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We report the neuroimaging findings of a case of reversible metronidazole-induced encephalopathy. Magnetic resonance imaging (MRI) demonstrated lesions in highly suggestive locations. Follow-up imaging performed 1 month after cessation of metronidazole therapy demonstrated resolution of imaging findings.

Resume Introduction La sclerose concentrique de Balo est une forme particuliere aigue de sclerose en plaques decrite par Balo en 1928. Ce terme resulte de l’aspect concentrique des lesions avec alternance de zones de demyelinisation et de zones de myeline normale. Observation Nous rapportons l’observation d’un patient nord-africain porteur d’une sclerose concentrique de Balo diagnostiquee par imagerie par resonance magnetique. Les localisations etaient a la fois encephaliques et medullaires et l’evolution clinique favorable apres traitement medical. Conclusion Autrefois fait en post-mortem, le diagnostic de la sclerose concentrique de Balo repose actuellement sur l’imagerie par resonance magnetique qui permet un diagnostic precoce et une prise en charge rapide de cette affection.

Resume Les kystes epidermoides intracrâniens sont des tumeurs relativement rares qui se caracterisent generalement a l’imagerie par une masse tumorale de densite et de signal proches de celui du LCS. Les kystes epidermoides denses sont exceptionnellement rapportes dans la litterature. L’observation d’une patiente de 12 ans, presentant un kyste epidermoide spontanement hyperdense de la fosse cerebrale posterieure, responsable de signes neurologiques focaux est rapportee. Le diagnostic a ete confirme a l’examen anatomo-pathologique.

We report a case of an unusual epidermoid cyst (EC) of the cerebellopontine angle that appeared hyperdense on computed tomography (CT) scanning, hyperintense on T1-weighted MR images and hypointense on T2-weighted magnetic resonance (MR) images. Diffusion-weighted imaging showed a hypointense lesion. We discuss imaging characteristics of ECs, explain the atypical findings in our case and confirm that the signal seen on diffusion-weighted images in the EC is related to a T2 effect.

The Gliomatosis Cerebri (GC) is an infiltrating and rare primitive tumour of the brain. It is characterized by diffuse neoplastic proliferation of glial cells involving of at least two lobes of the brain, without a distinct tumor mass and with the preservation of the anatomical and neuronal architecture. According to the WHO classification, GC is categorized as a high-grade neuroepithelial tumor of uncertain origin (GradelV). Now the diagnosis is facilitated via stereotactic biopsies of the representative lesion identified in magnetic resonance. Our objective is to present 4 new cases, and recall the clinical and radiological features and the prognosis.

Central neurocytoma is a rare intraventricular tumors occuring in young adults. The computerized tomography and the MR imaging permit to suspect the diagnosis that remains however difficult. Imunohistochemestry allows the diagnosis. We report hereby 8 new cases of central neurocytoma collected in the Institute of Neuroradiology of Tunis, four men and four women. The ages of the patients ranged from 17 to 34 years at the time of the diagnosis. The clinical and neuroradiological features of this tumour will be presented and discussed.

We report two cases of cerebral deep venous thrombosis in female adults. The first patient presented with headaches and confusion 20 days postpartum. Deep cerebral internal venous thrombosis was suspected based on the CT scan showing bilateral hypodensity in the thalamus and internal capsules. The diagnosis was confirmed on cerebral angiography. The patient was treated but died within 3 weeks of the onset of symptoms. The second patient had no obvious predisposing factors. She presented with confusion and fever. The diagnosis was strongly suggested by the CT scan, which showed spontaneous high density in the deep venous system associated with bilateral hypodensities in the thalamus and internal capsules. Venous MR angiography revealed obliteration of internal cerebral veins and the great vein of Galen. Ten days after appropriate therapy, the patient recovered completely.

We report a case of sphenoidal plasmocytoma in a 57-year-old male revealing multiple myeloma. MRI showed a tumor located in the sphenoid sinus with local extension. Diagnosis was made by histology after transsphenoidal resection. We discuss the imaging features of plasmocytomas and review the principal differential diagnoses.

