13 results on '"Karr, Guillaume"'
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2. Cleaning product emissions and indoor built environments: Exposure and health risk assessments from experiments under realistic indoor conditions
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Karr, Guillaume, primary, Nicolas, Mélanie, additional, Maupetit, François, additional, and Ramel, Martine, additional
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- 2021
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3. Indoor air quality and health: the consumer products presenting the greatest individual risks
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Karr, Guillaume, additional and Ramel, Martine, additional
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- 2021
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4. Sprays and diffusers as indoor air fresheners: Exposure and health risk assessment based on measurements under realistic indoor conditions
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Karr, Guillaume, primary, Quivet, Etienne, additional, Ramel, Martine, additional, and Nicolas, Mélanie, additional
- Published
- 2021
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5. Impact du renouvellement des appareils domestiques de chauffage au bois sur les émissions atmosphériques de particules et sur la qualité de l’air intérieur (mesures réalisées en Vallée de l’Arve)
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Collet, Serge, Migne-Fouillen, Virginie, Karr, Guillaume, Salomon, Morgane, Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS), and Civs, Gestionnaire
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[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,[SDE] Environmental Sciences ,[SDE]Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health - Abstract
Les projets CARVE et QAI-Arve ont pour objectif d’apporter des éléments permettant de mieux cerner l’efficacité de l’opération Fonds Air Bois de la Vallée de l’Arve. Cette opération pilote vise à aider financièrement les particuliers pour remplacer leurs anciens appareils de chauffage au bois par des appareils de chauffage à bûches ou à granulés ayant des performances équivalentes à celles requises par le label Flamme verte. Les essais ont été menés in situ, chez des particuliers dans des conditions réelles de fonctionnement des appareils. Les mesures ont été réalisées dans une trentaine de logements avant et après changement de l’appareil. Les essais ont porté sur les émissions de particules en sortie de cheminée (CARVE) et sur les concentrations en composés organiques volatils dans l’air intérieur de logements (QAI-Arve). Ces projets conjoints se sont appuyés sur la Confédération des ramoneurs Savoyards, en charge des mesures à l’émission et du déploiement de kits de mesure en air intérieur et sur le Syndicat mixte d’aménagement de l’Arve et de ses abords (SM3A) en charge du suivi du fonds. Les mesures ayant lieu chez des particuliers, des méthodes de mesures et de prélèvements simplifiées mais fiables ont été mises en oeuvre. Les résultats du projet CARVE éclairent sur l’impact du renouvellement des appareils sur les émissions de polluants et sur les rendements. Lors du renouvellement d’un appareil ancien par un appareil récent performant, les réductions des émissions particulaires estimées sont en moyenne de 57% lors du remplacement d’un appareil ancien par un appareil à bûches récent et de 44% lors du remplacement par un appareil à granulés. L’augmentation des rendements énergétiques (respectivement 16 et 34 points) va permettre de réduire les consommations de bois pour une quantité d’énergie délivrée équivalente. Outre un gain financier lié à l’achat du combustible, cette moindre consommation de bois contribue à réduire substantiellement les émissions polluantes. Le projet QAI-Arve concerne la mesure en air intérieur des composés organiques volatils (benzène, toluène, éthylbenzène, xylènes, naphtalène) et des aldéhydes (formaldéhyde, acétaldéhyde, hexanal, benzaldéhyde). En considérant le formaldéhyde, l’acétaldéhyde, le toluène et l’o-xylène, l’analyse statistique des résultats montre que la qualité de l’air intérieur s’est améliorée après changement d’appareil. A l’inverse, pour l’hexanal, la qualité de l’air intérieur s’est dégradée pour les foyers équipés d’appareil à granulés. Leur oxydation peut être un facteur explicatif, mais aucun impact sanitaire n’a été mis en évidence. Néanmoins, il est difficile de relier le changement d’appareil de chauffage avec l’évolution des concentrations en polluants. En effet, de nombreuses sources intérieures peuvent contribuer à l’apport en polluant (travaux, ménage, cuisine), tout comme les pratiques des particuliers (durée de fonctionnement de l’appareil, temps d’aération).
