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Xanthogranulomatous prostatitis is a rare benign inflammatory process of the prostate. Only few cases have been reported in the English literature. Xanthogranulomatous prostatitis is usually an incidental finding after needle biopsy or transurethral resection of the prostate in patients suffering from low urinary tract symptoms. We report the case of a 59-years-old patient diagnosed with prostatic abscess managed by transurethral resection of the prostate. Histopathological examination of resected prostatic tissue revealed abscessed xanthogranulomatous prostatitis with no evidence of malignancy. Xanthogranulomatous prostatitis presenting as a prostatic abscess is a rare finding. To the best of our knowledge our case represents the fourth case of xanthogranulomatous prostatitis presenting as prostatic abscess reported in the English literature so far.

Lymphoepithelioma-like carcinoma of the bladder (LELCB) is a rare variant of urothelial carcinoma first described by Zukerberg in 1991 and confirmed as a variant of urothelial carcinoma by the WHO classification of tumors of the urinary system. LELCB is characterized by a marked infiltration of lymphocytes in the area involved by the tumor which may coexist with the conventional urothelial carcinoma. LELCB are classified according to the percentage of lymphoepithelioma component within the tumor with the prognosis depending on the percentage. We report a new case of pure LELCB occurring in 63-year-old woman presenting with hematuria. Ultrasonography and cystoscopy revealed a large tumor on the left lateral wall of the bladder. Transurethral resection of the bladder tumor (TURBT) was performed. Pathological and immunohistochemical analysis revealed a high-grade muscle-invasive LELCB (G3pT2). The patient underwent an adjuvant systemic chemotherapy with no recurrence after a ten-month follow-up. To our knowledge, this is the second Moroccan case of LELCB reported in the English literature. Although its rare occurrence prognosis and ideal therapeutic management of LELCB have not been clearly established yet, literature findings encourage the adoption of a conservative approach in treatment of LELCB.

Condom catheters are widely used in the management of male urinary incontinence, bedridden patients, and geriatric population. They are considered to be safe; however they are associated with serious complications in case of an incorrect use. We report a dramatic case of penile strangulation by condom catheter tardily discovered till occurrence of necrosis and gangrene leading to death in an elderly bedridden and diabetic man. Through this case we emphasize the importance of patient education for the correct use of condom catheters and remind care providers to maintain a high level of sensibility to complication generated from long-term use of condom catheters.

Testicular feminization, or the androgen insensitivity syndrome, is a rare disease. Because of various abnormalities of the X chromosome, a male, genetically XY, has some physical characteristics of a woman or a full female phenotype. Indeed the androgen insensitivity syndrome occurs because of a resistance to the actions of the androgen hormones, which in turn switches the development towards the aspect of a woman. We report a case of complete androgen insensitivity syndrome in a 30 years old woman who presented primary amenorrhea. We aim to improve our knowledge of this illness from the data that provides us this study, and a review of the literature.

Les angiomyolipomes épithélioïdes rénaux (AMLeR) sont des tumeurs rares (identifiées chez moins de 0,1 patients pour 1000 habitants) et représentent 8% des angiomyolipomes (AML) opérés. Il a longtemps été considérécomme un hamartome mais plusieurs articles récents font penser qu'il s'agir d'une tumeur dérivant de cellules épithélioïdespérivasculaires. L'angiomyolipome épithélioïde est une forme rare d'angiomyolipome à potentiel malin, composé decellules épithélioïdes posant des problèmes de diagnostic différentiel avec les carcinomes à cellules rénales. L'immunohistochimie,en révélant la positivité des cellules épithélioïdes au marqueur HMB45 est essentielle au diagnostic. Les auteursrapportent l'aspect tomodensitométrique et histologique d'angiomyolipomes épithélioïdes chez deux patientes.

Nous rapportons dans cet article trois cas de carcinome rénal à cellules chromophobes. Le carcinome chromophobe se voit essentiellement à la cinquième décennie et représente 5% des tumeurs rénales. Il existe deux sous types de cancer à cellules chromophobes: le type clair (70%) et le type éosinophile. La variante à cellules éosinophiles doit être distinguée de l'oncocytome. Ce dernier se caractérise par une cicatrice fibreuse centrale d'aspect stellaire. Le carcinome chromophobe et l'oncocytome peuvent même coexister dans le cadre du syndrome de Birt-Hogg-Dubé. Certaines tumeurs appelées hybrides partagent des caractéristiques architecturales et cytologiques de ces deux tumeurs. Le pronostic du carcinome chromophobe est favorable. Il est le plus souvent limité au rein et de bas grade nucléaire. Il semblerait donc licite dans les cas ou un examen extemporané mettrait en évidence une tumeur chromophobe, de limiter l'intervention à une néphrectomie partielle si elle est techniquement réalisable.

Les tumeurs bénignes du muscle lisse sont fréquentes dans le tractus gastro-intestinal et génito-urinaire, et rares au niveau rétro péritonéal. Leur prévalence parmi les tumeurs rétropéritonéales primitives a été estimée entre de 0,5 à 1,2%. Une situation qui conduit à des erreurs de diagnostic. On rapporte dans cet article deux cas de léiomyome rétropéritonéal (LRP) retrouvés chez des femmes âgées entre 47et 54 ans. L'imagerie a mis en évidence une masse rétro-péritonéale, ce qui a motivé une exérèse totale de la tumeur. L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire a posé le diagnostic de léiomyome rétro-péritonéal. L’évolution sans récidive était bonne.

Les angiomyolipomes épithélioïdes rénaux (AMLeR) sont des tumeurs rares (identifiées chez moins de 0,1 patients pour 1000 habitants) et représentent 8% des angiomyolipomes (AML) opérés. Il a longtemps été considérécomme un hamartome mais plusieurs articles récents font penser qu'il s'agir d'une tumeur dérivant de cellules épithélioïdespérivasculaires. L'angiomyolipome épithélioïde est une forme rare d'angiomyolipome à potentiel malin, composé decellules épithélioïdes posant des problèmes de diagnostic différentiel avec les carcinomes à cellules rénales. L'immunohistochimie,en révélant la positivité des cellules épithélioïdes au marqueur HMB45 est essentielle au diagnostic. Les auteursrapportent l'aspect tomodensitométrique et histologique d'angiomyolipomes épithélioïdes chez deux patientes.Pan African Medical Journal 2015; 22