEEAF) selon le format comptable défini par Eurostat (version 2010). Pour chaque tableau des IEEAF, nous précisons dans ce rapport la méthodologie employée ainsi que l'origine des données et informations mentionnées.

Cahier du LEF ; 2010-01Cet article a été présenté au Workshop "EU environmental policy and gouvernance: the challenge of climate change and beyond", Institut Universitaire Européen, Florence, Italie, Juin 2008; Citizen consumption has become over the past few years an ever growing type of behaviour, in which citizens express by their consumption choices their political, environmental and ethical preferences. This paper wonders to what extend citizen consumption may represent an effective and fair instrument against market failures. Overall, it seems that it is better to consider citizen consumption as a complement to public policies.; La consommation citoyenne est devenue au cours des dernières années un comportement important, par lequel les individus expriment par leurs choix de consommation leurs préférences politiques, environnementales et éthiques. Cet article questionne l'effectivité de cet instrument contre les défaillances de marché. Au total, il apparaît que la consommation citoyenne soit à considérer comme un complément aux politiques publiques.

Cahier du LEF Hors-Série Technique ; 2010-01; The integrated economic and environmental accounting allows a rigorous description of stocks and flows related to the forest and wood chain. The forestry accounts take into consideration both surface and standing timber of the forest (forest balance). They integrate goods and services producted by the industries (supply-use tables) and measure the carbon stocked by the entire forestry ecosystem (carbon balance). That data collection is available in physical and monetary terms. The harmonization and periodicity of these tables at european level contribue to improve the monitoring of ressources and activities. It is an excellent tool to structure information allowing analyse and assessment of the public and private policies. The method of these forestry accounts according to the european standard (Eurostat) as the main results for 2000-2006 period are detailed in a full report (Niedzwiedz et Montagné, 2009).; L’objet de la comptabilité intégrée économique et environnementale est la prise en compte dans une structure comptable rigoureuse et harmonisée des flux et stocks physiques et monétaires liés à la forêt et au bois. Les comptes de la forêt permettent de cerner la dimension spatiale de la forêt (comptes en surface), de confronter le prélèvement à l’accroissement de la ressource (comptes en volume), d’intégrer les biens et services produits par la filière (tableaux emplois et ressources) et de mesurer le carbone stocké dans l’écosystème forestier (comptes en carbone). L’ensemble de ces données existe à la fois en termes physiques et monétaires. La rigueur, la périodicité et l’harmonisation de ces tableaux au niveau international contribuent à un meilleur suivi des ressources et des activités. Ils constituent donc un excellent outil pour structurer l’information ainsi que pour l’analyse et l’évaluation des décisions privées ou publiques. La méthodologie d’élaboration des comptes de la forêt selon le format européen préconisé par Eurostat et les principaux résultats pour la période 2000-2006 sont détaillés dans un rapport complet (Niedzwiedz et Montagné, 2009).

Convention entre France bois forêt (FBF) et le laboratoire d'Economie Forestière (LEF) de l'Ecole nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts, Ecole interne d'AgroParisTech; This work is part of the convention “LEF’s contribution to the national economic observatory on forest and wood chain” between France Bois Forêt (FBF) and the Laboratoire d’Economie Forestière (LEF) in date of 2009-09-15. The proper aim of this work is to define the nature and conditions of the Lef’s support to FBF initiative of economic observatory. This support includes for example the providing of services, data, or indicators, from the LEF’s database.This convention is the first step towards the implementation and functioning of the FBF’s observatory. In this context, the main attributions of LEF are to prepare the implementation of the observatory, to inventory useful and relevant data, to propose a list of indicators according to the 3 stakeholders interested by the observatory, and to formulate some advices on the database management.; Le présent travail a été réalisé dans le cadre de la convention intitulée « Contribution du LEF à l’observatoire économique de la filière forêt bois nationale » signée entre France Bois Forêt (FBF) et le Laboratoire d’Economie Forestière (LEF), Unité Mixte de Recherche n°356 INRA – AgroParisTech (ENGREF) le 15 septembre 2009. Cette convention a pour objet de définir la nature et les conditions de l’appui apporté par le LEF à FBF dans la mise en place et dans le fonctionnement de l’observatoire économique de la forêt et de la filière bois française (ci-après « l’observatoire »). Cet appui n’est pas limité à la fourniture de services, il peut aussi prendre d’autres formes, comme par exemple, par la fourniture de données ou d’indicateurs existants provenant de « l’observatoire économique de la forêt et du bois » du LEF. Cette convention concerne la première phase de la mise en place de l’observatoire. Dans ce cadre, FBF a confié au LEF une mission temporaire visant à préparer la mise en place d’un tel observatoire. Elle consiste à établir un inventaire des données utiles à l’observatoire, à proposer des indicateurs agrégés destinés aux trois publics de l’observatoire tels que définis par FBF et à formuler des recommandations sur la gestion de la base.