- Published
- 2019
6. Impact of household products on indoor air quality : definition of a simple and harmonized test protocol for volatile compounds emission
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Nicolas, M., Karr, Guillaume, Maupetit, François, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS), and Civs, Gestionnaire
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[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health - Abstract
Consumer products in general and household products in particular are a significant source of indoor air pollutants. Exposure to these pollutants is important as it takes place in confined, poorly ventilated environments where people spend most of their time. The PEPS research project focused on studying the impact of household products on indoor air quality. A simple, adapted and reproducible test protocol for the characterization of volatile organic compounds (VOC) emitted by cleaning products is proposed. The developed methodology specifies: test conditions (type of test chamber, environmental parameters, application scenario of the product), the compounds of interest and the sampling conditions. In addition, it is representative of the use of cleaning products in real environments. Thus, definition of test conditions for the products and of performing the cleaning action during the test constitutes a key point of the work. Emissions of household products are evaluated under controlled conditions. A panel of 33 products, including 27 manufactured products and 6 home-made products, is constituted. Product composition is studied by collecting data provided by manufacturers and by the direct analysis of their content. A robustness study is conducted to define an harmonized and reproducible test protocol, which is then deployed to analyze the VOC emissions of the products. In addition to the development of this methodology, a field campaign is conducted in a realistic environment to collect knowledge on household products emissions in real conditions of use. This campaign is organized in the experimental house of the CSTB, MARIA, to evaluate, in real conditions, the emissions of 10 selected household products from the panel. The cleaning products are used in an experimental room according to realistic scenarios of use. VOC emissions are measured before, during, and after the use of the cleaning product showing the potential impact of those products on IAQ.
- Published
- 2019
7. Sprays and diffusers as indoor air fresheners: Exposure and health risk assessment based on measurements under realistic indoor conditions.
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Karr, Guillaume, Quivet, Etienne, Ramel, Martine, and Nicolas, Mélanie
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HEALTH risk assessment , *HOME fragrances , *VOLATILE organic compounds , *RISK exposure , *ACROLEIN - Abstract
Noncombustible air fresheners are indoor air emission sources of concern. The associated health risks should be better understood. Based on 15 products (4 sprays, 6 passive diffusers, and 5 active diffusers), the health risk assessment (HRA) approach was applied to a national use survey in France and to concentrations measured in an experimental house. The targeted substances included volatile organic compounds (VOCs), carbonyls, and fine particles (PM2.5). Mean‐use and reasonable worst‐case generic scenarios were designed. No situation of concern occurred regarding chronic exposure associated with the mean use. Under the reasonable worst‐case scenarios, the chronic risk could exceed selected health reference standards, mainly for acrolein (average inhaled concentration (AIC) up to 3.5 µg/m3), benzene (AIC up to 4 µg/m3), and limonene (AIC up to 8 mg/m3). The acute exposure, defined as a 1‐h exposure, could exceed selected health standards, primarily for acrolein (up to 23 µg/m3) and formaldehyde (up to approximately 370 µg/m3). Furthermore, the 1‐h average PM2.5 concentration, including ultrafine particles, could exceed 100 µg/m3, typically for sprays. These results suggest that the highest exposures should be reduced and, as such, that the emissions of the highest‐emissivity products should be lowered. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2022
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8. Risques incertains et éthique parentale : un partage d'expérience.
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Karr, Guillaume
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PARENTS ,ENVIRONMENTAL health ,FATHER-child relationship - Abstract
Résumé: En santé environnementale, les risques considérés sont souvent associés à de fortes incertitudes. C'est notamment le cas des risques liés aux expositions des enfants, compte tenu de leurs vulnérabilités spécifiques. Du point de vue des parents, ces risques incertains renvoient à des questionnements de nature éthique. Cet article constitue le partage d'expérience d'un père de jeunes enfants ; il s'agit d'une série de questions utilisées comme points de repère dans la gestion des risques incertains au quotidien. Ces questions visent à contribuer à éclairer les choix des parents, et plus généralement de tout encadrant d'enfants, en alimentant leurs réflexions en matière d'éthique. In environmental health, risks are often associated with strong uncertainties. This is particularly true of risks relating to exposure of children, given their specific vulnerabilities. For parents, these uncertain risks raise ethical questions. This article describes the experience of a father of young children; it is a series of questions used as guidance in managing uncertain risks on a daily basis. The questions aim to help parents, and more generally any person with children, make informed choices, by provoking thoughts on ethical matters. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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9. Qualité de l'air intérieur et santé : quels sont les produits de consommation présentant les risques individuels les plus élevés ?