Balo's concentric sclerosis is a rare variant of multiple sclerosis described by Balo in 1928. It is characterized by alternating rings of demyelination and spared myelin.We report a case of Balo's concentric sclerosis diagnosed by the typical MRI findings of concentric rings of demyelination. Medullar and brain localisation were found and clinical course was good under intravenous corticosteroids.MRI provides the best diagnostic information for Balo's concentric sclerosis, allowing early diagnosis and treatment.

Intracranial epidermoid cysts are relatively rare tumors. These cysts are generally nearly isodense to CSF at CT and nearly isointense to CSF on T1W and T2W MR imaging. Spontaneously hyperdense epidermoid cysts are exceptional. We report the case of a 12-year-old girl with a spontaneously hyperdense epidermoid cyst of the posterior fossa presenting with focal neurological symptoms. The diagnosis was confirmed at histological examination.

Objectifs La sclerose tubereuse de Bourneville (STB) est une pha-comatose frequente, de transmission autosomique dominante. L’exploration du cerveau par l’imagerie en coupe permet d’y retrouver quatre lesions caracteristiques dont la description est l’objectif de ce travail. Materiels et methodes Nous rapportons les observations de 16 patients atteints de STB, colliges sur une periode de 5 ans entre 2004 et 2009, a l’institut national de neurologie de Tunis. Tous les patients ont ete explores par une tomodensitometrie (TDM) et une imagerie par resonance magnetique (IRM) cerebrales. Resultats Trois filles et 13 garcons, dont l’âge variait entre 6 mois et 23 ans, etaient suivis pour : retard psychomoteur (n = 12), epilepsie (n = 16), tâches achromiques (n = 9) Le bilan radiologique (TDM et IRM) a mis en evidence : des tubers (n = 10), des nodules sous-ependymaires (n = 13), des astrocytomes a cellules geantes (n = 7) et des anomalies de la substance blanche (n = 4). Conclusion L’imagerie joue un role capital dans le diagnostic de la STB, en mettant en evidence les lesions cerebrales caracteristiques. De nouvelles voies de recherche sont ouvertes grâce a l’imagerie fonctionnelle, permettant une meilleure comprehension de la physiopathologie de la STB, et une localisation plus precise des lesions epileptogenes avant une intervention chirurgicale.

Objectifs Apport de l’IRM dans l’exploration des retards pubertaires chez des patients beta thalassemiques polytransfuses. Materiels et methodes Etude retrospective interessant 5 enfants, suivis pour une thalassemie majeure et polytransfuses, adresses pour l’exploration d’un hypogonadisme hypogonadotrope. L’IRM de l’axe hypothalamo-hypophysaire a comporte des coupes sagittales et coronales T1, T2, completes par une sequence en EG T2 dans le plan axial et sagittal. Resultats Nos cinq patients presentaient un retard pubertaire, associe chez 3 enfants a un retard staturo-ponderal. L’âge des patients variait entre 6 et 18 ans. L’IRM a mis en evidence une glande hypo-physaire de taille normale, en hyposignal T2 franc majore sur la sequence en echo de gradient T2. La post hypophyse et la tige pituitaire etaient normales chez tous les patients. Un hyposignal marque le long de tous les plexus choroides etait associee chez une patiente. Il s’agit d’une hemochromatose hypophysaire post transfusionnelle associe dans un cas a une hemochromatose des plexus choroides. Conclusion Le retard pubertaire est une situation frequente chez les beta thalassemiques polytransfuses. L’hemochromatose en est une cause rare. L’IRM est l’examen de choix pour evaluer la surcharge martiale de l’antehypophyse.