Rapport Final de la Convention LEF / SOeS du 26/11/08; Les comptes de la forêt présentés dans ce document s'inscrivent dans la structure européenne des IEEAF (Integrated Environmental and Economic Accounting for Forest), définie par le Service Statistique de la Communauté Européenne (EUROSTAT). Ils permettent notamment de cerner la dimension spatiale de la forêt (compte en surface), de confronter le prélèvement à l'accroissement de la ressource (comptes en volume), d'intégrer les biens et services produits par la filière (tableaux emplois-ressources) et de mesurer le carbone stocké dans l'écosystème forestier (comptes en carbone). Ces données existent à la fois en termes physiques et monétaires. La rigueur, la périodicité et l’harmonisation de ces tableaux au niveau international contribuent à un meilleur suivi des ressources et des activités. Ces tableaux constituent donc un excellent outil pour structurer l'information sur la forêt ainsi que pour l’analyse et l’évaluation des décisions privées ou publiques concernant le milieu forestier. Cette note, réalisée par le Laboratoire d'Economie Forestière (UMR 356 AgroParisTech / INRA) dans le cadre d'une convention entre le MEEDDAT et AgroParisTech présente la méthodologie d’élaboration des comptes de la forêt en France et les principales tendances observées sur la période 2000-2006. Ce rapport s'attache principalement à poser les éléments de méthode. Une analyse des résultats est également proposée pour chaque tableau.