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Karr, Guillaume and Ramel, Martine
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HEALTH risk assessment ,PUBLIC health ,HOME fragrances ,INDOOR air quality ,PARTICULATE matter ,ODORS - Abstract
Résumé: La qualité de l'air intérieur représente un enjeu de santé publique majeur. Les actions des pouvoirs publics portent notamment sur la réduction des sources de polluants volatils spécifiques aux environnements intérieurs, dont certains usages domestiques de produits de consommation. Pour contribuer à identifier les produits associés aux risques sanitaires les plus préoccupants, la démarche d'évaluation des risques sanitaires (ERS) a été appliquée à trois types de produits de consommation courante, présélectionnés en fonction de leurs risques individuels attendus : désodorisants combustibles (encens, bougies parfumées), produits ménagers et désodorisants non combustibles (sprays, diffuseurs). Le champ des ERS réalisées incluait les expositions par inhalation, chroniques et aiguës (expositions d'une heure), et les usages de type domestique. Ces ERS se sont basées sur des concentrations mesurées en conditions réelles et sur des scénarios d'exposition déterministes (« moyen » et « pire cas raisonnable ») élaborés à partir de sondages nationaux sur les usages des produits étudiés. Dans le cas particulier des produits ménagers, l'élaboration de séances de ménage complètes, « multiproduits » et « multipièces », s'est appuyée sur une consultation de parties prenantes. Les résultats obtenus suggèrent que, dans le cadre des produits testés et des hypothèses retenues dans ces ERS, (i) les usages les plus courants correspondent à des risques individuels chroniques non préoccupants, quel que soit le type de produit étudié, considéré individuellement ; (ii) les expositions les plus élevées ont besoin d'être réduites pour assurer l'absence de risque préoccupant, notamment en réduisant les émissions des produits les plus émissifs, quel que soit le type de produit étudié ; (iii) les encens et, dans une moindre mesure, les sprays désodorisants sont les produits présentant les risques individuels les plus élevés, parmi les produits étudiés. Les substances d'intérêt prioritaire identifiées sont l'acroléine, le benzène, le formaldéhyde et les particules fines (PM
2,5 ). Les effets sanitaires potentiels incluent divers troubles du système respiratoire et un excès de risque de leucémie. Indoor air quality is a major public health issue. Potential government actions include reducing indoor sources of volatile pollutants, especially household uses of some consumer products of concern. To help identify the products with the greatest health risks, a Health Risk Assessment (HRA) approach was applied to three types of consumer products, selected in advance for their expected individual risks: combustible air fresheners (incense, scented candles), cleaning products, and non-combustible air fresheners (sprays, diffusers). The scope of the HRA covered inhalation exposures (chronic and acute) and household uses. These HRAs were based on concentrations measured in real conditions and on exposure scenarios ("mean" and "reasonable worst-case") developed with national utilization surveys in France. A meeting with stakeholders for cleaning products led to the development of full "multi-product" and "multi-room" cleaning sessions. The results suggest that, based on the products tested and on the assumptions selected in these HRA, (i) the most common uses for each type of product studied correspond to individual chronic risks that may not be of concern, (ii) the highest exposures for each type of product should be reduced to ensure safe use and, as such, emissions should be reduced for the products with the highest emission levels, (iii) incense products and, to a lesser extent, fragrance sprays are the consumer products with the highest individual risks among the products studied. The priority substances identified were acrolein, benzene, formaldehyde, and fine particulate matter (PM2.5 ). Potential health effects include various respiratory system disorders and an excess risk of leukemia. [ABSTRACT FROM AUTHOR]- Published
- 2021
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10. Field campaign characterization of incense and candle emissions in indoor environment
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Nicolas, M., Buiron, D., Quivet, E., Albinet, Alexandre, Karr, Guillaume, Maupetit, François, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), Laboratoire Chimie de l'environnement (LCE), Aix Marseille Université (AMU)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS), and Civs, Gestionnaire
- Subjects
[SDE] Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,PAHS ,CANDLES ,INCENSE BURNING ,[SDE]Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,VOCS ,PARTICLES ,FORMALDEHYDE ,PTR-TOF-MS - Abstract
Burning incense and scented candles indoors has been shown as a punctual but significant source of volatile and particulate compounds. The purpose of this paper is to present the results of testing emissions from incense and candles burning under realistic conditions in the CSTB experimental house. Particular effort was given to the use of adequate on-line and off-line measurement techniques to precisely describe volatile and particulate compounds emitted during combustions of those products. This information is particularly relevant for the implementation of the labelling of emissions from candles and incense and for risk assessment studies related to the use of those products.