Objectifs L’eclampsie constitue une cause majeure de morbi-mortalite maternofœtale. Nous decrivons les lesions neuroradiologiques observees chez des patientes prises en charge en reanimation pour eclampsie. Materiels et methodes Etude retrospective interessant 24 patientes, presentant des signes d’eclampsie et de pre eclampsie severe avec des signes neurologiques. Elles ont ete explorees a l’admission par TDM et/ou IRM cerebrale. Une IRM de controle a ete realisee 15 jours apres l’admission chez 20 patientes. Resultats La TDM a revele dans tous les cas des lesions hypodenses cortico sous-corticales, symetriques, frontales et parieto-occipitales. L’IRM a retrouve ces lesions en hypersignal T2 et FLAIR et en hypo-signal T1 sans rehaussement apres injection de gadolinium. Un hyper-signal T2 protuberantiel a ete note dans 1 cas. L’IRM en sequence de diffusion realisee dans quatre cas a objective un œdeme vasogenique. L’IRM de controle a montre une regression complete des lesions. Conclusion Les aspects neuroradiologiques de l’eclampsie sont variables et l’œdeme cerebral localise est le plus frequemment retrouve. La realisation systematique de l’IRM avec des sequences de diffusion chez les eclamptiques ayant des troubles neurologiques persistants permet une meilleure approche diagnostique et pronostique de ces patientes.

Objectifs Apport de l’IRM dans l’exploration des retards mentaux. Materiels et methodes Etude retrospective de 110 patients (61 garcons et 49 filles) colliges entre 2000 et 2009, adresses pour l’exploration d’un retard psychomoteur. Sont exclus les patients dont l’IRM etait normale. L’âge moyen etait de 8 ans (de 7 mois a 25 ans). Le protocole IRM a comporte des sequences T2, T1, IR T1 dans les 3 plans. Resultats Le retard psychomoteur etait isole chez 73 patients, associe a une epilepsie (15 cas), une dysmorphie faciale (13 cas), des signes neurologiques (6 cas), des taches cutanees (2 cas) et une surdite (1 cas). L’IRM a montre une malformation cerebrale (48 cas), une atrophie parenchymateuse (8 cas), des sequelles anoxo-ischemiques (17 cas), une leucodystrophie (14 cas), une phacomatose (9 cas), une maladie metabolique (9 cas), des anomalies de signal de la substance blanche posterieure (4 cas) et une dilatation des espaces de Virchow-Robin (1 cas). Conclusion La rentabilite de l’IRM justifie sa realisation systematique dans l’exploration des retards mentaux. Elle permet une bonne approche du diagnostic etiologique du retard mental permettant parfois un conseil genetique adapte aux parents.

Objectifs Le but de ce travail est d’illustrer la semiologie IRM des lesions de neuroBehcet et de preciser la topographie habituelle de celle-ci. Materiels et methodes Notre serie a comporte 34 patients, 26 hommes et 8 femmes, âges de 16 a 69 ans (âge moyen de 37 ans). Tous les patients examines ont eu une IRM sur un appareil Siemens Magnetom Impact 1 Tesla. Le protocole comportait les sequences suivantes : ponderees en T2 et T1, sequences FLAIR, MPR 3D et angiographie par resonance magnetique veineuse et/ou arterielle. Resultats Les anomalies de signal intra-parenchymateux a type d’hypersignal T2 hypo/isosignal T1 ont ete retrouvees chez l’ensemble des patients. Ces anomalies interessaient la substance blanche sous-corticale dans 7 cas, peri-ventriculaire dans 22 cas, les noyaux gris centraux dans 18 cas, la capsule interne dans 15 cas, le tronc cerebral dans 27 cas. Des anomalies morphologiques a type d’atrophie du tronc cerebral ont ete observees dans 12 cas; par contre l’aspect tumefie de celui-ci etait retrouve dans 3 cas seulement. Une forme pseudotumorale est retrouvee chez un de nos patients. Une atrophie corticale inhabituelle pour l’âge a ete notee dans 2 cas. L’atteinte arterielle (arterite distale) a ete retrouvee chez 2 patients. Aucune thrombose veineuse n’a ete observee dans notre serie. Conclusion L’IRM objective l’atteinte parenchymateuse du neuroBehcet dont la topographie la plus evocatrice est la partie haute du tronc cerebral. L’IRM permet egalement le suivi evolutif sous traitement.