Convention MAP (DGFAR) n°E06/06 du 21/07/2006; This report presents a work done by the Laboratoire d’Economie Forestière since 2006 in the context of a convention with the French ministry of agriculture. The French forest and wood chain is rich both for its important timber resource and for its ecological and functional diversity. It may be described through a wide range of data and indicators from environmental, economic and productive, or social points of view. Here the economical point of view is privileged with a regard on forest multifunctionality. The main objective of these key data is to provide periodically a range of data relatively exhaustible in terms of covered subject and data nature. These key data may represent a tool for measuring the forest and wood chain Economic and environmental performance. The following subjects are covered: 1. State and development of forest resources, 2. Total harvesting, 3. Comparisons harvesting/growth, 4. Sustainable management of forests, 5. Timber trade, 6. Timber products and substitutes competition, 7. Timber international trade, 8. Land market, 9. Timber market, 10. Derivative products market, 11. Timber industry, 12. Biomass production. For each of these subjects, relevant indicators are presented and related methodologies are commented. An Excel file is joint to this report.; Ce rapport présente les travaux conduits, par le Laboratoire d’Économie Forestière (LEF), depuis septembre 2006, dans le cadre de la convention n°E06/06, avec la Direction Générale de la Forêt et des Affaires Rurales (DGFAR) du Ministère de l’Agriculture et de la Pêche. La filière forêt bois française est riche à la fois par l'importance de sa ressource et par sa diversité écologique et fonctionnelle. La forêt et le bois sont un ensemble fascinant et complexe. La filière forêt bois peut être décrite de différentes manières, par des outils et indicateurs très différents. On peut naturellement s'intéresser à l'aspect environnemental de la forêt : gestion et utilisation de la ressource, mais aussi protection et prévention contre les risques. On peut également voir la forêt comme un outil de production : elle fournit des biens et services variés, marchands ou non, que sont le bois, les produits forestiers non ligneux et les aménités. Nous nous attachons ici principalement à l’aspect économique, tout en gardant à l'esprit que si une grande partie des forêts est destinée à la production de bois, elle demeure multifonctionnelle. L’objectif de ces Chiffres Clé est de fournir périodiquement un ensemble de données relativement exhaustives à la fois du point de vue du champ couvert et du point de vue de la nature des données. Ces indicateurs balayent annuellement la filière forêt bois et permettent de suivre non seulement l'évolution de la ressource naturelle qu'est la forêt, mais également l'évolution des produits dérivés du bois qui en sont issus. Les Chiffres Clé sont donc un outil de mesure de la performance, aussi bien économique qu'environnementale, de la filière forêt bois. Ce rapport présente la dernière version des Chiffres Clé de la forêt et la filière bois, élaborés avec les éléments disponibles en août 2009. La série de tableaux est abordée par thèmes, définis conjointement avec la DGFAR : 1. état et évolution des ressources forestières, 2. récolte totale, 3. comparaison prélèvements/production, 4. conforter la gestion durable des forêts, 5. la commercialisation des bois, 6. concurrence entre le bois et produits dérivés du bois, 7. commerce extérieur du bois, 8. marché du foncier, 9. marchés du bois, 10. Marchés des produits dérivés du bois, 11. industries du bois et 12. valorisation de la biomasse. Pour chaque thème, les indicateurs retenus sont présentés dans des tableaux, puis brièvement commentés. Pour une bonne compréhension des tableaux, chaque partie se clôture par des précisions méthodologiques : les sources et les éventuels calculs intermédiaires sont notamment détaillés. La méthodologie permet non seulement d’éclairer l’utilisateur des Chiffres Clé sur l’origine des données, mais également de comprendre les nuances entre les sources disponibles et les termes utilisés, et d'expliquer les ruptures de séries auxquelles nous avons été confrontés. A ce rapport est joint le fichier Excel rassemblant tous les résultats et les calculs intermédiaires permettant de les obtenir.

Cahier du LEF Hors-Série Technique ; 2009-01; Professional associations and governmental agencies are publishing every year a lot of data on forest and forest products manufacturing. In order to have a global view of the forest and wood chain (from forest to products distribution, there is a need to collect and aggregate data from various sources. For its own needs (research, expertise, teaching), the Laboratoire d’Economie Forestière (LEF) have set up an economic observatory of forest and wood chain. The main missions of this observatory are to collect, to gather, to analyze and to diffuse information on forest and wood chain and to provide help and advices to LEF’s researchers and to external partners.; Les associations interprofessionnelles et les agences gouvernementales françaises publient chaque année un volume considérable de statistiques sur la forêt ainsi que sur la fabrication et la distribution des produits forestiers. Pour suivre l’évolution globale de la filière bois de la forêt jusqu’aux marchés et industries qui lui sont associées il est donc nécessaire de collecter et d’agréger des informations provenant de sources multiples et dispersées. Pour les besoins de ses activités de recherche, d’enseignement et d’expertise, le Laboratoire d’Economie Forestière a ainsi constitué un « observatoire économique de la filière forêt bois » dont les missions sont de collecter, rassembler, analyser et diffuser l’information sur la forêt et la filière ainsi que d’apporter appui et conseil aux membres du laboratoire et aux partenaires associés ponctuellement ou non.

Second rapport intermédiaire 21 mai 2008.Révision du 20 juillet 2008; Ce travail a été réalisé dans le cadre de la convention cadre de recherche « Puits de carbone forestiers, nouveaux marchés et implications pour la gestion forestière » signée entre l’Office National des Forêts (ONF) et le Laboratoire d’Economie Forestière (LEF), Unité Mixte de Recherche INRA – AgroParisTech (ENGREF) le 15 mai 2007. Cette convention cadre se décline en trois conventions particulières intitulées respectivement « reboisement forestier et carbone », « gestion forestière et carbone » et « économie du carbone dans la filière ». L’objectif général de ces conventions est d’étudier les opportunités et les contraintes que génère l’émergence de la question carbone pour le gestionnaire forestier, et d’en examiner les implications pour la gestion forestière et pour les politiques publiques.