- Published
- 2016
11. Scented Candles and incenses as indoor air fresheners : health risk assessment from real emission measurements
- Author
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Karr, Guillaume, Albinet, Alexandre, Quivet, E., Buiron, D., Maupetit, François, Nicolas, M., Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS), Laboratoire Chimie de l'environnement (LCE), Aix Marseille Université (AMU)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), and Civs, Gestionnaire
- Subjects
[SDE] Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,CANDLE ,INCENSE ,HEALTH RISK ,[SDE]Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health - Abstract
As part of the EBENE research project, a health risk assessment was performed for two types of widely used combustible air fresheners: scented candles and incenses. The assessment was based on physiochemical characterization of the particulate and gaseous emissions of 9 scented candles and 10 incenses, tested under real conditions in an experimental house MARIA (CSTB), combined with a national phone survey about household uses. Results obtained showed that chronic exposures could exceed usual health reference values for a reasonable-worst-case type scenario. Substances of concern included PM (particulate matter), benzene, acrolein and, to a lesser extent, formaldehyde, for incenses, and formaldehyde, acrolein and, to a lesser extent, PM, for scented candles. For all of these substances, exceedances were also identified for short term exposures (1 hour). These results suggest that good practice – use reasonably, ventilate the room after use, avoid direct inhalation of any smoke, etc. – and reducing the emissions of high-emissivity products could be necessary to insure a safe use.
- Published
- 2016
12. Aide au choix de substances prioritaires en santé environnementale
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Boudet, Céline, Brignon, Jean-Marc, Karr, Guillaume, Ramel, Martine, Le Gall, Anne-Christine, Rouil, Laurence, and Civs, Gestionnaire
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[SDE] Environmental Sciences ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health - Abstract
Identifying and ranking substances of concern is a complex task: the notion of substance of concern has a different meaning depending on regulations, public policies, existing ranking exercises or individual opinions. The choice of priority substances is generally supported by orders of substances constructed on an expert opinion. The process suggests providing, in addition, orders of substances elaborated on the basis of views identified among other people involved in the decision process: groups of decision makers, stakeholders, people from civil society, etc. This process advises using participatory multi-criteria methods. These methods give structure to the participatory approach, they make explicit the underlying logic of each generated order and they can be adapted to the available data. The process can adapt to any type of context and ranking objective. An application conducted in 2012, to support the choice of the priority substances of the future French Environmental Health National Action Plan (PNSE3), illustrate the process., Une des priorités du deuxième Plan National Santé-Environnement (PNSE2) est de définir une méthode d’identification et de hiérarchisation des substances toxiques les plus préoccupantes. La notion même de substance préoccupante revêt un sens différent selon les réglementations, les politiques publiques, les exercices de hiérarchisation existants ou les opinions individuelles. Différents critères peuvent être mis en avant, par exemple : le danger, le caractère Persistant Bioaccumulable et Toxique (PBT), la protection de populations sensibles et le risque individuel inacceptable. En termes d’actions publiques, le choix de substances prioritaires s’appuie généralement sur des ordres de substances construits sur la base d’un avis d’experts. Le processus décrit ici propose de fournir, en complément, des ordres de substances basés sur des points de vue identifiés parmi d’autres acteurs de la décision : groupe de décideurs, représentants d’intérêts divers, personnes issues de la société, etc.