Objectifs Decrire et illustrer l’apport des differentes techniques d’imagerie dans le diagnostic et le suivi des tumeurs dysembryoplasiques neuroepitheliales (DNET). Materiels et methodes Etude retrospective menee entre 2000 et 2006 portant sur 11 patients âges entre 4 et 62 ans dont 7 sont âges de moins de 25 ans. Le tableau clinique etait domine par les convulsions tonicocloniques generalisees (n = 8), partielles (n = 2) ou temporale (n = 1). L’exploration s’est faite par imagerie par resonance magnetique (IRM) (n = 11) precedee ou non d’une tomodensitometrie cerebrale (TDM) (n = 3). Resultats Des lesions uniques sus-tentorielles (n = 11), frontales (n = 7) ou temporales (n = 4) ont ete retrouvees. Leur taille variait entre 2 et 4,5 cm avec un siege peripherique cortico-sous cortical. L’aspect en IRM etait en hyposignal T1 et hypersignal T2 heterogenes. Un aspect macrokystique (n = 3), des calcifications (n = 2) et un scalopping de l’os en regard (n = 5) ont ete notes. Toutes ces lesions ne presentaient ni œdeme perilesionnel, ni effet de masse, ni rehaussement apres injection de produit de contraste. Le caractere non evolutif a ete confirme chez 3 patients avec des controles IRM a 1 ou 2 ans. Neuf patients ont ete operes. Conclusion Les DNET sont caracterisees par leur polymorphisme clinique et histologique. Le diagnostic de certitude est souvent base sur la confrontation des donnees clinico-radiologiques, histologiques et le caractere non evolutif de ces lesions.

Objectifs Le neurocytome central est une tumeur cerebrale rare de l’adulte jeune (moins de 1 %des tumeurs intracrâniennes primitives), de siege habituellement intra-ventriculaire et generalement de bon pronostic. Notre but est d’etayer le role de l’imagerie dans le diagnostic positif. Materiels et methodes Etude retrospective sur une periode de 7 ans depuis 1999 a 2007 portant sur 32 patients âges de 17 a 48 ans dont 15 femmes. Ces patients ont tous beneficie d’une tomodensitometrie (TDM) et 29 ont beneficie d’une imagerie par resonance magnetique (IRM). Resultats La tumeur siegeait uniquement au niveau d’un ventricule lateral dans 23 cas : dans le corps ventriculaire, ou elle etait toujours accolee au septum lucidum, dans 20 cas, dans une corne frontale dans 2 cas et dans une corne temporale dans un cas. Dans 5 cas, le neurocytome d’un ventricule lateral s’etendait au 3e ventricule. Dans 4 cas la tumeur siegeait dans les deux ventricules lateraux et s’etendait dans deux cas dans le 3e ventricule. Une seule tumeur a presente une importante extension intra-parenchymateuse. Toutes les tumeurs etaient compliquees d’une hydrocephalie unilaterale dans 20 cas et bilaterale dans 12 cas. La TDM a mis en evidence des calcifications dans 7 cas, un rehaussement modere et heterogene dans 30 cas et un aspect spontanement hyperdense en dehors des calcifications dans 5 cas. L’IRM a montre des tumeurs accolees au septum lucidum dans 26 cas, un aspect hyperintense T2 en « bulle de savon » dans 25 cas, une hemorragie intra-tumorale dans 3 cas avec des niveaux liquideliquide dans un cas et un rehaussement heterogene dans tous les cas. Conclusion La topographie et l’aspect en IRM du neurocytome sont assez typiques et permettent de faire le diagnostic pre-operatoire dans la majorite des cas.

