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Abstract Introduction Transitional cell carcinoma (TCC) of the ovary is a rare, recently recognized, subtype of ovarian surface epithelial cancer. Case presentation A 69-year-old postmenopausal woman presented with a 2-year history of progressive enlargement of an abdominal mass. Abdominal computed tomography showed a pelvic mass. CA-125 was normal. A staging operation with total abdominal hysterectomy, bilateral salpingo-oophorectomy, infracolic omentectomy and pelvic lymph node dissection was performed. After surgery, the pathologic report of the right ovarian tumour was TCC, grade 3, stage IC. The patient underwent 3 cycles of chemotherapy: carboplatin and paclitaxel. She is regularly followed up and has been disease free for 10 months Conclusion Transitional cell carcinoma (TCC) of the ovary is a rare subtype of epithelial ovarian cancer. Surgical resection is the primary therapeutic approach, and patient outcomes after chemotherapy are better than for other types of ovarian cancers.

Background: Pelvic recurrences of cervical cancer after primary surgical treatment can be potentially cured with radical hysterectomy or chemoradiation therapy. Combined radio-chemotherapy is believed to improve results compared to other option. Currently, RapidArc radiotherapy is considered an excellent technological advance that shows great potential for producing highly conformal doses to treatment volumes. Case presentation: We present a case of a 67-year-old woman with history of early cervical cancer initially treated by radical laparoscopic hysterectomy. More than 5 years later, the patient presented with a central pelvic vaginal cuff recurrence that is histologically confirmed. Salvage radiotherapy using RapidArc with concurrent cisplatin-based chemotherapy was indicated. A high dose of 70 Gy was delivered to the gross recurrent disease with simultaneous integrated boost (SIB) to the subclinical disease and good sparing of organs at risk especially the rectum and sigmoid. Conclusions: This case clearly demonstrates a large benefit for salvage RapidArc radiotherapy to central pelvic recurrences of gynecological cancers with an excellent rate of local control and less rate of toxicity. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

La maladie de HODGKIN (MDH) survient le plus souvent chez les enfants, adolescents et jeunes adultes. Elle représente une des tumeurs malignes les plus curables. Grâce aux progrès thérapeutiques actuels, plusieurs patients ont pu obtenir des réponses complètes durables, mais les tumeurs solides malignes, secondaires au traitement, demeurent la complication tardive la plus redoutable chez les longs survivants. Il s’agit d'un patient de 28 ans, sans antécédents pathologiques notables, suivi depuis L'age de 13 ans pour une MDH scléro-nodulaire stade IV (à localisation pulmonaire). Le patient a reçu initialement 06 cures de chimiothérapie, suivies d"une radiothérapie externe sus et sous-diaphragmatique. l'évolution a été marquée par la survenue de 02 rechutes, pour lesquelles, 02 autres lignes thérapeutiques ont été administrées. Puis, survenue d"une progression, pour laquelle il a été mis sous Cyclophosphamide par voie orale. Après 02 ans d"un bon contrôle clinique et radiologique sous cette dernière drogue cytotoxique, le patient a fait apparaître une hématurie macroscopique et parallèlement, un adénocarcinome (ADK) colique, survenant 15 ans après le début du traitement initial du lymphome, ayant nécessité une hémicolectomie droite élargie. Les modalités thérapeutiques de la MDH chez les adolescents et jeunes adultes ont subit des modifications remarquables ces dernières décennies. L�évaluation du risque de cancers secondaires chez les longs survivants, reflète souvent l�effet de modalités anciennes plus agressives. La plupart des études rapportant des cas de cancers secondaires, tiennent en compte la 1ère ligne thérapeutique et les traitements de rattrapage de la MDH. En effet, les jeunes patients traités par chimiothérapie et plus particulièrement par radiothérapie, sont à haut risque de développer des cancers secondaires. La radio-chimiothérapie parait par ailleurs, augmenter de façon plus significative ce risque. L�estimation du risque de cancers secondaires à long terme demeure alors essentielle, afin de minimiser les complications tardives, et ceci à travers des mesures de prévention et de dépistage chez les jeunes patients potentiellement à risque.

Les tumeurs malignes de l'intestin grèle (TMPIG) sont des tumeurs rares. Elles représentent 1 à 5% de toutes les tumeurs du tube digestif. Elles sont caractérisées par une hétérogénéité anatomopathologique et une symptomatologie pauvre et non spécifique entrainant ainsi un retard diagnostic, des difficultés Thérapeutiques et donc un mauvais pronostic. Nous rapportant les caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques ainsi que la survie des patients atteints des TMIG au sein de l’institut national d’oncologie de Rabat. Il s’agit d’une analyse rétrospective des dossiers cliniques des 27 patients ayant le diagnostic de tumeurs malignes de l’intestin grèle admis dans notre institut entre 1998 et 2002. L’âge médian était de 46 ans (15-70 ans). Le délai médian de diagnostic était de 6 mois (0-96 mois). La douleur abdominale était le symptôme le plus fréquent (77.8%). L’étude anatomopathologique a montré 63% de lymphome non Hodgkinie, 14.8% d’adénocarcinome, 7.4% de tumeur stromale, 7.4% de carcinome neuroendocrine et 7.4% de sarcome intestinal. Vingt patients (76. 9%) ont eu une résection chirurgicale et 14 patients (53. 8%) ont eu une chimiothérapie en fonction du stade de la maladie et du type histologique. Après un recul médian de 11.6 mois, la survie globale après 12 mois était de 44.4% et la médiane de survie était de 11.6 mois. Les tumeurs malignes de l’intestin grèle sont rares. Leur diagnostic est tardif limitant ainsi la prise en charge thérapeutique curative. Les cliniciens doivent ètre avertis des symptômes gastro-intestinaux non spécifiques

Abstract Introduction Periductal stromal sarcoma is an extremely rare malignant fibroepithelial tumor of the breast which is characterized by its biphasic histology with benign ductal elements and a sarcomatous stroma made of spindle cells and lacking phyllodes architecture. Its therapeutic management is based on wide surgery with free margins. Adjuvant therapies are not needed. Periductal stromal sarcoma may evolve into a phyllodes tumor with time, as well as a specific soft-tissue sarcoma. To the best of our knowledge, this tumor has never been described in a child. Case presentation A 14-year-old Arabic boy was presented to our hospital one year ago with a nodule of the right breast that was gradually increasing in size without signs of inflammation. The histological examination after lumpectomy revealed a periductal stromal sarcoma with free surgical margins. No adjuvant treatment was given. At 50 months of close follow-up, no recurrence was observed. Conclusion Periductal stromal sarcoma in a child is a very rare disease which has the same indolent behavior as it does in adults. Therefore, close follow-up is required.