- Published
- 2014
13. Aide au choix de substances prioritaires en Santé environnementale : un processus associant un avis d’expert et une analyse multicritère participative
- Author
-
Karr, Guillaume, Boudet, Céline, Le Gall, Anne-Christine, Brignon, Jean-Marc, Rouil, Laurence, Ramel, Martine, and Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS)
- Subjects
substances ,participatory multi-criteria analysis ,[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,ranking ,[SDE]Environmental Sciences ,[SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,analyse multicritère participative ,hiérarchisation - Abstract
International audience; Identifying and ranking substances of concern is a complex task, because the meaning of 'substance of concern' differs according to the specific regulation, public policy, ranking exercise, and individual opinion. In terms of public actions, the choice of priority substances is generally supported by rankings of substances constructed by experts. In this article we suggest a process that adds to this ranking others based on views identified among others involved in the decision process, including but not limited to groups of decision makers, stakeholders, and members of civil society. Participatory multicriteria methods may be used for this purpose. These methods structure the participatory approach and make explicit the underlying logic of each ranking generated; they can be adapted to the available data. These methods have been implemented with stakeholders in other ranking exercises, dealing with various environmental issues, but not yet, to our knowledge, for ranking substances of concern. Using this ranking process for choosing priority substances in light of a specific objective, decision-makers can illuminate and nourish their analyses with several different rankings, characterized by their underlying logic, rather than by a single ranking that presupposes a consensus that does not necessarily exist. These different rankings will enable them, to some extent, to understand and take into account the diversity of the viewpoints that can be selected to meet the objective. This process can be adapted to any type of context and objective. An application conducted in 2012, to support the choice of the priority substances of the future French Environmental Health National Action Plan (PNSE3), illustrates each step of the process.; Identifier et hiérarchiser des substances préoccupantes est une tâche complexe, car la notion même de substance préoccupante revêt un sens différent selon les réglementations, les politiques publiques, les exercices de hiérarchisation existants ou les opinions individuelles. En termes d’actions publiques, le choix de substances prioritaires s’appuie généralement sur des ordres de substances construits sur la base d’un avis d’experts. Le processus décrit dans cet article propose de fournir, en complément, des ordres de substances basés sur des points de vue identifiés parmi d’autres acteurs de la décision : groupes de décideurs, représentants d’intérêts divers, personnes issues de la société civile, etc. Pour ce faire, le processus invite à mettre en œuvre des méthodes multicritères participatives. Ces méthodes permettent de structurer l’implication des différents acteurs, explicitent la logique sous-jacente de chaque ordre généré et s’adaptent aux données disponibles. Leur mise en œuvre auprès de parties prenantes a été réalisée dans d’autres exercices de hiérarchisation, portant sur des problématiques environnementales diverses. À notre connaissance, elle n’a pas encore été réalisée dans le cadre de la hiérarchisation de substances préoccupantes. En utilisant ce processus de hiérarchisation à l’occasion d’un choix de substances prioritaires, répondant à un objectif spécifique, les décideurs pourront éclairer et nourrir leurs réflexions en s’appuyant sur plusieurs ordres de substances, accompagnés de leur logique sous-jacente, plutôt que sur un ordre unique qui supposerait un consensus qui n’existe pas nécessairement. Ces différents ordres leur permettront, dans une certaine mesure, d’appréhender et de tenir compte de la diversité des points de vue pouvant être choisis pour répondre à l’objectif retenu. Ce processus peut s’adapter à tout type de contexte et d’objectif de hiérarchisation. Une application réalisée en 2012, pour appuyer le choix des substances prioritaires du futur Plan national santé environnement (PNSE3), permet d’illustrer chaque étape du processus dans cet article.
- Published
- 2014
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