Objectifs Rapporter 4 cas de kystes epidermoides (KED) de la fosse cerebrale posterieure atypiques par leur aspect en imagerie (n = 2) ou par leur topographie (n = 2). Materiels et methodes Etude retrospective comportant quatre patients âges de 12 a 48 ans qui presentaient des kystes epidermoides atypiques, explores par un scanner cerebral (n = 3) et une imagerie par resonance magnetique (n = 4). Resultats Deux kystes epidermoides atypiques par leur aspect en imagerie : spontanement hyperdenses au scanner ; en hyposignal franc en T2 et en hypersignal Tl, sans anomalie de signal en diffusion a l’IRM. Deux kystes epidermoides atypiques par leur topographie : 1 bilateral des angles ponto cerebelleux et 1 developpe au niveau du 4e ventricule, de signal typique en IRM (hyposignal Tl, hypersignal T2 et diffusion, non rehausses par l’injection de produit de contraste et de signal heterogene sur les sequences ciss 3D et Flair). Conclusion Les KED de la fosse cerebrale posterieure sont des tumeurs rares qui se developpent preferentiellement dans les citernes des angles ponto-cerebelleux. Leurs aspects en imagerie ainsi que leurs localisations au niveau de la fosse cerebrale posterieure peuvent etre atypiques.

Objectifs Rapporter une serie de 13 cas et preciser les aspects TDM et IRM du kyste colloide du 3e ventricule. Materiels et methodes Il s’agit d’une etude retrospective comportant 13 patients (6 femmes et 7 hommes), âges de 25 a 68 ans. Les patients avaient presente des cephalees avec signes d’HTIC dans 10 cas et des cephalees isolees dans 3 cas. Tous nos patients etaient explores par un scanner cerebral. Neuf patients avaient beneficie d’une IRM cerebrale. Resultats La TDM avait montre une formation kystique siegeant a la partie anterieure du 3e ventricule de taille variable allant de 9 a 45 mm de diametre spontanement hyperdense, non rehaussee par l’injection de produit de contraste chez tous les patients. L’IRM avait objective : Sur les sequences ponderees en T2 : hyposignal central entoure par une couronne peripherique en hypersignal (n = 4), hyposignal total (n = 2), hypersignal homogene (n = 2), isosignal (n = 1). Sur les sequences ponderees en Tl : hypersignal (n = 4), isosignal (n = 5). Une dilatation des ventricules lateraux par obstruction des trous de Monro etait observee dans 10 cas. Conclusion Le kyste colloide du 3e ventricule est une affection benigne, rare. L’imagerie basee sur la TDM et l’IRM permet de faire le diagnostic en montrant une masse a la partie anterieure du V3. L’hyperdensite spontanee au scanner, l’hyposignal central ou total sur les sequences IRM ponderees en T2 et le non rehaussement de la lesion sont evocateurs du diagnostic.

Objectifs Rapporter l’aspect en IRM d’un cas rare d’encephalopathie secondaire a une intoxication au Flagyl. Materiels et methodes Nous rapportons le cas d’un patient âge de 51 ans aux antecedents de maladie de Verneuil sous traitement antibiotique a base de flagyl et d’Amoxicilline. Il presentait des cephalees et des troubles de la marche evoluant d’une maniere progressive. Il etait explore par une TDM cerebrale et une imagerie par resonance magnetique. Resultats Le scanner n’a pas montre d’anomalie. L’IRM cerebrale a mis en evidence la presence d’hypersignaux T2 et FLAIR bilateraux et symetriques interessant les noyaux denteles cerebelleux, les locus Niger, le splenium du corps calleux et les olives bulbaires. En IRM de diffusion, les lesions etaient en hypersignal avec un « ADC » bas. La confrontation de ces donnees a l’histoire clinique (prise de Metronidazole) a permis de poser le diagnostic d’une encephalopathie toxique au Flagyl. Apres intemption du Flagyl, le patient presentait une nette amelioration clinique avec disparition progressive des anomalies radiologiques. Conclusion L’IRM constitue un outil precieux et un complement indispensable a l’histoire clinique pour approcher le diagnostic de certaines encephalopathies toxiques rares.