Rapport final, Convention n° SU0500255; L’objectif principal de ce projet est de proposer un référentiel pour les évaluations environnementales liées à la forêt française. Ce référentiel vise à promouvoir la diffusion et l’usage des évaluations économiques des biens, services et dommages environnementaux liés à la forêt française. Pour ce faire, le projet a été mené en quatre étapes. Une première étape a consisté en un recensement des études françaises portant sur l’évaluation économique de la forêt. Cette centralisation de l’information pertinente a permis ensuite, dans une deuxième étape, sur la base de ces expériences et à travers la consolidation d’un réseau d’experts internationaux, de réfléchir aux protocoles liés à la bonne mise en œuvre des différentes méthodes d’évaluation (Navrud, 2006 ; Numéro spécial Journal of Forest Economics 2009, 15(1-2)). Dans une troisième étape, les informations récoltées sur les différentes études ont été regroupées sous la forme d’une base de données. Une réflexion particulière a été menée sur la constitution d’une base de données en collaboration avec d’autres pays européens (Elsasser et al, 2009) ainsi que dans le cadre d’une action COST (E45). Conformément à notre convention, les études françaises ont également été à disposition du plus grand nombre à travers leur intégration dans le référentiel international EVRI. Enfin dans une quatrième étape, une réflexion sur le transfert de valeurs réalisés à partir des études recensées dans le domaine de la forêt a été menée (Bartczak et al, 2008) en plus des cas d’application réalisés en France (Garcia et al, 2007, Garcia et Jacob, 2008). Les résultats obtenus sont : (1) un référentiel des évaluations environnementales de la forêt en France, (2) un ensemble de protocoles recommandés pour les différentes méthodes d’évaluations appliquées à la forêt, (3) la dynamisation d’un réseau qui servira dans le futur à gérer et garantir la qualité des informations répertoriées. (4) une analyse des transferts de valeurs effectués dans le domaine de la forêt.

Cahier du LEF ; 2008-01; The Laboratory of Forestry economics (LEF) was created in 2000 as a joint research unit of the French Institute of Forestry, Agricultural and Environmental Engineering (ENGREF) and the National Institute ofAgronomic research (INRA). The mission of the LEF is to conceive, develop, and transfer methods and tools of economic analysis to improve the management of the goods, services and products of the forest and the forestry sector. The aim of this issue of the “Cahiers du LEF” is to present the results of the researchs of the forest economics laobratory between 2003 and 2007.; Le Laboratoire d’Economie Forestière (LEF) est une Unité Mixte de Recherche entre l’Ecole Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts et l’Institut National de la Recherche Agronomique. Il a été créé en 2000 et renouvelé en 2005. La mission du LEF est de «concevoir, développer, et transférer des méthodes et des outils d’analyse économique en vue de comprendre et d’améliorer la connaissance, la gestion et l’utilisation des biens, services et produits de la forêt ». L’objet de ce premier numéro des « Cahiers du LEF » de l’année 2008 est de présenter un bilan scientifique des recherches effectuées au Laboratoire pour la période 2003-2007.

Cahiers du LEF ; 2007-08; The study raises the issues of valuing biodiversity through a national survey to improve the national accounts. Biodiversity cum species protection was explained in a telephone survey. The willingness to pay (WTP) for forest biodiversity is estimated by a Dichotomous Choice Contingent Valuation(DC-CV) method. In the same survey, the households were asked whether they have recreational activities in forests or not. The recreation answer is not independent from the DC biodiversity question and can affect the estimated biodiversity WTP of households.The bivariate Probit technique is used to consider the correlation between the error terms in the two equations. Whereas the bivariate model is found to be better than the univariate one, there is no significant difference in the overall mean WTP estimates according to this model. However, regional mean WTPs highlight significant regional differences.; Cet article étudie les questions de l'évaluation de la biodiversité par le biais d'une enquête nationale afin d'améliorer les comptes nationaux. La biodiversité est représentée par la protection des espèces et expliquée aux ménages dans une enquête téléphonique. Le consentement à payer (CAP) pour la biodiversité des forêts est estimé par une méthode d'évaluation contingente avec une question à choix discret. Dans la même enquête, on a demandé aux ménages d'indiquer s'ils avaient des activités de loisirs en forêt ou non. La réponse à cette question n'est pas indépendante de celle sur l'évaluation de la biodiversité et peut affecter le CAP estimé des ménages pour la biodiversité. Une technique de Probit bivarié est utilisée pour examiner la corrélation entre les termes d'erreur des deux équations.On trouve que ce modèle bivarié est meilleur que qu'un Probit univarié, mais il n'y a pas de différences significatives des estimations moyennes des CAP. Toutefois, il est mis en évidence d'importantes différences régionales des CAP moyens.

Convention E06/06 du 21/07/2006; Ce rapport présente les travaux conduits, par le Laboratoire d’Economie Forestière (LEF), depuis septembre 2006, dans le cadre de la convention n° E06/06, avec la Direction générale de la Forêt et des Affaires rurales (DGFAR) du ministère de l’Agriculture et de la Pêche. La première partie de ce rapport expose en détail l’objectif, la méthode d’élaboration et quelques éléments d’analyse des tableaux de bord de la filière bois. Ces tableaux de bord permettent d’analyser toutes les questions relatives aux flux des produits, de l’exploitation forestière aux produits de deuxième transformation. Selon le champ de l’analyse, ou la nature des questions posées, les tableaux de bord de la filière bois peuvent d’être complétés par des données issues des Comptes de la Forêt. La deuxième partie de ce rapport présente ainsi deux exemples de question pour lesquelles les Comptes de la Forêt s’avèrent appropriés : la question du stockage de carbone et la question de la valeur économique totale des forêts. La méthodologie des Comptes de la Forêt n’est pas présentée ici, puisque celle-ci est déjà publiée par ailleurs (IFEN, 2005. Les Comptes de la Forêt : enjeux et méthodes. Note de méthode n° 16. Institut français de l’Environnement. 85 p.). La troisième partie présente les chiffres clé de la forêt et la filière bois ainsi que leur annexe méthodologique. L’objectif de ces chiffres clé est de fournir un ensemble de données relativement exhaustives à la fois du point de vue du champ couvert mais aussi du point de vue de la nature des données. Ces chiffres clé couvrent donc un champ plus large que les tableaux de bord de la filière bois. Enfin, la quatrième partie présente la liste des données fournies par le LEF à la DGFAR, à la signature de la convention. Les tableaux de bord élaborés par le LEF et corrigés suite aux remarques de la DGFAR sont fournis simultanément à l’envoi de ce rapport. Les chiffres clé ont été transmis, après correction, à la DGFAR début décembre 2006. Enfin, seuls les résultats déjà publiés sur les Comptes de la Forêt ont été communiqués à la DGFAR, puisque la présente convention n’inclut pas l’actualisation des Comptes de la Forêt.

This book provides a comprehensive analysis of the economic value of Mediterranean forests, including not just commonly measured benefits such as timber but also, more importantly, the public goods and externalities they provide. It consists of 25 chapters structured into 3 parts: part 1 provides an overview of the problem and of the approach followed, and summarizes the results; part 2 includes detailed national level case studies of 18 countries and territories bordering the Mediterranean Sea (Morocco, Algeria, Tunisia, Egypt, Palestine, Israel, Lebanon, Syria, Turkey, Cyprus, Greece, Albania, Croatia, Slovenia, Italy, France, Spain and Portugal); and part 3 highlights the institutional and policy implications that result from the valuation efforts of the country chapters. This book brings together forest valuations at the national level from 18 Mediterranean countries, based on extensive data collection by local experts, and uses a coherent analytical framework for collecting these valuations in a consistent way. Estimates are carried out from a per country and cross country perspective, and uses these results to propose policy recommendations to be undertaken locally within individual countries and across countries.